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Formation Continue du Supérieur
14 juillet 2012

L'indicateur BSIS - Business School Impact Score

Qu'est-ce que le [BSIS]?
Le [BSIS], ou Business School Impact Score, se définit comme un outil et une démarche permettant de mesurer les différents impacts que peut avoir un établissement supérieur de gestion sur son environnement.
La FNEGE, Fondation Nationale pour l’Enseignement de la Gestion des Entreprises, a initié cette démarche visant à évaluer l’impact d’une école de management en termes financiers, en termes d’emplois, en termes d’activités, en termes intellectuels de façon aussi complète que possible.
Il ne s’agit pas seulement de chercher à évaluer les impacts directs, au sens financier, mais aussi d’identifier l’ensemble des activités d’une école qui contribuent au développement de son environnement. Une telle approche est complémentaire des processus d’accréditations existants dans la mesure où elle vise, non pas à définir la conformité à un standard, mais à évaluer l’impact d’une Business School sur son environnement en tenant compte de ses particularités et de son rôle.
Ainsi, nous cherchons à mettre en évidence les externalités positives liées au fonctionnement de la Business School et à montrer l’importance du rôle des établissements de gestion dans un environnement donné.
A qui s'adresse le [BSIS]?

Le [BSIS] s’adresse à différents destinataires susceptibles d’être intéressés par les résultats:
Administration
Les membres des conseils d’administration des Business Schools
Partenaires
Les élus des organisations partenaires de la Business School: Chambre de Commerce et d’Industrie (CCI), villes, départements, régions, pays…
Éducation
Et plus globalement, tous les acteurs intéressés par l’impact des organisations ayant une mission de service public dans le domaine éducatif.
Le [BSIS] peut aussi constituer un outil dans le cadre des procédures de négociation de ressources, du type Contrat d’Objectifs et de Moyens qui se multiplient actuellement.
Comment fonctionne le [BSIS]?
A partir d’une série d’entretiens non directifs auprès d’une vingtaine de directeurs d’Ecoles de Commerce, d’IAE et d’experts du secteur de l’enseignement supérieur en gestion, nous avons défini les axes d’évaluation et le choix des critères du [BSIS].
Le choix des critères n’est pas uniquement orienté sur des données quantitatives, mais est complété par une description narrative de nature qualitative afin d’appréhender au mieux la réalité de l’impact d’une Business School. C’est pourquoi, les effets d’une Business School ont été regroupés en privilégiant 5 dimensions:
L’impact financier d’une BS doit être appréhendé sur le plan des flux financiers induits par l’activité de l’école.
L’impact économique représente l’influence de l’activité pédagogique et de recherche de la BS sur l’activité économique des entreprises et peut être appréhendé en termes d'emplois.
L’impact innovation est retenu dans une approche large intégrant l’innovation technologique dans les services et pratiques managériales.
L’impact image d’une BS découle de l’activité de communication que l’école développe au plan national ou international (associée à celle de la ville / de la région).
L’impact sociétal correspond à la responsabilité de la BS (RSE) vis-à-vis des impacts de ses décisions et activités sur la société et l’environnement.

BSIS [στοιχεία της λογιστικής κατάστασης]
Η [στοιχεία της λογιστικής κατάστασης] Σχολή, ή Business Αποτελέσματα επιπτώσεων ορίζεται ως ένα εργαλείο και μια διαδικασία για τη μέτρηση των διαφόρων επιπτώσεων που μπορεί να έχει μια ανώτερη διαχείρισης ακινήτων του περιβάλλοντός του.

Η FNEGE, Εθνικό Ίδρυμα για τη Διοίκηση Επιχειρήσεων Διδασκαλία, άρχισε αυτή τη διαδικασία για να αξιολογήσει τον αντίκτυπο ενός σχολείου διαχείρισης από οικονομική άποψη, όσον αφορά την απασχόληση, όσον αφορά τις δραστηριότητες, σε πνευματικό επίπεδο, όσο το δυνατόν πληρέστερα.

Δεν είναι μόνο προσπαθεί να αξιολογήσει τις άμεσες επιπτώσεις, η οικονομική λογική, αλλά και να εντοπίσει όλες τις δραστηριότητες του σχολείου που συμβάλλουν στο περιβάλλον του
. Περισσότερα...

7 juillet 2012

L'indicateur BSIS - Business School Impact Score

Qu'est-ce que le [BSIS]?
Le [BSIS], ou Business School Impact Score, se définit comme un outil et une démarche permettant de mesurer les différents impacts que peut avoir un établissement supérieur de gestion sur son environnement.
La FNEGE, Fondation Nationale pour l’Enseignement de la Gestion des Entreprises, a initié cette démarche visant à évaluer l’impact d’une école de management en termes financiers, en termes d’emplois, en termes d’activités, en termes intellectuels de façon aussi complète que possible.
Il ne s’agit pas seulement de chercher à évaluer les impacts directs, au sens financier, mais aussi d’identifier l’ensemble des activités d’une école qui contribuent au développement de son environnement. Une telle approche est complémentaire des processus d’accréditations existants dans la mesure où elle vise, non pas à définir la conformité à un standard, mais à évaluer l’impact d’une Business School sur son environnement en tenant compte de ses particularités et de son rôle.
Ainsi, nous cherchons à mettre en évidence les externalités positives liées au fonctionnement de la Business School et à montrer l’importance du rôle des établissements de gestion dans un environnement donné.
A qui s'adresse le [BSIS]?

Le [BSIS] s’adresse à différents destinataires susceptibles d’être intéressés par les résultats:
Administration
Les membres des conseils d’administration des Business Schools
Partenaires
Les élus des organisations partenaires de la Business School: Chambre de Commerce et d’Industrie (CCI), villes, départements, régions, pays…
Éducation
Et plus globalement, tous les acteurs intéressés par l’impact des organisations ayant une mission de service public dans le domaine éducatif.
Le [BSIS] peut aussi constituer un outil dans le cadre des procédures de négociation de ressources, du type Contrat d’Objectifs et de Moyens qui se multiplient actuellement.
Comment fonctionne le [BSIS]?
A partir d’une série d’entretiens non directifs auprès d’une vingtaine de directeurs d’Ecoles de Commerce, d’IAE et d’experts du secteur de l’enseignement supérieur en gestion, nous avons défini les axes d’évaluation et le choix des critères du [BSIS].
Le choix des critères n’est pas uniquement orienté sur des données quantitatives, mais est complété par une description narrative de nature qualitative afin d’appréhender au mieux la réalité de l’impact d’une Business School. C’est pourquoi, les effets d’une Business School ont été regroupés en privilégiant 5 dimensions:
L’impact financier d’une BS doit être appréhendé sur le plan des flux financiers induits par l’activité de l’école.
L’impact économique représente l’influence de l’activité pédagogique et de recherche de la BS sur l’activité économique des entreprises et peut être appréhendé en termes d'emplois.
L’impact innovation est retenu dans une approche large intégrant l’innovation technologique dans les services et pratiques managériales.
L’impact image d’une BS découle de l’activité de communication que l’école développe au plan national ou international (associée à celle de la ville / de la région).
L’impact sociétal correspond à la responsabilité de la BS (RSE) vis-à-vis des impacts de ses décisions et activités sur la société et l’environnement.

