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Formation Continue du Supérieur

3 décembre 2013

VAE : le nombre de diplômes délivrés reste stable en 2012

Logo de l'Agence Régionale de la Formation tout au long de la vie (ARFTLV Poitou-charentes)Selon une Note d'information de la DEPP, 20 800 candidats à la VAE pour un diplôme, technologique ou professionnel, délivrés par l’éducation nationale se sont présentés en 2012. Les deux tiers ont obtienu une validation totale du diplôme postulé.
Avec 700 référentiels de diplômes technologiques et professionnels accessibles par la validation des acquis de l'expérience, l’offre de certification est large. Cependant la demande de VAE en couvre à peine plus de la moitié et reste concentrée sur un très petit nombre de spécialités.
Les trente diplômes les plus demandés, soit moins de 5 % de l’offre disponible, ont concentré 80 % des demandes examinées par les jurys de VAE.
Le BTS était le diplôme le plus demandé avec 31 % des dossiers déposés, suivi par le CAP (21 %) et le baccalauréat professionnel (18 %). Au moment des jurys d’examen, le CAP « Petite enfance » représentait 72 % des candidats au CAP. Il reste le titre le plus demandé, mais il a reculé de 10 points pour la première fois depuis 2003.
Le CAP « Petite enfance », le baccalauréat professionnel « Secrétariat » et les BTS « Management des unités commerciales », « Assistant de gestion PME-PMI » et « Comptabilité et gestion des organisations » (30 % des dossiers) ont donné lieu à des jurys dans toutes les académies en 2012.
À l’opposé, une centaine de diplômes soit 1 % de l’ensemble des candidatures n'ont été examinés que dans une seule académie, dans les trois quarts des cas pour un seul candidat.
Consulter la Note d'information (pdf, n° 13.27, novembre 2013)

3 décembre 2013

Etude du CESE sur le travail à temps partiel

Logo de l'Agence Régionale de la Formation tout au long de la vie (ARFTLV Poitou-charentes)Le temps partiel représentait 8,3% de l’emploi total en 1975 et 17,9% en 2011. La part du temps partiel dans l’emploi représente désormais près d’un cinquième de l’emploi, soit deux fois plus qu’il y a quarante ans.
Dans une étude présentée le 26 novembre 2013 le Conseil économique, social et environnemental (CESE) dresse un état des lieux de ce phénomène, afin de comprendre les facteurs qui l’ont favorisé et les résultats qu’il produits. L’étude montre que cette forme d’emploi est au carrefour des transformations du marché du travail, de l’articulation entre temps professionnel et temps familial, et des politiques publiques.
Pour le Cese, le développement et les formes du temps partiel sont le résultat de plusieurs évolutions économiques et sociales : ils reflètent à la fois les inégalités entre les femmes et les hommes et les évolutions des formes de l’emploi.
Ils sont aussi le produit des politiques publiques qui ont à certaines périodes favorisé le temps partiel et à d’autres cherché à en limiter les effets. Les principaux enjeux identifiés dans cette étude touchent aux perspectives de développement des temps partiels, aux publics concernés et aux modes d’intégration au marché du travail.
Consulter le communiqué du Cese.

3 décembre 2013

The right degree is always worth it

http://t0.gstatic.com/images?q=tbn:ANd9GcQPxnNUZkzq1IINmqwJMRe0Mx9jmcJPvZ89WaflkoXFnHo0R2jfVuceEAwwBy David Ellis. Lately I’ve noticed degrees being denounced, as if university has become a byword for ‘rip-off’; this simply isn't the case, argues David Ellis.  I hope someday the British will feel as strongly about education as they do about tea, or avoiding eye contact on public transport. 
Rather regrettably, I’m not sure they will: lately I’ve noticed degrees being denounced both in the press and in the pub, as if university has become a byword for ‘rip-off’. Read more...

3 décembre 2013

Pisa 2013 rankings: East Asia on the rise

http://www.timeshighereducation.co.uk/magazine/graphics/logo.pngBy William Stewart. East Asia has strengthened its grip on the top places of the world’s most influential international education rankings, it was revealed today. 
Countries or states from region occupy all the top seven positions for maths, the main focus of the Programme for International Student Assessment (Pisa) 2013 results, which compares the performance of 15-year-olds. But there was bad news for Finland, a perennial star in previous Pisa studies, which suffered declines in maths, science and reading; as did Sweden another Nordic country with a schools system that the others have sought to emulate. More...

