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Formation Continue du Supérieur
24 mars 2013

Research Ethics and Integrity: Is it all about compliance and reputation?

http://www.heacademy.ac.uk/css/hea2/images/hea2-header-bg-swirl.pngHEA Research and Policy Seminar Series: Research Ethics and Integrity: Is it all about compliance and reputation?
Speaker:
Andrew Rawnsley
Abstract of presentation
There has been considerable resistance in the academic community to increasing institutional oversight of research ethics and integrity over the last few years. Much of the resistance to ethics and integrity in HE arises because of the way in which institutions implement administrative systems to approve and regulate research activity. This seminar will explore the tensions between ethical research practice per se, the expectations of research ethics and integrity policy makers, and the implementation of policy and administrative procedures in HE institutions. How should we best navigate between ethical practice and compliance?
Bookings are now open. Please click here to book.
Date: 16 Apr 2013
Start Time: 12:45 pm
Location/venue:
The Higher Education Academy, Innovation Way, York Science Park, Heslington, York, England, YO10 5BR
9 mars 2013

Les scientifiques doivent-ils prêter serment?

Les EchosPar Yann Verdo. Les chercheurs sont de plus en plus appelés à s'exprimer sur les sujets de société. Mais la question de l'éthique est trop souvent absente des cursus. D'où l'idée d'une prestation de serment. Est-il encore possible, en 2013, de trancher un grand débat de société sans s'en remettre pour consultation - quand ce n'est pas davantage - à l'avis des experts, c'est-à-dire de la science? Devons-nous interdire les OGM? Fermer nos centrales nucléaires? Autoriser l'exploration d'éventuels gisements de gaz de schiste? Tour à tour viendront défiler sur les plateaux de télévision ou dans les studios de radio, entre deux politiques, un spécialiste de la biologie moléculaire (qui peut aussi se doubler, cela s'est vu, d'un militant pro ou anti-OGM…), un autre de la fusion atomique, un troisième des nappes phréatiques. L'entrée dans le Code civil du « mariage pour tous » change-t-elle en profondeur la notion de filiation? Demandez à un sociologue de la famille ou à un pédopsychiatre. La controverse autour de l'ouverture de la procréation médicalement assistée (PMA) aux couples de femmes enfle-t-elle au point d'embarrasser le gouvernement? Le président du Comité consultatif national d'éthique (CCNE), Jean-Claude Ameisen, déclare qu'une « réflexion de fond » sur la PMA devrait prendre au moins six mois, retirant une belle épine du pied des pouvoirs publics, qui saisissent aussitôt l'occasion de s'en remettre prudemment au verdict des « sachants ». Suite de l'article...
Les Echos De réir Yann Verdo. Taighdeoirí a dtugtar ag éirí níos ar a labhairt ar shaincheisteanna sóisialta. Níos mó...
17 février 2013

Balancing integrity and the ‘dirty’ world of research

http://enews.ksu.edu.sa/wp-content/uploads/2011/10/UWN.jpgBy Mari Elken and Jens Jungblut. One thing you almost never learn in masters or PhD education is how the world of successful project applications really works. In the context of unstable and competitive funding sources and expectations of impact and societal relevance, the nature of academic work is changing. New job profiles emerge, with academics being expected to be more entrepreneurial, project management becoming a central skill and policy relevance emerging as a key funding criterion. While policy relevance is expected, linkage between research and policy – the so-called research-policy nexus – is not always straightforward or without contestation. This raises questions about the appropriate skills and competences for the next generation of researchers, who have to operate at the intersection between traditional academic work, policy advice and contract research. Read more...
31 décembre 2012

Triche aux examens: une montre antisèche vendue sur Internet

VousNousIlsPar Elsa Doladille. Une société croate a récem­ment mis en vente une montre spé­cia­le­ment conçue pour tri­cher aux exa­mens sans se faire surprendre. La triche aux exa­mens a encore de beaux jours devant elle; si le gou­ver­ne­ment s'attaque actuel­le­ment à la fraude par smart­phone en inter­di­sant l'usage des télé­phones dans les salles d'épreuve, les tri­cheurs ont déjà une lon­gueur d'avance.
Une montre "qui rend les études plus faciles"

Une société croate vient en effet de lan­cer la montre 24kupi, une montre spé­cia­le­ment conçue pour tri­cher aux exa­mens sans se faire prendre. C'est même son prin­ci­pal argu­ment de vente: la montre 24kupi est "la seule montre qui rend les études plus faciles". Suite de l'article...
VousNousIls By Elsa Doladille. A Croatian company recently sold a watch specially designed for cheating on exams without getting caught. Cheating in exams still has a bright future ahead of it, if the government is currently addressing fraud smartphone prohibiting the use of phones in the rooms test, cheaters have an edge. More...
15 décembre 2012

