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Formation Continue du Supérieur
12 octobre 2009

Le diplôme plus que jamais nécessaire pour réussir en France

Eric Maurin : "Toute réforme sera perçue comme une remise en cause d'un statut acquis". irecteur d'études à l'Ecole des hautes études en sciences sociales (EHESS), Eric Maurin publie La Peur du déclassement (Le Seuil, "La République des idées") un essai décapant et passionnant sur les peurs françaises.
Pourquoi le déclassement est-il devenu la préoccupation majeure en France ?
Il faut distinguer le déclassement et la peur du déclassement. Le déclassement est une réalité qui touche la société à la marge. Alors que nous traversons une des pires récessions de notre histoire, le nombre de salariés ayant perdu un emploi stable dans les 12 derniers mois est, par exemple, de l'ordre de 300 000 personnes. Sur un plan personnel et familial, ces licenciements représentent un drame, mais ils ne concernent cependant qu'une toute petite fraction de la société, à peine 1% de la population active totale. L'immense majorité des Français reste en fait à l'abri de la déchéance sociale. A l'inverse, la peur du déclassement est ressentie par l'ensemble de la société, y compris par les classes moyennes et supérieures, celles qui ont le plus à perdre. Cette peur est la conséquence de politiques publiques qui, depuis cinquante ans, ont systématiquement privilégié la protection de ceux qui ont déjà un emploi plutôt que le soutien de ceux qui n'en ont pas. Progressivement s'est constitué un rempart de droits sociaux entre les salariés à statut (CDI) et la précarité sociale. L'aspect positif, c'est que les salariés en place ont été de mieux en mieux protégés. L'aspect négatif, c'est que cette barrière est devenue de plus en plus difficile à franchir pour tous les autres. Les salariés à statut en ont bien conscience qui craignent plus que tout de tomber de l'autre côté de la barrière. Plus les statuts sont protégés, moins souvent on les perd, mais plus on perd quand ils disparaissent.
Comment a émergé cette société de statut ? Dans notre vieille société hiérarchique, la dignité sociale est historiquement attachée à la conquête et à la conservation d'un statut. C'est un phénomène qui n'a guère d'équivalent dans les pays anglo-saxons ou scandinaves. Ce qui a changé depuis l'Ancien Régime, c'est que les statuts ne s'héritent plus de père en fils, mais doivent se reconquérir à chaque génération, au terme d'une lutte généralisée. Dans un tel contexte, chacun commence sa vie avec la crainte de ne jamais trouver sa place, et la finit avec l'angoisse de voir les protections chèrement acquises partir en fumée ou ne pas pouvoir être transmises à ses enfants. Une telle société est particulièrement difficile à transformer, parce que toute réforme paraît léser une génération au profit d'une autre.
L'angoisse scolaire n'a jamais été aussi forte. Pourquoi ?
On fait un contresens total lorsqu'on avance que la valeur des diplômes se serait réduite. C'est l'inverse: jamais les diplômes n'ont été aussi déterminants pour l'obtention de statuts au sein de la société.
En 2008, le chômage parmi les diplômés du supérieur est inférieur à 10%. Pour les non diplômés, il monte à 50 %, soit un écart de 40 points. La différence n'était que de 10 points au milieu des années 1970.
L'impératif de ne pas échouer à l'école est devenu écrasant. L'enjeu de la compétition scolaire n'a jamais été aussi élevé, les diplômes ont pris une valeur exorbitante. C'est particulièrement angoissant pour les familles. 

Eric Maurin: "Any reform would be perceived as a challenge to a status acquired. Director of study at the Ecole des Hautes Etudes en Sciences Sociales (EHESS), Eric Maurin published Fools for déclassement (Le Seuil, "La République des idées") a stripper and exciting test on French fears.
Why the downgrade did he become the major concern in France? We must distinguish the decommissioning and fear of decommissioning. The downgrade is a reality that affects society at the margin.While we are experiencing one of the worst recessions in history, the number of employees who lost a stable job within 12 months, for example, about 300 000 people. On a personal level and family, these redundancies are a tragedy, but they do relate, however, only a tiny fraction of society, only 1% of the total workforce. The vast majority of French is in fact free from social decay. More...

