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Formation Continue du Supérieur
21 juin 2012

Le marché de l’enseignement des langues à l’horizon 2013

http://www.xerfi.fr/XERFINEW_WEB/FR/LogoXerfi.jpgQuelles stratégies pour évangéliser un marché à fort potentiel mais encore sous exploité?
De belles perspectives de croissance se dessinent à l’horizon 2013

Traditionnellement, en période de crise conjoncturelle le marché de l’enseignement des langues marque un coup d’arrêt. La dégradation de l’environnement macroéconomique (croissance atone, crise du pouvoir d’achat, montée du chômage, inflation, etc.) à partir du second semestre 2011 se soldera ainsi par une chute de l’activité des professionnels en 2012. Les entreprises, principal débouché des organismes de formation, préféreront investir dans des domaines directement opérationnels tels que le management, le marketing ou bien encorela communication. Cesdifficultés seront néanmoins de courte durée. Avec la poursuite de la mondialisation de l’économie, l’anglais occupe une place de plus en plus importante au sein des entreprises, jusqu’à conditionner l’accession à certains postes, notamment dans les multinationales. Or, si le niveau de langue actuel des Français est globalement correct, il reste insuffisant dans le milieu professionnel, ce qui offre des opportunités de croissance aux organismes de formation. Le recours au DIF, sous-exploité en France, ouvre également une voie pour évangéliser le marché.
Un marché extrêmement vaste et disputé
Estimé à environ 400 M€,
le marché de l’enseignement des langues est peu structuré. Il est composé d’une multitude d’opérateurs, intervenant à l’échelle locale ou nationale, appartenant à la sphère privée lucrative, au domaine public voire associatif. Au sein de cet univers foisonnant, Xerfi a passé en revue les deux principaux facteurs clés de succès pour la profession prise dans son ensemble:
- proposer une offre globale en développant différents supports de formation (cours en face à face, téléphone, e-learning, etc.) et se positionner sur d’autres langues que l’anglais. Cette stratégie suppose néanmoins d’avoir atteint la taille critique pour réaliser les investissements nécessaires;
- se singulariser par rapport à la concurrence en valorisant ses prestations, notamment dans le domaine de l’e-learning qui souffre de l’essor d’une offre gratuite sur le web, et en créant des marques fortes.
Les différents visages de la formation linguistique

Afin d’analyser les enjeux, les orientations stratégiques, ainsi que les perspectives des acteurs, les experts de Xerfi proposent dans cette étude un panorama des professionnels de la formation linguistique. Plusieurs catégories d’opérateurs ressortent de l’analyse:
- les généralistes de la formation, à l’image de Demos, qui ont développé des cours de langues afin de proposer une offre globale de formation à leurs clients grands comptes. Sur ce segment, ils sont concurrencés par les sociétés d’interprétariat, qui proposent un service haut de gamme multilingues;
- les écoles de langues (Wall Street Institute, Berlitz), essentiellement spécialisées sur l’enseignement de l’anglais, proposent une offre sur mesure adaptée aux besoins des apprenants. Elles s’appuient sur des marques fortes, bâties sur des politiques de communication pluri-medias (affichage, réseaux sociaux, internet, etc.);
- les spécialistes de la formation par téléphone (Telelangue, GoFluent) développent des solutions particulièrement bien adaptées aux entreprises. Malgré le succès de leur modèle, ils s’orientent de plus en plus vers l’e-learning afin de diversifier leurs supports de formation;
- les éditeurs de logiciels (Tell Me More, Avanquest Software) travaillent généralement pour le compte de tiers, qu’il s’agisse d’organismes spécialisés dans l’enseignement des langues, tels que Berlitz, ou dans l’édition de manuels scolaires comme Nathan. Dans les deux cas, leurs motivations sont identiques: développer une solution d’e-learning performante et abordable pour le grand public. La concurrence d’une offre gratuite sur l’internet menace toutefois leurs positions.
Grâce à cette analyse complète et opérationnelle, vous disposerez d’un véritable outil pour organiser et hiérarchiser l’information, stimuler votre réflexion et préparer vos décisions. Télécharger la documentation complète de l'étude.
http://www.xerfi.fr/XERFINEW_WEB/FR/LogoXerfi.jpg ~ ~ V Aké stratégie evanjelizovať trh s veľkým potenciálom, ale nedostatočne využívaný?
Dobré vyhliadky pre rast sa objavujú v roku 2013

Tradične, v čase hospodárskej krízy trh pre výučbu jazykov znamená zastavenie.
Zhoršenie makroekonomického prostredia (plochý rast, kúpna sila kríza, rastúca nezamestnanosť, inflácia, atď). Od druhej polovice roka 2011 a bude mať za následok poklesu činnosti odborníkov v roku 2012. Viac...
13 juin 2012

La formation professionnelle continue, simplement un marché?

