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Formation Continue du Supérieur
29 septembre 2012

Enquête nationale sur les archives ouvertes

Début 2012, l'ADBU, Couperin et certains EPST ont lancé une enquête nationale sur les archives ouvertes. Voici l'analyse de ses résultats, un résumé des résultats et les réponses détaillées fournies par les établissements dans la pièce jointe en fin d'article.
Télécharger Results.zip.
Synthèse sur les résultats de l'enquête Archives ouvertes Couperin-ADBU-INRA-INRIA 2012

Enquête menée au premier trimestre 2012 avec l'outil en ligne SurveyMonkey. Elle visait à dresser un panorama des réalisations et des projets d’archives ouvertes de la recherche. Dépouillement réalisé par Jean-Marie Barbiche (ECP), André Dazy (Couperin), Diane le Hénaff (INRA), Jean-François Lutz (Université de Lorraine), Alain Monteil et Claire Büren (INRIA), Christine Ollendorff (ENSAM). Cette synthèse présente des résultats jugés significatifs par l'équipe en charge du dépouillement. Ils sont accompagnés d'éléments d'analyse et de propositions (en gras dans le texte). Lorsque c'était possible et pertinent, des éléments de comparaison ont été établis avec l'enquête menée par Couperin sur le même thème en 2008 (appelée « enquête 2008 » dans la suite de ce document). Certaines questions ont été analysées en fonction du type d'archive ouverte, en distinguant d'un côté les établissements ayant mis en place leur propre système, et de l'autre ceux utilisant HAL ou équivalent (via un portail institutionnel ou pas).
1 Informations institutionnelles

Le nombre de réponses (178 au total, dont 135 questionnaires terminés) est très satisfaisant et les données collectées peuvent être considérées comme représentatives du paysage des archives ouvertes en France, d'autant plus que les EPST ont été nombreux à répondre (19 contre 3 en 2008). Les questionnaires ont été complétés à 92 % par les bibliothèques ou centres de documentation dont l'implication massive sur le sujet est confirmée par la suite de l'enquête.
Les domaines scientifiques couverts par l'archive ouverte sont variés mais les sciences « dures » (citées dans 78% des réponses) sont prédominantes et devancent droit-éco-gestion (52,4%), lettres et sciences humaines (48,6%) et médecine-pharmacie (32,4%).
La dernière question préliminaire portait sur l'étape du projet en cours et sur ce point, la comparaison avec l'enquête de 2008 est éloquente. En 2012, près de 25 % des projets sont en réflexion ou en phase initiale contre 53% en 2008; 50% des archives ouvertes sont en service contre 29 % en 2008. On mesure le chemin parcouru en quatre ans, mais aussi tout ce qu'il reste à accomplir.
→ 50 % d'archives ouvertes en service en 2012, c'est finalement assez peu. Il faudrait analyser pourquoi 15% des répondants n'envisagent « aucun projet » et, en fonction de ces données, mettre en place des outils d'incitation et d'accompagnement.
2 Archives ouvertes inter-établissements

Concernant la structure administrative des archives ouvertes, 80% ne sont pas inter-établissements ce qui reflète à peu près le paysage institutionnel (dans le détail, on compte 23% d'archives interétablissement parmi les projets en cours ou en service depuis 2008, et 17% parmi celles mises en service avant 2008). A quelques exceptions près (notamment les universités en voie de fusion), les établissements semblent enclins à garder la main sur la valorisation de leur recherche plutôt que de la mutualiser au sein d'un PRES.
→ L'entrepôt institutionnel est largement considéré comme faisant partie de l'identité propre de l'établissement, notamment parce qu'il contribue à sa valorisation (voir plus bas). Les projets de regroupements ne sont viables que s'ils correspondent à une réalité administrative visible et pérenne. A ce titre, les regroupements géographiques sont privilégiés car perçus comme plus durables que d'autres entités (PRES, pôles thématiques).
3 Inscription dans un contrat d'établissement.

Si 50 % des projets menés depuis 2008 sont inscrits dans le contrat d’objectif de leur établissement, on observe que les archives institutionnelles propres (non HAL) sont inscrites à plus de 75% dans le contrat d’objectif de leur établissement alors que les archives HAL et thématiques sont bien moins soutenues formellement.
→ HAL nécessite moins d'investissements qu'une archive ouverte propre (serveurs, interface, maintenance...) donc un engagement moins formalisé.
4 Quels sont les objectifs ayant motivé la mise en oeuvre d'une archive ouverte?

