Par Stéphanie Chasserio et Guillaume Doré. L’émergence récente des postes de "responsables du bonheur au travail" ou intitulés proches ("responsable des richesses humaines", "chef du bonheur", "responsable du bonheur", "responsable de la qualité de vie et de la santé au travail"...) a suscité un certain nombre de critiques. Au premier rang, la dénonciation de postes-gadgets, creux et sans réel pouvoir d’action, mais aussi la remise en cause de l’injonction du bonheur au sein des entreprises. Plus...
5 décembre 2019