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Formation Continue du Supérieur
25 mai 2015

Publish Research. Not Too Much.

http://www.insidehighered.com/sites/default/server_files/styles/blog_landing/public/library_babel_fish_blog_header.jpg?itok=qNL3hM7KBy Barbara Fister. At Macleans, Luc Rinaldi recently covered a lot of ground in “Does Peer Review Do More Harm Than Good?”, pointing out several issues arising from the way we publish today. Read more...

24 mai 2015

'Universe is Like Space Ship' — and the problem with 'predatory' science journals

Ottawa Citizen						HomepageBy Tom Spears. The universe is a spaceship circling around the Earth, our moon and the sun, contends the latest dubious research from a website touting itself as a genuine science journal.
And while the article, which goes on to contend that humans originated on Mars, could be good for a laugh, critics say other practices of the publisher are highlighting the dangers of what some have called “predatory” journals.
The article, called Universe is Like Space Ship, was published in the American Journal of Engineering Research, which isn’t American at all, and is also dicey on the engineering aspect. More...

21 mai 2015

Research informing practice

By Leasa Weimer. The May 2015 issue of the Journal of Studies in International Education is online with timely, useful and relevant pieces. In an effort to bring research on international education closer to practitioners, the EAIE is introducing a blog series highlighting relevant articles. Practitioners often find academic research on international education too abstract, theoretical, and impractical. Yet they’re expected to justify internationalisation efforts using evidence-based practice. More...

16 mai 2015

A new issue of the eLearning Papers on “Innovation, Entrepreneurship and Education” has been just published

15 mai 2015

Nouvelle publication - L’apprentissage, un vaccin contre le chômage des jeunes

Par Institut Montaigne. Dans la perspective de la réunion de mobilisation pour l’emploi autour des régions et des partenaires sociaux organisée demain par le Premier ministre à Matignon, l’Institut Montaigne et l’ASMEP-ETI proposent une feuille de route pour faire de l’apprentissage le fer de lance de la lutte contre le chômage des jeunes en France. Décryptage et plan d’action avec Bertrand Martinot, économiste et auteur de cette analyse croisée des systèmes allemand et français. Voir l'article...