3 décembre 2013

More Hefce money for social enterprise

http://www.timeshighereducation.co.uk/magazine/graphics/logo.pngBy David Matthews. A total of £2 million is to be spent on helping universities support students who want to work in social enterprise and entrepreneurship. The Higher Education Funding Council for England (Hefce) is today launching the initiative at Aston University in Birmingham. 
Social enterprise and entrepreneurship generally refers to organisations that try to find new solutions to social problems, and are less focused on making a profit than conventional businesses. The £2 million programme will be delivered by UnLtd, which has already been working with Hefce to raise awareness of social entrepreneurship in universities. More...

3 décembre 2013

Pisa tests: UK stagnates as Shanghai tops league table

. The UK is falling behind global rivals in international tests taken by 15-year-olds, failing to make the top 20 in maths, reading and science.
England's Education Secretary Michael Gove said since the 1990s, test performances had been "at best stagnant, at worst declining".
Shanghai in China is the top education system in the OECD's Pisa tests.
Within the UK, Scotland outperformed England at maths and reading, but Wales is below average in all subjects. More...

3 décembre 2013

Malaysia ranks high as regional education hub

THE initiatives towards transforming Malaysia into an education hub are showing good signs.
Malaysia is now ranked 11th in the World Education Service Report in relation to preferred destinations for higher education.
In 2010, more than 86,000 international students from Asia and the Middle East chose Malaysia as their higher education destination. It provides a place of study for students from some 100 nations.
Today the enrolment has reached 93,000. It is hoped that the higher education sector will contribute between RM34 billion and RM61 billion to the gross national income by 2020. Read more...

3 décembre 2013

Evaluating the Strategic and Leadership Challenges of MOOCs

Evaluating the Strategic and Leadership Challenges of MOOCs

Stephen J. Marshall
Centre for Academic Development
Victoria University of Wellington
Wellington NEW ZEALAND
stephen.marshall@vuw.ac.nz

Abstract

This paper presents an analysis of the strategic and leadership issues presented by the range of massive open online courses (MOOCs) and associated activities happening internationally. The analysis is framed by Porter's Five Forces and outlines a framework for use by institutional leaders and strategic planners exploring specific strategic and operational responses relevant to their particular institutional, social, national, and international contexts.

View the original article here.

3 décembre 2013

Le M.E.S.R. contribue à la modernisation de l’action publique avec son offre de cours en ligne, gratuits et ouverts à tous

Le ministère de l’Enseignement supérieur et de la Recherche est nominé aux Victoires des Acteurs publics 2013 pour le lancement de la première plateforme française de cours en ligne, France Université Numérique (FUN). Une initiative qui permet aux étudiants, lycéens, salariés et à tous ceux qui souhaitent se former, de suivre des cours en ligne, gratuits et ouverts à tous (ou MOOCs).
Organisées par le magazine Acteurs publics, les Victoires des Acteurs publics récompensent les meilleures initiatives de modernisation observées dans la fonction publique. Les lauréats 2013 seront dévoilés le 4 décembre prochain.
Présentation des Victoires des Acteurs publics 2013.
La plateforme de MOOCs France Université Numérique (FUN).

3 décembre 2013

Erasmus+ : 2 millions d'étudiants se formeront à l'étranger entre 2014 et 2020

Erasmus+Erasmus+ entre en application le 1er janvier 2014. Il réunit tous les programmes de l'Union européenne en faveur de l'éducation, de la formation, de la jeunesse et du sport, y compris ceux qui ont trait à la dimension internationale de l'enseignement supérieur. Avec Erasmus+, 5 millions de personnes, dont 2 millions d'étudiants, pourront vivre une expérience de mobilité à l’étranger entre 2014 et 2020.

Qu’est-ce que le programme Erasmus+ ?

