Wanted: New visions of the university

Les créations d'emploi en Ile-de-France à l'horizon 2030
Cette étude réalisée par Défi métiers s’appuie sur les scénarios macroéconomiques identifiés par le Centre d’Analyse Stratégique (CAS) au niveau national et cherche à estimer comment va évoluer la part de l’Ile-de-France à l’horizon 2030, dans chacun des 36 secteurs d’activité. Selon le scénario envisagé, entre 520 000 et 850 000 emplois pourraient être créés en Ile-de-France. Consultez le rapport d'étude.
Préambule
Défi métiers, le carif-oref francilien, réalise périodiquement des projections, à moyen-long terme, d’emploi et de postes à pourvoir par famille professionnelle. Les résultats du dernier exercice, à horizon 2015, ont fait l’objet d’une publication en avril 2007: « les métiers en 2015 ». Ces derniers s’adressaient prioritairement aux décideurs et institutionnels de la formation (Conseil régional, DIRECCTE), ainsi qu’aux structures d’intermédiation (Pôle emploi, Missions locales…). La connaissance des évolutions quantitatives et qualitatives de l’emploi devait aider à la conception et la mise en oeuvre des politiques publiques emploi/formation.
L’objectif était, en particulier, l’adaptation du programme régional de développement des formations et, plus globalement, de permettre un meilleur pilotage de l’appareil de formation régional. Ces projections d’emploi ont, par exemple, été mobilisées pour déterminer si les différents CAP préparés en apprentissage étaient encore adaptés aux besoins, actuels et prévisionnels, des employeurs (aussi bien d’un point de vue qualitatif que quantitatif). La prise en compte, via ces projections, de la dimension économique, par ailleurs croisée avec des critères sociaux et éducatifs, a permis d’identifier des potentialités de développement de l’apprentissage au niveau V. Cette analyse croisée a aidé à l’adaptation de l’offre de formation en apprentissage pour les premiers niveaux de qualification (intégrée dans l’Accord Cadre d’Objectifs et de Moyens en faveur du développement de l’apprentissage signé en 2011 par l’Etat et la Région Ile-de-France).
Depuis le dernier exercice de projection, nous observons une évolution des questionnements sur les besoins en formation. Ces derniers témoignent de la volonté politique d’appréhender le développement économique, l’emploi et les besoins de compétences dans une approche davantage intégrée. Cette volonté s’est traduite, notamment, par l’adoption de la Stratégie Régionale de Développement Economique et d’Innovation (SRDEI) et du projet Grand Paris. Ces deux projets ont pour objectif de concrétiser l’ambition d’un développement durable des entreprises, des emplois et des territoires franciliens, qui répondent aux exigences productives, écologiques et sociales, conditions nécessaires au maintien de la position de l’Ile-de-France dans la compétition entre métropoles mondiales...
Ces évolutions ont conduit Défi métiers à intégrer d’autres problématiques dans son approche des projections d’emploi. En effet, l’adaptation de l’offre de formation aux besoins économiques reste un enjeu majeur de cet exercice. Défi métiers doit également s’interroger sur le développement économique et l’impact de la conjoncture internationale en termes de créations d’emplois dans une région comme l’Ile-de-France. C’est pourquoi, le Défi métiers a construit en 2012 une méthodologie de projection d’emploi par secteur d’activité, tenant compte des enjeux liés à la mise en oeuvre des politiques publiques. Consultez le rapport d'étude.
This study by Challenge business relies on macroeconomic scenarios identified by the Centre for Strategic Analysis (CAS) at the national level and tries to estimate how will evolve from the Ile-de-France in 2030, in each of the 36 sectors. Depending on the scenario, between 520 000 and 850 000 jobs could be created in the Ile-de-France. Consult the study report.
Preamble
Challenge trades, Ile CARIF-OREF, conducts periodic projections in the medium to long-term employment and vacancies by job family. More...
GHEAR: Our Universities to 2030 - Forging collaborations and unlocking excellence for the generation born today

20 May 2013
11:00 – 16:00What time is this for me?
Grand Hyatt Hotel, Washington D.C., USA
Event contact
Heather Lonsdale (h.e.lonsdale@sheffield.ac.uk) The University of Sheffield
This event will bring together HE leaders, researchers, policy makers and students, with special guest speakers: Jo Beall (British Council: Director of Education & Society) & Aims McGuinness (National Centre for Higher Education Management Systems: Boulder, Colorado).
Through keynote addresses, panel debates and a networking lunch participants will be invited to to imagine with WUN members and invited experts how the HE system will develop in the lifetime of a potential student born in 2013. What will change and what should change?
- What are the effects to come of drivers such as demographics, local capacity, funding regimes, mobile technologies and MOOCS?
- Where should national resources be allocated to support research excellence economic growth, and equity of access?
- How can the HE system support scientific, economic, and intellectual development in developing as well as developed nations?
The GHEAR is currently developing a programme of work to provide research digests, policy case-studies and thought pieces in these and other areas. The event will mark the launch of the WUN ‘Commissioned Reports on Globalisation in Higher Education and Research’ and provide further opportunity to shape and suggest ‘hot topics’ of interest to this expert audience. View the symposium flyer.
Universities need to embrace the Asian Century

The same sentiment applied to the trans-Tasman talks last month between New Zealand Prime Minister John Key and Australian Prime Minister Julia Gillard, who agreed that the Asian Century holds great opportunities for New Zealand and Australia.
The Asia region consists of 48 countries that account for a quarter of the world's nations and 60% of its population; its economic power and growth are by world standards huge and this trend will assuredly continue in the future. Read more...
Guardian’s Future of Higher Education Summit 2013 – as it happened