BSIS [στοιχεία της λογιστικής κατάστασης]
Η [στοιχεία της λογιστικής κατάστασης] Σχολή, ή Business Αποτελέσματα επιπτώσεων ορίζεται ως ένα εργαλείο και μια διαδικασία για τη μέτρηση των διαφόρων επιπτώσεων που μπορεί να έχει μια ανώτερη διαχείρισης ακινήτων του περιβάλλοντός του.

Η FNEGE, Εθνικό Ίδρυμα για τη Διοίκηση Επιχειρήσεων Διδασκαλία, άρχισε αυτή τη διαδικασία για να αξιολογήσει τον αντίκτυπο ενός σχολείου διαχείρισης από οικονομική άποψη, όσον αφορά την απασχόληση, όσον αφορά τις δραστηριότητες, σε πνευματικό επίπεδο, όσο το δυνατόν πληρέστερα.

Δεν είναι μόνο προσπαθεί να αξιολογήσει τις άμεσες επιπτώσεις, η οικονομική λογική, αλλά και να εντοπίσει όλες τις δραστηριότητες του σχολείου που συμβάλλουν στο περιβάλλον του
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1 juillet 2012

Un nouvel indicateur pour les portefeuilles de demandeurs d’emploi

communiqué taille de portefeuille - CorporateLa notion de « portefeuille de demandeurs d’emploi » est apparue en 2006 avec le rattachement de chaque demandeur d’emploi à un conseiller référent, interlocuteur privilégié pour le demandeur. La convention tripartite 2012-2014, conforte le principe du rattachement de chaque demandeur d’emploi à un conseiller référent, et donc à un « portefeuille ».
L’indicateur utilisé aujourd’hui est calculé en faisant le ratio entre:

- le nombre de demandeurs d’emploi suivis en interne par Pôle emploi c'est-à-dire de catégorie A et B ayant plus de 4 mois d’ancienneté
- et le nombre de « portefeuilles » enregistrés dans les outils de pilotage de Pôle emploi.
Cet indicateur s’élève aujourd’hui à 125. Il s’agit d’une moyenne nationale recouvrant des situations différentes selon les bassins d’emploi.
Même si l’indicateur utilisé actuellement n’est pas en soi contestable, il rend imparfaitement compte de la réalité opérationnelle à laquelle sont confrontés les conseillers. Plusieurs facteurs contribuent en effet à minorer la taille moyenne des « portefeuilles » des conseillers:
- certains des « portefeuilles » recensés sont suivis par des encadrants (publics aux situations particulièrement complexes, suivi de demandeurs en attente d’affectation définitive à un conseiller référent…)
- d’autres « portefeuilles » sont attribués à des conseillers à temps partiel ou à des conseillers polyvalents qui répartissent leur temps de travail à la fois sur l’indemnisation et le placement et qui ont en conséquence des « portefeuilles » de taille plus réduite
- d’autres enfin sont très spécifiques et représentent une charge plus faible pour les conseillers qui en ont la responsabilité: « portefeuilles » rassemblant certaines catégories de demandeurs ne nécessitant pas ou plus de suivi personnalisé régulier (demandeurs d’emploi en instance d’entrer en formation ou de reprendre un emploi par exemple).
L’objectif du nouvel indicateur est de mieux rendre compte du nombre de demandeurs d’emploi suivis par les conseillers et ainsi de la charge correspondante.
Même s’il n’existe pas de mesure idéale de la charge de travail du conseiller, tant il est difficile de prendre en compte les aspects qualitatifs de la composition des « portefeuilles », ainsi que l’ensemble des activités du conseiller (accueil, relation entreprise, gestion des droits des allocataires…), l’introduction du nouvel indicateur introduit des progrès notables.
Le calcul du nouvel indicateur est le suivant:

Le numérateur est identique: le nombre de demandeurs d’emploi suivis en interne par Pôle emploi c'est-à-dire de catégorie A et B ayant plus de 4 mois d’ancienneté.
Au dénominateur, le nombre de « portefeuilles » est remplacé par le nombre d’agents pourvus d’un « portefeuille de demandeurs d’emploi » mesuré en équivalent temps plein.
Cet indicateur s’élève aujourd’hui à 161.

communiqué taille de portefeuille - Corporate The concept of "portfolio of job seekers' appeared in 2006 with the incorporation of each job seeker referral to a counselor, contact person for the applicant. The tripartite agreement 2012-2014, confirms the matching principle of every applicant for employment referral to a counselor, and thus a "portfolio".
The indicator is now calculated as the ratio:

- The number of job seekers followed by in-house employment center that is to say, Class A and B having more than 4 months old

- And the number of "portfolios" recorded in the management tools of employment center.

The indicator now stands at 125.
This is a national average covering different situations according to the employment areas. More...
17 juin 2012

Journée thématique - les indicateurs d’internationalisation

http://www.campusfrance.org/sites/default/files/imagecache/evenement_image/ca_evenement/126882/logo-thematique.jpgJeudi 28 juin 2012. Journée thématique Campus France : les indicateurs d'internationalisation.
Une journée thématique dédiée aux indicateurs d'internationalisation sera organisée le jeudi 28 juin 2012 à l’Alliance Française de Paris.
Cette journée s’adresse spécifiquement aux établissements d’enseignement supérieur français qui souhaitent approfondir leurs connaissances sur l’élaboration et l’utilisation d’indicateurs dans le cadre du développement de leur stratégie institutionnelle d’internationalisation.
Lors de ce rendez-vous, des experts internationaux et des représentants d’établissements français et européens partageront, majoritairement en français, leur expertise et expériences dans ce domaine.
La journée s’appuiera également sur l’expérience de l’Agence CampusFrance en tant que partenaire dans le projet européen IMPI (Indicators for Mapping and Profiling Internationalisation) financé par la Commission européenne.
Veuillez trouver ci-joint le programme prévisionnel de la journée. Pour vous inscrire, nous vous remercions par avance de bien vouloir nous envoyer l’engagement de participation ci-joint dûment rempli, au plus tard le lundi 30 avril 2012. Pour en savoir plus sur cette manifestation Campus France, n’hésitez pas à contacter Louise Watts (louise.watts@campusfrance.org) ou Johanna Rasplus (johanna.rasplus@campusfrance.org).
Eléments liés: Programme prévisionnel journée indicateurs, Engagement de participation, Règlement de participation. Adresse: Alliance Française de Paris, 101 boulevard Raspail, Paris cedex 06, 75270 France. Contact: Louise WATTS, Campus France Paris, France, louise.watts@campusfrance.org; Johanna RASPLUS, Campus France Paris, France, johanna.rasplus@campusfrance.org.
Programme prévisionnel
Journée thématique : les indicateurs d'internationalisation. Paris, le jeudi 28 juin. Lieu : Auditorium Marc Blancpain de l'Alliance Française - 101, boulevard Raspail, 75006 Paris.

