This French think tank questions the habits of thought in educational policy. To overcome the traditional settings in which educational questions are still confined, Révolution Educative works around three main themes: the valuation of knowledge, innovation and the promotion of equal opportunities. The link address is: http://www.revolutioneducative.com/
Révolution Educative
Students face an above-inflation rise in living costs

The French connection
By Aanchal Bedi. Home to globally-recognised education brands, such as La Sorbonne, Sciences Po or Les Gobelins, to name a few, France remains the fourth most popular destination for international students after the United States, the United Kingdom and Australia. Last year, almost 2600 students opted for higher education in France, a number that the French government is looking to increase by another 50 per cent in the next five years. Low tuition fees and the fact that over 700 courses are being taught in English here, are just some of the reasons why Indian students are looking towards France as an option for higher studies.
All international students, whether or not they receive additional financial aid, enjoy the same low tuition rates as French students at universities and other public institutions. France’s central government defrays a large share of the true cost of education at public institutions (between €10,000 and €14,000 per student per year), thereby reducing the student’s tuition burden. “French universities and other education institutions do not distinguish between international students and French students. Also, admission and tuition requirements are the same for both,” says Arnaud Mentre, first counsellor, head of press section. More...
France debates extending headscarf ban to universities
Source. France's official council promoting integration has struck a raw nerve by proposing that Muslim headscarves, already banned in the civil service and state-run schools, also be outlawed at the country's universities.
The High Council for Integration, in a confidential report leaked to Le Monde newspaper, said this was needed to counter problems caused by students wearing religious garb and demanding prayer space and special menus at universities.
France's 2004 ban on headscarves in schools and 2010 ban on full face veils in public have alienated many of its five million Muslims. Rioting broke out in a Paris suburb last month after police checked identity papers of a fully veiled woman. More...
Apéro, grève, capote… La France expliquée aux étudiants étrangers
Par Benoît Floc'h. Bizarrement, les mots les plus connus des étudiants étrangers qui choisissent la France ne figurent pas dans l'abécédaire que vient de sortir CampusFrance. Le petit guide de l'agence publique chargée de promouvoir l'enseignement supérieur français ne contient, en effet, ni le mot « circulaire » ni le mot « Guéant »...
« Cette circulaire a été abrogée, comme le ministre d'ailleurs... », plaisante-t-on à CampusFrance. Expulsée, donc, la « circulaire Guéant ». Mais l'« Abécédaire de la vie quotidienne et étudiante en France » contient bien d'autres mots. Pour la première fois, en effet, CampusFrance donne aux étudiants étrangers qui s'installent en France la définition - en français et en anglais - de ceux qu'ils entendront le plus souvent pendant leur séjour. Suite...
En France, la formation continue « scolaire » domine toujours

D’après les enquêtes européennes Continuing vocational training survey (CVTS), le Royaume-Uni, la Suède, l’Allemagne, mais aussi la République Tchèque et la Slovénie, font partie des pays « polyformateur » en matière de formation continue. Dans ces pays, le taux d’accès des salariés à des cours ou des stages de formation est élevé (44% en moyenne). A cela s’ajoute un taux d’accès à d’autres formes d’enseignement plus élevé qu’ailleurs: 28% sont ainsi formés en situation de travail et 17% dans le cadre de cercles d’enseignement et de qualité. Suite de l'article...

The Underpriviledged 'Ghosts' Haunting French Universities

None of them answered any of the questions on the test. They only came in to sign the attendance sheet so that they could continue to be eligible for their scholarship. “We just sign and leave as quickly as possible," says one. "Here, we’re being paid to do nothing.”
All swagger and smiles, Ilyes, Ryan and Dylan are very straightforward about this strategy to make a living in times of crisis in this depressed region in the southwest France. “With our scholarship and some off-the-books work here and there, we can easily make 1,500 euros a month.”
Coming out next is a girl in a hurry, running on her high heels. “I have an appointment at the hairdresser, I can’t remember where exactly...” The next two blonde girls who come out of the lecture hall have signed up to take the nurses exam. “The preparatory course is really expensive,” one explains. Read more...
Big student grants increase in reformed system

L'attrait des étudiants et des jeunes diplômés pour la France et Paris

Pour déterminer les destinations préférées des étudiants et des jeunes diplômés, Universum n’a pas fait les choses à moitié. Près de 4 000 étudiants du monde entier ont ainsi été sondés par le cabinet, une fois leur diplôme en poche. Le podium est très anglophone, les Etats-Unis arrivant en tête, devant la Grande-Bretagne et l'Australie. Si la France se hisse en une honorable sixième place, Paris se positionne à la quatrième place des villes les plus attractives au monde. "Le fait que Paris soit si bien classée s’explique notamment par le fait qu’il s’agisse d’une grande ville dynamique et attractive, où beaucoup d’entreprises ont choisi d’implanter leurs sièges sociaux et où le mélange des cultures est important, ce qui permet aux internationaux de s’y intégrer facilement", souligne Aurélie Robertet, directrice France d'Universum. Un autre facteur réside dans le nombre important d'écoles qui proposent des cursus bilingues, voire totalement anglophones. Suite de l'article...

En France, la case bac pro ne mène pas forcément à l'emploi
pcassuto | 29 juin, 2013 21:36

En 1985, les bacs pros ont été conçus pour et avec les entreprises, avec un objectif clair et précis: permettre à des jeunes titulaires de ce diplôme d'entrer, sans études supérieures, sur le marché du travail. Aujourd'hui, en France, ils sont pourtant plus durement touchés par ce fléau: le taux de chômage des 25-34 ans titulaires d'un bac pro était, en 2013, de 11,5%, contre 11% pour les autres bacheliers, selon le rapport Regards sur l'éducation 2013, publié ce mardi par l'OCDE.
Une mauvaise image des bacs pros
Ce qui vaut ce taux de chômage relativement conséquent, c'est bien le manque de valorisation du bac pro en France. Car, dans d'autres pays, la formation a fait ses preuves. C'est, par exemple, le cas en Autriche et au Canada, où le taux de chômage des bacs pros est inférieur de deux points à celui des autres. Et il est même de 4 points en Belgique! Suite de l'article...