  • Erasmus+, le programme de l'Union européenne pour l'éducation, la formation tout au long de la vie, la jeunesse et le sport, pour la période 2014-2020, entre en application le 1er janvier 2014. Ce nouveau programme a été adopté par le Conseil de l'Union européenne le 3 décembre 2013. Il a été adopté par le Parlement européen le 19 novembre 2013.
  • Objectif d’Erasmus+ : permettre à plus de 5 millions d'Européens d'étudier, de se former et de participer à des activités de volontariat à l'étranger. Il s'agit d'encourager la mobilité à des fins d'éducation et de formation en Europe, les échanges institutionnels, la coopération entre établissements d'enseignement, entreprises, organisations pour la jeunesse, autorités locales et régionales, et ONG.
  • Budget d'Erasmus+  : 14,7 milliards d'euros dont les deux tiers financeront des bourses de mobilité à l’étranger pour les étudiants, les professeurs, les formateurs, les élèves de l'enseignement professionnel et les apprentis. Les animateurs d'associations de jeunesse ainsi que les bénévoles et les jeunes sportifs pourront également en bénéficier.
  • Erasmus+ réunit tous les programmes actuels du secteur de l'éducation, de la formation et de la jeunesse – Comenius (enseignement scolaire), Erasmus (enseignement supérieur), Leonardo da Vinci (enseignement et formation professionnels), Grundtvig (éducation des adultes), Jean Monnet (intégration européenne), Jeunesse en action (éducation non formelle) et Erasmus Mundus (enseignement supérieur international) ) – et introduit pour la première fois un volet sport. Ces différents domaines gardent leurs labels bien connus du public.
  • Les lycéens et étudiants des filières professionnelles et technologiques, ainsi que les apprentis et les jeunes volontaires, seront plus nombreux à bénéficier de ces programmes de financement de la mobilité, contribuant ainsi à la démocratisation et à l'orientation à l'international de ces jeunes.
  • Un mécanisme permettra aux étudiants en master d’obtenir des prêts à des conditions favorables pour étudier dans un autre pays.

Les nouveautés d’Erasmus +

  • Un budget en hausse : Erasmus+ est doté de 14,7 milliards d’euros pour la période 2014-2020 (hors dimension internationale), soit une augmentation de 40% par rapport aux programmes actuels. Le programme s’inscrit dans la stratégie Europe 2020.
  • Des possibilités accrues de coopération et de mobilité : pour les étudiants, les jeunes en formation professionnelle, les stagiaires, les enseignants et les formateurs souhaitant étudier, enseigner, effectuer un stage à l’étranger.
  • Un programme plus ouvert sur le reste du monde : possibilité d'associer des partenaires de pays tiers de l'Union européenne à la construction de projets de mobilité et de partenariats entre établissements en vue de la modernisation des systèmes d'enseignement supérieur.
  • Les étudiants sont encouragés à poursuivre leur master dans un autre pays européen : grâce à un nouveau dispositif, les jeunes pourront obtenir des prêts à des conditions favorables – allant de 12 000 euros (pour un master d’un an) jusqu’à 18 000 euros (pour des études de deux ans) –, pour financer leurs études dans un autre pays.
  • Erasmus+ soutient un nouveau type de partenariats entre les institutions d’enseignement et les entreprises. Les "alliances de la connaissance" et les "alliances sectorielles pour les compétences" devraient permettre des formations dans un environnement professionnel ainsi que de nouvelles approches d’enseignement et de nouveaux cursus adaptés au monde du travail.

Les bénéficiaires d'Erasmus+

  • Les étudiants de l'enseignement supérieur ;
  • les apprentis et les élèves de l’enseignement professionnel ;
  • les enseignants, assistants, formateurs, membres du personnel éducatif et animateurs de jeunesse ;
  • les étudiants de master effectuant un cycle complet d'études dans un autre pays bénéficieront de garanties de prêts ;
  • les jeunes souhaitant faire du bénévolat à l'étranger ou participer à des échanges ;
  • les étudiants qui étudient dans au moins deux établissements d'enseignement supérieur à l'étranger recevront des bourses pour suivre des programmes de master communs ;
  • les écoles, établissements d'enseignement et de formation professionnels, établissements d'enseignement supérieur, établissements de formation des adultes, souhaitant promouvoir les échanges d'expérience et la création de liens avec le monde du travail recevront des fonds pour établir des "partenariats stratégiques" ;
  • les établissements d'enseignement et les entreprises bénéficieront d'une aide pour créer des "alliances de la connaissance" et des "alliances sectorielles pour les compétences" afin d'améliorer l'employabilité et de stimuler l'innovation et l'esprit d'entreprise ;
  • des partenariats dans le domaine du sport, notamment des événements européens à but non lucratif, bénéficieront d'un financement.
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