Les indicateurs dans l'enseignement supérieur français, Christine Gavini-Chevet, Directrice des relations européennes et internationales et de la coopération, MESR, Patricia Pol, Conseillère aux Affaires internationales, AERES.
Indicateurs et politiques dans le contexte du 3e rapport "Internationalisation de l'éducation supérieure: Tendances globales, Perspectives régionales", Eva Egron-Polak, Secrétaire générale de l'AIU.
Initiatives européennes, Uwe Brandenburg, CHE Consult, Coordonnateur du projet européen IMPI.
Etudes de cas d'un établissement d'enseignement supérieur français, Frédéric Ogée, Vice-Président chargé des Relations internationales, Université Paris Diderot.
L'utilisation des indicateurs dans le développement de la stratégie internationale, Marina Casals Sala, Université Rovira i Virgili, Espagne.
Présentation de l'outil MINT, Adinda van Gaalen, Nuffic, Pays-Bas.
Thursday, June 28, 2012. Theme Day Campus France: indicators of internationalization.
A day dedicated to the theme of internationalization indicators will be held Thursday, June 28, 2012 at the French Alliance of Paris.

This day is specifically for French higher education institutions wishing to further their knowledge on the development and use of indicators in the development of their institutional strategy of internationalization.

At this meeting, international experts and representatives of French and European share, mostly in French, their expertise and experiences in this area.

The day will also draw on the experience of CampusFrance as a partner in the European project IMPI (Indicators for Mapping and Profiling Internationalization) funded by the European Commission
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5 avril 2012

Critics counter website allowing university indicator comparisons

http://enews.ksu.edu.sa/wp-content/uploads/2011/10/UWN.jpgBy Geoff Maslen. For the first time, students from around the world can compare Australia’s 39 public universities on the basis of their courses, student satisfaction levels, the qualifications of academics, staff-student ratios, drop-out rates and graduate employment.
Although criticised immediately for including information of doubtful validity, the MyUniversity website is probably unique in providing so many comparative details of each university’s operations.
Launched on Tuesday 3 April in Canberra by Tertiary Education Minister Senator Chris Evans, MyUniversity is an interactive, searchable site that includes a wide variety of indicators. Evans said the site would “empower students to make the right call”.
“Enrolling at university is a huge life decision for young Australians and their families. MyUniversity will help ensure that students have all the relevant information to make an informed decision about what’s best for them,” he said
Evans said the site was designed to ensure accountability and transparency as universities began competing for students in Australia’s new demand-driven system after the government this year lifted limits on the number of students each university could enrol.
Creation of the A$1.5 million website was foreshadowed by then education minister Julia Gillard two years ago and follows similar ventures for Australian schools and hospitals.
The MySchools site has generated considerable controversy since it was launched in January 2010, and has resulted in league tables of schools being drawn up by some newspapers.
As well as basic information about courses, enrolment numbers, student backgrounds and gender, the site also provides details of amenities such as car parking and child care along with clubs, societies and other aspects of campus culture...
21 janvier 2012

Science, technologie et industrie: Tableau de bord de l'OCDE 2011

http://www.oecd-ilibrary.org/content/images/science-technologie-et-industrie-tableau-de-bord-de-l-ocde-2011_sti_scoreboard-2011-fr.jpgCette dixième édition du "Science, technologie et industrie: Tableau de bord de l’OCDE" se fonde sur les cinquante années d’expérience de l’OCDE dans l’élaboration d’indicateurs pour présenter les tendances mondiales majeures en matière de savoir et d’innovation.  Elle analyse un large éventail d’indicateurs de la science, de la technologie, de l’innovation et de la performance industrielle dans les pays de l’OCDE et dans de grands pays non membres (notamment le Brésil, la Fédération de Russie, l’Inde, l’Indonésie, la Chine et l’Afrique du Sud) et contient des indicateurs expérimentaux qui renseignent sur de nouveaux domaines d’action des pouvoirs publics. Egalement disponible en: Anglais.
Table des matières
Avant-propos
Science, technologie et industrie: Tableau de bord de l’OCDE 2011 tire parti des toutes dernières données comparables à l’échelle internationale pour examiner les défis que doivent relever les pays de l’OCDE et d’autres grandes nations dans le contexte économique mondial actuel, alors que les répercussions des récentes crises financière et économique se font encore sentir.
Remerciements

Cet ouvrage résulte d’efforts collectifs déployés par la Division des analyses économiques et des statistiques (EAS) de la direction de la science, de la technologie et de l’industrie (DSTI) de l’OCDE sous l’égide d’Alessandra Colecchia.

Guide de l'utilisateur.
Résumé

Le monde est confronté aujourd’hui à de défis majeurs. Alors que les effets de la récession économique se font encore sentir, de nouvelles pressions mettent à mal l’aptitude des gouvernements à amorcer la reprise et les taux nationaux d’endettement et de chômage restent élevés. La mondialisation affiche un rythme et une ampleur inédits.

Économies du savoir: tendances et caractéristiques
Sources de croissance
Le monde est confronté aujourd’hui à des défis majeurs, et les effets de la récession économique se feront sentir dans nos sociétés pendant des années. Il est d’usage de mesurer le bien-être des nations par le produit intérieur brut (PIB) par habitant.
Déplacement de l'IDE vers l'est
L’investissement direct étranger (IDE) permet aux pays destinataires d’avoir accès à de nouvelles technologies et y engendre des retombées de connaissances dont bénéficient les entreprises locales ainsi que des investissements supplémentaires dans la recherche et le développement (R-D).
R-D et innovation durant la crise économique
Les dépenses de recherche-développement (R-D) sont un investissement dans de nouvelles connaissances et de nouveaux produits et procédés. Elles sont financées par l’État ou les entreprises. La R-D financée sur fonds publics vise principalement à produire de nouvelles connaissances fondamentales ou à répondre à des besoins sociaux tels que la santé ou la défense et n’a pas vocation à influer sur la productivité telle qu’elle est actuellement mesurée.
L'innovation tous azimuts
De nouveaux indicateurs des marques de commerce mettent en lumière de très nombreuses innovations résultant d’une évolution progressive, y compris en matière de commercialisation, qui montrent que les pays innovent à la fois dans les domaines technologiques et ceux non liés à la R-D.

Les émissions de CO2

Les effets bénéfiques de la croissance, même s’ils ont été répartis inégalement dans le monde, ont été extraordinaires. Au cours des 150 dernières années, l’espérance de vie s’est allongée de près de 30 ans dans la plupart des régions, notamment dans certaines des moins développées.
Notes. Références.

