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Formation Continue du Supérieur
26 juin 2011

Stages en entreprise

http://www.services-a-domicile.fr/FAQ/wp-content/uploads/2008/04/urssaf.gifSommaire
Stagiaires concernés
Durée du stage
Gratification
Franchise de cotisations et contributions sociales
La cantine et les titres restaurant : incidences sur la franchise
Situation des stagiaires au regard des accidents du travail et des maladies professionnelles
Cas particuliers
Charte et guide des stages
Cas pratique.
Stagiaires concernés

La réforme instaurée par la loi du 31 mars 2006 pour l’égalité des chances vise le statut des étudiants stagiaires en entreprise. Sont concernés, les stagiaires effectuant un stage d’initiation, de formation ou de complément de formation professionnelle ne faisant pas l’objet d’un contrat de travail et n’entrant pas dans le cadre de la formation professionnelle continue.
Les établissements d'enseignement dispensant une formation supérieure diplômante ou non diplômante dont les étudiants accomplissent, à titre obligatoire ou optionnel, des stages en entreprise doivent élaborer, en concertation avec les entreprises intéressées, une convention de stage sur la base d'une convention type. Depuis le 1er septembre 2010, ces stages doivent également être intégrés à un cursus pédagogique dont la notion est définie par le décret n°2010-956 du 25 août 2010.
Obligation d’intégration à un cursus pédagogique

Font partie d’un cursus pédagogique, les stages qui remplissent deux conditions :
-la finalité et les modalités du stage sont définies dans l’organisation de la formation ;
-le stage fait l’objet d’une restitution de la part de l’étudiant donnant lieu à évaluation de la part de l’établissement.
Dès lors que ces conditions sont satisfaites, sont également intégrés à un cursus, les stages organisés dans le cadre :
-de formations qui permettent une réorientation et proposées aux étudiants, notamment sur les conseils des services d’orientation ou d’un responsable de l’équipe pédagogique de la formation dans laquelle l’étudiant s’est engagé initialement,
-de formations complémentaires destinées à favoriser des projets d’insertion professionnelle, et validées en tant que telles par le responsable de la formation dans laquelle est inscrit l’étudiant,
-des périodes pendant lesquelles l’étudiant suspend temporairement sa présence dans l’établissement où il est inscrit pour exercer d’autres activités lui permettant exclusivement d’acquérir des compétences en cohérence avec sa formation. Dans ce cas, en complément de la convention de stage, l’établissement d’enseignement et l’entreprise concluent un contrat pédagogique.
Ces nouvelles dispositions s’appliquent aux stages débutant à la date du 1er septembre 2010 ou après cette date.
Obligation de conclure une convention de stage

Seuls les stages donnant lieu à la signature d’une convention tripartite peuvent être conclus.
Cette convention est signée entre l’établissement d’enseignement, l’entreprise d’accueil et le stagiaire.
Sont concernés par l’obligation de conclure une convention de stage tout élève ou étudiant préparant un diplôme de l’enseignement supérieur sous réserve que le stage ne donne pas lieu au versement d’une rémunération au sens de l’article L242-1 du code de la sécurité sociale.
Sont notamment visés: les élèves préparant un diplôme de l’enseignement technologique; les élèves d’IUT; les élèves ingénieurs; les élèves des écoles de commerce et de gestion; les étudiants préparant un diplôme universitaire (licence, master, etc.); les élèves des centres médicaux-éducatifs; les élèves avocats (c’est-à-dire non titulaires du CAPA); les élèves architectes (stage dit «ouvrier et/ou de chantier», stage de «première pratique» en France ou à l’étranger, stage de formation pratique); les élèves des écoles hôtelières; les élèves infirmières; les stages d'initiation aux soins infirmiers pour les étudiants admis en 2ème année de médecine ou odontologie.
Sont exclus les stagiaires visés à l’article L. 4153-1 du code du travail: visites, séquences d’observation et stages des mineurs de moins de 16 ans et ceux de la formation professionnelle continue pour lesquels les modalités de conclusion d’une convention de stage sont légalement prévues.