Pourquoi les jeunes sont-ils les premiers touchés lors des crises en France ?
L'attachement d'une société aux statuts et aux rangs a pour contrepartie la relégation des nouveaux arrivants. Or, les nouveaux arrivants, ce sont les jeunes. Avant de s'assurer une place sur le marché du travail et dans la société, ils ont toujours dû patienter. Le paradoxe est qu'une fois arrivés au pied de l'échelle sociale, les jeunes eux-mêmes défendent ce système. C'est ainsi que j'analyse le refus du CPE en 2006 : les jeunes ne voulaient surtout pas qu'on dévalue ce qu'ils cherchaient tant à obtenir.
La fonction publique est à l'abri des risques de déclassement. Pourtant, la peur du déclassement y est aussi très forte. Pourquoi ?
La crise de 1993 est la première à frapper la France après qu'elle a massifié son enseignement secondaire et supérieur. On assiste alors à une augmentation, limitée mais bien réelle, du chômage des diplômés. Craignant un déclassement irréversible, une génération entière de diplômés se tourne alors en masse vers la fonction publique pour sécuriser ses investissements scolaires.
Dans les années qui précèdent 1993, 10 % à peine des diplômés allaient dans le public; après 1993, la proportion grimpe à 50 %. Cet afflux crée un formidable embouteillage et accroît fortement la proportion de jeunes surdiplômés dans l'administration. Face à la récession, une génération a échangé ses diplômes non pas contre une qualification, mais contre une protection. Cela portait en germe le risque d'une radicalisation, notamment parmi les classes moyennes du public.
Pour quelles raisons ?
Tout projet de réforme de l'Etat sera désormais perçu comme une remise en cause intolérable d'un statut légitimement et chèrement acquis. Les effets seront durables.
D'abord le mouvement social de 1995 : on se trompe si on interprète ce mouvement comme le cri de détresse de personnes qui auraient perdu leur statut social. C'est au contraire la mobilisation de salariés, particulièrement de fonctionnaires, qui savent qu'ils ont atteint un objectif très précieux et qui mettent toute leur force pour défendre cet acquis.
Ensuite sur la perception de la construction européenne : la clé de l'évolution du oui au traité de Maastricht, vers le non au traité constitutionnel, en 2005, réside dans le basculement des classes moyennes du public. En 1992, elles avaient majoritairement voté oui. En 2005, elles ont voté non.
Ces catégories du public se sentent désormais agressées par les réformes libérales portées par l'Europe. D'où cette convergence inédite entre classes moyennes du public et du privé qui se retrouvent dans le rejet des projets portés par les élites. C'est désormais une coupure fondamentale dans la vie politique et sociale du pays.
Ce scénario se reproduit-il avec la crise actuelle ?
Rien n'indique qu'il pourrait en aller autrement. D'une part parce que la proportion de diplômés est plus élevée aujourd'hui qu'en 1993. D'autre part parce qu'apparaissent, en 2009 comme en 1993, des signaux très négatifs sur le marché de l'emploi pour les jeunes diplômés.
Comme, par ailleurs, les périodes de récession se traduisent par des difficultés budgétaires pour l'Etat, le gouvernement poursuivra probablement la réduction des budgets publics. Donc une politique "agressive" vis-à-vis des fonctionnaires. On peut penser que, de leur côté, les nouveaux entrants dans la fonction publique seront, plus que jamais, attachés à la défense de ce qu'ils ont tant bataillé – eux et leurs familles – pour obtenir : un statut, une protection.
Qui est le mieux armé idéologiquement, entre la droite et la gauche, pour répondre à ces peurs sociales ?
J'ai été frappé, lors des dernières élections, par les discours de Nicolas Sarkozy sur les valeurs, donc sur la défense des statuts sociaux implicites au sein de la société. Ce discours était efficace, y compris chez des enseignants de gauche, mobilisés par cette forme de conservatisme qui pouvait leur sembler rassurant.
La gauche, elle, se trouve dans une situation plus délicate. Notamment le Parti socialiste: il lui faut à la fois continuer à satisfaire ceux qui composent le cœur de ses militants, de ses élus, de sa clientèle électorale –qui bénéficient majoritairement de statuts protégés (CDI, fonction publique)– et se tourner vers les classes populaires, non protégées.
La crise du PS s'explique certes à travers les dissensions internes, mais cette question de fond me paraît bien plus centrale: comment rassurer ceux qui ont peur de perdre leur statut sans désespérer davantage ceux qui n'en ont aucun ? Jusqu'à présent, le PS n'a pas résolu cette équation.
Quelles sont les réponses possibles ?
La difficulté est que déclassement et peur du déclassement appellent des réponses totalement opposées. Pour conjurer le déclassement, les politiques sont contraints de renforcer les protections dont bénéficient déjà les salariés les plus protégés. Ainsi en va-t-il de la proposition récente de la gauche de réintroduire l'autorisation administrative de licenciement.
A l'inverse, pour lutter contre la peur du déclassement, il faut réduire l'écart gigantesque entre ceux qui sont protégés et les autres, car c'est ce gouffre qui est le principe même de la peur. On voit bien que ces deux politiques sont largement incompatibles. On voit bien, aussi, qu'au-delà de mesures techniques, ces questions touchent aux fondements mêmes de la société.
Je n'ai pas de solution miracle. Mais il me semble qu'une société où ce qui s'acquiert et ce qui se perd seraient moins irréversibles, moins définitifs, pourrait constituer un progrès. Une société où les protections sont davantage universelles et moins étroitement sélectives.
Propos recueillis par Luc Bronner et Catherine Rollot

