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Formation Continue du Supérieur
7 octobre 2011

Primaire socialiste: que pensent-ils de l’université?

http://rossol.fr/wp-content/uploads/2011/08/blog-Education-Monde.jpgPar Philippe Jacqué. Quelques jours avant le premier tour de la primaire socialiste, dimanche 9 octobre, comment se situent les six candidats par rapport aux grands enjeux de l'enseignement supérieur? Le journaliste Michel Leroy, auteur d'une enquête sur le "grand chambardement" des universités, a posé les mêmes huit questions aux candidats, et cinq lui ont répondu. Seule Ségolène Royal n'a pas transmis ses réponses. Elle aborde peu l'université, mais fait de l'éducation l'une des ses priorités. Vous pouvez retrouvez les questionnaires complets sur le blog Universitas.
Parmi les conseillers "supérieurs" des candidats, on dénombre beaucoup de têtes connues. Arnaud Montebourg est secondé par Bertrand Monthubert, le secrétaire national chargé du secteur au PS.
Martine Aubry l'est par de nombreux universitaires dont Vincent Berger, le président de Paris-Diderot, et Isabelle This-Saint-Jean, vice-présidente de la région Ile-de-France chargée du supérieur.
François Hollande est, lui, conseillé par les députés Geneviève Fioraso et Jean-Yves Le Déaut, sur la recherche, ainsi que par Lionel Collet, l'ancien président de Lyon-I et de la Conférence des présidents d'université, pour le supérieur.
Ces personnalités ont pour la plupart participé au développement du projet du parti socialiste, raison pour laquelle ce dernier transparaît très clairement dans leurs réponses, avec quelques variations et inflexions personnelles.
Petit tour d'horizon des grands sujets abordés.

La loi d'autonomie
Les cinq candidats s'accordent sur une chose: l'autonomie est une "bonne chose" en soi; la loi qui la met en pratique, elle, ne l'est pas. Pour Martine Aubry, "la loi LRU, qui prétend l'instaurer, ne s'est pas accompagnée des moyens financiers et humains de la faire vivre".
De même, ajoute Manuel Valls: "Le risque est aujourd'hui de laisser reposer la politique de l'université sur la qualité personnelle de tel ou tel président et surtout d'ouvrir la porte, de manière plus systématique, à l'arbitraire."
Arnaud Montebourg estime que "cette loi renie les valeurs démocratiques, les pratiques de collégialité, l'indépendance académique qui sont au cœur du fonctionnement des universités dans le monde entier".
Jean-Michel Baylet assure que la loi "donne un grand pouvoir aux présidents d'université, qui peuvent désormais recruter des enseignants sans passer par le CNU".
Une fois ce constat posé, que faire? Un "changement de cap radical" pour Arnaud Montebourg, une "remise à plat" général de tous les textes adoptés depuis 2007 (loi, mais aussi statut des enseignants-chercheurs, etc.) pour Martine Aubry, un "aménagement" pour Manuel Valls et François Hollande, ainsi qu'un cadrage plus national pour Jean-Michel Baylet.
Les pôles de recherche et d'enseignement supérieur (PRES)

Manuel Valls est le seul à être satisfait de la flexibilité de cet outil de coopération institutionnel. Jean-Michel Baylet estime qu'il "faut donner du temps au temps" à ces dispositifs. François Hollande demande un bilan avant d'envisager une évolution.
Enfin, Arnaud Montebourg et Martine Aubry, fidèles au programme socialiste, veulent remplacer les PRES par des réseaux territoriaux de la connaissance (RTC). Ces RTC réuniraient l'ensemble des institutions de l'enseignement supérieur d'un territoire (université, école, mais aussi classes préparatoires, BTS, etc.) dans un ensemble dont la gouvernance serait "démocratique".
Le financement de l'enseignement supérieur