Par Paul Santelmann, Responsable de la Prospective à l’AFPA. La formation professionnelle continue (FPC) sera à l’ordre du jour de la conférence sociale de début juillet, preuve s’il en était que cette question ne se résume pas à une simple activité mercantile obéissant aux lois aléatoires du marché. L’investissement dans les compétences et les qualifications des actifs interpelle certes les stratégies d’entreprise mais aussi le dialogue social et les politiques publiques. Sur ces deux derniers volets se joue l’accès aux savoirs de celles et ceux qui ont le moins bénéficié de l’école mais se joue aussi la consolidation de leur employabilité et leur progression professionnelle. L’avenir social et professionnel des jeunes non diplômés, des chômeurs ou des salariés peu qualifiés (soit plus de 10 millions de personnes) est une politique structurelle qui dépasse le fonctionnement du marché de l’emploi et elle est au cœur de la nécessaire coopération entre partenaires sociaux et pouvoirs publics.
Mais pour discuter pragmatiquement de ce champ partagé, encore faut-il faire le point sur les financements qui sont aujourd’hui consacrés à ces catégories socioprofessionnelles. Or l’affichage des 34 milliards d’euros de choux et de carottes que l’on présente comme le budget de la formation post-scolaire ne permet aucun constat sérieux! Ainsi en mélangeant l’achat de formation avec les rémunérations des personnes en formation on brouille considérablement la question. Quant à l’achat de formation résumé à l’addition du chiffre d’affaires des 50 000 prestataires de formation (11 milliards d’euros?) il cache plusieurs dimensions différentes qu’il faut disjoindre. Ainsi le marché concurrentiel. de la FPC s’organise essentiellement autour de la formation des cadres et des managers qui permet de rentabiliser cette activité et de faire des marges bénéficiaires confortables ! La formation des moins qualifiés qui ne relève pas des mêmes critères de rentabilité a été soumise à la concurrence par les prix. Ce qui a abouti à une dégradation continue de la qualité de l’appareil de formation concerné (issu des organismes publics et des courants de l’éducation populaire)! Ainsi la qualité des ressources humaines et matérielles mises à la disposition de ses stagiaires par l’AFPA n’a cessé de se dégrader au nom de critères de rentabilité immédiate dont on mesure aujourd’hui l’inanité. Suite de l'article.

By Paul Santelmann, Head of Forecasting at the AFPA. Continuing professional development (CPD) will be on the agenda of the conference Social in early July, if evidence was that this issue is not just a simple mercantile activity random obeying the laws of the market. Investment in skills and qualifications of active challenges certainly business strategies but also the social dialogue and public policy. On these two components play access to knowledge of those who have benefited least from the school but also plays the consolidation of their employability and career progression. The future social and professional non-graduates, unemployed or low-skilled employees (over 10 million people) is a structural policy that goes beyond the operation of the labor market and is at the heart of the necessary cooperation between social partners and governments. More...