13 septembre 2009

La REP: la commission d’équivalence des diplômes du CNFPT

http://cnfpt.fr/images/img_interface/entete_particulier.jpgLorsque le recrutement par voie de concours est subordonné à la possession de certains diplômes nationaux, les candidats qui ne les possèdent pas, peuvent être autorisés à passer le concours s’ils justifient : - de qualifications au moins équivalentes attestées par un diplôme ou un titre autre délivré en France, dans un autre État membre de la Communauté européenne ou dans un autre État partie à l’accord sur l’Espace économique européen, ou - de tout autre diplôme ou titre d’un niveau équivalent à celui sanctionné par le diplôme requis, ou - d’une expérience professionnelle.
L’examen de la reconnaissance de l’expérience professionnelle consiste en la comparaison de deux types de compétences : les compétences acquises et les compétences attendues.
Les compétences acquises sont celles que le demandeur a exercées au cours de sa vie professionnelle antérieure, dans l’exercice d’un emploi similaire par sa nature et son étendue à celui qu’il pourra occuper après réussite au concours.
Les compétences attendues sont celles que sanctionne le diplôme requis au concours. Les compétences acquises doivent être considérées comme équivalentes aux compétences attendues.
Si le demandeur obtient la reconnaissance de son expérience professionnelle, il peut s’inscrire au concours externe sans posséder le diplôme requis.
Avec cette décision favorable, il pourra également s’inscrire à tous les concours de même niveau, quelle que soit la fonction publique (territoriale, Etat, hospitalière).
Important : la REP se différencie significativement de la VAE (validation des acquis de l’expérience). La VAE aboutit à l’obtention d’un diplôme alors que la REP permet seulement et exclusivement l’accès à un concours. C’est pourquoi la REP prévoit une procédure beaucoup moins lourde que la VAE.
Les compétences des commissions d’équivalence de diplômes
- la commission auprès du ministère chargé des collectivités locales (« commission d'équivalence pour les diplômes délivrés par des Etats autres que la France (FPT)») est compétente pour l’examen des expériences professionnelles venant compléter des diplômes européens ou des diplômes étrangers non européens ;
- la commission d’équivalence des diplômes du CNFPT est compétente pour l’examen des expériences professionnelles venant compléter des diplômes ou titres délivrés en France, ainsi que pour l’examen de l’expérience seule quand le demandeur ne possède pas de diplôme.
http://cnfpt.fr/images/img_interface/entete_particulier.jpgQuando l'assunzione per concorso è subordinata al possesso di alcuni diplomi nazionali, i candidati che non possiedono, possono essere ammessi a sostenere l'esame, le quali: - qualificazione almeno equivalente attestata da un diploma o un titolo un altro in Francia, rilasciato in un altro Stato membro della Comunità europea o in un altro Stato parte dell'accordo sullo Spazio economico europeo, o - qualsiasi altra laurea o un livello equivalente a quello sancito dal diploma richiesti, o - un'esperienza. Con questa decisione favorevole, può anche iscriversi a tutte le competizioni per lo stesso livello, a prescindere dal pubblico (territoriali, ospedalieri di Stato). Maggiori informazioni...
7 juillet 2009