12 juin 2011

Les stages à vie, c'est fini ?

http://www.minutebuzz.com/wp-content/uploads/2011/02/00749994-photo-le-nouvel-observateur.jpgPar Yannick Comenge, Docteur en biologie. La société évolue et avec elle, l'entreprise. À l'heure des "indignés", l'abus de stagiaires, autrefois "tendance", est devenu ringard : c’est signe de mauvaise santé de l’entreprise. Adieu l'esclavagisme moderne, donc. Bonjour l'alternance?
Les stagiaires se transformeront en alternants en tout cas c'est le désir de la classe politique. Avant de se réjouir de ce vœux, quelques éléments sont à "screener" sur le sujet du stage et de l'alternance. Le choix de société est là. Certes, il n’est pas très cornélien et c’est ainsi. Allons-nous tourner le dos à l’abus des stages pour aller vers une sécurisation de l’intégration des jeunes dans le monde du travail par l’apprentissage ?
Esclave moderne

Il semble qu’au fil du temps, par l’action de Génération Précaire lors des années clefs de la problématique 2005-2007 puis l’action des syndicats, l’idée ait suivi son chemin. Abuser des stagiaires est ringard, c’est signe de mauvaise santé de l’entreprise et bien peu de sociétés se vantent "d’en utiliser de trop". Il y a quelques années personne n’avait pris vraiment le temps de voir le décrochage de l’insertion des jeunes.

17 mai 2011

La notion de stage à travers le monde

StudyramaVous souhaitez faire un stage, mais vous ne savez pas comment cela se passe à l’étranger, pas de panique, nous allons tout vous expliquer ! En effet, selon le pays la notion de stage n’est pas forcement la même. Voici un petit aperçu.

Des nominations différentes selon les pays
Selon les pays la notion de stage n’est pas très claire, surtout dans les pays anglo-saxons. Aux Etats-Unis, en Angleterre, en Suisse (côté francophone) et au Canada, c’est un « internship ». Le stage n’est pas considéré comme « un stage » comme en France ou aux Pays-Bas (« stage lopen »), mais comme un vrai travail. Le stagiaire est donc considéré comme un employé à part entière. C’est aussi le cas en Allemagne ou en Suisse (coté germanique), où il est appelé « praktikum », ou « praktikant » comme en Suède.
Des règlementations diverses

Selon les pays, vous ne rencontrerez pas la même rigueur administrative. Comme en France, la plupart des pays sont très protecteurs envers leurs stagiaires. Une « convention » de stage (ou « agreement » au Royaume Uni) devra être signée entre le stagiaire et l’employeur afin d’éviter tout abus !
Notez que trouver un stage dans certains pays, tels que l’Australie ou la Suisse, est très facile car le système y est très flexible et plus fluide. En gros, on vous embauche facilement, mais si vous ne répondez pas aux critères recherchés, vous ressortirez aussi vite que vous êtes rentré ! Ainsi, ne vous étonnez pas de commencer tout en bas de l’échelle comme c’est le cas en Australie, et d’évoluer très vite au sein de l’entreprise. Dans le système anglo-saxon, le « turn over » est très présent !
Une rémunération très aléatoire !

En ce qui concerne votre salaire, sachez que rien n’oblige l’employeur à vous rémunérer. Malgré tout, il existe quelques cas à part. En France par exemple, vous savez que si vous effectuez un stage de plus de 3 mois, votre employeur doit vous verser 30% Smic. Les canadiens étant considérés comme des salariés, ils seront rémunérés au minimum 17 $ de l’heure. Notez aussi que les stages d’une durée inférieure à quatre mois ne sont, sauf exception, jamais rémunérés en Angleterre. Ceux d’une durée supérieure peuvent toutefois faire l’objet d’une indemnité forfaitaire hebdomadaire. En revanche, en Australie, du fait de la demande croissante et continue de stagiaires, aucun « stagiaire » n’est rémunéré ! Aux Etats-Unis, le système est différent, vous ne serez pas rémunéré, mais vous acquerrez des crédits pour vos études. Pour les autres pays la rémunération est laissée au bon vouloir de l’employeur !
Des stages obligatoires ou facultatifs ?