Globalement, les objectifs restent similaires à ceux exprimés en 2008: valorisation (de la recherche ou de l'établissement) et création d'une archive patrimoniale sont les plus cités; sans surprise, le peer-reviewing est très peu cité. Pour 20% des réponses, la production d'indicateurs est sans objet, alors même qu'on pourrait s'attendre à ce que ce service soit plus massivement attendu. Ces réponses peuvent être rapprochées des motivations des dépôts: 64% des répondants citent la diffusion et la visibilité des contributions, 21% seulement la fourniture d'indicateurs, qu'ils soient institutionnels ou individuels.
→ Une archive ouverte est avant tout considérée comme un outil de communication, tant au niveau « macro » (établissement) que « micro » (chercheurs). L'hétérogénéité des réponses montre aussi combien les attentes sont diverses d'un établissement à l'autre.
5 Coût humain des projets d'archives ouvertes et profils impliqués dans leur fonctionnement Les équivalents temps-plein dévolus à la mise en place d'une archive ouverte sont difficiles à estimer, et les réponses font état de moyens généralement très faibles (entre 0,5 et 1 ETP en moyenne). Deux profils dominent: bibliothécaires/documentalistes et, dans une moindre mesure, informaticiens, et ce à toutes les phases du projet (de la réflexion initiale au fonctionnement). Lorsque l'archive est en fonctionnement, les services de l'IST et les enseignants chercheurs sont davantage impliqués sans atteindre le niveau des deux premières catégories.
Pour les archives ouvertes en fonctionnement, la comparaison par rapport à 2008 permet d'identifier l'émergence d'un nouvel acteur: le secrétariat, déposant dans 32% des réponses contre moins de 20% en 2008 (les chercheurs sont déposants dans 59% des cas contre 52,3% en 2008). Et même si l'évolution de ces taux est ténue, il semblerait que les bibliothécaires documentalistes, toujours massivement déposants (59%, contre 63% en 2008), se recentrent vers leur coeur de métier (contrôle des métadonnées: 74,4 % contre 59,3 en 2008) au détriment d'autres fonctions qui, du moins nous l'espérons, sont attribuées à des personnels plus spécialisés (modération scientifique: 9% contre 16,3% en 2008, les chercheurs étant passés sur ce rôle de 16,3% en 2008 à 25,6% aujourd'hui).
Dernier point significatif: le rôle de modération juridique est en baisse depuis 2008. Il est attribué majoritairement aux bibliothécaires et documentalistes (23,1% des réponses, 40,7% en 2008), enseignants-chercheurs (7,7% contre 16,3% en 2008), et encore: rôle déclaré chez 9 sur 36 utilisateurs de HAL et 32 sur 34 utilisateurs d'archives institutionnelles.
Sans surprise, une archive institutionnelle propre nécessite plus d'informaticiens par rapport à l'utilisation d'un portail HAL ou assimilé dont la réalisation et le support technique sont en quelque sorte externalisés au CCSD.
Sur les autres fonctions, il n'y a pas de différence flagrante entre les archives propres et les archives liées à HAL.
→ Le rôle massif des bibliothèques et centres de documentation est à mettre en relation avec les difficultés qu'ils rencontrent pour impliquer les chercheurs (question n°10). La solution à ce problème serait de faire participer davantage ces derniers à toutes les étapes, non seulement lors du dépôt (ce qui est déjà largement fait, mais pas partout), mais aussi plus en amont, lors de la (re)définition du projet et de ses objectifs. L'implication croissante des secrétariats dans le dépôt des documents est peut-être conçu comme un palliatif à cette difficulté, le dépôt étant alors considéré comme un travail purement administratif plutôt que faisant partie du métier du chercheur.
Dans le même temps, il faut donner aux bibliothécaires et documentalistes les moyens d'exercer les tâches qu'ils assument (ou pas) autour des archives ouvertes, et en particulier sur les questions juridiques et de droits d'auteur qui préoccupent souvent les chercheurs. Sur ce dernier point, les utilisateurs de HAL se sentent couverts et ne s'investissent pas dans ces questions: il est du ressort de HAL de mieux informer ses utilisateurs sur ce qui leur incombe en la matière.
6 Coûts hors moyens humains

Les coûts de mise en oeuvre d'une archive ouverte hors moyens humains sont relativement marginaux. Le budget communication (affiches, tracts et autres supports) se monte en moyenne à 400 € HT. S'y ajoutent, pour une archive institutionnelle propre, l'achat de matériel informatique (notamment serveurs, à hauteur de 10 000 € HT environ mais avec de fortes disparités). Par comparaison, l'achat de matériel déclaré dans l’enquête se monte en moyenne à 625 € HT pour un portail HAL.
→ Si les situations sont variées, il est manifeste que le recours à un portail HAL nécessite moins de moyens que la mise en place d'une infrastructure propre à un établissement, avec ce qu'elle implique en termes de licence, d'investissement et de maintenance. Il est vraisemblable que le choix des établissements entre ces deux options (HAL ou dépôt propre) soit en partie dicté par des impératifs budgétaires, pas seulement par une véritable réflexion de fond sur les objectifs et les fonctionnalités attendus.
7 Système de dépôt

56% des répondants utilisent HAL (avec ou sans portail établissement), ce qui est beaucoup. En ce qui concerne les archives autres que HAL, le logiciel le plus utilisé est ORI-OAI (44%, 19 réponses) mais seuls 6 de ces établissements déclarent utiliser les web services HAL, 7 n'ont rien mis en place.
→ Il y a sans doute un effort à faire du côté de HAL en matière de communication et de support technique pour accompagner ces établissements et garantir l'interopérabilité entre les archives. La question 5 laisserait pourtant penser que les compétences pour paramétrer ces web services existent la plupart du temps.
8 Intégration dans le système d'information de l'établissement.

Dans une nette majorité de cas (56 %) l’archive est considérée comme peu ou pas intégrée avec le SI de l'établissement. Dans le détail, 75,5 % des déposants dans HAL considèrent le système peu ou pas intégré (et 0% bien intégré!) contre près de 50% des archives ouvertes propres considérées comme bien ou totalement intégrées.
→ Il faut que HAL fournisse des outils et accompagne les établissements pour mieux s'intégrer dans le SI (annuaire Ldap, ENT, exports de données, référentiels...). La gestion des comptes utilisateurs, par exemple, pourrait sans doute être simplifiée et fiabilisée par ce biais.
9 Signalement des archives ouvertes dans les répertoires institutionnels.

Le référencement externe est plutôt faible (40 % seulement des archives sont signalées), et plusieurs personnes ont répondu qu'elles ne savaient pas si leur archive est référencée.
→ Il y a manifestement une méconnaissance de ces répertoires qu'il serait facile de lever en publiant un petit guide récapitulatif décrivant les objectifs, les contraintes et les modalités pratiques pour chacun.
10 Difficultés rencontrées

La comparaison avec l'enquête 2008 montre que la plupart se sont réduites. Le point épineux reste l'implication des chercheurs, plus ou moins difficile pour 83 % des répondants, stable depuis 2008 mais avec une note d'espoir puisque 15 % déclarent que ce point ne pose pas de difficultés contre 6% en 2008.
11 Implication des enseignants et chercheurs et moyens de communication
Interrogés spécifiquement sur l'implication des enseignants et chercheurs, 40% l'estiment en dessous de la moyenne ou faible. Pour les sensibiliser, la communication en face à face est privilégiée.
→ Les difficultés causées par la non-implication des chercheurs aux yeux des bibliothécaires (et il faut rappeler ici que ce sont ces derniers qui ont massivement répondu à l'enquête) restent préoccupantes. Alors que ce sont les premiers concernés, ils ne sont pas encore assez partie prenante des politiques d'établissements en matière d'archives ouvertes (nous y reviendrons). Autre point jugé difficile, la communication institutionnelle. En bref, les archives ouvertes semblent encore trop souvent souffrir d'un déficit d'image. Des recommandations, voire des supports de communication personnalisables, permettraient de partager les bonnes pratiques et de rendre la communication plus efficace. Il faut aussi en renouveler les modes, par exemple en ciblant davantage les décideurs et surtout les enseignants et chercheurs (voir question suivante), que ce soit au niveau local ou national.
12 Politique d'établissement en matière d'archivage