Nouveau: DIPLOME UNIVERSITAIRE "C3M2 Matériaux"

Des opportunités pour les emplois de demain: Caractérisation, Conception et Choix des Matériaux Métalliques industriels.
Une formation continue proposée par le Centre de Formation Continue et de l’Education Permanente de l’Université de Provence. Des compétences et une qualification pour les métiers de l’industrie métallurgique, de l’énergie, de la pétrochimie, des transports...
Le Diplôme Universitaire “Caractérisation, Conception et Choix des Matériaux Métalliques Industriels” est dispensé et délivré par l’Université de Provence. Cette formation entre dans le cadre de la formation continue, de l’éduction permanente et de la mise à niveau des salariés et responsables d’équipes.
Ce Diplôme Universitaire (D.U.) est une formation continue des personnes exercant dans divers secteurs de l’industrie tels que ceux de la sidérurgie, de l’énergie, de la pétrochimie ainsi que des transports. Il permet aux apprenants d’accéder à diverses fonctions et responsabilités en tant que Techniciens supérieurs ou Ingénieurs. Contact: Mustapha.khadhraoui. Programme du DU C3M2 Matériaux.
Opportunità per i posti di lavoro di domani: la caratterizzazione, la progettazione e la selezione di materiali metallici industria. L'Università (DU) è una formazione di persone che lavorano in vari settori come la siderurgia, l'energia, petrolchimica e di trasporto. Esso consente agli studenti l'accesso varie funzioni e responsabilità come senior tecnici o ingegneri. Contatto: Mustapha.khadhraoui. Programma di Materiali C3M2. Maggiori informazioni...

2 juin 2009

Diplômes du Vatican homologués en France : la riposte s'organise

AccueilCatherine Kintzler, philosophe et professeur émérite à l'Université de Lille 3 nous a envoyé cette tribune au titre du Collectif pour la promotion de la laïcité. Celui-ci, inquiet de l'accord entre la France et le Vatican sur la reconnaissance des diplômes, organise ce mercredi avec quinze parlementaires une conférence de presse pour demander l'annulation du décret. Par ailleurs, une pétition sur ce sujet a déjà recueilli 12 000 signatures.
Dans la lignée des discours sur la « laïcité positive » prononcés par Nicolas Sarkozy à Latran et à Riyad, la France a signé le 18 décembre avec le Saint-Siège un accord ayant pour objet « la reconnaissance mutuelle des grades et des diplômes de l'enseignement supérieur délivrés sous l'autorité de l'une des parties ».
Cela veut dire qu'un diplôme délivré par l'enseignement supérieur catholique habilité par le Saint-Siège sera reconnu, à niveau comparable, par la République. On peut lire ici le décret du 16 avril 2009.
Est-ce le rôle de la République française, démocratique, laïque et sociale, de reconnaître des diplômes délivrés par une puissance monarchique religieuse dont l'une des fins est la propagande et le prosélytisme ?
Une saisine du Conseil d'Etat pour excès de pouvoir est en préparation.

Home Catherine Kintzler, philosopher and professor emeritus at the University of Lille 3 sent us this opportunity under the Collective for the promotion of secularism. The latter, concerned about the agreement between France and the Vatican on the recognition of diplomas, organizes the fifteen parliamentary Wednesday a press conference to seek annulment of the decree. In addition, a petition on this subject has already collected 12 000 signatures. In line with the discourse on the "positive secularism" delivered by Nicolas Sarkozy in Lateran and Riyadh. More...

10 mai 2009

Un diplôme universitaire en formation continue : comment procéder ?