Renforcer le savoir
Nouveaux titulaires de doctorat

Les titulaires de doctorat sont des acteurs clés de la recherche et de l’innovation. Ils ont été spécifiquement formés à la recherche et sont considérés les plus qualifiés pour faire avancer et diffuser la connaissance scientifique.
Carrières des titulaires de doctorat
L’aptitude d’une économie à attirer vers la recherche des ressources humaines est à la base des progrès de la connaissance et de l’activité économique. La stabilité, la rémunération et la motivation font partie des facteurs qui influent sur les choix de carrière des titulaires de doctorat.
Professions de la science et de la technologie

Les ressources humaines consacrées à la science et à la technologie (RHST) jouent un rôle essentiel dans l’innovation. Dans la plupart des pays de l’OCDE, elles ont représenté plus du quart de l’emploi total en 2010. Leur part dépassait 40 % au Luxembourg, en Suède, au Danemark et en Suisse; en Inde et en Indonésie, les RHST n’atteignaient pas 10 % de l’emploi total.

Chercheurs

En 2009, plus de 4.2 millions de chercheurs effectuaient des travaux de R-D dans la zone OCDE, soit quelque 7.6 pour 1 000 salariés - en nette progression par rapport aux 6.6 pour 1 000 de 1999. Les cinq pays nordiques (Danemark, Finlande, Islande, Norvège et Suède), la Corée, le Japon et la Nouvelle- Zélande employaient plus de 10 chercheurs pour 1 000 salariés.
Dépense de R-D
La dépense de recherche-développement (R-D) est l’une des variables les plus utilisées pour mesurer les apports de l’innovation. L’intensité de R-D (dépense de R-D rapportée au PIB) indique le poids relatif de l’investissement dans la création de savoir d’un pays. Israël a la plus forte intensité de R-D: sa dépense intérieure brute de R-D (DIRD) dépasse 4% du PIB, contre une moyenne OCDE de 2.3%.
Enseignement supérieur et recherche fondamentale
Les universités et établissements publics de recherche mènent l’essentiel de la recherche fondamentale, d’où le rôle crucial du financement public. La dépense intérieure de R-D dans l’enseignement supérieur (DIRDES) s’élève à 0.4% du PIB dans la zone OCDE et part en hausse dans la plupart des pays depuis dix ans.
R-D des entreprises
La dépense de recherche-développement des entreprises (DIRDE) est jugée importante pour l’innovation et la croissance économique. Dans les pays de l’OCDE, la R-D effectuée par des entreprises représente la majeure partie de la R-D en termes de financement et d’exécution.
Investissement dans les TIC
L’investissement en capital permet d’accroître le stock de capital, de le renouveler et d’introduire de nouvelles technologies dans le processus de production.
Notes. Références.

Partager la connaissance
Financements croisés public-privé de la R-D

Les interactions entre secteurs public et privé sont complexes au regard du financement et des résultats de la R-D. L’État a le choix entre divers instruments pour favoriser la R-D des entreprises. En général, il finance directement ces activités via des subventions ou des marchés publics.
Financement international de la R-D
Le financement de la R-D des entreprises (DIRDE) peut être d’origine nationale ou étrangère. Il peut provenir d’entreprises privées, d’organismes publics (État et enseignement supérieur) ou d’organisations internationales.
Liens scientifiques
Les articles publiés dans des revues prestigieuses donnent une indication de la production scientifique « ajustée selon la qualité ». Le taux de publication de qualité est le plus élevé en Suisse, suivie par la Suède et le Danemark.
Liens entre science et technologie
Il est difficile de mesurer le lien entre les inventions brevetées et la recherche fondamentale. La plupart des documents brevet comprend des références à des brevets précédents ainsi qu’à une « littérature non-brevet », des articles scientifiques par exemple, pour respecter les critères de nouveauté, d’activité inventive et d’application industrielle.
Mobilité internationale
Les systèmes d’enseignement supérieur et de recherche se sont internationalisés au cours des dernières décennies. Cette évolution peut être mesurée par la mobilité internationale des étudiants (enseignement supérieur) et des titulaires de doctorat (recherche).
Mobilité professionnelle
L’acquisition de connaissances au sein des entreprises permet aux ressources humaines en science et technologie (RHST) de partager des informations, de remettre en question des modèles existants, d’expérimenter et de collaborer pour améliorer les produits et les procédures.
Innovation et flux de connaissances
L’innovation est un processus complexe, qui fait souvent intervenir des acteurs et des liens nombreux. Pour rendre compte de sa dimension systémique, on peut examiner les sources d’information que les entreprises utilisent pour leurs activités d’innovation.
Collaboration au sein des chaînes de valeur des entreprises
En 2006-08 dans la plupart des pays, les grandes entreprises étaient bien plus susceptibles de collaborer sur des projets d’innovation que les petites et moyennes entreprises (PME). Chez ces dernières, le taux de collaboration est compris entre 25% et 40% des entreprises innovantes dans la moitié des pays étudiés, mais il varie beaucoup dans les grandes entreprises.
Collaboration internationale en matière d'innovation
Collaborer avec des partenaires étrangers peut largement contribuer au processus d’innovation, en offrant aux entreprises un accès à des ressources et connaissances plus vastes, à moindre coût et en partageant les risques. Les formes et degrés d’interaction sont très divers: du simple échange d’informations jusqu’à des arrangements officiels et très interactifs.
Flux technologiques
Les recettes technologiques tirées des brevets et licences, et les paiements effectués pour les services de R-D, constituent la principale source d’information sur la diffusion de technologies non incorporées et illustrent l’internationalisation des flux technologiques.
Notes. Références.

Cibler les nouveaux domaines de croissance
Financement public de la R-D

Les politiques publiques peuvent beaucoup aider à orienter les efforts d’innovation vers la résolution des défis nationaux et mondiaux. Les crédits budgétaires publics à la R-D (CBPRD) renseignent sur l’importance relative de divers objectifs socioéconomiques (défense, santé, environnement) dans les budgets publics de R-D.
Innovation dans la santé
Les pays de l’OCDE sont confrontés au vieillissement de la population ainsi qu’à d’autres défis en matière de santé tels que les pathologies de plus en plus résistantes aux traitements et les risques de pandémies. L’innovation est cruciale pour remédier à ces problèmes tout en maîtrisant l’escalade des coûts.
Technologies environnementales
Trouver des sources d’énergie plus propres, abordables et fiables et promouvoir une croissance durable sont des préoccupations mondiales. À ces fins, les gouvernements soutiennent la recherche, favorisent l’innovation et l’utilisation de nouvelles technologies de production et encouragent la création de marchés et l’adoption des technologies « vertes ».
Innovation et technologies environnementales
L’innovation peut être une source d’effets positifs sur l’environnement tant pour l’entreprise qui introduit l’innovation (dans le cadre de son processus de production) que pour les clients acquéreurs de cette innovation (dans le cadre de son utilisation finale).
Vitesse et tarification du haut débit
Cette dernière décennie, les tarifs du haut débit n’ont pas cessé de chuter dans l’ensemble de la zone OCDE, alors même que le débit lui-même augmentait.
Haut débit fixe et hertzien
En juin 2010, on dénombrait 292 millions d’abonnements au haut débit fixe dans la zone OCDE. Depuis le lancement initial des services câblés et DSL au milieu des années 90, le haut débit n’a cessé de progresser.
Accès au haut débit
Dans de nombreux pays de l’OCDE, les ménages et les individus bénéficient désormais d’une connexion Internet à haut débit à leur domicile. Aujourd’hui, plus d’un ménage sur deux est connecté au haut débit dans trois quarts des pays de l’OCDE.
R-D en biotechnologies
Les progrès dans le domaine des sciences de la vie et leurs impacts économiques, environnementaux et sociaux incitent les pouvoirs publics à disposer d’indicateurs de qualité sur les biotechnologies.
Notes. Références.