Aucun candidat ne s'engage sur des moyens supplémentaires précis. Martine Aubry annonce un effort pour atteindre les 3% de PIB de dépense en recherche et enseignement supérieur et annonce une baisse de l'horaire d'enseignement des professeurs (de 192 heures à 150 heures).
Arnaud Montebourg évoque la création de 5000 postes supplémentaires par an pendant cinq ans et la réorientation des moyens du grand emprunt ou du plan campus. François Hollande annonce 12 000 postes par an pendant cinq ans pour l'ensemble de l'éducation et du supérieur et veut débloquer de moyens supplémentaires pour le secteur lors du quinquennat.
Jean-Michel Baylet estime que les régions devront plus investir, tandis que Manuel Valls demande que le privé paie plus pour le supérieur.
La formation des maîtres

Il existe un consensus général pour revoir complètement la "mastérisation" de la formation des maîtres. Martine Aubry veut un concours plus tôt, avant l'entrée en master, ainsi qu'une entrée dans le métier plus progressive.
Arnaud Montebourg défend un concours en fin de master 1 et la titularisation en fin de master 2.
Alors que la tendance est à la simplification du paysage universitaire, François Hollande évoque la création d'"écoles régionales" pour la formation des enseignants. Manuel Valls défend la réintroduction de l'année de stage après le master.
Enfin, Jean-Michel Baylet se désole du manque de formation sans proposer de solution précise.
L'évaluation dans l'enseignement supérieur

Si tous les candidats défendent l'idée d'évaluation, l'Agence d'évaluation de la recherche et de l'enseignement supérieur (Aeres) en prend pour son matricule. Elle est pour les cinq candidats trop opaque, trop bureaucratique, pas assez démocratique, et mal acceptée par la communauté.
Ils attaquent notamment la "notation" de l'Aeres (de C à A+) et l'évaluation sanction en lieu et place d'une évaluation plus positive qui aiderait les laboratoires ou les établissements à évoluer. Bref, les candidats entendent changer l'Aeres en concertation avec les acteurs du supérieur.
Les frais d'inscription à l'université
Les propositions de Terra Nova ont semé la zizanie chez les candidats. Surtout celle conseillant d'augmenter les frais d'inscription à l'université. Arnaud Montebourg est le plus direct: la position de Terra Nova est "absurde", car l'objectif est d'augmenter le nombre d'étudiants. Augmenter les droits d'inscription aurait l'effet inverse, selon lui. Martine Aubry est sur la même ligne: "Je suis formellement opposée à l'augmentation des frais d'inscription".
François Hollande ne répond tout simplement pas à la question, tandis que Jean-Michel Baylet ne s'offusque pas d'une augmentation des frais d'inscription. Manuel Valls a la vision la plus proche de Terra Nova: pourquoi pas envisager une hausse équilibré des droits d'inscription, mais seulement après avoir mis en place l'allocation d'autonomie des étudiants pour aider les plus en difficulté. Comme le projet du PS le prévoit, les candidats défendent tous cette allocation d'autonomie.
Elle serait sous condition de ressource pour François Hollande qui ajoute:"Dans le cas de certaines filières présentant un intérêt stratégique pour le pays et garantissant des débouchés en matière d'emploi mais qui ne parviendraient pas à attirer suffisamment d'étudiants, des bourses spécifiques, complémentaire de l'allocation d'autonomie, seront attribuées". Martine Aubry veut mettre en place une allocation d'autonomie prenant en compte "la situation réelle du jeune, ses ressources comme son niveau d'autonomie".
La sélection en master

De nombreux universitaires la demandent, de nombreux étudiants la redoutent: une sélection à l'entrée du master au lieu d'une sélection "après" la première année du master. Martine Aubry et François Hollande la proposent.
Le logement étudiant
Tous les candidats sont d'accord: il faut relancer la construction de logements étudiants. Martine Aubry et Arnaud Montebourg reprennent l'objectif du PS de construire 8000 nouveaux logements par an. François Hollande ne se hasarde pas à avancer de chiffre, tandis que Manuel Valls veut récupérer des fonds du Plan campus pour financer les logements supplémentaires.
Pour Jean-Michel Baylet, les régions devront encore mettre la main à la poche pour ces logements.
La première mesure à prendre