10 mai 2015

L’Edition de sciences à l’heure numérique : dynamiques en cours

CNRS : Centre National de la Recherche ScientifiqueL’Edition de sciences à l’heure numérique : dynamiques en cours
En savoir plusSynthèse
A – L’édition scientifique : un marché contrôlé majoritairement par l’édition privée, de plus en plus concentrée et associant étroitement publications et services
Edition de recherche : un marché mondial de 12,8 Md. €.
Le marché mondial de l’édition scientifique de recherche est estimé à 12,8 Md. €. Les services numériques représentent en moyenne 60% des chiffres d’affaires. Chez les grands éditeurs, qui ont investi de façon précoce dans le numérique et dans une logique de plates-formes ce ratio est de 75%.
Un marché répondant à une structure de « longue traîne » dominée par 12 grands éditeurs.
La structuration du marché de l’IST répond parfaitement au modèle de la « longue traîne ». Un nombre limité d’éditeurs occupent le haut du classement avec des parts de marché qui en apparence n’en font pas des acteurs dominants. Derrière eux figure un peloton très nombreux de très petites structures. Cette structuration donne en fait un très fort pouvoir de marché aux éditeurs surplombant cette longue traîne. Les quatre premiers éditeurs, s’ils éditent au plan mondial 24,8% des titres, publient 50,1% des revues à facteur d’impact. Ils affichent un nombre moyen de plus de 1500 revues à leur catalogue (2200 pour le seul Elsevier ; même ordre de grandeur chez Springer/Macmillan-Nature) alors que pour l’ensemble des autres éditeurs, le nombre moyen de revues publiées est à peine supérieur à 2. Seuls 2% des éditeurs publient 100 titres ou plus.
Un clivage croissant entre les grands éditeurs privés et tous les autres éditeurs.
Différents facteurs ont induit un clivage croissant, aujourd’hui irréversible, entre quelques grands éditeurs privés1 et tous les autres éditeurs :
- les « majors » de l’édition scientifique croissent plus vite que le marché en captant les activités d’édition des sociétés savantes. Cette captation des activités d’édition des sociétés savantes a permis aux grands éditeurs de faire croître leur catalogue beaucoup plus rapidement que celui des éditeurs de plus faible taille et surtout beaucoup plus rapidement que s’ils avaient mené ce développement de leur catalogue en compte propre,
- les logiques de « Big Deals» donnent un avantage compétitif important aux grands éditeurs. Par « Big Deal » on désigne des contrats de licences d’usage fédérant de nombreux utilisateurs qui ont ainsi accès à l’ensemble des fonds numérisés d’un éditeur. Ces contrats accentuent le clivage entre les grands éditeurs et les autres puisque les catalogues limités des petits éditeurs ne leur permettent pas de proposer une valeur ajoutée d’agrégateur sous leurs propres couleurs,
- la taille des corpus gérés est un avantage compétitif bénéficiant aux grands éditeurs. Les plates-formes numériques associant contenus et services sont aujourd’hui au coeur de la proposition de valeur des grands éditeurs. Ces plates-formes proposent de très vastes corpus de documents scientifiques. L’ampleur de ces corpus est une dimension importante du service rendu aux usagers. Cet avantage compétitif lié à la taille du corpus d’articles et de documents mis à disposition en ligne par les grands éditeurs sera demain amplifié par la généralisation des usages du Text et du Data Mining (TDM) : la taille des corpus exploitables est un paramètre important de l’intérêt de telles technologies,
- les capacités financières des grands éditeurs privés leur donnent un avantage compétitif majeur, les investissements sur les plates-formes numériques multiservices se chiffrent en plusieurs centaines de millions d’euros. Le taux de rentabilité élevé des grands éditeurs « for profit », leur permet de financer ces investissements. Pour les autres acteurs, la mutualisation des investissements est difficile.
- Même si l’activité d’édition scientifique consiste encore majoritairement pour tous les éditeurs à capter, évaluer, valider, mettre en forme des publications scientifiques émanant des chercheurs, même si toutes les maisons d’édition grandes ou petites partagent souvent une même culture éditoriale, il n’est pas exagéré de dire que les très grands éditeurs privés ne font plus aujourd’hui le même métier que les milliers d’éditeurs qui constituent la « longue traîne » déjà évoquée.
B – L’édition scientifique : un modèle économique évolutif
Un secteur de concurrence imparfaite où la concurrence par les prix n’existe pas.
L’édition de recherche est un secteur obéissant à une logique de « concurrence imparfaite ». Cela s’explique par un phénomène d’insubstituabilité des revues l’une à l’autre : si la publication scientifique dans une discipline à pour vecteurs principaux N revues le chercheur ou son institution s’abonneront à l’ensemble de ces revues. La concurrence entre éditeurs n’est pas une concurrence par les prix. Ce qui explique les taux de marge opérationnelle très élevés des grands éditeurs commerciaux souvent supérieurs à 30% alors que chez les petits éditeurs et les éditeurs à but non lucratif (sociétés savantes) les taux de marge opérationnelle constatés ne dépassent pas 15% des revenus.
Le transfert aux éditeurs des droits de propriété intellectuelle sur la publication scientifique est partiellement contradictoire avec le développement de la « science ouverte ».
Les éditeurs peuvent maintenir ces niveaux de prix élevés en se faisant transférer par les chercheurs-auteurs les droits de propriété intellectuelle sur les articles qu’ils publient. Ils opèrent donc dans un modèle économique d’exploitation de droits de propriété intellectuelle. Or dans ce modèle d’exploitation de « droits d’auteurs » les prix finaux n’ont pour seule limite que la capacité des clientèles à supporter ces prix. Le modèle économique du Gold Open Access offre l’occasion de mener un débat non pas sur la valeur ajoutée des éditeurs, qui est incontestable, mais sur le juste prix de la prestation éditoriale.
La question de la titularité des droits de propriétés intellectuelle sur la publication scientifique conditionne le libre partage de l’information au sein des communautés de recherche, la réutilisation des connaissances, la libre exploitation des corpus scientifiques par des technologies de Text et de Data Mining. (TDM). La refonte du cadre de la propriété intellectuelle dont relèvent les objets de science, et avant tout à la publication scientifique, est indispensable. Le cadre général de la propriété intellectuelle et artistique n’est plus pertinent pour la publication scientifique dans le cadre des logiques de science ouverte.
La concentration au sein de l’édition scientifique mondiale n’est pas achevée.
Au-delà du rapprochement annoncé de Springer et de Macmillan Science & Education/groupe Nature pour créer le N°2 mondial de l’édition scientifique, d’autres opérations de concentration sont à attendre dans les prochains mois et les prochaines années. À terme ce mouvement de concentration devrait réduire à trois ou quatre acteurs globaux impliqués dans l’édition de revues et de services liés à l’IST (Elsevier, Springer/Macmillan-Nature, Thomson Reuters, Wiley) le groupe d’éditeurs « for profit » de dimension mondiale. Le facteur de taille est important dans les stratégies de ces grands éditeurs : une base de marché accru permet de mieux amortir les investissements importants consentis sur les plates-formes numériques ; la fusion des catalogues permet d’élargir de façon importante le périmètre des corpus scientifiques proposés aux usagers. Les grandes sociétés savantes (ACS, RSC, IEEE, IET) et les grandes presses universitaires anglo-saxonnes seront épargnées par cette concentration.