20 mai 2012

TALES OF UNIVERSITY DEVOLUTION: Organizational Behavior in the Age of Markets

http://cshe.berkeley.edu/images/cshe_logo_small.gifBy John Aubrey Douglass. CSHE 6.12 (April 2012). Download TALES OF UNIVERSITY DEVOLUTION: Organizational Behavior in the Age of Markets.
Abstract: In the wake of the Cold War era, America’s research universities became increasingly characterized by a tribal mentality among schools and departments, and disciplines. The surge in research funding, and the tremendous growth rate among the major public universities in particular, fostered the idea of the “multiversity” was becoming less communal, and less aware of the collective purpose. These patterns have accelerated considerably over the past two decades in the US that reflect three relatively new realities or influences: a) within the public university sector, decreasing public subsidies have influenced a movement toward internal management decisions and organizations that have eroded a previous model of revenue sharing (in tuition and fees, in overhead generated by extramural research, for example) to profit, loss, and prestige centers; b) this has been accompanied and reinforced by the concept that there are different market opportunities among different schools, departments, disciplines and their degrees, and hence opportunity costs (in the tuition price of an MBA versus and English PhD, for example) in which high income units should retain and spend those monies. These influences are common in various degrees globally but from different source. In much of the world, including Europe, the demands and edicts of ministries and evolving concepts of faculty as civil servants heavily influence organizational behavior. In the US, the decrease in public investment is driving internal behaviors shaped as well by the interests of faculty, the increasing global nature of knowledge production, and market opportunities that differ among the disciplines. This paper explores the development and impact of these various influences on research intensive universities, with the theme that the internal concept of the university is rapidly changing, influencing the behavior of academic leaders and faculty, the organization of the post-modern university, the flow of funds, and ultimately the perceived and real role of the research university in society. Past observers of the life and times on universities have described aspects of this shift as a movement from a larger sense of a university community among faculty to a tribal mentality. But the current shift extends well the weakening of disciplines and departments, beyond faculty as individual actors to the internal organization of the academy and a relatively new concept of profit and loss centers. This shift toward what I call “University Devolution” or fragmentation is influenced by the external political, social, and economic world. In Europe and elsewhere, neo-liberal ministries wield great power and have helped pushed universities toward this model. In the US, it remains largely a phenomenon influenced by reduced government investment yet ultimately driven by internal decision-making related to privatization – thus far. The paper ends with a brief discussion on whether the organizational behaviors in US research universities are reflective of global trends, or are in some aspects unique.
A GLOBAL TREND?

Boalt Hall, the Darden Business School, and the unraveling of faculty salary ladder or scales at the University of California are a sampling of various behaviors rooted in financial challenges and the changing market for degree programs and for faculty. While beyond the scope of this brief study, there are other behaviors that would be informative to explore. This includes a relatively new “re-charge” culture, or what is sometimes call Responsibility Centered Management, in which goods and services offered at one time by the university at no direct cost are now being itemized and charged supposedly at cost, but one might surmise sometimes inflated as units strive to create surpluses. Another is the effect of a growing regulatory regime linked to federal and state mandates, but also internal auditing and values. And yet another variable are the organizational behaviors shaped by America’s litigious society and by increased rights granted to employees of universities. Although difficult to measure, these are growing influences on the university environment – some good, some bad.
Is the process of Devolution a particularly American phenomenon? Perhaps the stronger sense of community once prevalent in campuses, and reinforced by budget allocations, by the sense of collective effort in expanding academic programs and growing enrollment, is a relatively unique American phenomenon. The sense of loss, or regression into a more fragmented academic milieu, is therefore more pronounced; perhaps it never really existed in many other nations where the primacy of the department or faculties in various fields has been more significant, reinforced to some degree by the lack of general education requirements which spread course workload, and funding, among the academic fields. In Japan, for instance, the supremacy of faculty and their departments and schools, has long ruled, seemingly impervious to campus wide coordination or even government policy initiatives.
Under a plan to expand the authority the presidents of the elite national universities, Japan’s ministry of education changed the status of these institutions as corporate entities under a familiar formula: give the university and its academic leader more autonomy but with the burden of a greater accountability regime. But all evidence is that there has been no major shift in authority or power internally – thus far. One sees similar ministerial efforts to empower the academic heads of French and German universities. As Georg Kruecken has observed, “The university as an organization is transforming into an organizational actor, i.e. an integrated, goal-oriented, and competitive entity in which management and leadership play an ever more important role.” This seems to point to greater centralization of authority and perhaps the promise of greater cohesion within university communities, even if one result is the infiltration of private sector acumen about budgets and operations that some may not find completely admirable (Kruecken 2011).
There is a significant and growing literature beyond the initial studies by Kerr, Jencks and Riesman, and Tony Becher that focused on the American scene and now includes international comparative perspectives (Kruecken and Meier, 2006; Musselin, 2009; Oslen, 2010, Scott, 2010). There is a distinct difference in the experience and viewpoint that focuses on the power and influence of central governments in shaping organizational behavior and with a different starting point in places like Europe in which universities have not historically been engaged as agents of economic development and socioeconomic mobility as their American counterparts. In the viewpoint of European critiques, for example, an “academic oligarchy” of faculty narrowly concerned about their research ruled the day and only recently has succumbed to a numbing series of edicts from government to drag it closer to the “market” (Clark, 1998; Ritzen, 2010). This is a story line that simply does not apply to America’s public universities that have always had in their DNA the idea of promoting socio-economic mobility and economic development as part of their public mission and portfolio.
At the same time, however, some of the elements of Devolution story are common, found throughout the world. There is convergence. US research universities are perhaps a bit ahead of the curve in some aspects – like differential fees, different salaries for different faculty, entrepreneurial funding schemes for capital outlays etc. – but it does seem to be a curve and one sees their relevancy or emergence in most parts of the world.
There is, I suspect, much more commonality and convergence than growing differences in organizational behavior. But one might speculate that the causes are somewhat different. One cause globally is the quest of ministries to create so-called “world class university” focused largely ranking systems that rely on citation index, patents and licenses, and reputational surveys. The push for improved rankings by ministries, along with their desire for greater differentiation within national networks of universities – where often the rush toward creating mass higher education systems resulting in statements and national allocations of funds under the ruse that all universities were equal in status, in quality, in productivity – are changing behaviors of faculty and of academic leaders and their staff. The establishment of quality assurance offices and staff, and matrixes to judge the performance of faculty and departments, within universities throughout the globe alone attest to changing behaviors.
Finally, if we view the process of privatization and increased fragmentation of resources as the result of a rational response of the academy, and specifically of research universities, to a more market oriented environment, then arguably what I describe as Devolution is in fact some sort of evolutionary process. Either way, one must assume it is not a process yet completed. It might mean, for example, that despite the tricky problems posed by tenure, some sub-set of academic programs may appear increasingly as expendable; that faculty salaries will become increasingly differentiated; that the profit and loss centers, and prestige faculty and departments, will become more pronounced. It means that the idea of the comprehensive university, with a broad array of disciplines, and with quality across the board, will be an increasingly rare or at least difficult to achieve commodity. But that is only speculation.
Universities have been extremely robust institutions over time, adapting to societal pressures and funding changes. Devolution may be simply another phase that alters but does not fundamentally change core practices and missions. That is speculation as well. Download TALES OF UNIVERSITY DEVOLUTION: Organizational Behavior in the Age of Markets.
26 décembre 2011