Enfin, Michel Leroy a demandé à chaque candidat quelle serait leur première "mesure université" une fois au pouvoir.
Martine Aubry, Arnaud Montebourg et François Hollande annoncent des assises ou une grande concertation dès 2012 afin de créer "un choc de confiance", comme l'écrit Martine Aubry.
Jean-Michel Baylet veut élaborer des contrats Etat-régions pour les universités. Manuel Valls travaillerait en premier lieu sur la "professionnalisation des cursus".

http://rossol.fr/wp-content/uploads/2011/08/blog-Education-Monde.jpg Philippe Jacqué. Kilka dni przed pierwszą turą Socjalistycznej podstawowej, niedziela, 9 października, jakie są sześciu kandydatów z głównych problemów w szkolnictwie wyższym? Dziennikarz Michel Leroy, autor badań na temat "wielkiego wybuchu" uniwersytetów, zwrócił się do samych osiem pytań do kandydatów, to i pięć odpowiedzi. Only Royal nie udzielić odpowiedzi. Odnosi się on do niektórych uczelni, ale ze względu na wykształcenie jeden ze swoich priorytetów. Można znaleźć na wypełnianie kwestionariuszy na Universitas blogu. Więcej...

23 septembre 2011

Vite, vite, vite, le gouvernement fait semblant de s'occuper de la formation !

http://a6.idata.over-blog.com/0/20/56/72/images2009/blog.jpgPublié le 20/09/2011. Le Conseil National de la Formation Professionnelle Tout au Long de la Vie a été réuni en urgence ce matin, à la demande du gouvernement pour donner son avis sur toute une série de textes réglementaires portés à la connaissance des membres du conseil mercredi dernier, dans des délais ne permettant pas l'étude nécessaire, en particulier sur des textes masquant derrière des questions techniques de vrais problèmes de fond ! Il semble d'ailleurs que le gouvernement, dans sa précipitation de mettre en oeuvre, en particulier la loi du 28 juillet 2011 pour le développement de l’alternance et la sécurisation des parcours professionnels, n'ait pas véritablement étudié ces textes: la représentante de la DGEFP était par exemple fort ennuyée pour expliquer pourquoi les régions n'étaient pas dans la liste des organismes pouvant avoir accès au portail de l'alternance (qui pose par ailleurs toute la question du fichage informatique) alors que l'apprentissage est une compétence des régions - mais peut être cet oubli est il volontaire!
La liste des textes étudiés est longue et je ne vous les détaillerai évidemment pas: cela va de l'opération de communication avec la transformation de la carte d'apprenti en carte d'étudiant des métiers (dont le seul avantage va être l'élargissement aux salariés en contrat de professionnalisation) et la description précise dans l'arrêté de la carte sans que l'on ne sache ce que cela pourra apporter de plus aux apprentis à des textes très mauvais pour les apprentis : la suppression du contrôle des UT des DIRRECTE sur l'enregistrement des contrats d'apprentissage et le report de la visite médicale, au prétexte d'accélérer les procédures (et en fait d'acter à la fois la RGPP et la diminution des personnels dans les inspections du travail, et les difficultés de la médecine du travail!) Il y a aussi la possibilité de faire un contrat d'apprentissage dans une agence d'intérim (quelle garantie de formation?), la possibilité pour un jeune de faire une formation en CFA avec des périodes en entreprise, sans avoir trouver de maître d'apprentissage, bref, la possibilité de faire le travail d'un apprenti sans la paie ! Entre raison de forme et de fond, j'ai, avec d'ailleurs tous les représentants des autres régions présents, voté contre ces textes dans leur immense majorité.
Il y a un épisode surréaliste: un projet d'arrêté sur les demandes d'agrément des OPCA à faire avant le 1er septembre 2011! Il faut dire que toutes les organisations syndicales ont déposé un recours en conseil d'Etat.
Et des textes un peu curieux, à travers lesquels le gouvernement essaie de bricoler les mauvaises réformes qu'il a fait et le fait très mal, comme de réintroduire un peu de régulation dans le régime de l'auto entrepreneuriat -ce scandale qui permet aux demandeurs d'emploi les plus en difficulté de se résoudre à créer leur emploi, sans les garanties du code du travail et du salaire en fin de mois - en favorisant la formation, ou la possibilité pour un apprenti engagé dans bac pro de raccourcir sa formation pour obtenir un diplôme de niveau V, une façon d'avouer pour le gouvernement que le bac pro en trois ans pose problème, mais le décret risque de raccourcir des formations, non pas en fonction des aspirations de l'apprenti, mais au bon vouloir de son maître d'apprentissage! Bref, le gouvernement bricole sur la formation et l'insertion dans l'emploi des jeunes,  pour masquer son embarras: mettre l'Humain d'abord, avant les profits, est la condition pour résoudre les problèmes de chômage des jeunes et le PCF, avec le Front de Gauche, propose de créer un statut social pour tous les jeunes permettant leur autonomie. Cela seulement permettra par exemple de faire de l'apprentissage une voie de formation choisie et non un pis aller pour gagner trois sous mais nécessite évidemment des finances au service de l'Humain et non des actionnaires!