Selon le pays le stage est plus ou moins obligatoire. Aux Pays-Bas, les stages sont une priorité pour l’étudiant. Cependant, la politique du pays fait qu’elle encourage fortement ses étudiants à effectuer leurs stages plutôt à l’étranger qu’au sein de leur pays. Un encouragement en forte corrélation avec l’obligation d’être bilingue (anglais) dès le plus jeune âge.
Parfois, ils sont nécessaires afin de valider le diplôme en cours. C’est notamment le cas aux Etats-Unis, en Allemagne, aux Pays Bas et en Suède. Au Canada toutefois, ils doivent être effectués durant la « session d’été » (équivalent à nos vacances d’été).
Certain pays comme la Suisse, encourage fortement leurs lycéens à profiter d’une ou deux années de répit après l’obtention de leur diplôme d’enseignement secondaire pour effectuer des stages qui leur permettront de s’orienter plus facilement dans leurs études supérieures. Si le stage leur convient, ils pourront même demander de rester et commenceront en parallèle une formation en alternance !
A quelques exceptions près, les pays valorisent et recommandent à leurs étudiants d’effectuer des « stages », meilleure preuve de l’expérience professionnelle de l’étudiant.
StudyramaAzt akarod, hogy csinál egy szakmai, de nem tudod, hogy megy ez külföldön, ne aggódjon, mi mindent megmagyarázni neked! A valóságban, az ország fogalma persze nem feltétlenül ugyanaz. Itt egy kis preview. Még több...
27 novembre 2010

Qualité des stages dans l’enseignement supérieur

http://www.cereq.fr/images/net71.jpgL’effet de la qualité des stages sur l’insertion professionnelle. Le cas des diplômés de l’enseignement supérieur.
Les stages sont régulièrement présentés comme une condition nécessaire, si ce n’est suffisante, d’une bonne insertion sur le marché du travail. Les compétences acquises en dehors du système éducatif procureraient aux stagiaires un avantage décisif pour trouver un emploi. Des inquiétudes sont néanmoins apparues ces dernières années face à une multiplication des stages dans le parcours des étudiants, ce qui retarderait leur accès à une première activité salariée sans pour autant donner une réelle valeur professionnelle à ces expériences acquises en cours d’études. Ils permettraient de plus à certains employeurs d’ajuster leur main d’oeuvre aux variations de l’activité économique et se substitueraient aux recrutements. Lire le document.
http://www.cereq.fr/images/net71.jpgHet effect van de kwaliteit van de opleidingen op de inzetbaarheid. Voor afgestudeerden van het hoger onderwijs.
De cursussen worden regelmatig gepresenteerd als een noodzakelijke Als er niet voldoende, goede integratie in de arbeidsmarkt. De vaardigheden die buiten het onderwijs zou leerlingen te voorzien van een beslissend voordeel bij het vinden van werk.
Zorg is evenwel gebleken in de afgelopen jaren als gevolg van een toename van het aantal cursussen in de loopbaan van studenten, die voor het eerst de werkgelegenheid zou vertragen hun toegang tot, zonder een echte zakelijke waarde van deze ervaringen tijdens hun studies. Ze laten meer van bepaalde werkgevers om werknemers aan te passen aan veranderingen in hun economische activiteit en in plaats van de werving. Meer...
6 octobre 2010