L’université met en avant l’enseignement de compétences pluridisciplinaires utilisables toute la vie, et pas uniquement « utilitaires ». Chaque année, plusieurs milliers de stagiaires de la formation continue se laissent séduire. Conseils pratiques et témoignage.
- Tous les diplômes proposés par les universités dans le cadre de la formation initiale sont accessibles en formation continue, cas très particuliers mis à part.
Outre les traditionnels licences, masters, ou DUT (Diplôme universitaire technique), il existe aussi un diplôme qui s’adresse aux personnes qui n’ont pas le bac : le DAEU (Diplôme d’accès aux études universitaires). Il permet notamment de s’inscrire à des concours administratifs requérant le niveau bac, ou encore de se préparer à une poursuite d’études. Actuellement, le DAEU et la licence professionnelle sont deux formations plébiscitées par les stagiaires. « La licence professionnelle se prépare en un an. Elle est très lisible en termes de compétences à acquérir, d’où son succès » note Alain Gonzalez, directeur du service commun de formation continue à l’université Paris 13. Source.
J universitas di bidang pendidikan: bagaimana? Sangat mudah dibaca dari segi kemampuan untuk memperoleh, maka keberhasilan "ujar Alain Gonzalez, direktur bersama layanan pelatihan terus di Universitas Paris 13. Sumber. Lagi...

29 avril 2009

Un site Internet chinois vend de faux diplômes français avant de disparaître de la toile

L'université de Toulon révèle l'existence d'offres de faux masters et de fausses licences sur la Toile.
Un administrateur du site Internet au doux nom de «Success» (succès) répond par «chat», en anglais, à notre demande. «Tu veux un diplôme de l'université Paris-VI, un master 2 en ingénierie financière ? Pas de problème, c'est 1 000 euros le parchemin. Je te l'en­voie dans trois jours de la main à la main où que tu sois dans le monde. Pour un diplôme français, c'est vraiment pas cher.»
Devant notre perplexité, le faussaire, qui se dit chinois, insiste : un diplôme canadien nous tenterait peut-être davantage ? Mais c'est plus cher : 1 200 euros. «La plupart de mes clients sont en France», affirme-t-il, sans qu'il soit évidemment possible de vérifier quoi que ce soit. Avant de couper court à la conversation, il explique ne vouloir répondre qu'aux «questions de business». Soupçonnée la semaine dernière par la justice de trafic de diplômes impliquant des dizaines d'étudiants chinois, l'université de Toulon (Var) a contre-attaqué mardi en révélant le nom de ce site plutôt louche.
Laroussi Oueslati, le président de Toulon, a contacté l'ensemble des présidents d'université français «afin de les alerter», assure-t-il au Figaro : France163.com propose à la vente un certain nombre de diplômes de master et de licence, de différentes universités françaises dont les universités de Franche-Comté, Bordeaux-IV, Paris-VII, Paris-III, Paris-IV, Paris René-Descartes ou encore Aix-Marseille I et II.
Enquête interne : ces copies sont disponibles à la vente, en ligne, grâce à un paiement sécurisé par carte bancaire pour un prix de base tournant officiellement autour de 1 000 yuans, soit 122 euros. Le site vend notamment en guise de slogan «le succès des réseaux en France» et affiche sur son interface les copies des diplômes. Ces derniers sont semblables à ceux délivrés sur le territoire français. «Face à de tels faits, susceptibles de nuire à la réputation des universités françaises, nous avons le regret de vous faire parvenir ces informations afin de vous permettre de défendre au mieux les intérêts de votre institution», a écrit Laroussi Oueslati aux présidents d'université. Ce dernier explique avoir découvert le site en faisant mener une enquête interne par son centre de ressources informatiques sur les officines chinoises ou françaises œuvrant sur Internet.
Déjà en 2006, une étude de chercheurs de l'Iredu-CNRS et de l'Inra-Enesad révélait que la fraude au diplôme avait pris une ampleur nouvelle avec la globalisation de l'enseignement supérieur et le développement des nouvelles tech­nologies. Les pays le plus touchés sont les pays anglo-saxons et la Chine et chaque «usine à diplômes» engendrerait «un chiffre d'affaires annuel estimé à plus de 20 millions de dollars», affirmaient-ils.
阿中文网站销售假文凭法国. Oueslati拉鲁西,主席的土伦,已与所有的大学校长法语“ ,提醒他们, ”他说在费加罗报: France163.com要约出售一些硕士和许可在各个大学,包括法国的大学弗朗什孔泰,波尔多第四,巴黎第七,巴黎第三大学,巴黎第四,巴黎笛卡尔,或艾克斯马赛一和二. 更多...
15 avril 2009