http://a6.idata.over-blog.com/0/20/56/72/images2009/blog.jpg Opublikowany 20/09/2011. Krajowa Rada ds. Kształcenia Zawodowego Przez Życie odbyła się dziś rano w nagłych wypadkach Na wniosek rządu o informacje na temat zakresu przepisów do wiadomości członków zarządu w ubiegłą środę, w czasie nie pozwalając na badania, szczególnie w zakresie tekstów chowając się za sprawy techniczne rzeczywistych problemów substancji! Więcej...

13 juin 2011

Luc Ferry au Centre d'Analyse Stratégique et au Conseil d'Analyse de la société

http://www.strategie.gouv.fr/sites/all/themes/cas/logo.pngLuc Ferry figure bien sur le site du Centre d'Analyse Stratégique. Il y figure comme Président délégué du Conseil d'Analyse de la société. Voici ci-dessous les passages concernés.
Le Comité d’orientation comprend :

    * le président délégué du Conseil d’analyse économique : Christian de BOISSIEU
    * le président délégué du Conseil d’analyse de la société : Luc FERRY
    * le président du Conseil de l’emploi, des revenus et de la cohésion sociale : Jacques DELORS
    * le président du Conseil d’orientation des retraites : Raphaël HADAS-LEBEL
    * la présidente du Conseil d’orientation pour l’emploi : Marie-Claire CARRERE-GEE
    * le président du Haut Conseil à l’intégration : Patrick GAUBERT
    * le secrétaire général des affaires européennes : Gilles BRIATTA
    * le délégué interministériel à l’aménagement et à l’attractivité régionale : Emmanuel BERTHIER
    * deux députés : Hervé MARITON et Jean-Marc AYRAULT et deux sénateurs : Francis GRIGNON et François MARC, désignés par les présidents de chacune  des deux assemblées pour la durée de leur mandat
    * un membre du Conseil économique, social et environnemental désigné par son président pour la durée de son mandat : Antoine DULIN
Colloque : La France et l’Europe face à la crise économique

Seconde partie : “Les réponses des États européens et la voie de la France”
"Les Français face à la crise, entre angoisse et sursaut national" par Luc Ferry, ancien Ministre de l’Éducation nationale, Président du Conseil d’analyse de la société.
Voeux du Centre d’analyse stratégique

