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Publié par JFM. Une des dispositions les plus neuves de la loi sur l’enseignement supérieur et la recherche de 2013 prévoyait explicitement des regroupements d’établissements qui pouvaient prendre plusieurs formes : fusion, fédération, association.
Les fusions ont concerné la recomposition, dans certaines métropoles provinciales, d’universités qui avaient été découpées en 68 pour des raisons plus politiques que scientifiques. C’est le cas, par exemple, à Strasbourg, à Grenoble, à Clermont-Ferrand. C’est aussi le cas, de façon plus complexe, à Bordeaux et à Aix-Marseille. Il reste à voir si ces universités fusionnées fonctionneront comme une seule université. Voir l'article...
Blog Educpros de Pierre Dubois. La loi du 22 juillet 2013 impose trois types de regroupements aux universités et aux établissements (dépendants du MESR). Il leur faut choisir entre la fusion, la communauté d’universités et d’établissements (CUE), l’association. Les regroupements sont imposés à marche forcée, agitent en ce moment les équipes de direction des universités et des PRES, déjà devenus des CUE.
Le n’importe nawak des regroupements est devant nous. Mais pourquoi la France aurait-elle besoin d’une trentaine de pôles ? Pourquoi pas 20 ou 40 ? J’ai mal aux regroupements ! Le lecteur assidu du blog sait pourtant que je suis favorable à la fusion d’établissements pour parvenir à une quinzaine d’universités de recherche, dédiées aux seuls masters et doctorats ; toutes les universités actuelles doivent pouvoir intégrer une fusion. Fusions mais à une condition indispensable : sortir la licence de l’université et créer des établissements publics de 1er cycle (intégrant la CPGE, la licence, le DUT, le BTS), établissements devenant associés à une université de de recherche.
J’ai mal aux regroupements. Épisode 1, le cas de la Bretagne et des Pays de Loire. Situation récente : il existait 2 PRES, Université Européenne de Bretagne (UEB) et Université Nantes-Angers-Le Mans (UNAM). Contexte un peu plus ancien : les deux PRES s’étaient associés pour répondre à l’appel à projets des Investissements d’Avenir mais n’ont pas été sélectionnés. J’ai mal aux regroupements et j’ai encore plus à la lecture de trois courriels qui me sont parvenus ces derniers jours. Suite...
Blog Educpros de Pierre Dubois. J’ai mal aux regroupements. Épisode 2, le cas du Languedoc-Roussillon. Chroniques du blog sur l’enseignement supérieur et la recherche dans la région. Que va-t-il se passer dans les 3 années qui viennent en Languedoc-Roussillon ? La situation y est compliquée, voire conflictuelle. Devenir des établissements et devenir des présidents en fonction rendent l’avenir incertain, mais également croquignolesque. Plusieurs scénarios de regroupements peuvent être imaginés. Suite...
Blog Educpros de Pierre Dubois. J’ai mal aux regroupements. Épisode 3, le cas de la Lorraine. 77 chroniques du blog sur l’enseignement supérieur et la recherche dans la région. L’université de Lorraine est le résultat de la fusion, au 1er janvier 2012, des deux universités de Nancy, de l’Institut National Polytechnique de Lorraine et de l’université de Metz. Elle a statut de Grand établissement. Depuis près de deux ans, l’équipe de direction et les services centraux n’en finissent pas d’unifier les systèmes d’information, les procédures, les modalités de contrôle des connaissances… Et ce dans un contexte de crise financière et de conflits ouverts entre nancéiens et messins. Suite...