C – Les nouveaux axes des stratégies des grands éditeurs privés : Gold Open Access, plates-formes de services
Les éditeurs ont entrepris une conversion généralisée de leur modèle éditorial au Gold Open Access.
La création de nouvelles revues en Open Access représente désormais près de 80% des nouveaux titres lancés sur le marché. Deux types d’offres, apparues dans les 18 derniers mois, donnent corps à la stratégie « Gold Open Access » des grands éditeurs. La première est centrée sur une offre de « mégarevues », multidisciplinaires, exigeant des APC (« Article Processing Charges ») relativement limitées (de l’ordre de 1400 €). L’objectif de ces mégarevues est de permettre aux éditeurs de capter de nouvelles réserves de croissance liées aux flux croissants de la publication scientifique et de contrer des initiatives similaires (PLoS) nées dans la sphère non-marchande. Le deuxième axe de l’évolution des catalogues est la conversion de revues spécialisées préexistantes ou la création de nouvelles revues en Gold Open Access pour exploiter de nouveaux champs disciplinaires ou concurrencer des revues existantes proposées sur abonnement par d’autres éditeurs. Le Gold Open Access ravive la concurrence entre grands éditeurs, jusque-là relativement figée et favorise les éditeurs contrôlant de vastes catalogues leur permettant de lisser dans le temps la transition vers ce nouveau modèle économique. Cet investissement par les grands éditeurs du champ de l’Open Access Gold est indissociable de leur volonté d’être à terme des sociétés de service, monétisant les usages de leurs plates-formes en ligne.
La stratégie de plates-formes est au coeur des stratégies des éditeurs
Dès aujourd’hui leur proposition de valeur des grands éditeurs est moins centrée sur l’édition de revues en tant que telle que sur la mise à disposition de vastes plates formes pour lesquelles la question du libre accès ne se pose tout simplement pas. La concurrence par les prix entre ces plates-formes insubstituables l’une à l’autre n’existe pas. Ce qui devrait permettre aux grands éditeurs privés de préserver leurs taux de marge élevés. Cela se vérifiera d’autant plus que pour les clients issus de la recherche publique, la notion de « juste prix » de ces plates-formes est difficile à appréhender autrement que par les limites imposées par leurs budgets.
Ces plates-formes, qui en raison des coûts d’investissement qu’elles requièrent ne peuvent être proposées que par de très grands éditeurs, partagent des traits communs :
- elles agrègent de vastes corpus scientifiques,
- elles proposent des outils d’exploitation de ces contenus : outils de « Search » ou de TDM,
- elles se complètent d’une offre d’outils logiciels d’appui à la productivité du workflow documentaire des chercheurs2. Les outils de productivité proposés par les éditeurs sont des outils « propriétaires», payants, non interopérables, basés sur des logiciels non « ouverts » qui les rendent incompatibles avec une logique d’ « Open Process»,
- Elles s’enrichissent d’outils analytiques qui visent le marché nouveau de l’aide au pilotage et à la gouvernance de la recherche.
D - L’équilibre nécessaire entre grands éditeurs scientifiques et écosystème de la recherche passe par des politiques publiques fortes.
La montée en puissance des logiques de plates-formes multifonctionnelles, l’opacité des structures de coûts de ces dernières, la capacité d’innovation des très grands éditeurs, leur puissance financière, leur contrôle d’une part croissante des flux de publications scientifiques : tous ces facteurs risquent à terme de déséquilibrer le rapport entre ces fournisseurs privés et les acteurs de la recherche publique et de l’enseignement supérieur au détriment de ces derniers. La mutualisation des achats de ressources et de services au sein de l’ESR ne suffira pas à corriger ce déséquilibre.
Les pouvoirs publics prennent conscience de la nécessité d’une action de longue haleine visant à promouvoir une « science ouverte » se définissant par l’ « Open Access » aux ressources documentaires scientifiques et par l’ «Open Process » c’est-à-dire la prise en charge du « workflow » des tâches IST par des outils non propriétaires.
Dans cette perspective plusieurs chantiers semblent prioritaires :
- La construction des référentiels directeurs d’identification (des chercheurs, des entités de recherche, etc.), La production collaborative d’ontologies ouvertes,
- La redéfinition du droit de la propriété intellectuelle applicable aux objets de science,
- L’expérimentation systématique et l’échange de bonnes pratiques pour mettre au point des outils publics partagés de Text et Data Mining,
- La réflexion sur le développement dans la sphère publique d’outils de « Search » permettant d’exploiter dans une logique de recherche fédérée les gisements d’information scientifique.
Tous ces chantiers exigent un renforcement des coopérations internationales des entités publiques confrontées à ces tendances et partageant les mêmes priorités.
Conclusion :
Le scénario de l’édition scientifique à l’horizon 2020, tout proche, sera à coup sûr marqué par le prolongement des tendances qui laissent entrevoir la constitution de positions dominantes par les très grands éditeurs internationaux privés qui ont vocation à devenir des acteurs majeurs de la science numérique.
Il sera aussi façonné par la plus ou moins grande vigueur des initiatives publiques visant à promouvoir des logiques de science ouverte. Ceci suppose une réflexion stratégique accrue et partagée au sein de toutes les composantes de l’ESR.36 Cela passe par des solutions organisationnelles nouvelles et par une meilleure coordination de tous les organismes de recherche publique.
In fine la possibilité d’action des pouvoirs publics, outre l’élaboration de législations pertinentes, est liée au fait que le financement global de la communication scientifique repose entièrement sur les budgets publics. Cet argument doit être utilisé dans le rééquilibrage des positions respectives des organismes publics et des opérateurs privés.
Ce jeu ne se fait cependant pas à armes égales : les grands éditeurs disposent de capacités d’élaboration stratégique importantes, de possibilités d’exploration de l’innovation dans le champ de l’IST et des moyens de financiers de sa captation. Ils disposent aussi de savoir-faire marketing, de services commerciaux étoffés, d’une expérience globale de la négociation. Ils profitent de leurs positions mondiales pour aborder des situations et des marchés nationaux fractionnés entre lesquels la coopération internationale est insuffisante et doit être renforcée.
Le développement au sein de l’écosystème de la recherche publique d’une conscience largement partagée des enjeux liés à l’édition scientifique et aux rôles et forces respectives des acteurs publics et privés est un préalable nécessaire au développement de l’ « Open Science ».