Accès au marché du travail des diplômés étrangers hautement qualifiés

http://media.enseignementsup-recherche.gouv.fr/image/Etudiants/53/9/Baulieu-Rennes-I_173539.79.jpgRéunion dans les premiers jours de janvier avec les présidents de la conférence des grandes écoles, de la conférence des présidents d'universités et de la conférence des directeurs des écoles françaises d'ingénieurs.
Claude Guéant, Ministre de l'Intérieur, de l'Outre-Mer, des Collectivités territoriales et de l'Immigration, Xavier Bertrand, Ministre du Travail, de l'Emploi et de la Santé et Laurent Wauquiez, Ministre de l'Enseignement supérieur et de la Recherche recevront dans les premiers jours de janvier, les présidents de la conférence des grandes écoles, de la conférence des présidents d'universités et de la conférence des directeurs des écoles françaises d'ingénieurs, afin d'aborder avec eux l'accès au marché du travail des diplômés étrangers hautement qualifiés. Au cours de cette réunion seront présentés les principes d'examen des demandes d'autorisation d'exercer une activité professionnelle en France.
Ces principes feront l'objet d'une circulaire spécifique adressée aux services préfectoraux au début de l'année 2012.
Voir aussi: Etudiants étrangers: finalement, Guéant va adapter sa circulaire, Diplômés étrangers: la circulaire Guéant préoccupe les entreprises françaises, Diplômés étrangers: cette circulaire qui ne passe pas, Diplômés étrangers: Fillon s'engage, Diplômés étrangers: Wauquiez fait un geste, Menace sur les diplômés étrangers en entreprise.
http://media.enseignementsup-recherche.gouv.fr/image/Etudiants/53/9/Baulieu-Rennes-I_173539.79.jpg Meeting in early January with the presidents of the Conference of Grandes Ecoles, the Conference of University Presidents and the Conference of Directors of the French schools of engineering. See also: Foreign students: finally Guéant will adapt its circular, International Graduates: Circular Guéant concern French companies, International Graduates: This circular does not, International Graduates: Fillon agrees, International Graduates: Wauquiez made a gesture, Threat of foreign graduates in business. More...
20 janvier 2011