Les pratiques sont variées et dépendent aussi du type de document concerné: les thèses, par exemple, sont souvent soumises à une obligation de dépôt via Star. En schématisant un peu, une archive ouverte institutionnelle propre semble plus propice à une politique d’obligation alors que les établissements utilisant HAL ont plutôt une politique incitative. Cette politique est majoritairement décidée par les directions, peu par les conseils.
→ Ce dernier point explique peut-être les problèmes de communication et de motivation des chercheurs évoqués plus haut. Une solution serait de faire en sorte que ces questions soient davantage traitées au niveau des conseils des universités et, plus globalement, des instances collégiales, pas seulement à la présidence ou la direction des établissements.
13 Prise en charge du libre-accès

Les questions sur la prise en charge des frais de publication dans des revues en open access ont eu peu de succès, preuve que cette question est déconnectée des A-O pour les répondants, et/ou que ce ne sont pas les mêmes qui traitent de ces questions dans les établissements.
14 Utilisation d'un workflow

Dans un établissement répondant sur deux, il existe un workflow de dépôt formalisé; cependant, il existe une forte disparité entre les utilisateurs de HAL ou d'une archive ouverte thématique noninstitutionnelle (33% déclarent un workflow) et ceux qui disposent d'une archive institutionnelle propre (82% en déclarent un).
→ L'utilisation de HAL entraîne des pratiques moins formalisées et une autonomie accrue des déposants, ce qui peut avoir pour conséquence une baisse de la qualité des dépôts (moins de texte intégral). HAL gagnerait sans doute à proposer un workflow paramétrable par établissement (à l'instar de ce qui se fait dans Star), qu'il soit inclus dans l'interface ou proposé indépendamment.
15 Documents déposés

La typologie des documents déposés révèle que les archives ouvertes, surtout lorsqu'elles sont locales, hébergent en majorité des thèses (72% des réponses) et des articles et conférences en pré ou, plus généralement, post-publication. Chez 40% des répondants, aucun type de document n'est explicitement refusé; la même proportion refuse la documentation administrative.
Les dépôts ont cru notablement depuis 2008 (+71%), mais il n'est pas possible d'affiner ce constat car les données recueillies sont insuffisantes (moyennes non significatives, il faudrait les rapporter à la taille des établissements).
16 Dépôts en texte intégral

Cette question révèle une nouvelle ligne de fracture au sein du panel: 80% des archives institutionnelles propres abritent 100% de texte intégral. Pour les archives institutionnelles HAL: 37% en moyenne seulement, avec de très fortes disparités. Un portail HAL incite donc nettement moins au dépôt du texte intégral.
17 Statistiques de téléchargement et autres services

Sur la question de la fourniture de statistiques, l'enquête a récolté très peu de réponses, surtout chez les utilisateurs de HAL. Seuls 16 établissements disposant d’une archive propre y répondent positivement mais là encore, seules dix réponses fournissent des nombres exploitables. Le fait d’avoir une archive institutionnelle propre ne semble donc pas apporter de service de statistique plus performant. C'est pourtant un service essentiel (cité dans les objectifs).
→ Il est indispensable que les archives ouvertes proposent des outils de suivi statistique complets, paramétrables, intuitifs à utiliser et interopérables avec d'autres systèmes (exports), basés sur des critères simples acceptés par tous (nombre de consultation, de téléchargement, etc.)
Concernant les autres services, les réponses sont variées et finalement peu nombreuses. Fait significatif, à la question des services proposés par le système, même les utilisateurs de HAL ne répondent pas pareil: 48% d'entre aux disent proposer des statistiques de consultation globales (52% disent non), 53% disent proposer des statistiques de consultation par chercheur (47% disent non), etc. Il y a donc avant tout un déficit criant de formation des utilisateurs de portails HAL. Pour conclure, il apparaît que l’offre de services des archives ouvertes est proportionnelle à l’âge de l’archive : en général, elle émerge après quelques années de fonctionnement.
→ Il faudrait établir une liste de services indispensables, basés sur des critères consensuels, et donner les moyens aux établissements de les mettre en place. Surtout, il faut communiquer sur les services existants (notamment sur HAL) et les moyens de les utiliser.
Conclusion

Pour conclure, si les progrès sont indéniables depuis 2008, il reste encore du chemin à parcourir pour aboutir à un paysage des archives ouvertes nationales cohérent et homogène basé sur des pratiques et des standards communs. Un point difficile reste l'implication des enseignants et chercheurs, qui devraient pourtant être les premiers concernés par le sujet. Comment progresser à la lumière de ces résultats? Il s'agit entre autres de faire des archives ouvertes un peu moins la chose des documentalistes et un peu plus celle des chercheurs en les impliquant davantage en amont et en prenant en compte leurs attentes en termes de facilités et rapidité de dépôt (3 pages de métadonnées à remplir, c'est trop) et de services associés (statistiques, indicateurs bibliométriques, interopérabilité avec leurs outils, etc.). Beaucoup d'établissements n'ont pas fait de ce sujet une priorité politique, il faut donc communiquer à nouveau vers les présidents et directeurs pour qu'ils saisissent les enjeux et se donnent les moyens de réussir, au service de leur établissement et de la diffusion des savoirs.
Au sujet des réflexions en cours dans le cadre de BSN 4, cette enquête démontre qu'un portail HAL d'établissement est considéré, implicitement ou non, comme une archive ouverte à moindre coût: moins d'investissement initial et moins de maintenance pour un résultat satisfaisant. Résultat, les établissements sont moins regardants sur la qualité des dépôts (peu de workflow, moins de texte intégral) et moins exigeants sur les services associés dont ils ignorent parfois même l'existence. Associer davantage les chefs de projets (souvent des bibliothécaires) en amont, puis proposer un workflow et des services complémentaires simples à utiliser pour les enseignants et chercheurs déposants permettrait qu'ils s'y investissent davantage, au bénéfice de toute la communauté. Plus globalement, la disparité des réponses fait ressortir combien serait utile l'émergence d'un réseau structuré des utilisateurs de HAL au sein duquel les bonnes pratiques pourraient circuler.

