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Formation Continue du Supérieur
18 décembre 2014

REF 2014 winners: who performed best?

By . King’s College London raised its GPA while submitting more staff. Who were the other notable achievers and underachievers?
King’s College London is arguably the biggest winner in the 2014 research excellence framework. More...

18 décembre 2014

REF 2014 results: table of excellence

By . Some post-92s gain, but traditional research powers dominate 2014 research excellence framework rankings.
The proportion of UK research classed as world-leading has been given a major boost by the inclusion of impact in the 2014 research excellence framework. More...

15 décembre 2014

Canada First Research Excellence Fund

By Stephen Downes - Stephen's Web. Canada First Research Excellence Fund
Press Release, Government of Canada, 2014/12/08

The Canadian government has announced a large new research funding program. It will be administered by the the Social Sciences and Humanities Research Council and focus on five priority areas: environment and agriculture, health and life sciences, natural resources and energy, information and communications technology, and advanced manufacturing. More...

14 décembre 2014

Research excellence fund launched, academics cool

By Karen MacGregor. Universities have been enthusiastic but academics appear unconvinced about the Canada First Research Excellence Fund or CFREF, a CAD1.5 billion (US$1.3 billion) initiative over 10 years that was announced in the budget earlier this year and launched by Prime Minister Stephen Harper on 4 December. Read more...

12 décembre 2014

Pour une désexcellence des universités - Charte de la désexcellence - Slow Science

L’Atelier des Chercheurs 
Pour une désexcellence des universités

En ce début de 21ème siècle, « l’Excellence » est partout !
Depuis les accords de Bologne, cette notion a aussi profondément pénétré le fonctionnement des universités. Cheval de Troie de la pensée néolibérale et managériale, ce mot d’ordre dissimule, mal, la mise en concurrence généralisée, la précarisation, la dévalorisation des savoirs minoritaires ou construits sur l’expérience, l’indifférence aux contenus ou encore la confiance absolue attribuée aux évaluations standardisées.
Après plus d’une décennie de réforme ininterrompue justifiée par la recherche d’excellence, nous sommes aujourd’hui confrontés à une détérioration de nos univers de travail, à une perte de sens de nos activités et à la diminution continue de la qualité du travail fourni. Formatage des champs et des objets de recherche, multiplication des résultats invalides et des fraudes, disparition progressive de l’esprit critique, marchandisation des enseignements, autant de conséquences très concrètes de l’idéologie de l’excellence sur les pratiques d’enseignement et de recherche.
Face à ces constats a émergé la notion de « désexcellence ». Loin d’inciter à la paresse ou la médiocrité, elle invite à se préoccuper de la qualité effective du travail - qui porte à la fois sur la nature de ce qui est accompli et sur la satisfaction que l’on en retire - et à remettre en cause la gestion actuelle des universités.
L’appel à la « désexcellence » ne revient pas à regretter un « âge d’or », qui n’a jamais existé, mais à s’opposer par nos pratiques au dévoiement actuel des universités.
Vous trouverez sur ce site des documents et des outils destinés à nourrir ces pratiques : une charte le la désexcellence, des textes et extraits audio & vidéo, quelques ouvrages inspirants, des textes issus d’autres collectifs, et une galerie des 1001 visages de l’Excellence.
Ce site est le fruit d’un travail collectif de chercheurs-enseignants désexcellents à l’Université libre de Bruxelles : A.-E. Bourgaux, B. D'Hainaut-Zveny, J.-M. Decroly, C. Deligne, O. Gosselain, J.-J. Heirwegh, P. Lannoy, G. Lebeer, A. Livingstone Smith, J. Moriau, V. Piette, M. Van Criekingen, E. Wolff.
>> pour nous contacter: lac@listserv.ulb.ac.b

Charte de la désexcellence
Pourquoi la « désexcellence » ?

