A la rentrée 2018, l'Université Paris 3-Sorbonne Nouvelle emménagera dans des locaux neufs construits sur un terrain de 35 000 mètres carrés situé rue de Picpus, dans le 12e arrondissement de Paris, tout en conservant une implantation importante dans son site historique du Quartier latin.
Après dix années de tergiversations et de non-décisions, le Gouvernement a décidé le déménagement de l'implantation principale de l'Université Sorbonne Nouvelle – Paris 3, dont le bâtiment Censier, aujourd'hui dégradé, ne peut plus être correctement entretenu.
A la rentrée 2018, l'Université emménagera dans des locaux entièrement neufs, qui seront construits rue de Picpus, dans le 12e arrondissement de Paris, sur un terrain actuellement affecté au ministère de l'Agriculture, de l'Agroalimentaire et de la Forêt. La Sorbonne Nouvelle conservera par ailleurs une implantation importante dans son site historique du Quartier latin.
Depuis une dizaine d'années, tous les rapports et projets relatifs à l'immobilier universitaire parisien identifient comme première priorité le relogement de l'Université Sorbonne Nouvelle – Paris 3, sans parvenir à déboucher sur des décisions fermes. Dès le mois de juillet 2012, Geneviève Fioraso a demandé que la relance et la réorientation des opérations immobilières concernant les universités parisiennes prévoient, en collaboration étroite avec les équipes de la Sorbonne Nouvelle, une solution durable pour le site de Censier. Ce bâtiment, construit dans les années 1960, est en effet dégradé, il ne répond plus aux fonctionnalités attendues d'un site universitaire moderne, et son entretien est devenu difficile et coûteux du fait des matériaux amiantés aujourd'hui strictement confinés qui ne peuvent être manipulés sans procédures spécifiques.
Après avoir étudié toutes les hypothèses, à la demande de Geneviève Fioraso et en accord avec Stéphane Le Foll, le Gouvernement a décidé de construire un nouveau campus de 35 000 mètres carrés pour l'université, sur un terrain actuellement affecté au ministère de l'Agriculture, de l'Agroalimentaire et de la Forêt situé rue de Picpus, dans le 12e arrondissement. Cette opération, d'un budget total de 135 millions d'euros, sera conduite en maîtrise d'ouvrage publique par l'établissement public d'aménagement universitaire de la région Île-de-France (EPAURIF). Elle démarre aujourd'hui même par la préparation d'un concours d'architecture dont le lauréat sera désigné d'ici l'été 2014, pour un emménagement de l'université dans ses nouveaux locaux à la rentrée 2018. L'Etat et la Ville de Paris lanceront en parallèle une réflexion sur le devenir du site de Censier.
Par cette décision, le Gouvernement entend garantir aux étudiants et aux personnels de l'université Sorbonne Nouvelle - Paris 3, université d'arts, lettres, langues et sciences humaines et sociales, les meilleures conditions d'études et de travail, dans des locaux modernes et durables en plein cœur de Paris, mieux adaptés à la réussite des étudiants et aux activités des personnels.
By Alastair Creelman. An article in Inside Higher Ed, Puzzling peer reviews, highlights supposed dangers of open access publications. John Bohannon of Harvard University wrote a deliberately flawed biology article using a fictitious name and non-existent institution and submitted it to over 300 open access publications. It was accepted by about half of them (read a longer description of the experiment can be found in Science, Who's afraid of peer review?). The article was written as part of a survey to see how much peer review was involved in the rapidly expanding open access journal market and the results cast a serious shadow over many of them. It contained serious scientific flaws that would be obvious to any academic in the field so the journals who accepted it had clearly not carried out any sort of serious peer review. Interestingly it was not only obscure journals that failed the test, even journals run by the big academic publishers fell for the trap. More...
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