Le Masni : Master de Négociation Internationale de l’Université de Provence

Enfin, le Masni a une longue expérience d’accueil de stagiaires en formation continue et dans la pratique de la Validation des acquis de l’expérience (VAE).
Le volet formation continue et VAE a la certification ISO 9001-version 2008 et répond aux exigences du référentiel Qualité Région. Source.

Arabe فإن Masni : ماجستير في المفاوضات الدولية للl' Université دي بروفانس.  
Chinois 该Masni :万事达国际谈判大学普罗旺斯  
Coréen 이 Masni : 마스터 국제 협상의 프로방스 대학에서
Hindi इस Masni: मास्टर अंतर्राष्ट्रीय चर्चा का विश्वविद्यालय Provence में
Japonais のMasni :マスター国際交渉の大学プロヴァンスのではありません
Portugais (Brésil) O Masni: Mestre de Negociação Internacional da Universidade de Provence
Vietnamien Các Masni: Thạc sĩ Đàm phán Quốc tế tại Đại học Provence
28 mars 2009

Les diplômes entièrement dispensés en anglais dans l'enseignement supérieur en France, Programs Taught in English 2009

pcassuto | 28 mars, 2009 12:09

Aujourd’hui plus de 265 000 étudiants étrangers vivent en France, ce qui fait d’elle le troisième pays d’accueil après les Etats-Unis et le Royaume-Uni. Les raisons de ce succès tiennent à la qualité de l’enseignement supérieur français, à la qualité de la vie quotidienne et de l’offre culturelle ainsi qu’aux perspectives européennes ouvertes par un projet d’études en France. Mais elles tiennent aussi au fait qu’il n’est plus nécessaire de pratiquer couramment le français pour étudier dans notre pays.
Un grand nombre de formations est en effet désormais enseigné en anglais, comme le prouve le présent catalogue, qui présente un nombre toujours plus élevé de formations. Cela ne signifie pas pour autant que nous renoncions à notre langue : ces étudiants qui maîtrisent bien l’anglais au départ, deviendront progressivement francophones, non seulement parce que le français leur sera très utile pour la vie quotidienne, mais aussi parce qu’ils en saisiront progressivement l’intérêt culturel et académique, parce qu’ils constateront l’ouverture que cela procure sur l’ensemble des pays francophones dans le monde, sur les possibilités d’emploi dans les grands groupes industriels français installés aux quatre coins du globe.
Cette sixième édition confirme la vitalité de nos établissements d’enseignement supérieur qui s’efforcent d’accueillir, dans de très nombreuses disciplines et en anglais, d’excellents candidats qui, sans cette offre de qualité dans une langue qu’ils comprennent, regretteraient de ne pouvoir venir en France. En présentant pour chaque formation des informations précises telles que le pourcentage d’enseignements en anglais (au moins 50% pour figurer dans ce catalogue), le niveau de français requis, le coût des frais d’inscription, il est un véritable instrument de travail pour les Espaces CampusFrance à l’étranger, où il est largement diffusé. Cette précision et cette rigueur ne sont possibles que grâce à la coopération étroite que les établissements d’enseignement supérieur et leurs conférences entretiennent avec CampusFrance : qu’ils en soient ici remerciés. On retrouve évidemment ce catalogue, téléchargeable et imprimable, sur notre site CampusFrance. André Siganos, Directeur Général de l’Agence CampusFrance. Programs Taught in English 2009.

Arabic: CampusFrance, Italiano: CampusFrance, Chinese: CampusFrance, Japanese: CampusFrance, Korean: CampusFrance.