« L’Excellence » est désormais partout. Dans l’industrie, l’alimentation, le sport, à la télévision et jusque dans l’intimité de nos foyers. Elle exprime le dépassement de soi et des autres, l’accroissement continu des performances, la réussite dans un monde que l’on dit « en profonde mutation », où seuls les plus forts seraient appelés à survivre.
Récupérée par la pensée néolibérale et managériale depuis les années 1980, « l’Excellence » a une dimension incantatoire qui peut prêter à sourire. Il y a loin, en effet, entre les slogans des nouveaux managers et la réalité que ces slogans sont censés décrire ou produire. Mais le sourire disparaît vite lorsqu’on mesure les effets concrets d’une gestion humaine fondée sur « l’Excellence » : hyper-compétition, dévalorisation des savoirs construits sur l’expérience, transformation continuelle des pratiques professionnelles, précarisation, indifférence aux contenus, évaluations standardisées et répétées, avec, comme corollaires, le risque d’une perte d’estime de soi, d’une démotivation et d’une diminution effective de la qualité du travail fourni.
Touché plus tardivement que d’autres secteurs, le monde universitaire a adopté l’idéologie de « l’Excellence » avec la ferveur des nouveaux convertis. Dans la foulée des accords de Bologne, qui consacraient principalement la mise en compétition des universités européennes, il semblait crucial de soigner son image de marque, de transformer son institution en machine de guerre capable d’absorber les meilleurs crédits, les meilleurs enseignants-chercheurs, le plus grand nombre d’étudiants, et de renforcer son positionnement sur les scènes nationales et internationales. Dans un contexte de pénurie et de crise, le souci d’un retour rapide sur investissements contribuait aussi à systématiser une gestion par indicateurs dans les domaines de la recherche et de d’enseignement.
Mais après plus d’une décennie de réforme ininterrompue, nous sommes confrontés à une détérioration et non une amélioration de nos univers de travail. Bien sûr, nous avons accru nos capacités de communication. Bien sûr, nous nous sommes mis à produire ces « indicateurs d’Excellence » qui garantissent un bon positionnement dans les évaluations et les classements. Mais de telles aptitudes ne disent rien de la qualité de notre travail. Pire, elles masquent une baisse fréquente de cette qualité : formatage des champs et des objets de recherche, multiplication des résultats invalides et des fraudes, manque de recul et d’esprit critique, construction d’une relation marchande à l’apprentissage, substitution des savoirs instrumentaux aux connaissances et à la réflexion,… etc. Derrière son décor de carton-pâte, cette politique de « l’Excellence » mène en fait à un résultat exactement inverse à celui qu’elle prétend promouvoir.
C’est sur ce constat qu’a émergé la notion de « désexcellence ». Loin d’inciter à la paresse ou la médiocrité, elle invite à se préoccuper de la qualité effective du travail, qui porte à la fois sur la nature de ce qui est accompli et sur la satisfaction que l’on en retire. Selon cette perspective inspirée du travail artisanal, la qualité se cultive en conciliant l’acte et le sens, ce que remet en cause la gestion actuelle des universités. L’appel à la « désexcellence » ne revient pas à regretter un « âge d’or » —qui n’a d’ailleurs jamais existé— mais à s’opposer par nos pratiques au dévoiement actuel des universités.
Pourquoi une « charte de la désexcellence » ?
Des critiques se font entendre depuis quelques années dans le monde académique. En France et en Belgique, notamment, sont apparus des mouvements indépendants qui dénoncent les dérives des pratiques actuelles dans la recherche et l’enseignement et appellent tant à un ralentissement – la Slow Science – qu’à un recentrage sur des valeurs favorisant l’émergence d’un travail de qualité : partage, désintéressement, honnêteté, plaisir.
Plusieurs appels et pétitions ont été faits en ce sens, qui bénéficient du soutien de milliers de scientifiques à travers le monde. Partageant l’essentiel de leurs constats, nous les avons signés également et contribuons à les diffuser.
Il nous semble néanmoins que la sensibilisation, la discussion et la signature d’une pétition ne suffisent pas. Au-delà de la dénonciation, il est crucial de mesurer notre part de responsabilité dans l’adoption et le développement de l’idéologie de « l’Excellence ». Nous sommes tous susceptibles, à un moment ou l’autre, de servir de rouage à la machine managériale. En acceptant certaines réformes, en nous conformant à certaines injonctions – tout particulièrement celles qui concernent la mise en compétition des individus et les politiques d’évaluation –, nous devenons les acteurs de notre propre destruction.
Une façon d’en sortir est de nous transformer en transformant nos façons de faire. Il s’agit en somme de mettre nos valeurs en pratique, plutôt que d’appeler – indéfiniment ? – au ressaisissement de responsables politiques et de gouvernants académiques qui semblent aujourd’hui bien plus préoccupés par l’image, que par le fonctionnement effectif de l’université.
C’est à cette fin qu’est destinée cette « Charte de la désexcellence ». Fruit d’une réflexion collective qui doit être poursuivie et élargie, elle vise avant tout à dépolluer nos pratiques, en refusant de substituer la notion « d’Excellence » à un travail honnête et bien fait. Elle vise également à construire une université de service public, démocratique et accessible ; une autre université que celle qui se bâtit sous nos yeux.
Comment utiliser cette charte ?
Cette charte n’a pas à être signée et adoptée en l’état. Il ne s’agit pas de « se compter » ou d’adopter une quelconque bannière, mais de s’approprier, de façon critique, une série de propositions relatives à l’enseignement, la recherche, l’administration et le service au public.
Ces propositions peuvent être modulées en fonction des profils individuels et des possibilités d’action. N’en déplaise aux nouveaux managers, l’univers académique comprend encore de multiples interstices dans lesquels se développent des formes de résistance. Mais nous n’appelons pas pour autant au suicide professionnel ! C’est la raison pour laquelle nous proposons d’abord cette charte aux membres du corps académique, qui possèdent la plus grande marge de manœuvre.
Pour assurer l’existence d’une communauté universitaire fondée sur le dialogue et la solidarité entre les corps nous espérons que cette charte soit appropriée par le grand nombre et acquière une vie propre, à la manière d’un logiciel libre, transformable par tous.

