Le congé de reclassement est mis en œuvre dans les entreprises ou établissements occupant au moins 1000 salariés. Plus...
Emfor - Congé de reclassement
Cellule de reclassement - FICHE F 1.1
Mettre en place une cellule d’accompagnement à la recherche d’emploi au bénéfice de salariés licenciés pour motif économique ou menacés de l’être. Plus...
Reclassement professionnel des élus du personnel via l'acquisition d'une certification des compétences
Parce que tous les élus d’anciennes instances du personnel (délégués, comité d’entreprise, CHSCT) ne pourront ou ne voudront pas intégrer le CSE (Conseil social et économique) qui fusionnera ces instances à partir du 1er janvier 2020, le ministère du Travail a négocié avec les syndicats de salariés un dispositif qui facilite leur reclassement professionnel. Cette certification des compétences, qui sécurise le parcours professionnel de toute personne justifiant d’au moins un mandat complet, constitue un véritable atout pour acquérir une nouvelle qualification et évoluer professionnellement. Elle vise, par équivalence directe avec une partie d’une certification professionnelle existante, à créer des passerelles vers des métiers qui ne sont pas nécessairement les métiers d’origine des mandatés. Plus...
Reclassement des élus du personnel via l’acquisition d’une certification
Un nouveau dispositif permet à des représentants du personnel et mandatés syndicaux de valoriser leurs compétences en vue d’un reclassement professionnel. Plus...
Agefiph - FAQ - Quelles sont les obligations légales de l'employeur en matière de reclassement ?
L'obligation de reclassement suppose que l'employeur mette en œuvre tous les moyens pour reclasser le salarié dans l'entreprise ou dans le groupe à un poste semblable à son poste précédent ou à défaut à un poste d'une catégorie différente. L'employeur doit tenter de reclasser le salarié en situation d’inaptitude en fonction des préconisations émises par le médecin du travail. Il dispose de l'initiative de cette recherche de reclassement. L'obligation perdure y compris lorsque le médecin du travail a déclaré le salarié inapte à tout emploi dans l'entreprise. Toutes les propositions du médecin du travail doivent être prises en compte. S'il ne respecte pas ses indications, l’employeur doit en faire connaître les motifs. Si le médecin du travail n'a pas formulé de propositions, l'employeur n'est pas pour autant libéré de son obligation de reclassement et doit lui-même solliciter des propositions. En cas de désaccord, il revient à la charge de l'employeur de saisir l'inspecteur du travail. La loi du 11 février 2005 précise que l'employeur doit prendre des mesures appropriées à l'égard des salariés déclarés en situation d’inaptitude, pour autant que ces dernières soient objectives, nécessaires et appropriées. Il ne peut lui être reproché de n'avoir pas mis en œuvre des mesures qui apparaîtraient disproportionnées, la disproportion s'appréciant en fonction notamment des aides éventuelles dont l'employeur pourrait bénéficier, de la taille de l'entreprise. Les propositions de reclassement qu'il fera doivent être nécessairement sérieuses et précises. La preuve du respect de l'obligation de reclassement incombe à l'employeur. Seules les recherches de reclassement compatibles avec les conclusions du médecin du travail peuvent être prises en considération. Plus...
Agefiph - FAQ - Quelles obligations de l'employeur en matière de reclassement ?
L'obligation de reclassement suppose que l'employeur mette en œuvre tous les moyens pour reclasser le salarié dans l'entreprise ou dans le groupe à un poste semblable à son poste précédent ou à défaut à un poste d'une catégorie différente. L'employeur doit tenter de reclasser le salarié inapte en fonction des préconisations émises par le médecin du travail. Il dispose de l'initiative de cette recherche de reclassement. L'obligation perdure y compris lorsque le médecin du travail a déclaré le salarié inapte à tout emploi dans l'entreprise. Toutes les propositions du médecin du travail doivent être prises en compte quand bien même l'employeur mette en doute la pertinence de certaines. S'il ne respecte pas ces indications, il doit en faire connaître les motifs. Si le médecin du travail n'a pas formulé de propositions, l'employeur n'est pas pour autant libéré de son obligation de reclassement, et doit lui-même solliciter des propositions. En cas de désaccord, il sera à la charge de l'employeur de saisir l'inspecteur du travail. La loi du 11 février 2005 précise que l'employeur doit prendre des mesures appropriées à l'égard des salariés déclarés inaptes, pour autant que ces dernières soient objectives, nécessaires et appropriées. Il ne peut lui être reproché de n'avoir pas mis en œuvre des mesures qui apparaîtraient disproportionnées, la disproportion s'appréciant en fonction notamment des aides éventuelles dont l'employeur pourrait bénéficier, de la taille de l'entreprise. Les propositions de reclassement qu'il fera doivent être nécessairement sérieuses et précises. La preuve du respect de l'obligation de reclassement incombe à l'employeur. Seules les recherches de reclassement compatibles avec les conclusions du médecin du travail peuvent être prises en considération. Plus...
Les cellules de reclassement
Les cellules de reclassement occupent une place importante parmi les outils d'accompagnement des salariés licenciés, en particulier dans le contexte de crise économique actuel. Plus...
Préparation au reclassement des agents territoriaux reconnus inaptes
Les agents territoriaux peuvent bénéficier, comme les agents de l'Etat (voir notre info), d'une période de préparation au reclassement lorsque leur l'état de santé ne permet pas de remplir leurs fonctions, sans leur interdire d'exercer toute activité. Plus...
SPRO Sud - Congé de reclassement

Arofe - Cellule de reclassement
Mettre en place une cellule d’accompagnement à la recherche d’emploi au bénéfice de salariés licenciés pour motif économique ou menacés de l’être. Plus...