Libérer l’innovation dans les entreprises
Panachage des modes d'innovation
Une innovation élargie
Les entreprises optent pour des stratégies d’innovation diversifiées qui ne se fondent pas toujours sur la R-D. La collaboration fait partie des processus d’innovation qu’il y ait ou non activité de R-D. Dans tous les pays, les entreprises actives en R-D ont tendance à collaborer plus fréquemment (en général deux fois plus souvent) dans le domaine de l’innovation que celles qui n’ont pas d’activité de R-D.

Dépôts de marques
Les dépôts de marques peuvent servir d’indicateur de l’activité d’innovation et de commercialisation et permettre de mesurer les innovations non technologiques et l’innovation dans les services. Le plus souvent, les entreprises déposent des marques dans leur pays d’origine. Les dépôts effectués par des entreprises étrangères peuvent indiquer la pénétration du marché et aider à comprendre quels types de produits – biens ou services – sont exportés.
Soutien public à la R-D

Les petites et moyennes entreprises (PME) jouent un rôle important dans l’innovation et l’on craint que la récente crise économique n’ait entravé de manière disproportionnée leur accès au financement de la R-D ou d’autres activités liées à l’innovation. Les autorités de certains pays ont un rôle central dans le financement des activités de R-D des PME.
Incitations fiscales visant la R-D d'entreprise

Les États stimulent la recherche-développement (R-D) par des aides directes sous la forme de subventions ou de marchés publics ainsi que d’incitations fiscales. Aujourd’hui, 26 pays membres de l’OCDE – contre 12 en 1995 et 18 en 2004 – offrent de telles incitations.
Entrée, sortie et survie.
Mobiliser les financements privés

Le crédit bancaire est important pour créer ou développer une entreprise. Selon le Global Competitiveness Report basé sur les données d’enquêtes d’opinion sur l’accès au crédit, la crise financière a rendu plus difficile l’obtention de concours bancaires dans tous les pays entre 2007 et 2010.
Contexte d'ensemble

L’adaptabilité des entreprises nouvelles aux évolutions économiques et leur capacité de sortie en cas de besoin ont autant d’importance que leur création et leur essor. Les nouvelles entreprises poussent des entreprises obsolètes hors du marché et, souvent, ne survivent pas très longtemps elles-mêmes.
Compétences et culture d'entrepreneuriat

L’entrepreneuriat permet aux individus de se saisir de leur avenir, que ce soit en s’installant comme travailleur indépendant ou en créant une entreprise qui emploie d’autres personnes. L’activité entrepreneuriale d’un pays englobe donc le travail indépendant et la création d’entreprises à forte croissance. Notes. Références.

Soutenir la concurrence dans l’économie mondiale
Emploi

L’emploi manufacturier et dans la construction a durement souffert de la crise récente, néanmoins les services ont connu un essor dans plusieurs pays de l’OCDE. En 2009, ils représentaient plus de 72% de l’emploi dans la zone OCDE et près de 80% au Royaume-Uni, aux Pays-Bas et aux États-Unis.
Liens entre services et secteur manufacturier

Ces dernières décennies ont vu décliner la production manufacturière dans de nombreux pays de l’OCDE. Désormais, les services représentent en moyenne près de 70% du PIB de l’OCDE. Aux États-Unis et au Royaume-Uni, l’emploi manufacturier est inférieur à 10% de l’emploi total.
Taille et dynamique des entreprises

La dynamique des entreprises détermine fortement la croissance de la productivité globale d’une économie et influe sur la capacité d’un pays à soutenir la concurrence mondiale. L’observation des liens entre la taille et la dynamique des entreprises donne des résultats contrastés, mais dans tous les pays, les petites et moyennes entreprises (PME) jouent un rôle essentiel et sont des moteurs de l’emploi et des revenus.
Spécialisation sectorielle

Une économie est dite « spécialisée » si un petit nombre de secteurs génère une part relativement élevée du PIB de ce pays, et « diversifiée » si chacun des secteurs relativement nombreux représente une faible part du PIB.
Filiales étrangères

Les filiales étrangères contribuent à la compétitivité internationale du pays qui les accueille de diverses manières. Elles permettent aux fournisseurs et acheteurs nationaux d’accéder à de nouveaux marchés et à de nouvelles technologies, diffusent du savoir dont profitent les entreprises du pays hôte et investissent une grande part de leurs recettes dans la R-D.
Ouverture aux échanges

L’impact de la crise économique sur les échanges internationaux peut se mesurer en comparant les exportations et les importations en pourcentage du PIB, entre 2008 et 2009. Si le PIB a été durement touché dans de nombreux pays, le commerce international a davantage souffert.
Contenu en importations des exportations

Le « contenu en importations des exportations » (proposée par Hummels et al., 2001) illustre la fragmentation internationale grandissante des processus de production. Les tableaux « harmonisés » de l’OCDE sur les entrées-sorties montrent les schémas des transactions intersectorielles; combinés au commerce bilatéral par secteur, ils permettent d’estimer la valeur des biens et services intermédiaires incorporés aux exportations.
Spécialisation en R-D

Pour comparer l’intensité totale de recherche et développement des entreprises (dépenses de R-D rapportées à la valeur ajoutée ou au PIB) entre pays, il faut tenir compte des différentes structures industrielles. D’importants écarts d’intensité de R-D existent au sein des secteurs, mais les caractéristiques inhérentes à certains secteurs peuvent bouleverser la structure industrielle du pays souhaitant accroître son intensité de R-D.
Spécialisation technologique

Les documents de brevets contiennent divers types d’informations (codage des classes techniques, titre, abrégé, revendications, etc.) utiles pour classer les brevets dans des domaines précis et analyser l’émergence et l’évolution de nouvelles technologies. L’augmentation du nombre de demandes de brevets déposées en vertu du Traité de coopération en matière de brevets (PCT) s’est stabilisée dans les années 2000, à un rythme moyen de 5%.
Diffusion du commerce électronique

En 2010, les ventes sur Internet et autres transactions de cybercommerce représentaient en moyenne 13% du total de ventes dans les pays pour lesquels des données sont disponibles. La Norvège, la République tchèque venaient en tête, ainsi que l’Irlande dont la part des cyberventes est près de deux fois supérieure à la moyenne.
Entreprises déposant des brevets

Les déposants de brevet sont soit des entreprises, des organisations ou des particuliers. Les registres d’entreprises contiennent des informations sur les entreprises et leurs principales caractéristiques.
Secteurs à forte intensité d'innovation

Une classification fondée sur l’innovation permet de compléter celle fondée sur la technologie (i.e. sur l’intensité de R-D des secteurs) en considérant l’innovation au sens large et en s’appuyant sur des secteurs (notamment les services) relativement peu engagés dans des activités de R-D formelle.
Performance technologique: qualité des brevets

La valeur technologique et économique des innovations est évaluée par des indicateurs de qualité des brevets, tels que les citations, les revendications, le renouvellement et la taille de la famille de brevets. Mesures de la productivité de la recherche, ces indicateurs sont corrélés avec la valeur sociale et privée des inventions brevetées.
Performance technologique: incidence des brevets

Les indicateurs exploitent des informations relatives aux domaines technologiques des brevets, sur les citations en aval (nombre de citations obtenues par un brevet) et en amont (nombre de brevets et de documents scientifiques cités par un brevet). Notes. Références.