Stages hors cursus interdits

Par Camille Stromboni. La confusion s’accroît. Un mois que le décret interdisant les stages hors cursus s’applique… et déjà une nouvelle circulaire est annoncée afin de préciser la marche à suivre. Dans le viseur du ministère de l’Enseignement supérieur: les universités! Le décret, qui avait pour objectif de limiter les abus des employeurs et les stages "bidons", aurait en effet conduit certaines d’entre elles à refuser de délivrer des conventions aux étudiants. Ce qui constitue, selon le ministère, "une interprétation erronée" du texte. Enquête dans les universités pour savoir comment elles appliquent le décret.
Stages: stop ou encore? Les établissements ont eu peu de temps pour se déterminer. Le décret interdisant les stages hors cursus est paru au JO du 26 août 2010, pour une application au 1er septembre. Depuis cette date, certains établissements refusent effectivement de signer des conventions, dès lors qu’il ne s’agit pas d’un stage obligatoire ou explicitement prévu dans le cursus (comme certains stages optionnels). Explication : le décret indique que pour être considéré comme intégré au cursus, le stage doit voir sa finalité et ses modalités définies dans l’organisation de la formation. Exit donc le stage facultatif (intitulé aussi « volontaire » ou « recommandé » selon les établissements)! « Pour l'instant, nous enregistrons les demandes de stages facultatifs. Nous imaginons bien sûr que cela va se débloquer très vite », explique Michel-Henry Gensbittel, chargé de mission sur l’insertion professionnelle auprès du président de l’université Paris 4. Exception faite pour les prolongations. « Nous avons délivré des prolongations de stage jusqu’à fin septembre maximum », pour les étudiants déjà en stage donc. Jusqu’ici, son établissement délivrait environ 2500 conventions par an (chiffres 2008-2009), pour 25 000 étudiants, dont seulement la moitié pour des stages obligatoires. Même refus dans un premier temps (début septembre) à Paris 2 (2000 conventions par an), ce qui a déclenché l’ire d’une étudiante - fortement relayée dans les médias - qui gère un groupe Facebook intitulé « touche pas à mon stage ». Idem à Paris 7, à Poitiers (8000 conventions par an) ou à Nanterre (5000 conventions par an), qui a suspendu la signature des conventions pour les stages volontaires.
Un suivi renforcé des stages par l’université

Outre ces réponses provisoires, les établissements ont surtout prévu, sans attendre la circulaire, différents dispositifs pour encadrer les stages. Exemple à Nanterre. « Après plusieurs réunions de travail en interne pour examiner le décret, nous sommes arrivés à la conclusion qu’intégrer un stage au cursus ne signifiait pas forcément qu’il donne lieu à validation de crédits ou qu’il soit prévu dans la maquette des formations. Nous allons considérer qu’il l’est dès lors que son contenu est en relation avec le projet d’études de l’étudiant, en lien avec son projet d’insertion professionnelle et validé par un responsable de la formation », indique Cornelius Crowley, vice-président de Paris 10 - Nanterre chargé des études. Une position validée par le ministère selon lui. La conséquence serait donc une simple obligation de suivi renforcé de la part de l’université. Mais aussi, de manière plus concrète : la création d’un questionnaire, rempli par l’employeur et le stagiaire, qui sera examiné par le responsable de la formation, tandis que le stage sera enregistré dans l’annexe descriptive délivrée à l’étudiant avec son diplôme.
Installer des stages optionnels dans toutes les formations

A l’université de Poitiers, deux solutions sont envisagées pour respecter l’interdiction des stages ho rs cursus, avec l’objectif « d’éviter les stages qui correspondent à des emplois déguisés, sans pour autant supprimer la possibilité de faire un stage », résume Françoise Lambert, vice-présidente Formation de l’université. Il s’agit tout d’abord de la mise en place d’une UE (unité d’enseignement) libre dédiée au stage au sein des formations. Une solution similaire est en voie d’adoption à Paris 2 et Paris 4. « Nous allons proposer aux conseils de voter l’installation de stages optionnels dans toutes les maquettes de formation », indique le responsable de la Sorbonne – Paris 4. Ces stages permettront-t-ils de valider des crédits? Tout dépend. Tandis que Poitiers prévoit des crédits ECTS à la clé, à Paris 4, « ce sont les composantes qui trancheront », indique le responsable. A Paris 2, cela ne devrait pas permettre d’obtenir des crédits.
Mettre en place des DU spécial « stage »