Early 2012, ADBU, Couperin and some EPST launched a national survey of open archives. Here the analysis of the results, a summary of the results and the detailed responses provided by the institutions in the attachment at the end of article. More...

21 septembre 2012

Enseignement supérieur - l’Ocde mène l’enquête

http://orientation.blog.lemonde.fr/files/2011/08/Edhec-Olivier-Rollot-208x300.jpgPar Olivier Rollot. Les « Regards de l’éducation » de l’Ocde sont la bible mondiale de l’enseignement supérieur et leur publication chaque année si riche d’enseignements en 600 pages de tableaux et d’analyses qu’on se demande par quoi commencer. Eric Charbonnier, le responsable pour la France des questions d'éducation au sein de l'Ocde, en à tiré quelques conclusions sur l'enseignement supérieur que voici.
Un investissement qui reste prioritaire

Premier enseignement, en dépit de la crise les dépenses d’enseignement ont continué à augmenter dans la plupart des pays. Jusqu’à 16 points de plus en Norvège, 14 en Australie et plus de 5 points en moyenne dans les pays de l’Ocde. Quant à la France, alors que son PIB baissait de plus de 2 points, sa part consacrée à l’enseignement grimpait elle de 1,5 point. Insuffisant alors que la France commençait juste à rattraper son retard en matière de niveau d’éducation. De plus, ces sommes restent très différemment réparties que dans le reste du monde: l’effort porte d’abord sur le secondaire alors que partout ailleurs ce sont l’enseignement primaire et le supérieur qui reçoivent le plus.
Pour autant l’enseignement supérieur français a connu une relative embellie ces dernières années avec une progression de plus de 28 points entre 2000 et 2009 qui lui a permis de rejoindre la moyenne des pays de l’Ocde.
La France comble son retard

En 2010 la France dépasse les États-Unis en matière de proportion de diplômés de l’enseignement supérieur. Ses 25-34 ans sont 42% à avoir un diplôme contre moins de 20% des 55-64 ans. Un effort considérable accompli quand les Américains n’ont pratiquement pas progressé en 30 ans, les Britanniques gagné plus de 17 points et les Coréens du Sud… plus de 50, faisant d’eux très largement le pays du monde le plus diplômé. A l’autre extrémité, les Brésiliens restent les cancres de la planète sup avec à peine plus de 10% de diplômés (mais un immense effort est en cours) alors que les Allemands ne dépassent pas les 28% depuis maintenant 30 ans. En cause ou grâce à un système dual qui accompagne très tôt les jeunes dans la voie de l’apprentissage.
Si la France a rattrapé son retard au niveau de la proportion de diplômés, elle reste largement en-dessous de la moyenne des pays de l’Ocde en matière de titulaires d’un doctorat ou d’un PhD: moins de 1% de ses étudiants parviennent à ce niveau contre 1,4% en moyenne et jusqu’à plus de 3% en République slovaque et plus de 2% en Suisse, Suède ou Allemagne où on le voit ceux qui s’engagent dans des études le font pour longtemps.
Vous pouvez consulter l’étude complète à www.oecd.org/edu/EAG2012.

http://orientation.blog.lemonde.fr/files/2011/08/Edhec-Olivier-Rollot-208x300.jpg Με Olivier Rollot. « Education at a Glance » του ΟΟΣΑ Αγία Γραφή είναι υψηλότερη παγκόσμια δημοσίευση εκπαίδευση κάθε χρόνο και τόσο πλούσια σε διδάγματα και 600 σελίδες του αναλύει πίνακες του ότι θα ζητήσει από πού να αρχίσω. Eric Charbonnier, Γαλλία υπεύθυνη για τα θέματα της εκπαίδευσης στις χώρες του ΟΟΣΑ, για να καταλήξει σε συμπεράσματα για την τριτοβάθμια εκπαίδευση από ό, τι εδώ.
Μια επένδυση που εξακολουθεί να αποτελεί προτεραιότητα

Πρώτο μάθημα, παρά τις δαπάνες για την εκπαίδευση κρίση συνέχισαν να αυξάνονται στις περισσότερες χώρες.
Έως και 16 μονάδες υψηλότερα στη Νορβηγία, 14 στην Αυστραλία και περισσότερα από 5 μονάδες κατά μέσο όρο στις χώρες του ΟΟΣΑ. Όσο για τη Γαλλία, ενώ το ΑΕΠ μειώθηκε κατά περισσότερο από 2 μονάδες, το ποσοστό που αφιερώνεται στη διδασκαλία που ανέβηκε κατά 1,5. Ανεπαρκής, ενώ η Γαλλία είχε μόλις αρχίσει να καλύψουν τη διαφορά από την άποψη της εκπαίδευσης. Περισσότερα...

18 août 2012

Rhonealpes-orientation.org - résultats de l'enquête en ligne

http://www.rhonealpes-orientation.org/medias/photo/enquetepublique_1343900680170.pngLes visiteurs de rhonealpes-orientation.org étaient invités à donner leur point de vue concernant le site lors d'une enquête en ligne diffusée en avril et mai dernier. Aujourd'hui, les résultats de l'enquête de satisfaction sont disponibles.
"Comment jugez-vous l'information mise à disposition sur rhonealpes-orientation.org? Le site vous semble-t-il convivial et attractif?" ... Les internautes ont donc répondu à 10 questions portant aussi bien sur l'ergonomie, le graphisme et l'accès à l'information du site.
Synthèse de l'enquête

Cette enquête a permis d’interroger principalement des demandeurs d’emploi et des salariés (45%). Les professionnels de l’orientation et de l’emploi représentent 31%. Les scolaires et étudiants sont peu représentés.
L’enquête en ligne montre que la majorité des répondants apprécient le site actuel. L’utilisation et l’accès à l’information sont reconnus facile. L’information est jugée pertinente et actualisée. Après 6 ans de vie, le site est toujours aussi convivial et efficace. Cependant, les suggestions des utilisateurs confirment le besoin de faire évoluer le site vers le web 2.0 (réseaux sociaux, contributions, etc.).
Bien que les résultats de l’enquête soient positifs, le projet de refonte reste nécessaire pour améliorer le service rendu aux utilisateurs. Il englobera tous les aspects du site: ergonomie, graphisme, gestion des contenus, services.
En complément, l’analyse des statistiques de consultation du site renseigne sur les contenus les plus consultés. Le projet de refonte s’appuie sur l’analyse des enquêtes utilisateurs et des statistiques de fréquentation.
>> Téléchargez les résultats complets de l'enquête.