Denne tiende udgave af "videnskab, teknologi og industri resultattavle OECD" er baseret på halvtreds års erfaring i OECD i udviklingen af indikatorer til at præsentere de store globale tendenser inden for viden og af innovation. Den analyserer en lang række indikatorer for videnskab, teknologi, innovation og industriel ydeevne i OECD-landene og større ikke-OECD-lande (herunder Brasilien, Den Russiske Føderation Rusland, Indien, Indonesien, Kina og Sydafrika) og indeholder eksperimenterende indikatorer, som giver oplysninger om nye områder af den offentlige orden Fx alement findes på: engelsk.
Indholdsfortegnelse. Mere...

13 septembre 2011

Education at a Glance 2011: OECD Indicators

http://www.oecd.org/vgn/images/portal/cit_731/59/63/48634067cover%20150.jpgAcross OECD countries, governments are having to work with shrinking public budgets while designing policies to make education more effective and responsive to growing demand. The 2011 edition of Education at a Glance: OECD Indicators enables countries to see themselves in the light of other countries’ performance. It provides a broad array of comparable indicators on education systems and represents the consensus of professional thinking on how to measure the current state of education internationally.
The indicators show who participates in education, how much is spent on it, and how education systems operate. They also illustrate a wide range of educational outcomes, comparing, for example, student performance in key subjects and the impact of education on earnings and on adults’ chances of employment.
New material in this edition includes:
- an analysis of tuition-fee reforms implemented since 1995;
- indicators on the relationship between social background and learning outcomes;
- indicators on school accountability in public and private schools;
- an indicator on the fields of education chosen by students;
- an indicator on labour market outcomes of students from vocational and academic programmes;
- indicators on the scope of adult education and training;
- indicators on student engagement in reading. 

Chapter A - The Output of Educational Institutions and the Impact of Learning

Chapter B - Financial and Human Resources Invested In Education

Chapter C - Access to Education, Participation and Progression

Chapter D - The Learning Environment and Organisation of Schools

Indicator A5 - Does student background affect student performance?
• The difference in reading performance between students from various socio-economic backgrounds is strong, particularly in France and New Zealand.
• Even after adjusting for socio-economic status, students with an immigrant background score an average of 27 points below students who do not have an immigrant background.
• Across OECD countries, nearly one-third of disadvantaged students are identified as “resilient”, meaning that they perform better in reading than would be predicted from their socio-economic backgrounds.
Indicator A7 - How does educational attainment affect participation in the labour market?

• In all OECD countries, individuals with a tertiary-level degree have a greater chance of being employed than those without such a degree.
• Higher education improves job prospects, in general, and the likelihood of remaining employed in times of economic hardship.
• Differences in employment rates between men and women are wider among less-educated groups.
Labour-force status by vocational and general orientation of education

Matching supply and demand for skills not only concerns the level of education but also the specificity of skills acquired in the educational system. Vocational education and training (VET) is geared towards giving students labour market-relevant skills for a particular occupation or industry. This type of specialisation has the advantage of ensuring a closer match between employer needs for specific skills; as such, it reduces the need for initial on-the-job training and increases immediate, and potentially also long-term, productivity of new hires. The drawback is that the versatility of skills acquired might be limited in times of changing demand. Therefore, vocational education and training is, in many instances, developed in close co-operation with employers and other labour-market participants.
Indicator C2 - How many students will enter tertiary education?

• Based on current patterns of graduation, it is estimated that an average of 46% of today’s women and 31% of today’s men in OECD countries will complete tertiary-type A education (largely theory-based) over their lifetimes. Only 39% of women and 25% of men will do so before the age of 30.
• In some countries, it is common for students older than 30 to graduate from tertiary-type A programmes. More than 30% of women in Iceland and Sweden who graduate from these programmes, and more than 30% of men in Iceland and Israel who do so, are over 30.
Indicator C2 - How many students will enter tertiary education
?
• Based on current patterns of entry, it is estimated that an average of 59% of today’s young adults in OECD countries will enter tertiary-type A (largely theory-based) programmes and 19% will enter tertiary-type B (shorter, and largely vocational) programmes over their lifetimes.

• Between 1995 and 2009, entry rates for tertiary-type A programmes increased by nearly 25 percentage points, on average across OECD countries, while entry rates for tertiary-type B programmes remained stable.
In some countries, tertiary-type A and B programmes are provided by different types of institutions, but this is changing. It is increasingly common for universities or other institutions to offer both types of programmes, and the two programmes are gradually becoming more similar in terms of curriculum, orientation and learning outcomes.
Graduates from tertiary-type B programmes can often gain entry into tertiary-type A programmes, usually in the second or third year, or even into a master’s programme. Adding entry rates into these two types of programmes together to obtain overall tertiary-level entry rates would thus result in overcounting. Entry is often subject to conditions, such as passing a special examination, past personal or professional achievements, and/or completion of a “bridging” programme, depending on the country or programme. In some cases, students who leave an academic programme before graduating can be successfully re-oriented towards vocational programmes.
Countries with high entry rates into tertiary education may also be those that offer pathways between the two types of programmes. There are also indications that previous schooling plays an important role in securing access to and equal opportunities in tertiary education.
Indicator A4 - To which fields of education are students attracted?

