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Formation Continue du Supérieur
14 novembre 2009

Publication de l’annexe au PLF 2010 pour la formation professionnelle

Publication de l’annexe au projet de loi de finances 2010 pour la formation professionnelle.
Ce document annexé au projet de finances pour 2010 dresse un bilan des fonds engagés en faveur de la formation professionnelle en 2008 et en 2009.
Il en ressort que les dépenses globales de formation professionnelle et d'apprentissage se sont élevées en 2007 à 28,42 milliards d'euros, soit une progression de 5% par rapport à 2006 et de 25% par rapport à 1999.
Le document fournit également les orientations du projet de budget 2010 en matière de formation professionnelle.
Accéder à l’annexe au projet de loi de finances 2010 pour la formation professionnelle.
Annex के प्रशिक्षण के लिए वित्त अधिनियम 2010 में प्रकाशन.
यह 2010 के लिए परियोजना के वित्त से जुड़े दस्तावेज 2008 और 2009 में व्यावसायिक प्रशिक्षण के लिए प्रतिबद्ध धन का जायजा लेता है.
यह प्रशिक्षण पर खर्च करने से पता चलता है कि समग्र और सीखने 2007 में 28,42 अरब यूरो, 1999 से एक 2006 और 25% से 5% की वृद्धि की राशि.
दस्तावेज़ भी प्रारूप प्रशिक्षण पर 2010 के बजट के लिए दिशा निर्देश प्रदान करता है.  प्रशिक्षण के लिए वित्त अधिनियम 2010 के चयक में जाओ. अतिरिक्त...
21 octobre 2009

Les 3/4 du grand emprunt du Supérieur pour les grandes écoles

La Conférence des Grandes Ecoles a proposé mardi que les trois-quarts du Grand emprunt soient consacrés à accorder aux établissements d'enseignement supérieur des "dotations" ou fonds propres, dont ils tireraient des revenus sur le modèle des universités américaines. "La Conférence des Grandes Ecoles propose que les trois quarts du Grand emprunt soient réservés à l'investissement immatériel, pour accélérer nos compétences de recherche et la performance de l'ensemble de notre système d'enseignement supérieur. L'investissement serait affecté aux établissements sous forme de dotation capitalistique, dans l'esprit des endowments des universités anglo-saxonnes", a indiqué la CGE.
"Le décalage entre nos établissements supérieurs et leurs homologues étrangers vient en large partie de l'absence de fonds propres financiers dans nos établissements. Harvard dispose de 30 à 40 milliards de dollars, Princeton de 15, ce qui représente 1,5 à 2 millions de dollars de capital par étudiant", selon la CGE. "Si l'on retient un grand emprunt de 100 milliards (d'euros), dont 75% irait à l'enseignement supérieur et à la recherche, un investissement de 75 milliards associé à un rendement de 4 à 6% correspondrait à des sommes disponibles de 3 à 4,5 mds par an", alors que le budget de l'enseignement supérieur est de 12 milliards d'euros, relève la CGE. Tous les établissements de l'enseignement supérieur long pourraient demander à bénéficier de ce grand emprunt, dans l'esprit de la CGE.
"Pour que la France change de gamme sur la scène mondiale de la formation, il y a un vrai défi", a expliqué le président de la CGE Pierre Tapie lors d'un point presse. Selon lui, les grandes écoles devraient demander des frais de scolarité plus élevés aux étudiants venant de pays extérieurs à l'UE afin de pouvoir en former davantage sans que cette formation coûte aux contribuables français. "Si l'on veut participer à la formation des élites mondiales, il faut demander aux étudiants étrangers de payer la totalité de leur formation. Si on ne le fait pas, on ne peut former que peu d'étudiants étrangers", a-t-il dit lors d'un point presse.
La Conférence des Grandes Ecoles rassemble plus de 200 grandes écoles françaises (écoles d'ingénieurs, de management, d'agronomie...).