Photographie du marché du travail en 2009

http://www.insee.fr/fr/css/images/logo_insee_pageint.gifRésultats de l’enquête Emploi, Anne Mansuy et Cédric Nouël de la Buzonnière, division Emploi, Insee.
Résumé
En 2009, 25,7 millions de personnes occupent un emploi et 2,6 millions sont au chômage au sens du BIT. La part des personnes de 15 à 64 ans ayant un emploi a diminué entre 2008 et 2009; cette baisse a touché principalement les jeunes hommes. Les jeunes sont plus concernés par des contrats courts et travaillent plus souvent dans la construction, l’hôtellerie et la restauration. Près d’une personne ayant un emploi sur dix travaille dans la même entreprise depuis moins d’un an; 1,4 million de personnes ayant un emploi souhaiteraient travailler plus, soit 5,5% de l’ensemble des actifs ayant un emploi. Les jeunes, notamment les moins qualifiés, demeurent les plus touchés par le chômage. Après 50 ans, plus de la moitié des chômeurs recherchent un emploi depuis plus d’un an.
Passages concernant les seniors
En moyenne en 2009, 56,5% des personnes de 15 ans ou plus vivant en France métropolitaine sont actives, c‘est-à-dire ont un emploi (51,3%) ou sont au chômage au sens du BIT (5,1%); 43,5% sont inactives, c’est-à-dire ne travaillent pas et ne recherchent pas activement un emploi ou ne sont pas disponibles pour en occuper un. 64% des 15-64 ans ont un emploi mais ce taux d’emploi a baissé de 0,8 point entre 2008 et 2009. Cette chute a essentiellement touché les hommes (− 1,2 point contre − 0,4 point pour les femmes) et les jeunes de 15 à 24 ans (− 0,9 point) alors que le taux d’emploi des seniors (entre 50 et 64 ans) s’est maintenu à 55,5%...
Selon leur âge, les salariés n’occupent pas les mêmes emplois. Il y a plus d’ouvriers parmi les jeunes (35%) que parmi les seniors (23%). Les 15-24 ans sont également un peu plus nombreux que les plus de 50 ans à être employés (40% contre 34%). À l’inverse, il y a presque cinq fois moins de cadres parmi les jeunes (4%) que parmi les seniors (19%)...
En outre, les jeunes salariés sont, en proportion, plus nombreux que les seniors à travailler dans le secteur privé: 86% des salariés de 15-24 ans travaillent dans le secteur privé, contre 73% de ceux de 50 ans et plus. Ceci s’explique par le fait que le niveau moyen d’études est plus élevé dans la fonction publique, mais également que le passage du public vers le privé est moins fréquent que l’inverse...
Les jeunes travaillent plus souvent que les seniors dans la construction: ce secteur emploie plus d’un jeune sur dix, mais un senior sur vingt. En revanche, seul un jeune sur huit travaille dans l’industrie, contre près d’un senior sur six.
Dans le secteur tertiaire, les activités de commerce et la réparation d’automobiles et de motocycles concentrent 20 % des jeunes salariés, contre moins de 11% des seniors. Les salariés de 15 à 24 ans sont proportionnellement trois fois plus nombreux que ceux de 50 ans et plus dans l’hébergement et la restauration: 8% des jeunes y travaillent, contre 3 % des seniors. Ils sont également plus concentrés que les seniors dans les activités scientifiques et techniques, les services administratifs et de soutien (12% contre 8%).
À l’inverse, l’administration publique, l’enseignement, la santé et l’action sociale constituent un secteur accueillant plus de seniors que de jeunes: près de 34 % des seniors y travaillent, contre un peu moins de 20% des jeunes salariés...
La progression est la plus forte parmi les jeunes et les seniors: il y a, en 2009, 27% de chômeurs de plus chez les 15-24 ans, 23% chez les 25-49 ans et 26% chez les 50 ans et plus. La part des chômeurs dans la population totale de 15 ans et plus est de 5,1%. La part des chômeurs est plus élevée chez les 15-24 ans (8,6%) et les 25-49 ans (7,3%) que chez les 50 ans et plus (2,0%). Les personnes de 25 à 49 ans se distinguent par leur taux d’activité très élevé, près de 90%, à comparer à 36% pour les 15-24 ans et 33% pour les 50 ans et plus...
http://www.insee.fr/fr/css/images/logo_insee_pageint.gif Riżultati ta 'l-Istħarriġ Impjiegi, Mansuy Anne u Cedric l Nouel Buzonnière, Diviżjoni Impjiegi, INSEE.
Fl-2009, 25700000 persuna huma impjegati u 2.6 miljun huma qiegħda skond ILO. Il-proporzjon ta 'nies 15-64 ma' l-impjiegi naqsu bejn 2008 u 2009 dan it-tnaqqis kien prinċipalment irġiel żgħażagħ. Iż-żgħażagħ huma aktar konċernati bit-kuntratti għal żmien qasir u xogħol l-aktar fil-kostruzzjoni, l-ospitalità u catering. Kważi wieħed minn għaxra impjegati maħduma fl-istess kumpanija għal inqas minn sena, 1.4 miljun persuna fl-impjieg tixtieq taħdem aktar, jew 5.5% tal-assi totali impjegat. Iż-żgħażagħ, partikolarment dawk b'ħiliet inqas, jibqa 'l-aktar milquta mill-qgħad. Wara 50 sena, aktar minn nofs ta' l-impjiegi li jfittxu li ilhom qiegħda għal aktar minn sena. More...
16 décembre 2010