• Women represent the majority of students and graduates in almost all OECD countries and largely dominate in the fields of education, health and welfare, and humanities and arts. Men dominate in engineering, manufacturing and construction.
• In the vast majority of countries, more than two-thirds of graduates in the field of education and the field of health and welfare in 2009 were women. However, in 26 of the 33 countries, women represented fewer than 30% of graduates in the fields of engineering, manufacturing and construction.
As shown in Table A4.5, the sciences attract at least 15% of international students in Germany, Iceland, New Zealand, Norway, Sweden, Switzerland and the United States, and a similar proportion of foreign students in France, but fewer than 1 in 50 in Japan.
Similarly, among countries for which data using the preferred definition of international students are not available, agriculture, science and engineering attract at least 20% of students in 4 of 6 countries and the proportion is higher than 25% of foreign students in the Czech Republic (28%) and France (30%). In contrast, few international students are enrolled in agriculture, science and engineering in Estonia, Japan, the Netherlands and Spain.
Among countries for which data using the preferred definition of international students are not available, France has the largest proportion of foreign students enrolled in these subjects (40%).
This is especially obvious for linguistic or cultural studies (e.g. Austria, France, Germany and Japan).
Enrolment in tertiary programmes leading to direct entry into the labour market, by field of education

Tertiary-type B programmes are conceived with the aim of allowing students to enter directly into the labour market, and the fields of education in which they are concentrated differ markedly from those usually found in tertiary-type A and advanced research programmes. During times of structural readjustments in the labour market, tertiary-type B programmes can help adapt the workforce to new sectors of growth in employment. For instance, countries show more diversified participation in tertiary-type B programmes than in tertiarytype A and advanced research programmes. As in more academic programmes, most students in tertiary-type B programmes in OECD countries are enrolled in social science, business or law programmes (an average of 25% of all students), but this proportion is 9 percentage points less than the share of students enrolled in the same fields of education in more academic programmes. On the other hand, students in tertiary-type B programmes prefer the fields of services and health – by ten and nine more percentage points, respectively, among students in the EU21 countries – more than do students in more academic programmes, and by eight and six percentage points more, respectively, among students in OECD countries.
10 juin 2010

Mise en place d'un indicateur de performance sociale pour le Supérieur

http://media.enseignementsup-recherche.gouv.fr/image/60/9/6609.jpgValérie Pécresse est intervenue à l’Ecole centrale de Paris, une Grande école exemplaire en matière d’ouverture sociale puisqu’elle a fait passer le nombre de boursier de 11 à 17% entre 2006 et 2009. A cette occasion, la ministre s’est prononcée en faveur de la création d’un indicateur de performance sociale applicable à tous les établissements d’enseignement supérieur afin d’accompagner et valoriser les efforts de mixité sociale....
Ce nouvel indicateur, j’ai demandé à mes services de le construire en tenant compte des caractéristiques de chaque école et de chaque université. Il sera pris en compte dans le volet « performance » du contrat d’établissement et permettra de conduire une vraie politique d’ouverture sociale, progressive mais durable. Car au¬delà des Grandes écoles, l’ouverture sociale est une exigence pour l’ensemble de notre enseignement supérieur. C’est tout le sens de la politique que je mène depuis trois ans en rapprochant les grandes écoles et les universités, mais aussi en construisant des passerelles entre les licences, les IUT et les BTS : chaque étudiant doit pouvoir emprunter sa propre voie de réussite et réaliser les ambitions qu’il se découvrirait une fois ses études supérieures commencées.
Il faut en finir avec cette logique d’orientation irréversible, qui transforme les choix accomplis au sortir de la Terminale en destin. On doit avoir le droit de choisir l’université sans renoncer à jamais à rentrer dans une grande école, de même qu’on doit pouvoir rentrer en BTS et poursuivre des études supérieures jusqu’à la Licence ou au Master. Mais pour que ces passerelles fonctionnent, encore faut-il offrir à tous les profils l’accompagnement pédagogique qui leur permet de réussir : c’est le sens du plan Licence, qui a permis de renforcer l’accueil, l’encadrement et le suivi des étudiants. C’est également l’un des objectifs de la modernisation des filières supérieures courtes que je vais lancer, en développant en particulier l’apprentissage : à tous les niveaux, en IUT et en STS comme dans les grandes écoles, c’est en effet une voie de réussite différente que nous devons développer.
Vous le voyez, l’ouverture sociale est au cœur de la refondation de notre enseignement supérieur engagée depuis trois ans. L’ensemble de la communauté universitaire en est désormais pleinement consciente : c’est notre enseignement supérieur qui porte aujourd’hui les espoirs de promotion sociale de nos jeunes et de leurs familles.Nous avons le devoir de leur permettre de réussir et de s’insérer : cette exigence est plus forte que jamais en période de crise. Nous serons au rendez-vous.
http://media.enseignementsup-recherche.gouv.fr/image/60/9/6609.jpgValerie Pecresse kom vid Ecole Centrale de Paris, en Grande Ecole modell när det gäller sociala öppenhet som det ökade antalet lager av 11-17% mellan 2006 och 2009. Vid detta tillfälle, minister uttryckte stöd för inrättandet av en social indikator på resultat gäller för alla lärosäten för att komplettera och stärka de insatser av social mix ....
Denna nya indikator, frågade jag min för att bygga, med hänsyn till särdragen för varje skola och varje universitet. Du förstår, den sociala öppenhet är i centrum för den översyn av vår högre utbildning som begåtts för tre år. Hela universitetssamfundet är nu fullt medveten att detta är vår högre utbildning som bär hopp om social anpassning av våra ungdomar och deras familles.Nous har en skyldighet att ge dem möjlighet att lyckas och s ' infoga: Detta krav är starkare än någonsin i tider av kris. Vi kommer vara på mötesplatsen. Mer...
6 juin 2009

