Canalblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
Formation Continue du Supérieur
28 février 2014

2014-018 - Les dépenses en faveur de l’emploi et du marché du travail en 2011

Abonnez-vous aux avis de parution de la DaresLes dépenses en faveur de l’emploi et du marché du travail, ciblées ou générales, sont estimées à 85,4 milliards d’euros (Md€) en 2011, soit 4,3 points de PIB.
Les « dépenses ciblées » en faveur du marché du travail s’élèvent à 46,7 Md€ en 2011, soit 2,3 points de PIB. Après deux années de forte hausse du fait du plan de relance (2009-2010) destiné à contrer les effets de la crise économique, ces dépenses se replient (-9% en euros constants), à un niveau proche de celui d’avant 2009 (2,2 points de PIB en moyenne sur 2006-2008). Les dépenses d’indemnisation au titre du chômage en constituent 60 %, loin devant les aides à l’emploi -principalement les contrats aidés- (14 %), la formation professionnelle des demandeurs d’emploi (15 %) et les moyens consacrés au service public de l’emploi (11 %).
Les « dépenses générales » en faveur de l’emploi et du marché du travail atteignent 38,6 Md€ en 2011, soit 1,9 point de PIB, dont 21 Md€ au titre des allégements généraux de cotisations sociales ciblés sur les bas salaires et 5 Md€ en faveur des heures supplémentaires. S’y ajoutent essentiellement les dépenses au titre des incitations financières à l’emploi (prime pour l’emploi et RSA « activité ») et des mesures en faveur de l’emploi dans certains secteurs d’activité ou dans certaines zones géographiques. Le montant des dépenses générales a diminué de 7 % en euros constants par rapport à 2010.
A la lisière de ces politiques en faveur de l’emploi et du marché du travail, certaines dépenses sociales (minima sociaux dont le RSA « socle » principalement) représentent en sus 15 Md€ en 2011.
28 juillet 2013

Many Families Face Unexpected College Expenses, Survey Finds

http://chronicle.com/img/photos/biz/icons/headcount-newnameplate.gifBy Beckie Supiano. College often brings extra expenses families did not expect. That’s one finding from the lender Sallie Mae’s annual survey of traditional-age undergraduates and their parents, released on Tuesday. Read more...
30 octobre 2011

La dépense par étudiant en France et dans l'OCDE

http://media.education.gouv.fr/image/2011/65/9/Image-NI-11-15_197659.jpgEn France, la dépense moyenne d’éducation par élève ou étudiant est estimée à 7990 euros en 2009. L’État y assure l’essentiel de la dépense moyenne d’éducation alors qu’au niveau de l’OCDE, les collectivités territoriales en sont le principal financeur. Le niveau de dépense pour la durée de la scolarité obligatoire place notre pays légèrement au-dessus de la moyenne de l’OCDE. Télécharger la version imprimable La dépense par étudiant en France et dans l'OCDE. Télécharger les tableaux et graphiques au format Excel Données de la Note d’information La dépense par élève ou étudiant en France et dans l’OCDE.
L’essentiel
De 1980 à 2009, le coût moyen d’un élève ou d’un étudiant en France a été multiplié par 1,75, passant ainsi de 4420 € à 7990 €. Selon les niveaux d’enseignement, les évolutions diffèrent en raison d’une progression contrastée de la dépense intérieure d’éducation, d’une part, et des effectifs d’élèves scolarisés, d’autre part.
Atteindre le baccalauréat général et technologique en quinze ans représente une dépense cumulée de 111300 €. Les vingt années d’études nécessaires pour atteindre le master reviendraient à 162400 € (28% en primaire, 41% au secondaire, et 31% dans l’enseignement supérieur).
Pour la moyenne des pays de l’OCDE, l’essentiel de la dépense d’éducation est d’origine publique (84%). Dans les pays anglo-saxons et asiatiques, en revanche, la part relative du financeur privé (entre 30 et 42%) est plus importante que dans la moyenne des pays de l’OCDE (16%).
Chiffres-clés
60 %

part de financement de l’éducation assurée par l’État en France en 2009
96 820 $PPA
dépense cumulée de la France pour un élève sur la durée des études primaires et secondaires en 2007
94 590 $PPA
dépense cumulée de la moyenne des pays de l’OCDE pour un élève sur la durée des études primaires et secondaires en 2007.
Notions-clés
Dépense moyenne

