La France veut définitivement tirer un trait sur la Circulaire Guéant, en mettant en place deux nouvelles mesures censées grandement améliorer l'attractivité de la France auprès des jeunes diplômés et des travailleurs hautement qualifiés.
Attirer davantage d'étudiants étrangers est l'une des priorités faisant suite au conseil stratégique de l'attractivité, qui vient de se dérouler aujourd'hui et qui était présidé par François Hollande en personne. L'Exécutif souhaite en effet faciliter l'entrée des étudiants internationaux, et ainsi définitivement tourner la page de la circulaire Géant, qui avait tant fait polémique en compliquant l'accès au marché du travail des étudiants étrangers. Suite...

Seul un quart de la population française détient - au mieux - un certificat d'études primaires (CEP). Un constat qui fait dire à l'Observatoire des inégalités qu'on est encore loin d'une société où le diplôme serait la norme…
C'est un fait bien peu connu, occulté par les taux massifs de jeunes décrochant le baccalauréat et intégrant universités, grandes écoles, classes préparatoires… Pourtant, en France, seulement 13 % de la population dispose d'un diplôme d'études supérieures au bac+2. Et ce n'est qu'un peu plus d'un quart (26 %) de la population qui est titulaire du fameux certificat d'études primaires. "On est loin de la vision d'une société où le diplôme serait la norme", souligne à ce titre l'Observatoire des inégalités. Suite...

La dernière étude du cabinet Deloitte a interrogé les jeunes diplômés sur de nombreux points, abordant notamment les principaux arguments et inconvénients présentés par la France pour leur avenir professionnel.
73 % des jeunes diplômés en recherche d'emploi voient leur avenir professionnel en France, révèle la 3e édition du Baromètre de l'humeur des jeunes diplômés* réalisé par le cabinet Deloitte. Suite...

La France, 5e puissance économique mondiale
La France doit ses performances à la qualité de ses formations et à sa capacité de recherche et d’innovation.
Choisir la France
Avec plus de 280  000 étudiants étrangers, soit 12,3% des étudiants, la France reste le 4ème pays d’accueil des étudiants en mobilité, après les États-Unis, le Royaume-Uni et l’Australie.
Bénéficier d’une tradition de recherche et d’innovation scientifiques et technologiques de premier plan
La France doit ses performances à sa capa - cité de recherche et à ses réussites dans des domaines aussi divers que les bio et nano technologies, les mathématiques, la physique, la médecine et la santé, ainsi que la sociologie, le droit, l’archéologie.... La mise en œuvre des Pôles de Recherche et d’Enseignement Supérieur (PRES), outil d’échange et de mutualisation entre ensei - gnement supérieur et recherche, réaffirme la volonté de maintenir les performances françaises au niveau international. 5 e puissance économique mondiale, la France est aussi l’un des pays les plus ouverts aux investissements étrangers.
Intégrer un des systèmes d’enseignement les plus diversifiés et les plus performants
Issue d’une longue tradition, l’excellence des formations françaises s’appuie sur un réseau national d’environ 3500 établissements d’enseignement supérieur publics et privés et de centres de recherche de renommée internationale : plus de 70 universités et 26 PRES, plus de 200 écoles d’ingénieur, 200 écoles de commerce et management, 120 écoles supérieures d’art publiques, 20 écoles d’architecture. S’y ajoutent plus de 3000 autres établis - sements, écoles ou instituts spécialisés qui concernent des secteurs spécifiques comme les carrières sociales, le paramédical, le tourisme, le sport, la mode, le design, ou encore les lycées préparant au Brevet de technicien spécialisé (BTS) ou aux concours d’entrée dans les Grandes Écoles (CPGE).
Assurer la qualité de sa formation
La France consacre 1,4% de son PIB à l’enseignement supérieur, financement qui garantit la qualité et la reconnaissance des diplômes délivrés. Dans les établissements publics, l’État prend directement en charge une part très importante du coût réel des études de chaque étudiant (de 10  000 à 14  000 euos par an). Ce dispositif national permet de maintenir le coût des frais d’inscription à l’un des niveaux les moins élevés du monde, tout en garantissant la qualité des diplômes délivrés. Il n’est fait aucune distinction entre les étudiants étrangers et les étudiants français : les exigences d’accès sont identiques, les diplômes délivrés et les coûts d’inscription sont les mêmes, quelle que soit la nationalité des étudiants.
Télécharger le Guide : choisir la France 2014.

In 1981, France implemented a policy (the “priority education policy” aimed at strengthening education provision in the most underprivileged areas This is done by allocating additional resources, both in terms of teaching personnel and finance to all primary and secondary schools based in these areas. It is estimated that this policy affects about 20 % of pupils in France. However, studies conducted by the Department of Education reveal that pupils enrolled in the schools benefitting from the “priority education policy” continue to suffer from learning difficulties (Depp, Note d’information n° 13.07, mai 2013. Moreover PISA 2012 results illustrate that France is the OECD country in which a pupil’s socio-economic background is most likely to determine their academic performance and that this situation has in fact deteriorated since 2003. In short, the “priority education policy” does not seem to bring about sufficient results. Because of this, the Minister of Education decided to reform the implementation of the “priority education policy” (eligibility criteria, responsibilities, funding, etc.), while reaffirming its underlying principles. Consultations were organised (the "Assises de l’Education prioritaire" and are now underway (November-December 2013) in the académies. In early 2014, the Minister of Education and the Minster responsible for educational attainment will make the results of the policy reform public. Meanwhile, the government has implemented a number of measures from the beginning of the 2013/2014 school year to improve the learning environment in the most socio-economically underprivileged areas.

Le 12 décembre 2013, Dolla Karam Sarkis, vice-rectrice à la recherche de l'Université Saint-Joseph (Liban), a été élue à la présidence du conseil scientifique de l'AUF pour un mandat de trois ans. Ce conseil définit la politique d’évaluation des activités de l’AUF et garantit leur qualité académique. Il réunit des personnalités choisies pour leurs compétences en matière de culture, de science et de technologie. Suite...

Campus France publie la deuxième édition de son baromètre TNS Sofres sur l’image et l’attractivité de la France auprès des étudiants étrangers. Les résultats montrent que la France reste une destination attractive, malgré une concurrence accrue (45% des étudiants qui choisissent de venir en France ont hésité avec un autre pays). Les trois principales raisons de choisir la France tiennent dans la qualité de l’enseignement, la pratique de la langue française et l’intérêt culturel du pays.

En savoir + > 9 étudiants sur 10 recommandent la France comme destination d’études

By Scott Sayare. In a nation of schools typically christened with sensible acronyms or the names of dead Frenchmen, “42” seems an odd title for an institution of higher learning. But then, Xavier Niel’s new technology academy hardly aims to be conventional. 
Mr. Niel, an affable, longhaired telecommunications executive with a high school diploma and several billion euros to his name, has spent the past decade gleefully disrupting France’s staid corporate establishment. With 42, he means to do the same, in a small but conspicuous way, to higher education in France. Programming classes start this month. More...