9 mai 2015

Dossier Anlci Infos et dernier exemplaire du e-lci

Dossier spécial du prochain Anlci Infos consacré à la mise en oeuvre de la réforme de la formation professionnelle
Le numéro 22 d'ANLCI Infos sera disponible dans son intégralité et en version papier en juin.
Télécharger le fichier. Voir l'article...

8 mai 2015

Quelles pratiques pédagogiques dans l’accompagnement des publics peu qualifiés ?

Aquitaine Cap MétiersLa revue Education permanente a publié son cinquième numéro hors série réalisé avec l'AFPA. Il est consacré aux publics peu qualifiés et aux méthodes pédagogiques mises en œuvre pour les accompagner dans leur parcours d’insertion. Voir l'article...

4 mai 2015

new issue of free #mobile journal and Learning #Analytics newsletter

Inge Ignatia de WaardBy Inge Ignatia de Waard. Just sharing two new free options (one journal and one newsletter) that are filled with interesting articles on mobile learning (including a focus on lab experiments) and learning analytics (including a regional viewpoint).
The Learning Analytics Community Exchange newsletter is out, addressing the latest learning analytics research projects and ongoing ideas from the LACE community.
There is a new series of country reports from scholars renowned for their contribution to national and international learning analytics research: a Dutch, Korean, Chinese and a Taiwanese perspective. Read more...
1 mai 2015

IAU Horizons, volume 21, number 1 just released!

In preparation for the IAU Global Meeting of Associations 6, this issue offers reports on IAU priority areas, new projects and initiatives, especially LGEU, and upcoming events and conferences. IAU Horizons, 21, 1.
In line with the theme of GMA-6, the In Focus section presents a variety of views on Social Innovation: Challenges and perspectives for higher education.
The magazine includes papers from the IAU President, Canada, Sweden, Jamaica, Thailand, Spain, Malaysia, USA, South Africa, Canada, Mexico, OUI-IOHE, UDUAL, Ashoka. They are to fuel discussions on this topic in your institutions, organisations and networks.
As well, the magazine presents Institutions and organisations that IAU is pleased to welcome to Membership, the Association’s latest publications, a selection of books received for inclusion in HEDBIB, calls for papers and participation. For full programme of the upcoming GMA-6 please voisite the GMA-6 Conference page. More...

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