Den Conférence des Grandes Ecoles föreslås tisdagen att tre fjärdedelar av den stora lån är ägnat att ge högskolorna i "donationer" eller kapital, som de skulle få inkomst på vilken modell av amerikanska universitet. "Den konferens Grandes Ecoles visar att tre fjärdedelar av de stora lån är reserverad för immateriella investeringar för att öka vår forskning kompetens och utförande av hela vårt system för högre utbildning. Investeringen skulle fördelas till skolor form av kapitaltilldelning i medvetandet hos universitetets donationer Anglo-Saxon, sade CGE. Mer...

25 juillet 2009

Financer une formation longue, comment ?

Négocier avec son employeur, utiliser son DIF ou ses congés payés, se former le soir ou prendre un congé sabbatique... Les cadres qui témoignent dans ce dossier ont chacun trouvé une solution pour suivre la formation qui leur tenait à cœur. Démonstration et conseils.
Si la formation professionnelle profite le plus aux cadres, il n’est pour autant pas aisé de se faire financer une formation diplômante ! Entre les priorités des Fongecif allant vers les salariés les moins qualifiés et des entreprises très regardantes sur leurs dépenses formation en période de crise, obtenir le financement intégral d’une année de  master ou d’un MBA relève de plus en plus d’une gageure : outre un coût pédagogique onéreux (entre 5000 et 6000 euros pour un master universitaire en formation continue, le double au minimum pour un MBA), la prise en charge du salaire d’un cadre pendant un an ou plus refroidit souvent employeurs et organismes financeurs. Bilan : « la logique de co-financement devient une tendance lourde pour les cadres, qu’il s’agisse d’un CIF (Congé individuel de formation) ou du plan de formation de leur entreprise », regrette Jean-Marie Filloque, directeur de la Conférence des directeurs de services universitaires de formation continue (CDSUFC).
Sauf si votre projet de diplôme s’inscrit dans une perspective de mobilité interne, attendez-vous donc à y sacrifier congés payés ou autres heures de DIF (Droit individuel à la formation). Une contribution qui incite à la prudence… Mûrir son projet et savoir convaincre ses interlocuteurs devient essentiel pour décrocher le financement d’un diplôme pour évoluer ou mieux se repositionner sur le marché.
Förhandla med sin arbetsgivare, använda DIF eller betald ledighet, utbildning på kvällen eller ta ett sabbatsår... Befattningshavare som vittnar i denna fråga har alla hittat ett sätt att följa den utbildning som de tog till sig. Démonstration et conseils. Demonstration och råd. Bedömning: logik medfinansiering blir en trend för chefer är det en CIF (individuell ledighet för utbildning) eller utbildningsplan för deras företag, "Filloque Jean-Marie beklagar, direktör från konferensen direktören vid universitet fortbildning (CDSUFC). Om ditt examensbevis projektet är en intern rörlighet, så räkna med att offra betald semester eller andra tider på DIF (Droit individuel à la formation). Mer...
24 juillet 2009