http://www.rhonealpes-orientation.org/medias/photo/enquetepublique_1343900680170.png~~VΟι επισκέπτες rhonealpes-orientation.org κλήθηκαν να εκφράσουν τις απόψεις τους σχετικά με το χώρο κατά τη διάρκεια μιας online έρευνας κυκλοφόρησε τον Απρίλιο και τον Μάιο. Σήμερα τα αποτελέσματα της έρευνας ικανοποίησης είναι διαθέσιμα.
"Πώς θα αξιολογούσατε τις πληροφορίες που είναι διαθέσιμες on-rhonealpes orientation.org; Η ιστοσελίδα φαίνεται εύκολη και ελκυστική;"
...  Έτσι, οι χρήστες ανταποκρίθηκαν σε 10 ερωτήσεις που θα καλύπτουν τόσο την εργονομία, τα γραφικά και πρόσβαση σε πληροφορίες από την τοποθεσία
. Περισσότερα...
5 août 2012

Survey probes how ‘whirlwind’ forces will affect higher education

http://enews.ksu.edu.sa/wp-content/uploads/2011/10/UWN.jpgBy Wagdy Sawahel. Technology experts believe market factors will push universities to expand online courses, create hybrid learning spaces, and move towards lifelong learning models and different credential structures by 2020, according to a new report. “But they disagree about how these whirlwind forces will influence education, for the better or the worse.”
The views of experts were outlined in a 27 July survey titled The Future Impact of the Internet on Higher ducation, authored by Janna Quitney Anderson of Elon University, and Jan Lauren Boyles and Lee Rainie of the Pew Research Center. The US-based Pew Research Center’s Internet & American Life Project and the Imagining the Internet Center at Elon conducted a non-random, opt-in online sample of 1,021 internet experts, technology researchers, university directors, venture capitalists and Ivy League professors recruited via e-mail invitation, Twitter or Facebook. The report says a major driver of the debate about the future of the university is its “beleaguered business model”, the ballooning cost of higher education and student debt that is now upwards of US$1 trillion. Some believe the sector is as susceptible to technological disruption as other information-centric industries like the media, music and movies.

4 août 2012

ERREFOM - Résultats de l’enquête de satisfaction

http://www.errefom.info/images/numvert.jpgFin mai, nous avons lancé une enquête de satisfaction pour recueillir votre avis sur Espace INFO. Vous avez été nombreux à y répondre (20,5%) et nous vous en remercions. Une synthèse des résultats de cette enquête a été réalisée, que vous pouvez consulter en cliquant ici.
Lettre d’information de l’Errefom « Espace INFO » - Résultats de l’enquête de satisfaction menée en mai-juin 2012

Avec "Espace INFO", l'Errefom communique toutes les semaines, par mail, une sélection d'actualités portant sur les champs de l'emploi, de la formation, des métiers et de l'orientation.
La transformation du site de l'Errefom, prévue au dernier trimestre 2012, s’accompagnera d’une newsletter repensée, dans sa forme et dans ses contenus. C’est pourquoi nous avons souhaité associer nos abonnés à cette démarche en recueillant leur avis sur la formule actuelle afin de mieux aborder ces évolutions et proposer une nouvelle mouture de ce support d’information.
Cette enquête en ligne a été lancée fin mai. Le taux de réponse a été de 20,5% (soit 400 réponses sur 1953 abonnés), ce qui est très satisfaisant et suffisant pour en tirer des enseignements et adapter en conséquence notre support de communication.
Globalement, Espace INFO rencontre un accueil très favorable parmi ses lecteurs et l’Errefom remercie tous ces derniers de l’intérêt qu’ils ont témoigné et de leur fidélité.
N’hésitez pas tout au long de l’année à continuer de nous faire part de vos suggestions et nous informer des actions et événements que vous organisez: doc@errefom.info.
1 - Satisfaction générale: Espace INFO, un « outil adapté aux acteurs de la formation »
Principaux motifs de satisfaction…

· information de qualité, riche, variée, complète, bien structurée, intéressante
· aperçu rapide, pratique et transversal de l’actualité sur différents thèmes
· bon niveau d’information, bon équilibre sur la quantité d’informations délivrées
· pertinence de la sélection opérée, très bon outil de première information
· information qui n’est pas forcément relayée ailleurs
· gain de temps et facilitation de la veille (information centralisée, alerte régulière)
· information claire et concise
· grand intérêt des liens proposés pour approfondir en fonction des besoins
· accès rapide à une information plus complète
· informations intéressantes pour différentes catégories d’acteurs, gratuité
· service documentaire associé efficace (communication des articles à la demande)
· constance et régularité, fiabilité de l’outil et de l’information
· utilisation facile
Quelques critiques et suggestions …

· plus d’anticipation sur les annonces de forums régionaux emploi/formation
· lien non systématique vers l'article présenté
· information trop souvent centrée sur les dispositifs publics de formation ou liée à la formation des
demandeurs d’emploi, approche très institutionnelle
· donner plus nettement la parole aux acteurs régionaux de tous types
· résumés parfois trop longs
· visuel, graphisme à revoir
2 – Au sujet de la forme…

L’essentiel des problèmes rencontrés tient à des décalages d’affichage provenant vraisemblablement de problèmes de compatibilité avec certains logiciels de messagerie ou webmail. La question du blocage de message par les filtres antispam de l’entreprise apparaît parfois. Le graphisme d’Espace INFO doit gagner en attractivité. La présentation est jugée moyennement ou peu attractive pour 60% des réponses, même si la lisibilité est jugée globalement correcte (lecture facile ou très facile pour 90% des réponses).
Ce qui ressort des nombreuses suggestions, pour l’essentiel:
· plus de couleurs et d’esthétisme, d’images, police différente, aération, moins d’uniformité
· un accès vers le document primaire facilité ainsi que vers un système d’archives
· une meilleure distinction régionale/nationale/départementale
· meilleure lisibilité des titres et des rubriques, mise en valeur de l’agenda, sommaire
· mise en valeur régulière d’un article, d’un thème particulier
Sur la périodicité:

La périodicité hebdomadaire satisfait 90% des abonnés. Un petit nombre d’entre eux suggère toutefois une parution bimensuelle voire mensuelle compte-tenu de la richesse des informations et du rythme de lecture que cela entraîne. Notons que l’Errefom a justement fait ce choix hebdomadaire afin d’alléger le contenu de chaque lettre.
3 – Au sujet du contenu…

Concernant les thèmes abordés, voir tableau
Autres thèmes suggérés :

· Pédagogie et outils de suivi, bourse de compétences sur des projets régionaux, économie numérique, économie sociale et solidaire, emploi et mobilité, emploi et logement, handicap, points réguliers sur les nouveaux dispositifs de formation et d’insertion professionnelle, fonction publique, innovations en formation et en orientation (y compris à l’étranger), langues, Europe, projets d’implantation et création d’entreprises, risques psychosociaux et bien-être au travail, VAE, marché régional de la formation (ouvertures de formation, prestations de formation, orientation, accompagnement), nouveautés des structures.
Concernant la couverture géographique:

Les abonnés confirment leur intérêt pour une information de proximité: régionale pour 75% des réponses, mais également départementale pour plus de 30% d’entre eux. Une meilleure identification de l’information locale est ainsi souhaitée. Conserver une information nationale est important pour 26%.
La partie « Revue de presse » d’Espace INFO permet de relayer des informations documentaires complémentaires, ainsi que des actualités plus « anecdotiques » et/ou plus locales, identifiées grâce au travail de veille effectué sur la presse régionale et nationale.
Elle apparaît utile pour 64% des abonnés et assez fournie pour 59% d’entre eux. A noter que respectivement, 16% et 26% des répondants ne se sont pas prononcés sur ces deux questions.
45% des abonnés se montrent favorables au regroupement des ces articles avec les actualités au sein des thématiques qui structurent l’ensemble de la lettre.
Il est fortement exprimé le souhait d’accéder aux articles relayés dans la revue de presse. L’Errefom s’efforce dans la mesure du possible de donner accès au document primaire sur le site de l’éditeur, lorsqu’il existe. Pour le reste, il se confronte à la réglementation qui ne permet pas, sauf autorisation expresse, de proposer en téléchargement une copie des articles de presse signalés, accessible parfois de manière payante sur les sites des éditeurs. Cette question pourra être réétudiée.
Une autre formule d’Espace INFO?

La formule actuelle d’Espace INFO, regroupant l’intégralité d’une information « multi-thèmes», remporte un fort consensus (63%), à la fois à travers les réponses apportées à ces questions mais également dans les différents commentaires des répondants.
4 – Sur l’utilisation d’Espace INFO par ses lecteurs

Près de 80% des abonnés lisent Espace INFO systématiquement ou la plupart du temps. La lecture rapide des informations prédomine (60%) guidée par les sujets de préoccupation des personnes. L’accès à l’information détaillée est pratiquée immédiatement ou de manière différée selon les cas.
5 – Concernant les pratiques des lecteurs d’Espace INFO
Sur la transmission de l’information…

L’Errefom reçoit régulièrement des informations à diffuser, signalées par un certain nombre « d’habitués » qui ont pris le réflexe de communiquer spontanément leur actualité à travers Espace INFO. Les répondants sont 27% à déclarer avoir cette habitude. Plus de la moitié serait favorable à un formulaire de dépôt d’information en ligne.
Sur les habitudes d’information…

Les flux RSS permettent de s’abonner à l’actualité du site de l’Errefom en fonction de thématiques. 14% seulement des abonnés déclarent connaître cette possibilité.
39% des répondants déclarent être abonnés à d’autres lettres ou flux d’information sur l’emploi et la formation. Sont principalement cités les outils nationaux du Centre Inffo et de l’AEF (Agence Emploi Formation), mais également ceux des branches, des Opca et de Pôle Emploi.
Peu de personnes pour l’instant, parmi les lecteurs d’Espace INFO, ont l’habitude de consulter Internet via leur téléphone mobile (20%).
43 % des répondants utilisent ou envisagent d’utiliser les réseaux sociaux. Arrivent dans l’ordre Facebook (29%), Viadéo (21%), Linkedin (7,25%), Twitter (7%) et Google + (6%). C’est pour 54 % des usagers répondants un moyen de consulter de l’information professionnelle.
http://www.errefom.info/images/numvert.jpg~~V Στα τέλη Μαΐου, ξεκινήσαμε μια έρευνα ικανοποίησης να συγκεντρώσει τις απόψεις σας σχετικά ΠΛΗΡΟΦΟΡΙΕΣ Espace. Πολλοί από εσάς πρέπει να ανταποκρίνονται (20,5%) και σας ευχαριστούμε. Μια περίληψη των αποτελεσμάτων της έρευνας αυτής πραγματοποιήθηκε, το οποίο μπορεί να δει, κάνοντας κλικ εδώ. Περισσότερα...
3 août 2012

Enquête sur l'image de la formation professionnelle initiale dans l'UE

Le CEDEFOP (Centre européen pour le développement de la formation professionnelle) lance une enquête en ligne sur l’image de la formation professionnelle initiale dans les pays de l’UE.
Cette enquête qui s’adresse aux enseignants, formateurs, aux conseillers d’orientation ou aux employeurs, s’intéresse à l’image et à l’attractivité de la formation professionnelle initiale dans les pays de l’UE.
Une vingtaine de minutes sont nécessaires pour répondre au questionnaire de l'enquête; les questions  sont posées en anglais.
Répondre à l'enquête.
http://www.cedefop.europa.eu/EN/Images-UserInterface/bg_cedefopLogo.gifTell us your opinion on the attractiveness of vocational education and training in your country
A short survey for teachers and trainers, employers and guidance counsellors on the attractiveness of initial vocational education and training in Europe.
Cedefop together with RAND Europe and the ESRC Centre on Skills, Knowledge and Organisational Performance (SKOPE)  is conducting a survey on the attractiveness of initial vocational education and training (IVET) as part of a wider project on this subject.
The aim of the project is to improve the evidence base for policy decisions and actions at national and EU level.
To increase our understanding of the perceptions of the attractiveness of IVET we are gathering the opinions of three main groups of stakeholders: employers, guidance counsellors, and teachers and trainers.
If you belong to one of these three groups, your contribution would be very helpful. Please click on the appropriate link below if you wish to respond. The survey should take no more than 20 minutes to complete.
Thank you for your participation!
Links
    *
Survey of teachers and trainers.
    *
Survey of guidance counsellors.
    *
Survey of employers.