La Formation Continue dans l'indicateur LOLF OBJECTIF n° 4

La Formation Continue dans l'indicateur LOLF OBJECTIF n° 4 : Faire de l’enseignement supérieur un outil performant de formation tout au long de la vie, 4.1: Pourcentage de diplômés en formation continue par rapport au nombre total de diplômés, 4.2: Nombre des validations des acquis de l’expérience dans les universités
Les rapports annuels de performances "Recherche et Enseignement Supérieur".
Cette annexe au projet de loi de règlement des comptes et rapport de gestion pour l’année 2008 est prévue par l’article 54-4° de la loi organique relative aux lois de finances du 1er août 2001 (LOLF). Conformément aux  dispositions de la loi organique, ce document présente et explique les réalisations effectives concernant l’ensemble des moyens regroupés au sein d’une mission et alloués à une politique publique. Il comprend les rapports annuels de performances des programmes qui lui sont associés. Les rapports annuels de performances rendent compte de l’exécution des engagements pris dans les projets annuels de performances accompagnant la loi de finances pour 2008, tant en termes d’exécution des crédits que de compte-rendu en matière de performance, d’activité des opérateurs de l’État et d’analyse des coûts et des charges. Extraits:
De plus, l’attractivité de l’enseignement supérieur auprès des étudiants étrangers tout comme en matière de formation continue s’améliore. La performance doit néanmoins être accentuée pour les IUT. Les résultats se sont dégradés en termes d’accueil des bacheliers professionnels et technologiques, malgré le dispositif de financement spécifique mis en place et une augmentation du nombre de bacheliers accueillis, réelle mais encore en deçà des objectifs fixés. p.23
En 2006, sur les 1 441 075 étudiants inscrits à l’université (y compris IUT) et dans les établissements assimilés, 1 340 036 étaient en formation initiale, 17 591 en apprentissage, 49 188 en formation continue diplômante et 34 264 en reprise d’études. p.41
Page 50 et 51: OBJECTIF n° 4 : Faire de l’enseignement supérieur un outil performant de formation tout au long de la vie
Page 50 figure l'indicateur LOLF 4.1: Pourcentage de diplômés en formation continue par rapport au nombre total de diplômés (du point de vue de l'usager). Réalisation 2006: 7,8%, réalisation 2007: 8,9%, prévision PAP 2008: 7,7%,prévision mi-2008: 7,6%, Cible 2012: 10%. Commentaires techniques: La construction de cet indicateur fait appel à deux sources : le numérateur est renseigné par des statistiques obtenues à partir de l’enquête sur lessur l’année n-1. Les derniers répondants fournissent leurs données qu’au cours du premier trimestre n+1. Le dénominateur est renseigné à partir de la remontée SISE-diplôme, les chiffres étant disponibles au début de l’année n+1. La fourniture d’un indicateur fiable ne peut être avancée en l’état actuel des dispositifs d’informations.
Page 51 figure l'indicateur LOLF 4.2: Nombre des validations des acquis de l’expérience dans les universités et au CNAM (du point de vue du citoyen). Réalisation 2006: 3 705 dont 1842 VAE totales, réalisation 2007: 4 199 dont 2154 totales, prévision PAP 2008: 4000 dont 2000,prévision mi-2008: 4600 dont 2300, Cible 2012: 7000 dont 2600 totales. Commentaires techniques: Renseigné grâce aux remontées d’information sur les diplômes, la date de production de cet indicateur ne peut être avancée. Pour s’assurer d’unecollecte de qualité, celle-ci ne peut commencer qu’à la fin du 1er trimestre n+1.
ANALYSE DES RÉSULTATS, INDICATEUR 4.1: Si les universités améliorent progressivement les conditions d’accueil des publics adultes, on observe également une amélioration du taux de diplômés en formation continue depuis la mise en oeuvre générale du LMD. En effet, ces nouveaux cursus se sont substitués, dans de nombreux cas, à des diplômes universitaires, permettant ainsi une augmentation du taux des titulaires de diplômes nationaux. En outre, un élément nouveau apparaît ces deux dernières années. Il s’agit de la montée en charge des licences professionnelles délivrées en université et dans leurs composantes. Ainsi, le nombre total de licences professionnelles délivrées dans le cadre de la formation continue universitaire a augmenté de 43 % entre 2005 et 2006 et de 41 % entre 2006 et 2007. La licence professionnelle supplante même très largement le DUT au sein des IUT : en 2007, 2 629 DUT ont été délivrés pour 4 137 licences professionnelles.
INDICATEUR 4.2: Après la diminution du nombre de VAE constatée en 2006, l’année 2007 marque une reprise de la croissance du nombre total de validations accordées (plus de 13 %), validations partielles et totales confondues. Le pourcentage de diplômes complets attribués, qui n’a jamais cessé d’augmenter depuis la mise en place de la VAE en 2002, y compris en 2006, dépasse les 51 % (il était de 17 % en 2002).
Cette augmentation traduit les très bons résultats atteints par quelques établissements qui doublent parfois le nombre de VAE par rapport à 2006. Les universités qui ont le plus progressé mettent en avant un fonctionnement plus performant du service de VAE, une meilleure maîtrise de la procédure, notamment un accompagnement des candidats de meilleure qualité et une organisation des jurys qui répond mieux à la demande individuelle des candidats. L’augmentation s’explique pour certains établissements par le développement de partenariats qu’ils ont noués avec les régions (pour les demandeurs d’emploi), avec des entreprises ou des organismes publics ou privés. Par ailleurs, dans un contexte économique difficile, la VAE apparaît comme une solution aux personnes qui ne possèdent pas de diplôme ou un diplôme de faible niveau. C’est particulièrement le cas dans les secteurs de la banque, des assurances et de l’immobilier où les candidatures pour des diplômes de management et de marketing, y compris pour des masters, sont de plus en plus nombreuses.
Page 173: Les crédits consommés au titre des dépenses de fonctionnement pour un montant de 0,43 M€ correspondent à des frais de gestion liés aux conventions avec divers organismes (CNAF, OSEO, CNASEA) auxquels a été confiée la gestion de certains dispositifs : l’allocation d’installation étudiante, le fonds de garantie des prêts bancaires aux étudiants, les aides pour les demandeurs d’emploi inscrits en formation continue dans un établissement d’enseignement supérieur.
Page 177: C.N.A.S.E.A. : 0,7 M€, les aides pour les demandeurs d’emploi inscrits en formation continue dans un établissement d’enseignement
supérieur contribuent à la réinsertion professionnelle de ceux qui ne peuvent bénéficier d’aucun autre régime conventionnel, ni d’une prise en charge par les régions. Le bilan de l’année 2008 montre que 110 bénéficiaires ont bénéficiés de 704 mois de stages pour une rémunération moyenne de 980 € par mois.
Page 657: Missions spécifiques des établissements : AE : 354 342 € CP : 354 342 €.  Les concours de recrutement des personnels des établissements et la formation continue des enseignants chercheurs font l’objet d’un financement spécifique. Ces missions sont intégrées progressivement dans les contrats conclus entre l'Etat et ses opérateurs. L’objectif fixé en LFI 2008 (0,351M€ en en AE=CP) a été atteint.

26 novembre 2008

France, le pays où le milieu social influence le plus le niveau scolaire

Avec un score de 51 sur 100, la France est l’un des pays où le milieu social joue le plus dans la détermination du niveau scolaire.
La France partage avec la République tchèque un triste palmarès, celui d’être parmi les pays où l’origine sociale influence le plus le niveau scolaire. Une influence qui s’exerce par des éléments très divers : le niveau de vie (conditions d’étude, recours aux cours privés, etc.), l’éducation (aide aux devoirs, lectures, etc.) et diverses pratiques (langage, loisirs, etc.). Le résultat tiré des enquêtes menées par l’OCDE sur le niveau scolaire à l’âge de 15 ans est valable en mathématiques, mais aussi en sciences ou à l’écrit. Des pays très différents ont les meilleurs résultats : les pays méditerranéens (Espagne, Italie, Portugal) le Canada et les pays nordiques.
La très mauvaise position de la France peut s’expliquer par différents facteurs. Les programmes valorisent plus qu’ailleurs la culture de l’élite scolaire de la nation : la maîtrise d’un savoir mathématique théorique et de la langue française. A partir du collège, le système, très académique sur le plan de la forme, défavorise ceux qui peinent à entrer dans le moule officiel. Les évaluations à répétition dévalorisent et contribuent à l’échec des plus faibles. Le travail demandé hors temps scolaire est important, profitant à ceux qui disposent d’un soutien à domicile (des parents ou par le biais de cours privés). Tableau : http://www.inegalites.fr/.Logo - retour accueil
France, the country where the social environment influence the educational attainment. With a score of 51 out of 100, France is a country where the social environment plays the most in determining the level of education. France shares with the Czech Republic a dismal track record, to be among the countries where social background influence the grade level. Table: http://www.inegalites.fr/. Suite...

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