Nouveaux axes pour les financements Etat des universités

Retour à la page d'accueilValérie Pécresse a signé jeudi avec 23 présidents d'universités et d'établissements supérieurs les contrats de financement pour la période 2009-2012, annonçant à cette occasion les nouvelles modalités d'évaluation et d'attribution des moyens. Jeudi, 23 présidents d'établissement du supérieur (notamment Paris II et III, Paris Dauphine, Nancy I et II, et cinq écoles d'ingénieurs dont l'ENS de Chimie de Paris, ou le Collège de France) ont signé leurs contrats quadriennaux (2009-2012).
La ministre de l'Enseignement supérieur et de la Recherche a notamment tenu au cours de cette signature à féliciter l'excellence scientifique de l'université strasbourgeoise et le développement de son rayonnement européen. Ces contrats prévoient ainsi 20 MEUR pour 2009, s'ajoutant aux "300 MEUR de moyens déjà obtenus par les établissements", précise le communiqué.
Valérie Pécresse a au cours de son allocution insisté sur l'importance du transfert progressif "du modèle d'allocation des moyens vers un dialogue contractuel", instauré en janvier, soulignant que le processus d'autonomie des universités tend à changer les rapports entre les établissements et l'Etat. La ministre veut ainsi amorcer "la refonte du dialogue contractuel entre les établissements et l'Etat". Celle-ci table sur "une évaluation indépendante des résultats des établissements menée par l'agence d'évaluation de la recherche et de l'enseignement supérieur" et la mise en oeuvre de "critères d'attribution de moyens qui font le lien entre les attentes de l'Etat et les projets des établissements" ont été annoncés.
Par ailleurs, l'attribution d'une enveloppe "globale" de dotations, avec un "accompagnement sur mesure" pour la réalisation des projets, sur présentation d'un "bilan qui permettra de visualiser les forces et faiblesses de l'établissement" sont les autres éléments majeurs du nouveau lien contractuel entre les deux acteurs. A terme les crédits budgétaires dépendront pour "un tiers" de "l'atteinte des résultats", "un tiers" de "la contribution à la stratégie nationale" et "un tiers" de "la qualité du projet".
Back to home pageValérie Pécresse signed Thursday with 23 presidents of universities and colleges finance contracts for the period 2009-2012, at the same time announcing new arrangements for assessing and allocating resources.Thursday, 23 presidents of the higher institution (including Paris II and III, Paris Dauphine, Nancy I and II, and five engineering schools whose ENS de Chimie de Paris, or the College de France) have signed their four-year contracts (2009-2012). Furthermore, the allocation of an overall "global" of endowments, with an accompanying measure for the projects, upon presentation of a balance sheet that will see the strengths and weaknesses of the institution are other major elements of the new contractual relationship between the two actors. Ultimately the budget will depend to a "third party" to "achieve results", "a third" of "the contribution to the national strategy" and "one third" of "the quality of the project." More...
16 juillet 2009

Universités: "Sympa" doit être "plus juste", Pécresse promet "des évolutions" en 2010

Retour à la page d'accueilLe système d'allocation des moyens aux universités, dit "Sympa", déjà critiqué par certaines d'entre elles, doit être "amélioré pour 2010" afin de devenir "plus juste" et d'être "mieux accepté", selon un rapport d'information sénatorial rendu public mercredi. "La répartition opérée par Sympa nécessite d'être améliorée pour 2010 afin de rendre le système plus juste et mieux accepté par les universités", selon une note de presse du rapport d'information des sénateurs Philippe Adnot (non inscrit) et Jean-Léonce Dupont (Union centriste). Concernant le volet "activité" de cette répartition, il faudra "mieux comptabiliser les étudiants accueillis par les universités, en particulier les doctorants, les étudiants en médecine, les étudiants des IUFM", prônent-ils. Mais aussi "mieux appréhender les coûts de formation au regard de l'environnement (les coûts fixes sont plus élevés pour des universités de petite taille) ou des caractéristiques de leur cursus (la pondération des étudiants en IUT nécessite d'être revue, le modèle actuel conduisant à une diminution sensible des moyens)", ajoutent-ils. "Compte tenu des différences d'encadrement qui existent entre les universités, ces dernières n'ont pas les mêmes capacités de recherche. Il serait donc pertinent d'examiner les résultats des universités en matière de recherche au regard des moyens dont elles disposent", estiment-ils. Enfin, s'agissant des enveloppes nationales de crédits, ils écrivent qu'un "rééquilibrage se révèle nécessaire entre les niveaux licence et master". La première année de mise en place de Sympa "a retenu des crédits identiques, ce qui est contestable, compte tenu du coût a priori plus élevé du niveau licence qui comprend plus d'étudiants et une année de plus de formation que le master. Un rééquilibrage doit être négocié pour 2010", selon le texte.
Retour à la page d'accueilLa ministre de l'Enseignement supérieur et de la Recherche Valérie Pécresse a promis mercredi "des évolutions" dans le nouveau modèle d'allocation des moyens aux universités mis en place en janvier. "Je tenais à vous le dire aujourd'hui : ce modèle n'est pas figé, bien au contraire, et il évoluera donc pour 2010", a déclaré la ministre lors d'un discours devant le Conseil national de l'enseignement supérieur et de la recherche (Cneser), selon le texte de son intervention communiqué à l'AFP. "La répartition des moyens entre le master et la licence, les équivalences entre TP et TD, la prise en compte de la situation des universités de moins de 10.000 étudiants, les redéploiements d'emplois entre universités, la prise en compte de la charge pédagogique des IUT, sur toutes ces questions, je crois, comme vous, que des évolutions sont nécessaires : elles auront donc lieu", a-t-elle assuré.
Tillbaka till startsidanUniversitet: "Sympa" bör "mer rättvist", Pécresse lovat "förändringar" i 2010. Systemet för fördelning av medel till universitet, säger "Sympa", som redan kritiserats av en del, måste "förbättras till 2010" att bli "mer rättvisa" och "mer acceptabel", enligt en rapport Senaten information offentliggöras onsdag. "Med tanke på de olika riktlinjer som finns mellan universiteten, de senare inte har samma sökning förmåga. Det är därför relevant att ta hänsyn till resultaten av universitet för forskning när det gäller kapacitet," känna. Mer...
29 juin 2009