Pour chaque niveau d’enseignement, la dépense moyenne par élève est égale à la somme des dépenses totales des unités de financement, divisée par le nombre d’élèves. Elle comprend toutes les dépenses : les dépenses courantes (personnels et fonctionnement), les dépenses d’investissement, ainsi que les biens et services liés (transports scolaires, achat de fournitures, cours particuliers, etc).
Dépense cumulée

Il s’agit de coûts théoriques sans redoublement ni raccourcissement de cycle et « instantanés », appliquant pour chaque niveau considéré les dépenses observées en 2009, et non les montants qui auraient été obtenus longitudinalement l’année effective où se situait alors l’élève terminant un parcours en 2009. Pour l’OCDE, dans le supérieur, on prend en compte la durée moyenne réelle de chacun des pays.
Moyenne OCDE

Il s’agit de la moyenne non pondérée de tous les pays de l’OCDE, dont les données sont disponibles ou peuvent être estimées. Elle peut être utilisée pour comparer l’indicateur d’un pays avec celui du pays « type » ou moyen. Il convient de souligner que le manque de données peut biaiser considérablement la moyenne de l’OCDE.
Unité monétaire
Pour les comparaisons internationales, les dépenses sont exprimés en équivalents dollars US (USD). Les dépenses exprimées en devise nationale sont divisées par l’indice de parité de pouvoir d’achat (PPA) pour le PIB pour obtenir leur équivalent en dollars américains.
Approfondissement
Télécharger la dernière Note d'information

Note d’information n° 11.15, octobre 2011, La dépense par élève ou étudiant en France et dans l’OCDE.
Archives sur le même thème 
Note d’information n°10.21, décembre 2010, Coût de l'éducation: évaluation provisoire du compte.
Éducation et formations, numéro 78, novembre 2008, « Comparaisons internationales ».
Dossier n° 199, mai 2011, Le compte de l'éducation, principes et méthodologie.
La France dépense plus que la moyenne pour un parcours d’études secondaires…

Les dépenses cumulées par élève sur la durée des études secondaires s’échelonnent entre 71210 $ PPA pour la Norvège et 47720 $ PPA pour la Corée du Sud, soit un rapport de 1,5 entre ces pays extrêmes.
…mais moins que la moyenne pour un parcours d’études primaires…

Les dépenses cumulées sur la durée des études d’un élève de primaire s’échelonnent de 69460 $ PPA pour la Norvège à 22190 $ PPA pour l’Allemagne, et s’établissent en moyenne à 39670 $ PPA par élève pour l’ensemble des pays de l’OCDE. L’écart entre les pays extrêmes représentés est beaucoup plus important que pour un élève du secondaire (rapport de 3,1 contre 1,5).
…et également légèrement moins pour le supérieur

La durée moyenne des études supérieures dans les pays représentés s’échelonne de 2,99 ans (Belgique) à 5,19 ans (Danemark). Elle est de 4,01 ans pour la moyenne des pays de l’OCDE. La durée des études supérieures françaises (4,02) se situe dans la moyenne des pays de l’OCDE. Les dépenses pour le parcours d’un étudiant s’échelonnent entre 86810 $ PPA pour la Suède et 30600 $ PPA pour la Corée du Sud, soit un rapport de 2,8.
En tête de classement figurent la Suède, le Danemark et les Pays-Bas, qui dépensent plus de 80000 $ PPA pour le parcours d’un étudiant. Avec une dépense moyenne de 51350 $ PPA pour le parcours d’un étudiant, la France se situe légèrement en dessous de la moyenne des pays de l’OCDE (53280 $ PPA). Loin derrière la France, on retrouve la Belgique et la Corée du Sud (respectivement -24% et -43% en dessous de la moyenne). Au niveau de l’OCDE, 24,9% des jeunes de 20-29 ans poursuivent des études supérieures.
La relation entre le niveau des dépenses cumulées et le taux de scolarisation de cette tranche d’âge n’est pas nécessairement linéaire. En Finlande, où la proportion d’étudiants parmi les 20-29 ans est la plus élevée des pays retenus (42,6%), le niveau des dépenses cumulées est seulement 21% plus élevé que la moyenne.
Au Danemark et en Suède, les taux de scolarisation des 20-29 ans (respectivement 37,3% et 33,2%) sont moins importants qu’en Finlande, mais les dépenses cumulées sont plus de 60% plus élevées que la moyenne. En Belgique, de nombreux jeunes s’inscriventdansunefilière supérieure courte (37% contre 16% en moyenne), ce qui explique la combinaison d’un taux de scolarisation des 20-29 ans plus important que la moyenne (29%) et d’un niveau de dépenses cumulées en dessous de la moyenne (-24%).
Au Royaume-Uni, à l’inverse de la Belgique, seulement 17% des 20-29 ans sont inscrits dans l’enseignement supérieur, ce qui n’empêche pas que le niveau de dépenses cumulées soit relativement important (26% de plus que la moyenne). En France, le taux de scolarisation des 20-29 ans est de 19,2%, soit légèrement supérieur à celui du Royaume-Uni, mais le niveau des dépenses cumulées est inférieur (- 4% en dessous de la moyenne).
En France, Finlande et Suède, les dépenses cumulées pour le supérieur sont au moins 70% plus élevées que pour le primaire
Globalement, le niveau relatif des dépenses cumulées pour l’enseignement supérieur par rapport à celles de l’enseignement primaire apparaît hétérogène selon les pays. Ainsi, en Allemagne et aux Pays-Bas, la dépense moyenne cumulée pour les études supérieures est deux fois plus élevée que celle du primaire. Avec une dépense par étudiant supérieure de 70% à la dépense par élève de primaire, la France figure également en tête de classement, aux côtés de la Finlande et de la Suède. Seules la Belgique (91) et la Corée du Sud (94) se situent en dessous de la moyenne des pays de l’OCDE (134), avec un niveau de dépenses pour le parcours d’un étudiant moins important que pour la scolarité d’un élève de primaire. Pour les autres pays, le rapport entre les dépenses moyennes cumulées pour le supérieur et celles pour le primaire varie de 36% pour le Royaume-Uni à 55% pour le Danemark.

