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Formation Continue du Supérieur

4 décembre 2013

Europe: Shift in attitudes towards English-taught HE

By Beckie Smith. English as a medium of instruction in higher education across Europe provides marketing opportunities for non-native speaking countries and is becoming more widely accepted by governments and institutions, according to discussions in Spain last week. A two-day event organised by the British Council and Madrid-based IE University brought together EU policy makers and university leaders to consider the role of English in institutions. While attitudes toward EMI are shifting, delegates concluded that further guidelines and principles are necessary to maintain quality standards. More...

4 décembre 2013

Adoption du programme Erasmus+ par le Conseil de l'Union européenne

Le programme Erasmus+, qui vient d'être adopté par le Conseil de l'Union européenne, réunit tous les programmes de l'Union européenne en faveur de l'éducation, de la formation, de la jeunesse et du sport. Il permettra à 5 millions de jeunes européens de vivre une expérience de mobilité à l’étranger.  Vincent Peillon, ministre de l'Education nationale, Geneviève Fioraso, ministre de l'Enseignement supérieur et de la Recherche et Valérie Fourneyron, ministre des Sports, de la Jeunesse, de l'Education populaire et de la Vie associative, se félicitent de l'adoption ce jour par le Conseil de l'Union européenne d'Erasmus+, le programme de l'Union européenne pour l'éducation, la formation tout au long de la vie, la jeunesse et le sport pour la période 2014-2020.

Erasmus+ rassemblera tous les programmes actuels de l'Union européenne dans ces différents domaines. Avec un budget de plus de 14 milliards d'euros, soit une augmentation de 40% par rapport à la période 2007-2013,il permettra à plus de 5 millions de jeunes européens d'étudier, de se former et de participer à des activités de volontariat à l'étranger.

Ce nouveau programme, inscrit dans la stratégie Europe 2020 en matière de croissance, d'emploi et d'innovation, a vocation à encourager la participation de toutes les formes d'organisations actives dans les domaines de l'éducation, de l'enseignement supérieur, de la formation professionnelle, de la jeunesse et du sport.

Il se veut également plus ouvert sur le reste du monde avec la possibilité d'associer des partenaires de pays tiers de l'Union européenne à la construction des projets de mobilité et de partenariat stratégique.

Alors que le Président de la République a fait de la jeunesse et de l'éducation sa priorité, l'augmentation significative du budget d'Erasmus+ constitue une avancée majeure pour relever les défis de la connaissance, de la compétitivité et de l'emploi des jeunes.

Ce nouveau programme répond à un objectif central du Comité interministériel de la Jeunesse : augmenter le nombre de jeunes bénéficiant d'une expérience de mobilité et diversifier les publics.

A l'initiative de la France, les principaux ministres européens de l'enseignement supérieur et de la recherche, de l'éducation et de la jeunesse avaient demandé officiellement à la Commission européenne de flécher le budget complémentaire en priorité vers les jeunes des filières professionnelles et technologiques. Le message de l'ensemble des ministres français et européens a été entendu. Les lycéens et étudiants de ces filières, ainsi que les apprentis et les jeunes volontaires, vont pouvoir être plus nombreux à bénéficier de ces programmes de financement de la mobilité, contribuant ainsi à la démocratisation et à l'orientation à l'international de ces jeunes.

Entre 2007 et 2013, les différents programmes européens aujourd'hui rassemblés dans Erasmus + ont permis de financer chaque année la mobilité de 4 000 élèves, 4 800 lycéens professionnels et apprentis, 32 000 étudiants, 11 000 jeunes dans des actions d'éducation non formelle (projets associatifs, volontariats, échanges sportifs ou culturels) et 6 500 enseignants, plaçant la France au 2e rang des utilisateurs de ces programmes de mobilité.

3 décembre 2013

Commission Bibliothèques numériques - Rapport 2012-2013

CGaucheommission Bibliothèques numériques - Rapport 2012-2013  
Le rapport 2012-2013 de la Commission Bibliothèques numériques traite les thèmes suivants : l'observation des usages liés au numérique, les modèles économiques de tiers-archivage public, les expérimentations d'achat et de mise à disposition de livres numériques dans les bibliothèques publiques.
Télécharger Commission Bibliothèques numériques (rapport 2012-2013).

3 décembre 2013

Des indicateurs documentaires pour les sites universitaires - N°2013-005

livres à la mainCe rapport analyse les données statistiques existantes pour les bibliothèques des universités et des grandes écoles ainsi que pour les centres de documentation ou les services d'information scientifique et technique des organismes de recherche. 
Le rapport "Des indicateurs documentaires pour les sites universitaires" définit un noyau de données communes permettant d'établir un bilan documentaire global à l'échelle d'un site. Sur cette base, il propose des indicateurs quantitatifs et qualitatifs permettant d'évaluer les politiques documentaires dans le cadre des contrats de site qui seront conclus avec l'Etat. 
Télécharger Des indicateurs documentaires pour les sites universitaires.