Vincent Chriqui, Directeur général a présenté les voeux du Centre d’analyse stratégique le lundi 17 janvier 2011.
J’ai également été heureux de pouvoir, à cette occasion, donner une illustration de la qualité des relations entre le Centre et l’ensemble des organismes placés auprès du Premier Ministre : les interventions croisées de Christian de Boissieu, d’Agnès Benassy-Quéré, de Luc Ferry en ont porté témoignage et je veux les en remercier, et à travers eux l’ensemble des « conseils ».
http://www.afertes.org/images/snfev2011/nssnfe44.jpgConseil d'Analyse de la société
Placé auprès du Premier ministre, le Conseil d’analyse de la société (CAS) a pour mission "d’éclairer les choix politiques du Gouvernement par l’analyse et la confrontation des points de vue, lorsque les décisions à prendre présentent des enjeux liés à des faits de société" (article I). Il est composé de 32 personnalités de tous horizons "choisis en fonction de leur compétence" (article II).
Chargé de repérer et d’analyser les nouveaux enjeux qui mobilisent ou sont appelés à mobiliser la société civile, le Conseil d’analyse de la société constitue un relais supplémentaire dont le gouvernement a besoin pour élaborer ses décisions en la matière et les faire comprendre à l’opinion. Le Conseil d’analyse de la société tente de répondre à cette nouvelle exigence de pluralisme et de réactivité dans les démocraties ouvertes.
Le Conseil d’analyse de la société se réunit en plénière une fois par mois soit pour des auditions de personnalités ou d’experts extérieurs, soit pour débattre des travaux ou rapports préparés par les membres sur les différents sujets du programme de travail. Le thème du rapport annuel ainsi que les noms des invités sont fixés par le président délégué ou par le Premier ministre.
Parallèlement aux réunions plénières, des groupes de travail sont mis en place pour traiter une question de société dont l’examen est coordonné par un membre du CAS et dont les conclusions font l’objet d’une publication sous forme de note.
Luc Ferry, Président délégué

Philosophe, universitaire, ancien ministre de la Jeunesse, de l’Education nationale et de la Recherche (2002-2004)
-  Né le 3 janvier 1951 à Colombes (Hauts-de-Seine)
-  Agrégé de philosophie. Docteur d’Etat en sciences politiques. Agrégé de sciences politiques.
-  Président du Conseil national des programmes (1993-2002)
-  Membre du Conseil économique et social (depuis 2004)
-  Membre du Conseil d’analyse économique (depuis 2004)
-  Vice Président de l’Agence du Service civique (mai 2010)
-  Chroniqueur à LCI et au journal "le Figaro"
-  Parmi les ouvrages parus :
La pensée 68. Essai sur l’antihumanisme contemporain (1985),
Homo aestheticus. L’invention du goût à l’âge démocratique (1990),
Le nouvel ordre écologique, l’arbre, l’animal et l’homme (1992 Prix Médicis essai, prix Jean-Jacques Rousseau),
L’homme-Dieu ou le sens de la vie (1996, prix des droits de l’homme),
Qu’est-ce que l’homme ? (2000),
Qu’est-ce qu’une vie réussie ? (2002),
Comment peut-on être ministre ? Essai sur la gouvernabilité des démocraties (2005).
-  Chevalier de la légion d’honneur et des Arts et des Lettres.
http://www.strategie.gouv.fr/sites/all/themes/cas/logo.png Luc Ferry jelenik meg jól az oldalon a Center for Stratégiai elemzés. Ő szerepel elnökhelyettese a testület elemzés a társadalom. Az alábbiakban a vonatkozó részeket.
Az Irányító Bizottság a következőket tartalmazza:

* Elnökhelyettese a Tanács Gazdasági elemzés: Christian de Boissieu

* Elnökhelyettese a testület elemzés a társadalom: Luc Ferry
http://www.afertes.org/images/snfev2011/nssnfe44.jpg Elemzése Tanácsa Egyesület