University 2060: the brave new world of higher education
Tutorials have been replaced by Frequently Asked Questions (FAQs) with the wisdom of the crowd sourcing all answers from the students themselves. Algorithms update the online course content in response to the question’s popularity – after all, “the customer is always right”.
Eventually no new information is taught, as it is too difficult to produce. There can be no FAQs for new material. So university courses have become useless. People need to find other ways to learn. Universities took up the idea of the customer is always right earlier than 2012. Students became clients. So it became obvious that student evaluation of teaching results determined careers and promotion of lecturers. Read more...
University 2060: the brave new world of higher education
Tutorials have been replaced by Frequently Asked Questions (FAQs) with the wisdom of the crowd sourcing all answers from the students themselves. Algorithms update the online course content in response to the question’s popularity – after all, “the customer is always right”.
Eventually no new information is taught, as it is too difficult to produce. There can be no FAQs for new material. So university courses have become useless. People need to find other ways to learn. Universities took up the idea of the customer is always right earlier than 2012. Students became clients. So it became obvious that student evaluation of teaching results determined careers and promotion of lecturers. Read more...
Horizon 2020: maintenons l'effort pour la recherche, l’innovation et la formation, c'est un investissement essentiel

La prospérité future de l'Europe et son bien-être dépendent directement de sa capacité de recherche et d’innovation. Rappelons que les budgets R&D ont un effet de levier direct sur la croissance et l’emploi.
Alors que tous les leaders politiques semblent défendre le rôle essentiel de la recherche et de la formation supérieure dans la construction d’une Europe rajeunie et renouvelée, il est paradoxal qu’ils ne traduisent pas ces positions par des décisions budgétaires dont ils ont la responsabilité directe.
La CPU affirme donc, aux côtés de ses collègues allemands (HRK) ou britanniques (Universities UK), qu’investir dans l'excellence en recherche et l'innovation au niveau de l'UE devrait être une priorité absolue pour tous ceux qui veulent une croissance intelligente, durable et inclusive. Ainsi nous défendons la demande d’une enveloppe de 80 milliards d’euros pour le programme Horizon 2020.
Ce budget devrait continuer à se concentrer sur les trois piliers proposés par Horizon 2020:
- les grands défis sociétaux qui permettent la recherche collaborative de haut niveau en Europe,
- l’excellence dans la recherche (Conseil Européen de la Recherche) et les actions Marie Curie (programme de mobilité des chercheurs),
- le leadership industriel.
Cette enveloppe ne doit pas inclure les grands programmes comme Iter (fusion nucléaire) et GMES (géolocalisation par satellite), qui doivent émarger à d’autres budgets, en effet la proposition d’un budget de 70 milliards les incluant conduirait de fait à une réduction du budget recherche de l’UE par rapport à la situation actuelle
Comme l’a déclaré l’ancien président de l’EUA (Association des universités européennes) Jean-Marc Rapp, «Investir pendant la crise, c’est investir contre la crise». Réduire aujourd’hui cet investissement, c’est sacrifier une génération de jeunes talents et altérer durablement l’attractivité et la compétitivité de l’Europe.

L'université de demain s'est dessinée hier

L'enseignement supérieur et la recherche sont portés par une réelle ambition en Tarn-et-Garonne dont les principales composantes concernées (universités, collectivités, monde économique, établissements d'enseignement supérieur - 1) ont travaillé hier, au conseil général (gestionnaire du centre universitaire), à structurer les projets départementaux pouvant intégrer le schéma régional.
Président du comité de pilotage, Jean-Michel Baylet a insisté sur la nécessité «de s'inscrire dans le droit fil de ce que sera l'Université de demain: humaine, territorialisée et partenariale.»
Renforcer le lien entre secondaire et supérieur, disposer d'un guichet unique pour les services à l'étudiant et les allocations d'études, améliorer le statut du doctorant, transformer la médecine préventive universitaire en une médecine générale universitaire, et réviser le mode de gouvernance des universités, constitue le périmètre de la réflexion et des actions qui en découlent, présentés par les divers contributeurs. Suite de l'article...

Ardoideachais agus taighde le tacaíocht ó uaillmhian fíor i Tarn-et-Garonne a bhfuil a phríomh-chomhpháirteanna i gceist (ollscoileanna, údaráis áitiúla, lucht gnó, institiúidí ardoideachais - 1) d'oibrigh inné, tionscnófar an Chomhairle Ghinearálta (Bainisteoir ollscoil lár), is féidir struchtúrú tionscadal roinne chomhtháthú an patrún réigiúnach. Níos mó...
Venture Capital's Massive, Terrible Idea For The Future Of College

Enter Udacity, the foremost provider of Massively Open Online Courses, or MOOCs. Does what's above look like college to you? Or rather, is this how college should look now?
They've been described as "a relentless force that will not be denied," revolutionary, "the single most important experiment in higher education." Also MOOCs are getting a drubbing from academics and others who believe there's more to higher education than can be provided via "distance learning."
Now California state universities are set to begin enrolling students in MOOCs for credit. Earlier this month, the president of San Jose State University, Mo Qayoumi, announced that his institution will commence a pilot program: 300 students will receive course credit for online classes in remedial algebra, college algebra and statistics. Qayoumi was joined at the press conference by California Governor Jerry Brown and Sebastian Thrun, the controversial ex-Stanford prof and co-founder of Udacity, which will supply classes for the program at the cost of $150 per customer, er, student. Read more...