Mission de découverte du marché de la formation professionnelle en Roumanie et Pologne

http://www.ubifrance.fr/Style/UbiFrance/V4/Image.axd?path=V4/header_ubifrance_bg.jpgDiversifié pour la Pologne et concentré pour la Roumanie, ces marchés ont le soutien des fonds européens et de belles perspectives. Mission de découverte du 22 au 24 mars 2011 - Pologne, Roumanie, Varsovie, Bucarest, Organisateur(s): ME de Bucarest, Contact: Mihaela-geanina LOZNEANU, Adresse: Str. Nicolae Iorga 11 Sector 1 010432 BUCAREST.
L’évolution à moyen et long terme des économies roumaine et polonaise passe par une hausse de la productivité et le passage d’une économie « low-cost » de sous-traitance à une économie créatrice de plus de valeur ajoutée.
Les fonds européens dont la Pologne et le Roumanie sont les principaux destinataires jouent un effet de levier sur le marché avec 3,2 milliards d’euros de subvention en Pologne rien que pour la formation continue en entreprise et 4,2 milliards d’euros en Roumanie dans le cadre du Programme Opérationnel Sectoriel Développement des Ressources Humaines, 2007-2013.
Les Missions économiques UBIFRANCE de Varsovie et de Bucarest organise un programme complet de rendez-vous avec les acteurs incontournables du secteur :
- les organismes institutionnels,
- les DRH des filiales françaises et des grands groupes nationaux et internationaux,
- les intégrateurs-distributeurs de logiciels,
- les acteurs privés de la formation continue qui cherchent à développer des partenariats.
http://www.ubifrance.fr/Style/UbiFrance/V4/Image.axd?path=V4/header_ubifrance_bg.jpgDiversificat la Polonia şi România să se concentreze, aceste pieţe au sprijinul fondurilor europene şi perspective bune:. Misiunii Discovery douăzeci şi doi-douăzeci şi patru martie 2011 - Polonia, România, Varşovia, Bucureşti, Organizatorul (e) ME Bucureşti Contact: Mihaela-Geanina LOZNEANU, Adresa: Str. Nicolae Iorga 11 Sector 1 010432 BUCUREŞTI. Mai mult...
15 octobre 2010