A miniszterelnök, a Tanács az elemzés a társadalom (CAS) feladata ", hogy megvilágítsa a politikai döntéseket a kormány által elemzése és összehasonlítása a különböző nézőpontok, ha döntések kérdések A tények a társadalom "(I). Ez áll a 32 személyiségek az élet minden területén "kiválasztott és kompetencia" (cikk II).
Felelős azonosítása és elemzése felmerülő kérdések, hogy vegyenek részt, vagy hivatkozott, hogy mozgósítsa a civil társadalom, a fellebbezési elemzés a társadalom egy további relé, hogy a kormánynak ki kell alakítania az álláspontját az ügyben, és megérteni véleménye. Még több...
3 avril 2011

Derrière les belles paroles de la ministre, un CNRS affaibli

http://www.francequebec400.fr/medias/editor/image/arf.jpgUne vraie politique d’enseignement supérieur, de recherche et d’innovation requiert un minimum de cohérence et ce n’est pas avec des effets d’annonce qu’on prépare l’avenir. Valérie Pécresse ne peut pas continuer de vanter des investissements d’excellence à coups de  milliards mal identifiés du grand emprunt et, dans le même temps, contraindre  le budget des grands organismes de recherche français.
Jongler avec les milliards ne doit pas cacher la réalité des moyens plus immédiats retirés aux organismes.
La réalité, c’est par exemple que la dotation allouée au CNRS, déduction faite des pensions de retraite, est en forte baisse en 2011. La réalité, c’est que le CNRS ne sera pas en mesure de lancer cette année son habituelle campagne nationale de bourses de doctorants (BDI), faute de moyens suffisants. La réalité, c’est donc que le CNRS est contraint de se retourner vers les Régions pour solliciter des financements, l’année même où celles-ci ont vu leurs ressources plafonnées par l’Etat.
Les Régions françaises considèrent que les décisions de la ministre et la pression exercée sur le CNRS, organisme qui doit rester un acteur de tout premier plan au niveau mondial, sont très dangereuses.
Les doctorants ne sont-ils pas un moyen efficace de pallier une défaillance trop souvent reconnue de l’économie française, en rapprochant le monde de la recherche et celui de l’entreprise ? Nos PME innovantes auxquelles on reproche trop souvent leur petite taille, ne trouveront la clé de leur développement que dans le recrutement des doctorants et ingénieurs familiers de la recherche.
Ainsi, affaiblir la dotation du CNRS, c’est hypothéquer la véritable excellence de demain. Les Régions françaises le regrettent, mais elles ne peuvent pas assumer seules toutes les carences de l’Etat, qui doit prendre ses responsabilités et préserver l’avenir. Il n’est pas de leurs compétences de financer seules les allocations doctorales du CNRS et elles souhaitent que des correctifs budgétaires soient apportés, afin qu’il puisse lancer la campagne BDI de 2011. En somme, elles demandent tout simplement que la ministre de l’enseignement supérieur et de la recherche mette ses actes en conformité avec son discours.
http://www.francequebec400.fr/medias/editor/image/arf.jpg A reali ta 'edukazzjoni ogħla ta' politika, riċerka u innovazzjoni jeħtieġ minimu ta 'koerenza u mhux ma' l-effetti ta 'ad aħna qed inħejju għall-futur. Valerie Pécresse ma tistax tkompli niftaħar ta 'eċċellenza ta' investiment ma 'biljuni identifikat ħażin-self kbar u fl-istess ħin, li tisforza l-organizzazzjonijiet baġit tar-riċerka Franċiż kbar. Biljuni Juggle ma għandux jaħbi r-realtà ta 'mezzi aktar immedjati jitneħħew aġenziji.
Il-verità hi tali li l-allokazzjoni tal-CNRS, nett ta 'pensjonijiet, huwa f'daqqa fl-2011.
Il-verità hi li CNRS mhux se tkun tista 'tniedi din is-sena tal-kampanja tas-soltu fellowship nazzjonali dottorat (BDI), minħabba riżorsi insuffiċjenti. Il-verità hi li l-CNRS huwa għalhekk mġiegħla jirritornaw għar-reġjuni li japplikaw għall-finanzjament, l-istess sena li huma raw riżorsi tagħhom limitata mill-istat. More...
6 octobre 2010