Utiliser 100% de FSE pour financer la formation

L'actualité de la formationVladimir Spidla propose d’utiliser 100% de FSE pour financer la formation. «  Anticiper l’après crise », tel était le message de Vladimir Spidla, venu conclure la première journée de la Semaine de l’emploi qui a eu lieu à Bruxelles du 24 au 25 juin 2009. La Commission aidera Etats et partenaires sociaux dans les domaines prioritaires, notamment la formation, qui pourra être financée à 100% - sans cofinancement d’Etat - à partir des 19 Mrd€ consacrés à la programmation du Fonds Social européen 2009-2010.
Vladimir Spidla proposes to use 100% of ESF funding for training. "Anticipating the post-crisis" was the message of Vladimir Spidla, who came close the first day of the Employment Week held in Brussels from 24 to 25 June 2009. The Commission will assist States and social partners in priority areas, including training, which will be funded 100% - without state financing - from € 19 billion on the programming of the European Social Fund 2009-2010. More...
20 avril 2009

Fin du Cnasea et de l'Agence Unique de Paiement, création de l'Agence de services et de paiement (ASP)

La délégation Provence-Alpes-Côte d'Azur a été créée en 1987 et implantée à Aix en Provence. Depuis fin 2005 elle est devenue délégation régionale Corse-Provence-Alpes-Côte d'Azur et est répartie sur trois sites: le siège à Aix en Provence et deux antennes à Marseille et Ajaccio.
Elle remplit les missions qui lui sont confiées par l'Etat, l'Union Européenne et des collectivités territoriales sur huit départements: Alpes de Haute-Provence, Hautes-Alpes, Alpes-Maritimes, Bouches du Rhône, Var, Vaucluse, Haute Corse et Corse du Sud. Cette organisation répond à un objectif de rapprochement avec les institutions régionales comme avec les partenaires de chaque département. La mise en œuvre des missions confiées par les tutelles comme par les collectivités territoriales repose sur une équipe de 75 agents en capacité de réaliser des paiements de masse et de répondre à des demandes spécifiques.
Le 25 mars dernier, le Conseil des ministres a pris une ordonnance portant création de l'Agence de services et de paiement. Ce texte a été publié au JO N°0073 du 27 mars 2009 ainsi que les décrets régissant son organisation et son fonctionnement. Décret n° 2009-340 du 27/03/2009.
Ordonnance. Rapport.
Come di aprile 2009, la CNASEA si fonde con un altro ente pubblico per formare l'Agenzia e servizi di pagamento (ASP). Il nuovo operatore è ora di trattare i casi CNASEA cercando di migliorare la qualità dei servizi resi. Il 25 marzo, il Consiglio dei ministri ha emanato un provvedimento che istituisce l'Agenzia e servizi di pagamento. Questo testo è stato pubblicato nella GU n ° 0073 del 27 marzo 2009 ed i decreti che ne disciplinano l'organizzazione e il funzionamento. Décret n ° 2009-340 del 27/03/2009. Maggiori informazioni...
3 mars 2009