22 mars 2009

Master - Développement et management des Universités

Les principaux débouchés professionnels correspondent à toutes les fonctions de soutien réalisées par des cadres des établissements d’enseignement supérieur (Ex. chargé d’études « en appui à l’enseignement et à la recherche, chef de projet « mise en place du contrat quadriennal » chef de projet « qualité et évaluation», chargé de développement des appels d’offre européens), notamment celles qui sont liées à l’accompagnement de la réforme LRU. (Ex. chef de projet « passage aux responsabilités et compétences élargies ») ou encore aux rapprochements entre monde universitaire et monde de l’entreprise (responsable d’orientation et d’insertion professionnelle, chargé de mission « valorisation de la recherche »).
L’offre de formation cherche à satisfaire les besoins des publics en formation continue. Les cours seront modularisés afin de répondre aux demandes spécifiques des professionnels désirant enrichir leurs compétences managériales, mesurer l’impact des dernières évolutions réglementaires sur leur métier, ou encore s’inspirer de « bonnes pratiques » de management issues d’expériences d’universités étrangères ou d’autres types d’organisations. La modularisation permettra également d’organiser des partenariats solides menant à des doubles diplômations avec des universités étrangères. http://www.iae.univ-paris12.fr/.
La formazione mira a soddisfare le esigenze della pubblica istruzione. Il corso sarà modulare per soddisfare le specifiche esigenze dei professionisti che desiderano migliorare le loro capacità manageriali, misurare l'impatto delle recenti modifiche normative sul loro lavoro, o di imparare da "migliori pratiche" di gestione di esperienza provenienti da università straniere o altri tipi di organizzazioni. . Modularizzazione terrà anche una forte partnership che porta ad una doppia qualifiche con università straniere. Http://www.iae.univ-paris12.fr/. Maggiori informazioni...
7 janvier 2009

Diplôme inter-universitaire : "Conseiller et Conseillère Référent-e Egalité Femmes/Hommes"

Les Universités Pierre et Marie Curie (UPMC) et Sorbonne Nouvelle (Paris 3) proposent un diplôme inter universitaire « Conseiller et Conseillère Référent-e Egalité Femmes/Hommes » (niveau Bac + 4). La préparation de ce diplôme Inter Universitaire se déroule en formation continue trois jours par mois du 14 janvier au 20 novembre 2009.
Public :
Responsable ressources humaines et formation, chargé-e de mission égalité, consultant-e, formateur et formatrice, cadre de la fonction publique, conseiller-e en insertion sociale et professionnelle, acteur et actrice du secteur associatif, syndicaliste, inspecteur et inspectrice du travail…
Personnes travaillant dans les domaines des ressources humaines, de la formation, de l’enseignement, de l’insertion sociale et professionnelle, de l’orientation, de l’assistance sociale…
Pour la prise d’un poste spécifique ou de façon complémentaire à une activité professionnelle, auprès d’entreprises, de collectivités territoriales, d’établissements publics, ou d’associations…
Prérequis : Bac+3 ou équivalent par VAE.
La formation vise 3 objectifs principaux :
pratique, méthodologique et scientifique :
* Construire et mettre en œuvre la fonction de « conseiller-e référent-e en égalité femmes/ hommes ».
* Développer une approche intégrée et coopérative de l’égalité entre les femmes et les hommes.
* Accroître ses connaissances théoriques par une approche transdisciplinaire.
Formation Conseiller-e/reférent-e égalité - pdf
.
Universities Pierre et Marie Curie (UPMC) and Sorbonne (Paris 3) propose an inter-university diploma "Adviser and Adviser Referent-e Equal Women / Men" (level Bac + 4). The preparation of the Inter-University degree is done in training three days a month from 14 January to 20 November 2009.
Target: Responsible human resources and training, responsible e-mission equality, e-consultant, trainer and educator, part of the civil service, e-adviser in social and professional actor and actress of the voluntary sector, trade unionist, inspectors Labor ...

People working in the areas of human resources, training, education, social and vocational training, counseling, social assistance ...
To take a specific position or in a complementary manner to a professional activity, with companies, local authorities, public institutions, associations or ...
Prerequisite: Bac +3 or equivalent VAE.
The training is 3 main objectives: practice and scientific methodology:
* To build and implement the function of "e-adviser-e referring equality of women to men."
* Develop a cooperative and integrated approach to equality between women and men.
* To increase its knowledge through a transdisciplinary approach.
Training Conseiller-e/reférent-e equality - pdf.

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