Autre option prévue à Poitiers : la mise en place des DU (diplômes d’université) spécialement dédié aux stages. Avec trois formules possibles : le DU « découverte », pour un stage de moins de 2 mois, avec une fiche d’évaluation et la rédaction d’un document qui sera validé par l’enseignant. Deuxième niveau : le DU « expérimentation », pour un stage entre deux et trois mois, avec un travail de rédaction plus poussé pour l’étudiant. Enfin, le DU « professionnalisation », pour les stages entre 3 et 6 mois avec un véritable rapport de stage. Des formations qui seront gratuites pour les étudiants, ces derniers ayant uniquement à s’acquitter de leurs frais de scolarité habituels. Ces DU sont en effet ouverts uniquement aux étudiants qui suivent un cursus à l’université. « Nous avons déjà eu des demandes de la part de jeunes diplômés bac+5 par exemple [alors même que le DU n’existe pas encore ! Les nouvelles vont vite…], nous leur avons évidemment indiqué que c’était hors de question. Ces DU sont obligatoirement intégrés dans le cursus de l’étudiant. Nous ne voulons absolument pas créer d’appel d’air », raconte Françoise Lambert. L’annonce de la circulaire à venir pourrait remettre en question ces nombreux projets, eux-mêmes en cours de validation. A l’université Paris 2, qui prévoyait de mettre des stages optionnels dans toutes les formations, désormais on attend. Soit une période de transition toujours bancale, après une loi il y a un an, un décret cet été, une lettre de la ministre aux présidents précisant l’application du décret début octobre, et une circulaire en attente...
Voir les articles du blog: Position des Régions sur les Stages hors cursus et Interdiction des stages hors cursus.

By Camille Stromboni. The confusion increases. A month that the decree banning extra-curricular courses apply ... and already has announced a new circular to clarify the procedure. In the viewfinder of the Ministry of Higher Education: Universities! The decree, which aimed to limit abuse by employers and internships phony, would have led some of them to refuse to issue agreements for students. What, according to the ministry, "misinterpretation" of the text. Investigation in the universities on how they implement the decree. Internships: stop or else? Institutions had little time to determin. View blog articles: Regions of position on extra-curricular courses and extra-curricular courses Prohibition. More...
27 août 2010