2 août 2012

Enquêtes, études et rapports sur le site de la CPU

http://www.cpu.fr/fileadmin/img/logo_cpu.jpgAnnée en cours
De la culture à l'Université 128 propositions. Par la commission Culture et Université présidée par Emmanuel Ethis, Président de l'Université d'Avignon et des p... Télécharger. 09/05/2012
La répartition des dépenses publiques de l’enseignement supérieur et des aides associées (étude INSEE) Télécharger. 03/02/2012
Effets redistributifs de l'enseignement supérieur Télécharger. 29/01/2012
Les effets redistributils - document de travail de septembre 2011 - texte de synthèse finale et propositions CPU Télécharger. 28/01/2012
Année 2011
Etude relative à la mise en place du numérique dans les programmes de rénovation des Universités portés par des montages innovants ou par des PPP (étude CPU / CDC) Télécharger. 26/10/2011
Mettre en place un learning centre (étude CPU / CDC) - Enjeux et problématiques Télécharger. 28/06/2011
Année 2010
Le transfert du patrimoine universitaire (Etude CPU-CDC). Cette étude, réalisée par la CPU et la CDC en association avec l’Amue et divers établissements, est avant tout... Télécharger. 28/06/2010
L'université numérique: éclairages internationaux. La CPU a publié en janvier 2009, avec la Caisse des Dépôts, un guide méthodologique de l’université numérique, étude générale... Télécharger. 23/06/2010
Exécution du budget 2009: analyse du rapport annuel de performance (RAP 2009) concernant l'enseignement supérieur. La CPU a analysé le rapport annuel de performance 2009 (RAP 200... Télécharger. 23/06/2010
Les fondations des universités à l'étranger Télécharger. 05/06/2010
Etude Tecknowmetrix-CPU sur la participation des universités aux projets européens et ANR Télécharger. 10/02/2010
Année 2009
Etude de l'OST en partenariat avec la CPU sur les personnels non titulaires de la recherche dans les EPST et les EPSCP Télécharger. 07/12/2009
Etude comparative de l'EUA sur l'autonomie des universités européennes Télécharger. 30/11/2009
Principes et recommandations pour une réforme réussie de la formation des enseignants. Contribution du groupe «inter-conférences universitaires», coordonné par Daniel Filâtre, adressée à Madame la Ministre de l’Enseignement Sup... Télécharger. 17/07/2009
Méthode pour la création d'une fondation - FONDADEV. La CPU conduit une politique d’ouverture vers des acteurs sociaux-économiques susceptibles d’apporter aux universités des out... Télécharger. 19/06/2009
Comment développer les ressources financières des universités par le biais des fondations - DGRI. La CPU conduit une politique d’ouverture vers des acteurs sociaux-économiques susceptibles d’apporter aux universités des out... Télécharger. 19/06/2009
Enquête sur les ressources propres des universités - KPMG. La CPU conduit une politique d’ouverture vers des acteurs sociaux-économiques susceptibles d’apporter aux universités des out... Télécharger. 19/06/2009
Etude sur les fondations universitaires à l'étranger - CDC. La CPU conduit une politique d’ouverture vers des acteurs sociaux-économiques susceptibles d’apporter aux universités des out... Télécharger. 19/06/2009
Année 2006
Les activités de valorisation dans les établissements. Enquête 2005 du réseau C.U.R.I.E Télécharger. 01/06/2006
Année 2005
Les échanges économiques entre l'Hôpital et l'Université dans le cadre des CHU. Recherche réalisée pour la Conférence des Présidents d’Université par le Laboratoire d'Economie et de Gestion des Organisations de Santé (Lego... Télécharger. 18/11/2005
Année 2004
Les applications informatiques spécifiques mises en place dans les établissements d’enseignement supérieur. Enquête CPU Télécharger. 31/08/2004
Année 2002

"Budget global des Universités": rapport final du groupe de travail de la CPU. La réflexion sur le budget global fait suite aux réflexions menées par la CPU sur le thème de l’autonomie, autour du Colloque... Télécharger. 22/08/2002
http://www.cpu.fr/fileadmin/img/logo_cpu.jpg~~VΈτος
Με την Επιτροπή Πολιτισμού και της οποίας προεδρεύει ο Εμμανουήλ Ethis Πανεπιστημίου, Πρόεδρος του Πανεπιστημίου της Αβινιόν και p ... Λήψη. 09/05/2012

Η κατανομή των δημόσιων δαπανών για την τριτοβάθμια εκπαίδευση και τις σχετικές ενισχύσεις (μελέτη INSEE) Λήψη.
03/02/2012
Αναδιανεμητικές επιπτώσεις της τριτοβάθμιας εκπαίδευσης Λήψη.
29/01/2012
Οι redistributils αποτελέσματα - Έγγραφο εργασίας τον Σεπτέμβριο του 2011 - ενοποιημένο κείμενο τελικών προτάσεων και της CPU Λήψη.
28/01/2012. Περισσότερα...
1 août 2012

Improving skills: Evidence from Secondary analysis of international surveys

http://crell.jrc.ec.europa.eu/templates/crell/images/banner_img.pngThe European Commission has the pleasure to announce that the international conference "Improving skills: Evidence from Secondary analysis of international surveys" will take place in Limassol Cyprus, 15-16 November 2012. The Conference will bring together researchers who have worked on secondary analyses of international surveys on skills and competences, to present key results and findings in areas pertinent for policy-making.
The aim of the conference is to develop the knowledge about results from large scale international assessments such as PISA (Programme for International Student Assessment), TIMSS (Trends in International Mathematics and Science Study) PIRLS (Progress in International Reading Literacy Study) and ESLC (European Survey on Language Competences). The conference will also point to EU relevant areas where there is a need and prospect for further data development and/or areas for secondary analyses in the next years.
The conference will have a strong focus on European results and be targeted to an audience of policy makers as well as researchers in the field. The "Improving skills" conference is organised by the European Commission in close cooperation with the Cypriot EU Presidency. You find an outline of the conference sessions here.
Further details about the programme, registration and various practical information will be provided in due time before the conference.  Registration for the conference will open in August.
Questions about the conference can be addressed to:
Kjartan Steffensen, DG Education and Culture, unit A4 - Analysis and Studies
E-mail: Kjartan.Steffensen@ec.europa.euThis e-mail address is being protected from spambots. You need JavaScript enabled to view it , Phone: +(32) 2 2957593.