3 décembre 2013

Avis du C.S.R.T. sur le budget de la de la Mission enseignement supérieur et recherche 2014

Les avis du Conseil supérieur de la recherche et de la TechnologieAdopté en séance plénière le 22 novembre 2013 à l'unanimité, cet avis du C.S.R.T. étudie successivement le financement de la recherche et de l'enseignement supérieur, l'emploi scientifique, l'aide à la recherche privée et à la valorisation de la recherche. Télécharger l'avis du C.S.R.T. sur le budget de la MIRES 2014.
Avis sur le budget de la MIRES 2014 Adopté en séance plénière le 22 novembre 2013 à l’unanimité
Le budget 2014 de la MIRES s’inscrit dans un contexte de restrictions budgétaires particulièrement aigu, restrictions qui perdurent et s’aggravent depuis plusieurs années. Le Conseil note avec satisfaction que ce budget de plus de 26 Md € affiche une croissance de 0.5 % par rapport à 2013 en euros courants (+ 0,4% pour l’enseignement supérieur), soit une baisse de 0,7% en euros constants (l’inflation prévue en 2014 étant de 1,2%). L es crédits de recherche baissent de 82 millions d’euros. 
Il ne marque pas d’infléchissement à l’exception des mesures nouvelles en faveur de la vie étudiante. La forte diminution des crédits incitatifs (ANR, fonds ministériels) n’est pas reportée sur les organismes, c’est une perte pour les laboratoires. La situation est aggravée par le fait que l’année 2014 correspond à un creux des appels d’offre de contrats européens puisque 2014 correspond à la transition entre le 7e PCRDT et le nouveau programme « Horizon 2020 ». Enfin, l’annonce d’un gel par l’Etat (il s’agit d’une mise en réserve de précaution) probable de 3 Md€ du budget aura des incidences sur le budget de la MIRES ; environ moins 7% de la subventio n de l’Etat contre 6% les années précédentes. Le CSRT souhaite que la minoration de 50% de la mise en réserve précédemment appliquée (aux organismes de recherche) soit maintenue. Télécharger l'avis du C.S.R.T. sur le budget de la MIRES 2014.

3 décembre 2013

Réussite et échec en premier cycle - Note d'information 13.10

Note d'information Enseignement sup RechercheLe parcours des étudiants en premier cycle est ponctué de réorientations et de redoublements. Ainsi, seul un étudiant sur deux passe directement en deuxième année de licence (un sur quatre redouble et un sur quatre se réoriente ou abandonne ses études supérieures), alors que parmi ceux qui parviennent en troisième année de licence générale, près de sept étudiants sur dix obtiennent le diplôme en un an (neuf sur dix en licence professionnelle). En D.U.T., le passage en seconde année est élevé : il concerne sept étudiants sur dix. Le taux de réussite en seconde année l’est également : près de neuf étudiants sur dix ont obtenu leur diplôme à la session 2011. En S.T.S., le taux de passage en seconde année est de 85 %. À la session 2011, le taux de réussite au BTS est de 72 % et augmente de deux points par rapport à 2010. Ces taux varient selon les caractéristiques des étudiants et l’établissement dans lequel ils effectuent leurs études. Mais au final, si l’on retient comme définition de l’échec en premier cycle le fait d’être sorti de l’enseignement supérieur sans diplôme, alors le taux d’échec en France est de l’ordre de 19 %, soit dix points de moins que la moyenne de l'O.C.D.E..

3 décembre 2013

ESPE, mise en place des écoles supérieures du professorat et de l'éducation

Communication en Conseil des ministres  
Le ministre de l'éducation nationale et la ministre de l'enseignement supérieur et de la recherche ont présenté, en Conseil des ministres du 27 novembre 2013, une communication relative à la mise en place des écoles supérieures du professorat et de l'éducation (ESPE).
Parce que la formation des enseignants est un facteur déterminant de la réussite de tous les élèves et de l'amélioration du système éducatif de la France, trente écoles supérieures du professorat et de l'éducation (ESPE) ont été créées au 1er septembre au sein d'une université ou d'une communauté d'universités et établissements. Leurs directeurs et leurs conseils auront été mis en place pour le tout début de l'année 2014.
Ces ESPE préparent à des diplômes à vocation professionnelle, les nouveaux masters "Métiers de l'enseignement, de l'éducation et de la formation" (MEEF), qui garantissent à la fois l'acquisition des compétences disciplinaires et des savoir-faire professionnels de haut niveau.
La formation dans les ESPE prend appui sur de nouveaux référentiels de compétences des métiers du professorat et de l'éducation et prépare les futurs enseignants à la diversité de leurs missions : excellence disciplinaire, maîtrise des pratiques pédagogiques, accueil des élèves en situation de handicap, utilisation des outils numériques, travail en équipe, participation à la vie d'un établissement.
Les ESPE sont animées à la fois par des universitaires et par des professionnels de terrain, issus notamment du premier et du second degré de l'éducation nationale, de façon à donner sa pleine dimension professionnalisante à la formation délivrée.
À compter de la prochaine session de concours, une année de stage rémunérée et professionnalisante pour les futurs enseignants sera rétablie. Elle se déroulera, en alternance, dans les ESPE, après la réussite aux nouveaux concours, désormais ouverts aux étudiants dès la première année de master. Les étudiants qui débutent cette formation renouvelée cette année prendront un service à temps plein à la rentrée 2015.
Un comité de suivi, associant acteurs de la réforme et personnalités qualifiées, sera installé le 29 novembre. Il aura pour mission d'apprécier la mise en œuvre de la réforme, de valoriser les bonnes pratiques et de proposer des améliorations. Ces premières mesures ont déjà porté leurs fruits en termes de renforcement de l'attractivité du métier d'enseignant : hausse de 29% des inscrits aux concours de recrutement de la session 2014 par rapport à la session 2013, progression de 50% des effectifs d'étudiants inscrits en première année de master MEEF.
La mise en place d'une formation des enseignants de haute qualité et à forte dimension professionnelle constitue pour l'éducation nationale, comme pour l'enseignement supérieur et la recherche, une des grandes réformes du quinquennat qui vient concrétiser un engagement fort du Président de la République.
Source : elysee.fr.