http://media.education.gouv.fr/image/2011/65/9/Image-NI-11-15_197659.jpg We Francji, średni koszt kształcenia jednego studenta jest szacowana na 7990 euro w 2009 roku. Państwo zapewni większość średni koszt kształcenia, podczas gdy na poziomie OECD, władze lokalne w jest głównym fundatorem. Poziom wydatków na okres kształcenia obowiązkowego do naszego kraju nieco powyżej średniej OECD. Pobierz wersję do druku za-uczeń wydatków we Francji i OECD. Pobierz tabele i wykresy w Excelu danych Informacje Uwaga wydatków na jednego ucznia w Francji i OECD.
Głównym
Od 1980 do 2009, średni koszt studenta lub ucznia we Francji wzrosła o 1.75, przechodząc od € 4420 do € 7990. Według poziomu wykształcenia, rozwój różnić ze względu na postęp kontrastujące krajowych wydatków na edukację, z jednej strony, a liczba uczniów w szkole, z drugiej strony.
Osiągnąć ogólne i techniczne baccalauréat w ciągu piętnastu lat stanowi wydatków € 111.300 łącznie. Dwadzieścia lat studiów niezbędne do osiągnięcia mistrz wróci do € 162.400 (28% w podstawowym, średnim 41% i 31% w szkolnictwie wyższym). Więcej...