Interdiction des stages hors cursus

http://voila-le-travail.fr/wp-content/uploads/2009/07/wkrh5.pngLes stages hors cursus sont interdits à compter du 1er septembre 2010
Le décret visant à interdire les stages hors cursus est paru au JO du 26 août 2010. Il s’applique aux stages commençant à compter du 1er septembre 2010.Ces dispositions interviennent en application de la loi relative à l’orientation et à la formation tout au long de la vie du 24 novembre 2009, qui a imposé l’intégration des stages à un cursus pédagogique. Le décret précise les caractéristiques de ce type de stage.
Sont visés les stages en entreprise accomplis, à titre obligatoire ou optionnel, par les étudiants des établissements d’enseignement dispensant une formation supérieure diplômante ou non diplômante.
Définition d’un stage intégréà un cursus pédagogique
Le décret du 25 août 2010 définit les conditions d’intégration d’un stage en entreprise à un cursus pédagogique:
– la finalité et les modalités du stage doivent être définies dans l’organisation de la formation;
– le stage doit faire l’objet d’une restitution de la part de l’étudiant et donner lieu à une évaluation de la part de l’établissement d’enseignement.
Sont également intégrés à un cursus, dès lors qu’ils satisfont à ces deux conditions, les stages organisés dans le cadre:
– de formations qui permettent une réorientation et qui sont proposées aux étudiants, notamment sur les conseils des services d’orientation ou d’un responsable de l’équipe pédagogique de la formation dans laquelle l’étudiant s’est engagé initialement;
– de formations complémentaires qui sont destinées à favoriser des projets d’insertion professionnelle, et qui sont validées en tant que telles par le responsable de la formation dans laquelle est inscrit l’étudiant;
– des périodes pendant lesquelles l’étudiant suspend temporairement sa présence dans l’établissement où il est inscrit pour exercer d’autres activités lui permettant exclusivement d’acquérir des compétences en cohérence avec sa formation. Dans ce cas, en complément de la convention de stage, l’établissement d’enseignement et l’entreprise concluent un contrat pédagogique.
Convention tripartite
Le décret confirme que les stages doivent faire l’objet d’une convention tripartite. En effet, selon ses dispositions, « les établissements d’enseignement dispensant une formation supérieure diplômante ou non diplômante dont les étudiants accomplissent, à titre obligatoire ou optionnel, des stages en entreprise, élaborent, en concertation avec les entreprises intéressées, une convention de stage sur la base d’une convention type ». Voir le Décret n° 2010-956 du 25 août 2010, JO 26 août.
http://voila-le-travail.fr/wp-content/uploads/2009/07/wkrh5.png De extra-curriculaire cursussen worden verboden van 1 september 2010
Het decreet om cursussen te verbod buitenschoolse wordt gepubliceerd in het PB op 26 augustus .
Het geldt voor cursussen vanaf 1.09 2010.Ces bepalingen die betrokken zijn bij de rechtshandhaving op de begeleiding en opleiding gedurende de gehele levensduur van 24 november 2009, die de integratie van vakken gedwongen een onderwijsprogramma. Het decreet bepaalt de karakteristieken van dit type opleiding. Inbegrepen zijn posities op een verplicht of optioneel, de studenten van de onderwijsinstellingen die hoger onderwijs of niet-graad diploma. Meer...
13 mai 2010

Dois-je accepter un stage choisi par mon boss ?

Aller a  la home de France 5Si votre formation fait partie du plan de formation de l'entreprise, difficile de la refuser car elle entre dans le cadre de l'exécution normale de votre contrat de travail. En cas de refus, vous risquez d'être licencié ! Dans la plupart des cas, cependant, vous êtes seul à décider.
Le plan de formation ? C'est un document écrit qui rassemble toutes les formations retenues par l'employeur dans l'intérêt de l'entreprise. Les différentes actions de ce plan peuvent être prévues par l'employeur ou proposées par le salarié ou les représentants du personnel. Plusieurs actions sont au programme :
Une formation continue.
S'inscrivant dans le cadre du plan de formation, elle est assimilée à l'exécution normale du contrat de travail. Le salarié doit suivre la formation et son employeur peut le réintégrer à son poste quant il le veut, même avant la fin de la formation. Si le salarié refuse d'y participer, il risque d'être licencié, à moins qu'il n'ait de bonnes raisons (formation éloignée, départ précipité...) susceptibles de dissuader son employeur. Question salaire, rien ne change et il conserve sa protection sociale. Au terme de la formation, il retrouve son poste dans les conditions prévues par le contrat de travail. L'employeur prend en charge tous les frais occasionnés par la formation.

Un co-investissement.
Certaines actions de formation peuvent être réalisées, en partie, hors du temps de travail. C'est le cas du co-investissement qui ouvre la possibilité d'organiser jusqu'à 25% de la durée de la formation en dehors du temps de travail. Faut-il que le salarié ne s'y oppose pas (son refus ne peut être considéré ni comme une faute, ni comme un motif de licenciement). S'il est d'accord, un engagement est conclu entre l'employeur et le salarié avant le début de la formation, prévoyant des contreparties pour le salarié (accès à l'issue de la formation à de nouvelles fonctions correspondant aux connaissances acquises durant la formation...).