Comment financer sa formation professionnelle ? (Le Figaro, 3-3-09)

Fongecif, Pôle Emploi, financement de l'employeur, bourses des grandes écoles, prêts ou déduction d'impôts permettent l'accès à la formation.
A priori, tout salarié qui souhaite bénéficier d'une formation dans le cadre de son activité ne devrait rien débourser de sa poche. Chaque entreprise cotise auprès d'un OPCA selon sa taille et sa masse salariale pour la contribution à la formation. De plus, chaque société dépense pour le développement de sa formation professionnelle un montant non imposé.
Pour le salarié, le financement dépendra du dispositif de formation choisi. Il a le choix entre demander le financement total ou partiel à son entreprise, ou s'adresser à un organisme collecteur. Deux groupes de dispositifs existent : les dispositifs de formation qui se font dans l'entreprise et généralement à l'initiative de celle-ci (périodes de professionnalisation, DIF), et les dispositifs concernant personnellement le salarié dans son évolution des compétences (CIF, bilan de compétences et VAE).
Prise en charge par l'entreprise
Dans le cadre d'un dispositif de droit individuel à la formation (DIF), le salarié ne débourse rien. Les frais de formation ainsi que son salaire sont pris en charge intégralement par l'entreprise. Toute entreprise doit informer ses salariés du droit au DIF, même les salariés sous contrat à durée déterminée.
Par ailleurs, pendant les périodes de professionnalisation, l'employeur doit maintenir la rémunération du salarié formé. Si la formation a lieu en dehors du temps de travail, l'employeur doit verser au salarié une allocation de formation dont le montant est égal à 50 % de la rémunération nette du salarié concerné.
Le congé individuel de formation
Pour bénéficier d'un CIF, le salarié doit en formuler la demande auprès de son employeur. Sa rémunération ainsi que les frais liés au congé peuvent être pris en charge par un organisme collecteur comme le Fongecif. Le coût moyen d'un CIF s'élève à 25 000 euros, pour un an ou 1200 heures de formation, assumés financièrement par le Fongecif. Cependant, l'entreprise, si elle ne débourse aucun frais de formation, devra remplacer le salarié formé. Ce salaire sera sa seule dépense connexe au CIF. Le Fongecif prend également à sa charge la rémunération du salarié formé, à hauteur de deux fois le Smic. L'organisme prend également en compte les frais de transport et d'hébergement dont le salarié aurait eu à s'acquitter. Par ailleurs, les salariés qui viennent de terminer un contrat à durée déterminée peuvent bénéficier du CIF. L'organisme collecteur de l'entreprise où a été réalisé le dernier CDD prendra en charge la rémunération et tout ou partie des frais de formation. «L'ancien salarié est rémunéré par l'organisme qui établit les bulletins de paie, explique Armel Guillet, directeur du développement au Fongecif Ile de France. Les probabilité d'acceptation du financement sont élevées, car nous avons les fonds nécessaires pour ce dispositif».
Les prêts bancaires
Le prêt bancaire peut être une solution de financement pour la formation professionnelle, dans le cadre d'un MBA par exemple. Attention cependant, certaines banques fixent une limite d'âge pour les prêts étudiants. De même, les taux de crédits, leur durée et les montants pouvant être empruntés varient considérablement entre les établissements bancaires.
La Société Générale par exemple permet d'emprunter sur 9 ans, à partir de 1000 euros, mais avec une limite d'âge de 26 ans. Un taux préférentiel de 3,45% annuel fixe est appliqué aux étudiants des grandes écoles partenaires. On peut emprunter 45 000 euros sur dix ans à la Caisse d'Epargne, jusqu'à 28 ans et avec un taux de 5,73% annuel fixe.
Le Crédit Mutuel permet d'emprunter pour une formation ou un cycle de reconversion, jusqu'à 21 500 euros, pour 9 ans maximum avec un taux 5,65% annuel fixe. La Banque Populaire ne permet le prêt étudiant que pour les moins de 28 ans, pour un montant de 1000 à 30 000 euros. Source.
Hoe de financiering van de beroepsopleiding? Fongecif, Werkgelegenheid sector, financiering van de werkgever, grote scholen van beurzen, leningen of belastingaftrek bieden toegang tot de opleiding. A priori iedere werknemer die wenst te ontvangen opleiding als onderdeel van haar activiteit niet uitgeven zijn zak. Elk bedrijf draagt bij aan een OPCA volgens haar grootte en salarisadministratie voor de bijdrage aan de opleiding. Bovendien heeft elk bedrijf besteedt aan de ontwikkeling van de beroepsopleiding een niet-opgelegd. Voor de werknemer, de financiering zullen afhangen van de opleiding geselecteerd. Het is een keuze tussen het aanvragen van financiering geheel of gedeeltelijk aan zijn bedrijf, of ga naar een verzamelaar. Twee groepen van hulpmiddelen bestaan: de opleiding die in het bedrijf en over het algemeen op initiatief van de laatste (professionalisering perioden, DIF), en regelingen voor de werknemer zelf in de evolutie van (CIF, beoordeling en de VAE). Bron. Meer...