22 juillet 2012

ESN Survey 2012

logoDear participant,
We are pleased to invite you to participate in our study on living, working, and studying abroad. We are interested in your experiences abroad. But we also would like to know the opinions of students who have not been abroad. We invite all current students and all former students (those who finished university not later than 5 years ago) to fill in our survey.
Please read the questions carefully. The survey mainly consists of multiple-choice questions.
All answers will remain anonymous. The results will be used for internal and scientific purposes; no answer will ever be traced back to you personally.
Answering the survey takes around 15 minutes, and you have the opportunity to win a 2 week intensive language course including 32 lessons in the exclusive Education First school in Manchester (with a total value of more than 1,000 Euros). Accommodation in a host family or residence and a meal plan are included as well as the flight and transfer are included. You can additionally win an iPad2 and an iPod Nano 8GB.
The ESNSurvey is based entirely on volunteer work of ESN members and we are grateful for your support of our research and your time to fill in the survey!
If you have any questions, please do not hesitate to contact the ESNSurvey Team: survey@esn.org.
9 juillet 2012

Enquête sur le CTP/CRP

Revenir à l'accueil d'AGEFOS PME PARTOUT EN FRANCEEnquête d'AGEFOS PME auprès de 2 000 bénéficiaires de formation dans le cadre du CTP/CRP. AGEFOS PME finance depuis 2006 des formations destinées aux personnes licenciées pour motif économique, signataires d'un Contrat de transition professionnelle (CTP) ou d'une Convention de reclassement personnalisé (CRP). Près de 40 000 personnes ont ainsi bénéficié d'un parcours de formation financé par l'OPCA avec le soutien du FPSPP et du FSE. Afin de mesurer la satisfaction des bénéficiaires de CTP ou de CRP et l'impact de la formation sur le retour à l'emploi, une enquête auprès de 2 000 bénéficiaires a été réalisée en mars dernier.
La formation est déterminante pour le retour à l'emploi
Près des 2/3 des bénéficiaires (63,5%) en activité 6 mois après leur sortie du dispositif

Les résultats attestent d’une insertion professionnelle effective des bénéficiaires de CTP/CRP après leur formation. L’enquête confirme un taux de retour à l'emploi très satisfaisant: 63,5% des bénéficiaires sont en activité 6 mois après leur sortie du dispositif. Seul l'âge apparaît comme un facteur diminuant le taux de retour à l'emploi: il tombe à 45% pour les personnes de plus de 55 ans. Parmi les bénéficiaires en activité, la moitié (50%) sont en CDI et 82% sont à temps plein, les femmes étant davantage concernées que les hommes par le temps partiel.
9 bénéficiaires sur 10 se disent satisfaits de leur formation

L'utilité de la formation est nettement mise en avant par les bénéficiaires. Le niveau de satisfaction exprimé atteint 90% et 65% des bénéficiaires jugent la formation utile pour retrouver un emploi. Interrogés sur leur motivation à entamer une action de formation, les bénéficiaires expriment clairement leur objectif: pour 93% d'entre eux la formation est un moyen pour renforcer leurs compétences ou se perfectionner, mais aussi un moyen de reprendre confiance en soi (67%) ou acquérir un réseau professionnel (54%). Près de 6 bénéficiaires sur 10 (58%) envisagent de recourir à nouveau à la formation professionnelle.
L'utilité de la formation déterminée par le projet professionnel

La perception du lien entre formation et retour à l'emploi semble toutefois déterminée principalement par le projet professionnel de la personne. Ainsi, si le bénéficiaire s'est doté d'un projet professionnel précis, avec un objectif de reclassement ou de reconversion, il cherchera plus souvent une formation certifiante débouchant sur un métier identifié. La formation est alors perçue comme étant très utile et avec une réelle plus value pour le retour à l'emploi. Les formations visant à apporter un complément de qualification, sans lien direct avec un projet de reclassement ou de reconversion, entrainent quant à elles une perception plus nuancée de l'utilité de la formation.
Notons qu'un tiers des bénéficiaires ont obtenu un diplôme, un titre ou un Certificat de qualifications professionnelles (CQP) au terme de leur formation, parcours perçus comme étant les plus utiles pour retrouver un emploi.
Dans près d’un cas sur 2, la formation a accompagné une reconversion

Pour 44% des bénéficiaires de CTP/CRP, le métier exercé après leur formation est totalement différent du précédent. Les formations suivies ont accompagné une reconversion dans près de la moitié des cas avec un glissement notoire du secteur de l'industrie vers celui des services (avant licenciement 31% étaient dans l'industrie, contre 25% dans les services – après licenciement 19% sont dans l'industrie contre 44% dans les services).
Des attentes en termes d'accompagnement et d'information

Les personnes interrogées citent comme pistes d'amélioration des parcours de formation, une meilleure information sur les formations existantes, une aide dans le choix des actions suivies ainsi qu'un renforcement de l'encadrement pendant le parcours et à sa sortie. Une meilleure visibilité sur l'articulation entre la formation choisie et le potentiel d'emploi sur les territoires est également attendue.
Méthodologie de l’enquête

L’enquête a été réalisée par téléphone en mars 2012 à l'initiative d'AGEFOS PME et en partenariat avec Pôle emploi. Un cabinet spécialisé, AVISO, a été retenu pour interroger 2 000 bénéficiaires des dispositifs de formation CTP/CRP.
Back home to AGEFOS SME IN FRANCETo measure the satisfaction of the beneficiaries of CTP or CRP and the impact of training on return to work, a survey of 2,000 recipients was conducted in March.
Training is decisive for a return to employment

Nearly two thirds of beneficiaries (63.5%) in activity 6 months after leaving the device

Results indicate an effective professional integration of beneficiaries of PTC / CRP after training.
The survey confirms a rate of return to work very satisfactory: 63.5% of beneficiaries are in operation six months after leaving the device. Only age is a factor reducing the rate of return to work: it falls to 45% for people over 55 years. Among the beneficiaries activity, half (50%) are on permanent contracts and 82% are full time, with women being more affected than men by the part-time. More...
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