Un bilan de compétences.
Dans ce cas là, l'employeur ne peut pas imposer au salarié de faire un bilan de compétences. Il doit lui demander son consentement en lui présentant une convention de bilan de compétences. Le salarié dispose de dix jours pour donner une réponse. Toute absence de réponse est alors considérée comme un refus, lequel ne peut être un motif de sanction ou de licenciement. S'il accepte, les résultats du bilan ne peuvent être communiqués à l'employeur sans son accord préalable.

La validation des acquis de l'expérience (VAE).
Là encore, l'employeur n'est pas seul maître à bord. Il doit avoir le consentement du salarié. Son refus ne peut pas non plus constituer une faute ou un motif de licenciement. S'il est d'accord, une convention est signée entre l'employeur, le salarié et l'organisme VAE. Cette signature de la convention par le salarié marque son consentement à participer à la VAE.

En conclusion, seule la formation continue est obligatoire pour le salarié d'une entreprise. Pour le reste, son consentement demeure primordial. Finalement, c'est plus souvent le salarié qui souhaite suivre une formation, notamment dans le cadre du capital de temps formation (CTF), et qui peine à obtenir l'accord de son employeur.

Ir a 
la casa de Francia 5Si su formación es parte del plan de formación de la empresa, difícil de rechazar porque es parte de la actuación normal de su contrato de trabajo. En caso de rechazo, puede ser despedido! En la mayoría de los casos, sin embargo, sólo usted decide. Más información...
12 août 2009

Les stages dans la Fonction publique au-delà du Smic

Retour à la page d'accueilLes stages dans la Fonction publique peuvent être "rémunérés" au-delà du Smic.
Les stages dans la Fonction publique peuvent bénéficier d'une "rémunération" et non d'une simple "gratification", qui peut aller au-delà du Smic, selon une circulaire du ministère de la Fonction publique, saluée lundi par une association de défense des stagiaires.
Un décret du 21 juillet prévoit une "gratification" des stages de plus de deux mois dans la Fonction publique. Cette gratification est fixée à 12,5% du plafond horaire de la sécurité sociale", ce qui correspond à environ 30% du Smic.
Mais, selon une circulaire du ministère de la Fonction publique, datant du 23 juillet, "lorsque l'activité professionnelle effectuée pour le compte de l'organisme d'accueil le justifie, ce dernier peut prévoir le versement au stagiaire d'une rémunération d'un montant supérieur à cette gratification, y compris au delà du Smic".
Il ne s'agit alors pas d'une gratification, mais d'une "rémunération", dont le versement "doit être prévu dans le cadre d'un contrat de travail", précise la circulaire.
L'Association des stagiaires de la Fonction publique d'Etat (Asmi) "ne peut que se réjouir de la réalité pécuniaire de cette proposition pour les étudiants", mais elle "s'interroge sur sa cohérence: comment un stage peut-il être effectué dans le cadre d'un contrat de travail?".
L'Asmi regrette également qu'un défraiement pour les stagiaires ne soit pas "obligatoire", mais seulement "possible". "Une telle mesure diminuerait la discrimination géographique subie par les jeunes habitant en dehors du centre de Paris, elle leur donnerait une chance supplémentaire d'effectuer des stages en administration centrale".
Les offres de stages seront par ailleurs publiées dans "la bourse interministérielle de l'emploi public" (BIEP), précise la circulaire.
Cela permettra de "garantir une meilleure visibilité des offres de stages" et "par conséquent réduire les phénomènes de cooptation et permettre de diversifier les publics de stagiaires", salue l'Asmi.
Tillbaka till startsidanPraktik inom den offentliga sektorn kan "betalas" på mer än minimilönen.
Praktik inom den offentliga sektorn kan få en "lön" och inte bara en "bonus", som kan gå längre än minimilönen, enligt ett cirkulär från Ministry of Public Service, berömde man av en sammanslutning av försvaret praktikanter. Ett dekret av den 21 juli ger en "bonus" kurser under två månader i offentlig tjänst. Denna bonus är fastställd till 12,5% av det maximala tidsplan för social trygghet ", som är ungefär 30% av minimilönen. Men enligt ett cirkulär från Ministry of Public Service, daterat den 23 juli, när arbetet utförs på uppdrag av den mottagande organisationen motiverar det, kan denne ge praktikanten med betalningen av en avgift på ett belopp som är högre än denna bonus, även utöver minimilönen. Mer...
10 juillet 2009