22 janvier 2009

Affectation de 200 millions d'euros dès 2009 à la qualification et la requalification des salariés et demandeurs d'emploi

Les partenaires sociaux (Medef, CGPME, UPA, CFDT, CFE-CGC, CFTC, CGT-FO, CGT), réunis au sein du CPNFP (Comité paritaire national pour la formation professionnelle) le 20 janvier 2009, ont décidé d'affecter la somme de 200 milllions d'euros, prélevée sur les ressources du FUP (Fonds unique de péréquation), au financement d'actions de formation pour la qualification et la requalification des salariés et des demandeurs d'emploi. Cette décision est prise en application de l'article 60 ("Dispositions transitoires") de l'ANI (accord national interprofessionnel) du 7 janvier 2009 sur le développement de la formation tout au long de la vie professionnelle, la professionnalisation et la sécurisation des parcours professionnels. Cette ressource est mobilisée pour 2009, "dans l'attente de la mise en place du FPSPP (Fonds paritaire de sécurisation des parcours professionnels)" créé par l'ANI. Source.
Allocation of 200 million euros from 2009 to qualification and retraining of employees and job seekers. The social partners (MEDEF, CGPME, UPA, CFDT, CFE-CGC, CFTC, CGT-FO, CGT), meeting in the CPNFP (Joint National Vocational Training) on 20 January 2009, decided to allocate the sum of 200 millions euros, paid from the resources of FPU (single Equalization Fund) to finance training activities for the qualification and retraining of employees and job seekers. This decision is taken under Article 60 (Transitional provisions) of the ANI (inter-national agreement) of 7 January 2009 on the development of training throughout life, professional and secure careers. This resource is mobilized in 2009, "pending the establishment of FPSPP Fund (Joint security professional)" created by the ANI. Source.