3 décembre 2013

Espace et recherche européenne à l'ordre du jour du Conseil de compétitivité

Drapeaux nationaux et européenLe Conseil de compétitivité qui a eu lieu à Bruxelles mardi 3 décembre a permis des avancées sur des dossiers concernant l'espace et la recherche européenne, avec notamment l'adoption du cadre financier d'Horizon 2020, d'Erasmus+ et de la contribution financière européenne allouée à  ITER.
Geneviève Fioraso, ministre de l'Enseignement supérieur et de la Recherche, et ses homologues européens en charge de l'espace et de la recherche se sont réunis à Bruxelles le 3 décembre pour une réunion du Conseil Compétitivité. Ce Conseil a permis d'avancer plusieurs programmes en cours :

  • le programme spatial Copernicus, pour la surveillance de l'environnement;
  • les initiatives technologiques conjointes pour financer des partenariats entre la recherche publique et l'industrie, et susciter ainsi l'innovation dans des secteurs industriels clefs (aéronautique, piles à combustible, bio-industrie, médicaments innovants, composants et systèmes électroniques);
  • la coordination de programmes nationaux de recherche abondés par l'Union Européenne dans le domaine de la métrologie, de l'assistance à domicile, du soutien aux P.M.E. innovantes, des essais cliniques sur les maladies liées à la pauvreté (V.I.H., tuberculose, malaria...);
  • la contribution de l'U.E., pour la période 2014-2020, à ITER, le plus grand projet scientifique mondial en cours, visant à la réalisation d'un réacteur de fusion et en construction à Cadarache.

Le Conseil a également procédé à l'adoption finale du Cadre financier pluriannuel 2014-2020, d'Horizon 2020 et d'Erasmus+, pour un montant respectif de 79 et de 14 Milliards euros. Suite...

3 décembre 2013

Téléprocédures au Ministère de l'Enseignement supérieur et de la Recherche - MESR

Activités des organismes publics et privés

Candidatures aux diplômes/examens spécifiques

Personnels de l'enseignement supérieur et de la recherche

Étudiants : admission/inscription dans le supérieur

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3 décembre 2013

PISA 2012 : des résultats qui s'aggravent

Logo de l'Agence Régionale de la Formation tout au long de la vie (ARFTLV Poitou-charentes)Le Programme International pour le Suivi des Acquis des élèves (PISA) évalue le niveau scolaire des élèves dans les 34 pays de l'OCDE. Les résultats de l'évaluation 2012 viennent d'être révélés.
Ils pointent qu'en France les inégalités se creusent dans toutes les matières. La France perd cinq places au classement PISA. Les résultats des élèves sont en baisse en mathématiques. Ils s'améliorent en compréhension de l'écrit (mais l'écart entre le nombre des très performants et des très peu performants a augmenté) et reste stable en sciences. Mais tout cela cache l'essentiel : le système éducatif français fabrique toujours des élites et produit un nombre croissant d'élèves de plus en plus faibles. 
Ces résultats moyens cachent également une montée des inégalités sociales de réussite. Le manque d’équité du système français se traduit, en termes de classement dans l’enquête PISA, par un écart de 20 places si l’on compare les performances des élèves issus des milieux les plus favorisés à celles des élèves issus des milieux les plus défavorisés.
En France, le système d’éducation est plus inégalitaire qu’il ne l’était il y a neuf ans : lorsqu’on appartient à un milieu défavorisé, on a aujourd’hui moins de chance de réussir qu’en 2003. Suite...
Consulter :
- Les résultats français de PISA 2012
- Une Note d'information de la DEPP sur : l’évolution des acquis des élèves de 15 ans en compréhension de l’écrit et en culture scientifique - Premiers résultats de l’évaluation internationale PISA 2012 ;
- Une Note d'information de la DEPP sur : Les élèves de 15 ans en France selon PISA 2012 en culture mathématique : baisse des performances et augmentation des inégalités par rapport à 2003.

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