Six places disponibles pour le stage "Expérimentation et valorisation : son – lumière - plateau"

logo Théâtre Antoine Vitez"Expérimentation et valorisation : son – lumière - plateau". Accueil de spectacle, création son et lumière, machinerie, Préparation à l’habilitation électrique BR1 V. Six stagiaires maximum. Lieu du stage : Théâtre Antoine Vitez, Université de Provence.
Public attendu : Salariés de structures culturelles municipales ou demandeurs d’emploi inscrits au Pôle Emploi, niveau scolaire souhaité 5 ou plus, niveau général (CAP-BEP).
Module 1: Accueil de compagnies du Festival du Pays d’Aix : du 4 au 18 décembre 2009.
Module 2: Préparation à l’habitation électrique BR 1 : du  8 au 12 février  2010.
Module 3: Création lumière et son sur une production universitaire mise en scène par Alain Béhar avec les étudiants du secteur Théâtre :  du  5 au 24 avril 2010.
Module 4: Prise en charge technique (lumière, son, machinerie) d’une production universitaire mise en scène par un étudiant en vue d’une représentation pendant le Festival amateur « 3 jours et plus » :  du  22 mai au 13 juin 2010.
Vu le nombre très restreint de places disponibles, les demandes doivent être adressées le plus rapidement possible au responsable du stage par mel, Jean-Luc Hervé.

Objectif de la formation : Permettre à des personnels techniques exerçant dans des structures culturelles municipales de se perfectionner dans les domaines suivants: Accueillir des compagnies de théâtre. Suivre la mise en œuvre d’un spectacle : son, lumière, machinerie, organisation. Appréhender puis assurer la création son et lumière lors de la production d’un spectacle.

Le Théâtre Antoine Vitez fait partie intégrante de la formation. C’est une structure professionnelle à part entière en relation organique avec la formation du secteur Théâtre : une sorte de théâtre d’application pour les cursus. C’est un pôle de ressource pour les filières professionnelles : régie, médiation, scénographie, formation (Festival trois jours et plus) et recherche. C’est un lieu où les étudiants peuvent prendre contact avec des équipes artistiques régionales et nationales et avoir des contacts pour leurs stages, un lieu qui valorise leur formation auprès de la profession et sert d’interface avec elle.
Pédagogie: Formation assurée par des intervenants professionnels dans les métiers techniques du spectacle vivant.
Vu le nombre très restreint de places disponibles, les demandes doivent être adressées le plus rapidement possible au responsable du stage par mel, Jean-Luc Hervé. Le tarif du stage est de 4000 euros et comprend les quatre modules à suivre obligatoirement. Pour les candidats retenus par le responsable du stage, le dossier de stagiaire Formation Continue sera constitué par le service de Formation Continue de l'Université de Provence. Mel 1 et mel 2.
Crédits photos: Kerjean, Patrice Claire, Aziz Boumediene.

logo Théâtre Antoine VitezSei posti disponibili per il corso di "Sperimentazione e recupero: il suono - luce - scaffale". "Sperimentazione e recupero: il suono - luce - scaffale. Home entertainment, la creazione di macchine del suono e della luce, la preparazione di empowerment V. BR 1 Electric Six studenti massimo. Corso Sede: Théâtre Antoine Vitez, Université de Provence.
Pubblico previsto: I dipendenti di strutture culturali comunali o in cerca di lavoro registrati al centro l'occupazione, l'istruzione livello desiderato 5 o più in generale (PAC-BEP). Maggiori informazioni...

24 juin 2009

Stagiaires : prime à l'embauche de jeunes stagiaires en CDI

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