Record battu pour le marché de la formation continue: 30 milliards d’euros

http://www.pourseformer.fr/fileadmin/www.pourseformer.fr/template/img/forums.jpgPar Valérie Grasset-Morel. Exclusif – Dépense globale de formation en France: 30 milliards d’euros en 2008 selon le Jaune budgétaire 2011.
Les dépenses de formation professionnelle et d’apprentissage se sont élevées à 29,8 milliards d’euros en 2008 (+ 5,3 % par rapport à 2007), selon le Jaune budgétaire 2011 (Annexe « formation professionnelle » au PLF, projet de loi de finances, 2011) que Pourseformer s’est procuré en exclusivité. Principaux enseignements : les entreprises accentuent leurs efforts et restent les financeurs les plus importants. Autres tendances : le rôle croissant des Opca, la montée en puissance du DIF et l’autofinancement des salariés, qui bondit.
D’un montant total de 29,8 milliards d’€ en 2008, la dépense nationale pour la formation professionnelle et l’apprentissage s’accroît de 5,3 % par rapport à 2007 (28 milliards en 2007, indique le Jaune budgétaire 2011.
http://www.pourseformer.fr/fileadmin/www.pourseformer.fr/template/img/forums.jpg Door Valerie Grasset-Morel. Exclusief - de totale uitgaven voor de opleiding in Frankrijk: 30 miljard euro in 2008 volgens de Gele begroting 2011.
De kosten van de beroepsopleiding en leerlingwezen bedroeg tot 29,8 miljard euro in 2008 (+5,3% ten opzichte van 2007), zoals de Gele Begroting 2011 (bijlage "beroepsopleiding" in PLF, ontwerp- Finance Act, 2011), dat beschikt over de exclusieve Pourseformer. Meer...
15 juin 2009

Les politiques du marché du travail : comparaisons internationales

Eurostat rassemble chaque année des statistiques et des montants de dépenses, fournis par les Etats membres de l’Union européenne plus la Norvège, dans une base de données « Politiques du marché du travail ».
- Statistiques en bref1 in 10 of the population wanting to work took part in labour market training in 2006 (10% de la population désirant travailler a pris part à un programme de formation en 2006). Stat in focus 34/2009.
Nearly 2% of EU-27 GDP spent on labour market policies in 2006 (Les dépenses en faveur des politiques du marché du travail en 2006 représentent près de 2% du PIB de l’UE à 27). Stat in focus 94/2008.
- Rapports qualitatifs (Fiches descriptives standardisées): Rapport France 2007 - 325 ko.
Eurostatas renka statistinius duomenis kiekvienais metais ir išlaidų sumos, su sąlyga, kad valstybės narės įgyvendintų Europos Sąjunga ir Norvegija, yra pagrindo duomenys "darbo rinkos politika". Daugiau...

7 avril 2009

Pôle emploi lance un marché

Pôle emploi lance un marché pour l’insertion professionnelle et le placement. Date limite : 6 mai 2009 à 16h30.
La Direction générale de Pôle emploi vient de publier un appel d'offres en direction de l'ensemble des opérateurs et acteurs de l’insertion professionnelle et du placement. Les titulaires de ce marché devront accompagner Pôle Emploi dans la prise en charge intensive et le placement des publics très éloignés de l’emploi (lot 1), ainsi que l’accompagnement et le retour à l’emploi des licenciés économiques (lot 2).
Ce marché est prévu pour deux années à compter du 1er juillet 2009. Il sera reconductible pour une année supplémentaire. Il est organisé par région ou bassin d’emploi. Son objectif est le placement de 170 000 personnes éloignées de l’emploi (lot 1) et de 150 000 licenciés économiques (lot 2).
L’annonce relative à l’appel d’offres est consultable sur le site du Bulletin Officiel d’Annonces des Marchés Publics (http://www.boamp.fr) et sur le site du Journal Officiel de l’Union Européenne (http://ted.europa.eu). L’ensemble du dossier de consultation est téléchargeable sur le site : http://pole-emploi.marches-publics.fr . Vous pouvez obtenir des informations complémentaires à l’adresse suivante : prestations.2009@pole-emploi.info
.
Απασχόληση κέντρο ξεκινά μια αγορά για την επαγγελματική κατάρτιση και την τοποθέτηση. Προθεσμία: May 6, 2009 στις 16:30. Το σύνολο του πακέτου διαβούλευσης είναι διαθέσιμα στην ιστοσελίδα: http://pole-emploi.marches-publics.fr. Μπορείτε να βρείτε πληροφορίες, στην ακόλουθη διεύθυνση: @ prestations.2009 καλάμι emploi.info. Περισσότερα...
12 septembre 2008

L’enseignement supérieur et les marchés du travail, Colloque RESUP Dijon 2008

Conférence inaugurale : L’emploi des diplômés : la responsabilité des universités / Jean Vincens, LIRHE, Université des Sciences Sociales, Toulouse. 