La charte - version 1.1

12 décembre 2014

Initiatives d'excellence en formations innovantes Numériques - IDEFI-N

Logo de l'Agence Régionale de la Formation tout au long de la vie (ARFTLV Poitou-charentes)L'appel à projets "Initiatives d'excellence en formations innovantes Numériques - IDEFI-N" a été lancé le 27 novembre 2014.
L'appel à projets IDEFI-N a vocation à accélérer la disponibilité d’une offre riche et diversifiée de MOOCs (cours en ligne ouverts à tous), de cursus en ligne et de dispositifs de formations numériques de haute qualité pédagogique et technique, afin de développer l'attractivité internationale des établissements d'enseignement supérieur et de recherche, de promouvoir des dispositifs pédagogiques innovants par le numérique et de conforter une dynamique de formations universitaires tout au long de la vie.
Consulter le communiqué de presse et l'appel à projets en ligne sur le site du Gouvernement. Voir l'article...

26 novembre 2014

On Elite Campuses, an Arts Race

The New York TimesBy . Closed for six years, the Harvard Art Museums reopen here Sunday after a radical overhaul by the architect Renzo Piano. He saved only the shell of the chaste, red-brick Fogg Museum and its interior courtyard, extending it upward in sheets of glass and elegant trusswork. Galleries wrap the new public space, but so do a materials lab, an art-conservation suite and a study center, where students, faculty and visitors can learn from the collection of 250,000 objects. More...

24 novembre 2014

The Research Excellence Framework – nerve-racking but necessary

http://static.guim.co.uk/static/c55907932af8ee96c21b7d89a9ebeedb4602fbbf/common/images/logos/the-guardian/news.gifBy . As we anxiously await the results we should remember what these assessments have made us strive for. By this time next month we will have the results of the Research Excellence Framework (REF), in which universities’ work is scrutinised and funding handed out accordingly. More...

16 novembre 2014

International Symposium on Academic Excellence

http://www.ireg-observatory.org/templates/sub_business2/images/ireg_top2013.pngUniversity of Maribor, Shanghai Jiao Tong University and the IREG Observatory on Academic Ranking and Excellence invite you to participate and register for the 2nd Maribor Academicus Event in a form of the International Symposium: Academic Excellence: Between Holy Grail and Measurable Objectives, January 19-20th, 2015, Maribor, Slovenia. More...

16 novembre 2014

Excellence through Equity

http://2.bp.blogspot.com/-fKag1zsmmFA/TmhpGfmaPZI/AAAAAAAAADE/l2BFF4kPiY8/s1600/Bandeau904x81.pngBy Max Rashbrooke. In social terms, it’s essential to invest in education.  A recent OECD report How was Life?, looking at global well-being since 1830 finds that, in terms education, there has been a massive improvement.  A lack of educational opportunities creates a vicious circle, in which those unable to get a decent education are denied opportunities for social betterment, the socially disadvantaged then struggle to access education, and so on. Read more...
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