Il y a quelque chose de pourri dans le royaume de Danemark

ecoles-entreprises : formation professionnelle et partenariats écoles entreprisesLe directeur de la "fac Pasqua" licencié
Amin Khiari, directeur du pôle Léonard de Vinci, présidé par Charles Pasqua, a été licencié sur le motif de "carences dans sa gestion". Il est remplacé par Max de Grandi, ancien secrétaire général de l'association de gestion du pôle, nommé "administrateur provisoire en charge de la direction générale".
Cette décision intervient alors qu'un rapport de la chambre régionale des comptes d'Ile-de-France, dont l'AFP s'est procuré une copie le 1er octobre, a pointé la gestion du personnel et les frais de fonctionnement trop élevés du pôle universitaire privé. La chambre y dénonce notamment des "mesures particulièrement avantageuses prises en faveur de salariés occupant des postes à responsabilité".
En savoir plus: Laroussi Oueslati mis en examen, Université de Toulon : l'ex-président Oueslati en garde à vue, Trafic de diplômes: l'ex-président de Toulon révoqué à vie. NDLR: quel rapport entre les deux affaires ? La diversité ?
Par Jessica Gourdon. Le directeur de la "fac Pasqua", Amin Khiari, démis de ses fonctions
A la tête de cette université privée des Hauts-de-Seine depuis 2008, il est remplacé par Max de Grandi. A savoir l'ancien secrétaire général de l'association de gestion du pôle Léonard de Vinci, nommé "administrateur provisoire en charge de la direction générale", selon un communiqué du pôle. "Amin Khiari ne s'entendait plus avec Charles Pasqua sur l'avenir des écoles et du Pôle", glisse-t-on dans l'entourage de l'ancien ministre, qui assure la présidence de cet établissement.
Le retour de l'ancien secrétaire général
Ce départ intervient alors que la Chambre régionale des comptes d'Ile-de-France doit publier prochainement un rapport sur la gestion de cet établissement d'enseignement supérieur privé, qui rassemble trois écoles (ingénieurs, management, multimédia).
D'après l'AFP, qui a obtenu une copie du texte vendredi 1er octobre 2010, le rapport épingle "la gestion des personnels et les frais de fonctionnement" du pôle. L'AFP évoque notamment les "condi­tions très avan­ta­geuses de départ en 2008 — deux ans de salaire brut, une prime excep­tion­nelle de 54 930 euros, soit 269 886 euros — de l'ancien secré­taire géné­ral, âgé de 67 ans au moment de son embauche en 1998".  Celui-là même qui revient aujourd'hui assurer la direction générale du Pôle Léonard de Vinci.
Business School: het beroepsonderwijs en het bedrijfsleven partnerschappen tussen scholen De directeur van "fac Pasqua" onder licentie
Khiari Amin, directeur van de divisie Leonardo da Vinci, onder leiding van Charles Pasqua, werd afgewezen op grond van "tekortkomingen in het beheer ervan. Hij werd vervangen door Max Grandi, een voormalig secretaris-generaal van de vereniging management divisie, de zogenaamde "voorlopige bewindvoerder die verantwoordelijk is voor het directoraat-generaal. Dit besluit kwam als een verslag van de regionale controle van Ile-de-France, waarvan AFP heeft een kopie verkregen op 1 oktober, wees het beheer van het personeel en de operationele kosten te hoog prive universitair centrum. De kamer is hekelt "de maatregelen in het bijzonder voordelig voor de werknemers in verantwoordelijke posities." Meer: Laroussi Oueslati aangeklaagd, Universiteit van Toulon: De voormalige president Oueslati in hechtenis, Verkeer graden: de voormalige president van Toulon ingetrokken voor het leven. Noot van de redactie: wat de relatie tussen de twee zaken? La diversité ? Diversiteit?
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16 juin 2009