Session 1 - Quelle relation formation-emploi pour les diplômés du supérieur ?

Objectif 50% de diplômés de l’enseignement supérieur : enjeux et débat / Philippe Lemistre, LIRHE et CEREQ. Les mouvements étudiants face aux questions de l’insertion et de la professionnalisation / Robi Morder, GERME. Des substituts aux carrières académiques des Docteurs ? / Jean-Paul Beltramo, Julien Calmand et Patrick Montjourides, IREDU, Université de Bourgogne. La relation formation-emploi chez les étudiants ou comment se former tout en se professionnalisant : le cas des étudiants STAPS / Loïc Gojard et Philippe Terral, EIRAPS-SOI, Centre Champollion & Université Paul Sabatier, Toulouse. Which Labour Market? Human Capital and the Modern Changes in Labour Economics / Pedro Teixeira, CIPES, Université de Porto 

Session 2 - Projet et stratégie des étudiants pour améliorer leur insertion

Motivations, représentations d’avenir et orientation dans l’enseignement supérieur : entre idéal, réalité scolaire et anticipation du marché du travail / Nadia Nakhili , BETA– CEREQ et IREDU. Stratégie des étudiants, choix d’orientation et problèmes d’engorgement : une analyse quasi-expérimentale / Magali Jaoul-Grammare, BETA, CNRS-Université de Strasbourg. Projet de formation et prise de décision chez les étudiants de 1ere année / Mohamed Elaribi, Département des Sciences de l’éducation, Université de Paris X. Poursuite d’études en Master et effet déterminant du marché du travail / Philippe Cordazzo, Département de démographie, Université de Strasbourg. La mobilité géographique comme stratégie de contournement de la dévalorisation des diplômes du supérieur / Mélanie Caillot, Institut d’Etudes Démographiques, Université de Bordeaux IV

Session 3 - L’insertion des diplômés de l’enseignement supérieur : éléments de comparaison internationale

L’emploi des diplômés de l’enseignement supérieur en Europe : les leçons de l’enquête REFLEX / Jim Allen, ROA Université de Maastricht. La flexibilité des diplômes de l’enseignement supérieur en Europe, évolutions et interrogations / Julien Calmand , CEREQ, Marseille. Genre et valorisation des compétences sur les marchés du travail en Europe / Jean-François Giret, Christine Guégnard, Jean-Jacques Paul, CEREQ-IREDU.Pour une approche statistique des liens entre formations et emplois / Catherine Béduwé et Jean Michel Espinasse, LIRHE, Université des Sciences Sociales Toulouse. De la mobilité étudiante institutionnalisée à l’emploi : Une démocratisation « ségrégative » variable en Europe / Magali Ballatore, LEST, Université de Provence. 

Session 4 - La professionnalisation de l’enseignement supérieur en question

La professionnalisation dans l’enseignement supérieur : un élément de gouvernance / Catherine Agulhon, CERLIS, Université Descartes, Paris. Professionnalisation de l’enseignement »supérieur : Quelles incitations pour les entreprises ? / Françoise Dauty et Françoise Larre, LIRHE, Université des Sciences Sociales Toulouse. Réflexions sur la professionnalisation de l’enseignement supérieur : Jusqu’où doit-on aller trop loin ? L’exemple de La Réunion / Stéphane Guillon, CIRCI, Université de La Réunion. Le stage : Lien privilégié entre formation et emploi / Nicole Escourrou, CREF, Université de Paris X Nanterre. L'insertion des diplômes de l'enseignement supérieur sur le marché du travail en Côte d'Ivoire à la fin des années 90 : une analyse micro économétrique / Hilaire Wapoh, UFR des Sciences Economiques et Gestion, Université d’Abidjan-Cocody, Côte d’Ivoire.
Istruzione superiore e di mercati del lavoro, Colloque RESUP, Dijon 2008. Inaugurazione Convegno: l'occupazione dei laureati: la responsabilità delle università. Maggiori informazioni...

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