22 janvier 2009

Financement des universités : les gagnantes et les perdantes

Les universités ont reçu fin 2008 leur budget, globalement en hausse historique, et leur nombre d'emplois (deux tiers des établissements sont touchés par des suppressions de postes). Pour les universités autonomes s'est ajoutée à la mi-janvier 2009 l'enveloppe budgétaire trimestrielle permettant de payer pour la première fois l'ensemble de leurs personnels. Derrière cette redistribution des moyens selon de nouveaux critères - remplaçant ceux du défunt San Remo - se dessine la carte de France des universités. Autour des perdants et des gagnants.
Small is not profitable, pourrait-on résumer pour qualifier cette nouvelle carte de France des moyens donnés aux universités. Les petites universités pluridisciplinaires (hors santé) plutôt jeunes en font en effet le plus les frais. « L’État nous étrangle pour nous faire disparaître. Il veut de grands centres universitaires spécialisés aux dépens des outils d’aménagement social des territoires que sont les petites universités pluridisciplinaires. Le gouvernement nous dit : “Vous voulez faire du social, faites-le vous-mêmes !” » s’étrangle Richard Messina, président d’Évry. À Marne-la-Vallée, on reconnaît que ce type d’établissements aura plus de mal à faire augmenter ses moyens, mais on envisage la stratégie de développement à adopter. « Cela nous incite à améliorer nos taux d’échec en licence, à délivrer davantage de masters, à obtenir des résultats visibles au niveau international et à augmenter la professionnalisation de nos formations », décline Laurence Bancel, la vice-présidente.
Autre point de pénalité : les universités qui ont intégré un IUFM passent artificiellement d’un taux de sous-encadrement à un taux de surencadrement. La CPU, qui analyse plus finement le modèle de répartition, voudrait pouvoir en faire des services interuniversitaires, à l’instar des bibliothèques.
Mais le nouveau modèle n’est pas un jackpot pour les universités primées au classement de Shanghai : ni Paris 6, ni Paris 11 ne décrochent d’augmentations records et elles perdent respectivement quatorze et onze postes. En revanche, les universités thématiques, droit-santé comme Lille 2 ou sciences-santé, s’en sortent bien grâce à des pondérations disciplinaires qui leur sont plus favorables que dans l’ancien système.
Dernier critère très discriminant, celui des étudiants, à l’exemple de Lille 2 qui en a gagné 20 % en quatre ans. A contrario, les chiffres de la DEPP annonçant des baisses de l’ordre de 30 % en dix ans dans les disciplines littéraires et de sciences sociales (hors droit) (3) donnent déjà des sueurs froides aux universités. « Avec le nouveau modèle, il y a un danger, celui de vouloir remplir à tout prix les universités avec des étudiants », résume Jean-Pierre Gesson, président de l’université de Poitiers.
Valérie Pécresse défend son modèle primant les universités les plus dynamiques et demande à tous les établissements une dose de solidarité pour partager les postes via des redéploiements. « La pire des choses, c’est le modèle pseudo-égalitariste qui prévalait pour tous », soutient-elle. Après San Remo, tout le monde reconnaît une première vertu incontestable au nouveau modèle : les règles sont sur la table. La CPU et le ministère de l'Enseignement supérieur doivent discuter dans les semaines à venir des clés de répartition des moyens qui ont été utilisées cette année et des données sources utilisées. Le groupe de travail de la CPU est piloté par Sophie Béjean, présidente de l'université de Bourgogne. Source.
Πανεπιστήμιο χρηματοδότηση: νικητές και ηττημένοι. Τα πανεπιστήμια έχουν λάβει τον προϋπολογισμό τους στο τέλος του 2008, η συνολική αύξηση στην ιστορία της, και τις θέσεις εργασίας τους (τα δύο τρίτα των σχολείων που επηρεάζονται από τις περικοπές θέσεων εργασίας). Για αυτόνομα πανεπιστήμια προστέθηκε στα μέσα Ιανουαρίου 2009, ο προϋπολογισμός ανά τρίμηνο για την πληρωμή, για πρώτη φορά όλα τα μέλη του προσωπικού τους. Πίσω από αυτή την ανακατανομή των πόρων σύμφωνα με τα νέα κριτήρια - που αντικαθιστά το μακαρίτης San Remo - είναι από τον χάρτη της Γαλλίας πανεπιστήμια. Πηγή. Suite...

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