Evaluation régionale des politiques d’emploi et de formation professionnelle

 

Ce colloque est organisé par le Comité Régional de l’Emploi et de la Formation Professionnelle (CCREFP) Poitou-Charentes et l’Université de Poitiers le 23 juin de 9h à 17h à la Maison des Sciences de l’Homme et de la Société Campus Universitaire de Poitiers.
Le mouvement de décentralisation engagé il y a une trentaine d’années a engendré une territorialisation croissante de l’action publique et a vu se développer de nouvelles méthodes et expertises d’évaluation au niveau territorial.
En Poitou-Charentes, le Comité de Coordination Régional de l’Emploi et de la Formation Professionnel (CCREFP), instance quadripartite associant l’Etat, la Région, un collège employeurs et un collège salariés et un représentant du Conseil Economique et Social, issue de la loi de modernisation sociale de janvier 2002, s’est engagé en 2005, dans des travaux d’évaluation. Les premières réalisations se sont traduites par un partenariat innovant avec l’Université de Poitiers pour développer des travaux sur les publics « jeunes ».
- « Evaluation des politiques régionales de formation professionnelle » apportera un cadrage par 3 interventions (Approche historique : la difficile émergence de l’évaluation des politiques régionales de formation professionnelle par Françoise Amat, Directrice du CNFPTLV ; Approche sociologique : vers de nouvelles cultures de l’évaluation par Jean-Paul Géhin, Université de Poitiers et Les enjeux de l’évaluation territoriale des politiques publiques par Thierry Berthet, IEP de Bordeaux)
- Présentation de la démarche d’évaluation menée dans le cadre du CCREFP Poitou-Charentes
- Quatre ateliers organisés l’après midi mettront en valeur 8 expériences d’évaluation conduites à l’échelle locale, nationale, sur des dispositifs expérimentaux ou de façon participative. Cliquez ici.
Evaluation of regional policies on employment and vocational training. This symposium is organized by the Regional Committee for Employment and Vocational Training (CCREFP) Poitou-Charentes and the University of Poitiers on 23 June from 9 to 17h à la Maison des Sciences de l'Homme et de la Société Campus University of Poitiers. More...
17 mars 2009

La députée M-C. Dalloz : fusionner maisons de l’emploi, PLIE, CBE et missions locales

En préparation du débat prévu le 24 mars 2009, Marie-Christine Dalloz, députée du Jura et rapporteure de la mission d’information sur les maisons de l’emploi a publié un nouveau rapport, daté du 11 mars 2009 et présenté devant la commission des affaires culturelles, familiales et sociales de l’Assemblée nationale.
En juin 2008, la mission de la députée, également présidente de la maison de l’emploi du Haut Jura à Saint Claude, avait publié un premier rapport d’information intitulé « Les maisons de l’emploi, une dynamique territoriale au service de l’emploi et du développement économique », où elle préconisait la pérennisation du réseau des maisons de l’emploi.
Neuf mois plus tard, le nouveau rapport insiste sur la nécessaire « pérennisation des maisons de l’emploi qui ont démontré la cohérence et l’efficacité de leur action », tout en préconisant « une politique plus directive et plus ferme. » Suite de l'article de Benoit Willot sur emploietcréation. Rapport de mars 2009. Rapport de juin 2008. Source.
In preparazione per la discussione prevista per il 24 marzo 2009, Marie-Christine Dalloz, deputato del Giura e del relatore della missione di informazioni sulle case in materia di occupazione ha pubblicato una nuova relazione, datata 11 marzo 2009 e presentato alla commissione per le culturale, familiare e sociale, le conseguenze dell 'Assemblea nazionale. Prosecuzione del Articolo di Benoit Willot su emploietcréation. relazione del marzo 2009. Relazione del mese di giugno 2008. Source. Maggiori informazioni...

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