29 juillet 2010

Les dépenses du Supérieur aux Etats-Unis

http://www.vousnousils.fr/wp-content/themes/vousnousils_theme/images/logo-vousnousils.pngLe Delta Project, orga­nisme indé­pen­dant qui évalue la pro­duc­ti­vité des uni­ver­si­tés amé­ri­caines, a rendu ce mois-ci un rap­port sur les ten­dances dans les finan­ce­ment de l'enseignement supé­rieur aux Etats-Unis(deltacostproject.org). Il couvre la période 1998–2008, soit les années pré-récession.
Dans la plu­part des établis­se­ments, les dépenses totales pour 2008 sont à leur plus haut niveau. Malgré les signes avants-coureurs de crise, mal­gré la légère réces­sion de 2001, ces dépenses n'ont jamais cessé d'augmenter. Avec le déclin des aides publiques, les uni­ver­si­tés publiques ont pré­féré aug­men­ter leurs frais de sco­la­rité plu­tôt que de repen­ser leurs bud­gets. Les uni­ver­si­tés déli­vrant des mas­ters dépendent ainsi aujourd'hui à 46,9% des frais impo­sés aux étudiants pour cou­vrir leurs dépenses d'éducation, soit 10% de plus en dix ans. Les écarts pré-existants entre public et privé ont conti­nué à se creu­ser. Les uni­ver­si­tés publiques dédiées à la recherche ont ainsi aug­menté leurs dépenses dans ce domaine de 23% en dix ans, contre 31,6% pour leurs équi­va­lents privés.
Au sein de l'Organisation de coopé­ra­tion et de déve­lop­pe­ment écono­miques, les Etats-Unis ont long­temps eu la répu­ta­tion d'avoir les ins­ti­tu­tions d'enseignement supé­rieur les plus riches, avec une dépense moyenne par étudiant de 19.000$ par étudiant (contre 8400$ en moyenne dans l'OCDE). Mais ces chiffres sont trom­peurs. Dans les com­mu­nity col­leges, qui délivrent des diplômes en deux ans et accueillent un tiers des étudiants, sou­vent issus de milieux défa­vo­ri­sés, la dépense par étudiant tourne autour des 10000$. Tandis que pour la faible pro­por­tion d'étudiants qui ont la chance d'intégrer les pres­ti­gieuses uni­ver­si­tés pri­vées dédiées à la recherche, la dépense s'élève à 35.000$.
Enfin, si l'effectif glo­bal des étudiants aug­mente régu­liè­re­ment, il reste pro­por­tion­nel­le­ment trop faible. Et l'augmentation des effec­tifs a lieu en prio­rité dans les com­mu­nity col­leges, où les taux d'obtention d'un diplôme sont les plus faibles. Sans oublier la sélec­tion écono­mique créée par les frais de sco­la­rité, qui aug­mentent deux à trois fois plus vite que l'inflation. Si les ten­dances actuelles se confirment, le Delta Project affirme que les Etats-Unis auront une des plus faibles pro­por­tions de per­sonnes diplô­mées parmi les pays déve­lop­pés d'ici 2025. Source: http://www.deltacostproject.org/.
http://www.vousnousils.fr/wp-content/themes/vousnousils_theme/images/logo-vousnousils.png De Delta Project, een onafhankelijk orgaan dat de universiteiten beoordeelt de productiviteit van de VS, heeft deze maand een rapport over trends in de financiering van het hoger onderwijs in de Verenigde Staten (deltacostproject.org). Het bestrijkt de periode 1998-2008, is pre-recessie jaren. Als de huidige trends doorzetten, de Deltawerken, zegt dat de VS zal een van de laagste percentages van de afgestudeerden tussen de ontwikkelde landen tegen 2025. Bron: http://www.deltacostproject.org/. Meer...
2 décembre 2008

La dépense nationale pour la formation professionnelle continue et l’apprentissage en 2006

Les organismes collecteurs renforcent leur position d’intermédiaire auprès des entreprises

Atteignant 27 milliards d’euros en 2006, la dépense nationale pour la formation professionnelle continue et l’apprentissage s’est accrue d’un milliard d’euros (+3,9 %) par rapport à 2005. Depuis 2004 et la dernière réforme de la formation continue, l’effort de formation de la nation s’est ainsi stabilisé à 1,5 % du PIB, mettant fin au repli entamé dans les années 1990.

Les organismes paritaires collecteurs agréés (OPCA) occupent une place de plus en plus importante dans le financement de la formation. En 2006, ils ont géré 5,1 milliards d’euros, soit 46 % de la dépense des entreprises.
Issu de la réforme de 2004, le droit individuel à la formation (DIF) reste d’une utilisation limitée en 2006. Autre dispositif institué en 2004, la période de professionnalisation est mobilisée par les entreprises pour des objectifs plus larges que celui de maintien dans l’emploi des salariés en seconde moitié de carrière qui lui était assigné.
Les salariés restent les principaux bénéficiaires des fonds de la formation continue. La dépense pour les salariés du secteur privé s’est accrue en 2006 (+8 %). À l’inverse, celle pour les demandeurs d’emploi, notamment financée par l’Unédic, s’est repliée (-4 %), en lien avec la baisse du nombre d’inscrits à l’ANPE. Rapport complet déc 2008  (Premières Informations Premières Synthèses)

Národní výdaje na odborné školení a vzdělávání v roce 2006. Sběr agentur posílit svou pozici mezi společnostmi. Dosahující 27 miliard EUR v roce 2006, výdaje na odborné školení a vzdělávání vzrostl až jednu miliardu eur (3,9%) ve srovnání s rokem 2005. Od roku 2004 a poslední reforma vzdělávání, školení úsilí národa a stabilizované na 1,5% HDP, končí poklesu začal v 1990s. Celá zpráva z prosince 2008  (První Informace První Synthèses)  Suite...

<< < 10 11 12 13
Newsletter
49 abonnés
Visiteurs
Depuis la création 2 783 012
Formation Continue du Supérieur
Archives