Korruptionswächter nehmen Unis ins Visier

SPIEGEL ONLINEVon Lena Greiner. Aldi, Bayer, Deutsche Bank: Weil das Geld bei den Unis chronisch knapp ist, kooperieren immer mehr Hochschulen mit Unternehmen. Nehmen die Firmen Einfluss auf Lehre und Forschung? Korruptionswächter wie Transparency International zählen von Jahr zu Jahr mehr dubiose Sponsoring-Fälle.
Ein Hörsaal heißt Aldi-Süd, die Deutsche Bank hat einen Platz in der Berufungskommission und Bayer macht Geheimverträge mit der Universität: Deutsche Hochschulen stehen neuerdings unter Beobachtung der Organisation Transparency International. Die Korruptionswächter mit Sitz in Berlin sind besorgt, weil Geldgeber aus Wirtschaft und Industrie immer stärker Universitäten und Fachhochschulen finanzieren. "Uns fallen von Jahr zu Jahr mehr Beispiele von undurchsichtigen Kooperationen auf, die potentielle Interessenkonflikte mit sich bringen", sagt Christian Humborg, Geschäftsführer von Transparency International Deutschland.
So hat sich die Summe der Drittmittel, die deutsche Hochschulen unter anderem aus der Industrie erhalten, seit 1998 mehr als verdoppelt. Damit vergrößerte sich der Anteil an der Gesamtfinanzierung von 16 auf 26 Prozent. Die Länder hingegen geben trotz der Hilferufe klammer Hochschulen nicht viel mehr Geld. Das bedeutet: Weite Teile des Wissenschaftssystems können sich längst nicht mehr auf eine ausreichende staatliche Förderung verlassen. Vielmehr konkurrieren sie um Forschungsmittel von außen. Mehr...
8 décembre 2012

Fraud in the admissions office: what to look for

By Allen Ezell, retired FBI Agent. Dishonest acts by persons in positions of trust in academia are few and far between, but when they do occur, they send shock waves throughout the profession. Disclosure of internal fraud at an institution affects the good name of that institution, and it will take many, many years to regain the public’s trust. So what can you do to protect your admissions office from fraud?
Fraud, regrettably, can come from within your admissions office. Some examples of inside fraud include an incident at Touro College, New York City where several office officials accepted bribes from students to alter grades, and sold university diplomas and records to non-students. This fraud was reported, investigated, and involved students and outside ‘buyers’, with several degrees being rescinded, and several employees being arrested and convicted.
Another incident occurred at Southern University, Baton Rouge, LA. For eight years, an admissions officer was paid by students to change 541 grades, and alter their records. Best estimates are that over 2500 individual grades were affected. Degrees to 10 persons were revoked, 27 more lost credits, and institution employees were arrested. Read more...
25 juillet 2012

Liberté universitaire et autonomie des établissements

https://wcd.coe.int/rsi/CM/images/Banner_fr.jpgRecommandation CM/Rec(2012)7 du Comité des Ministres aux Etats membres relative à la responsabilité des pouvoirs publics concernant la liberté universitaire et l’autonomie des établissements (adoptée par le Comité des Ministres le 20 juin 2012,  lors de la 1146e réunion des Délégués des Ministres).
Le Comité des Ministres recommande aux gouvernements des Etats membres:
1. de tenir compte, dans l’élaboration des politiques relatives à l’enseignement supérieur, des principes et dispositions exposés en annexe, et de les porter à la connaissance des organes compétents concernés afin qu’ils puissent les étudier et en tenir compte;
2. de promouvoir la mise en œuvre de ces principes et dispositions par les autorités locales et régionales et les établissements d’enseignement supérieur dans les limites imposées par l’autonomie de ces établissements;
3. de veiller à ce que la présente recommandation soit diffusée le plus largement possible auprès des personnes et instances en charge de l’enseignement supérieur;
Invite le Secrétaire Général du Conseil de l’Europe, le cas échéant, à transmettre la présente recommandation aux gouvernements des Etats parties à la Convention culturelle européenne qui ne sont pas membres du Conseil de l’Europe.
Annexe à la Recommandation CM/Rec(2012)7
I. Champ d’application et définitions

1. La présente recommandation porte sur le rôle et la responsabilité des pouvoirs publics dans la promotion de l’autonomie des établissements et de la liberté universitaire, en tant que caractéristiques essentielles de leurs systèmes éducatifs nationaux ainsi que de l’enseignement supérieur en Europe, et en tant que valeurs qui sous-tendent l’Espace européen de l’enseignement supérieur (EEES).
2. Compte tenu de la diversité des systèmes européens d’enseignement supérieur et de l’évolution de la population estudiantine, qui est de plus en plus nombreuse et dont les tranches d'âge, les besoins et les attentes vont croissant, les pouvoirs publics se devraient de promouvoir un cadre qui encourage à la fois la responsabilité publique vis-à-vis de l’enseignement supérieur, et la responsabilité publique de l’enseignement supérieur.
3. Toutes les définitions s’entendent
aux fins de la présente recommandation, tout en sachant qu’elles peuvent être utilisées différemment dans des contextes nationaux ou autres. Les expressions « responsabilité publique » et « pouvoirs publics » s’entendent au sens de la Recommandation CM/Rec(2007)6 du Comité des Ministres aux Etats membres relative à la responsabilité publique pour l’enseignement supérieur et la recherche.
4. La liberté universitaire et l’autonomie des établissements
sont des valeurs essentielles de l’enseignement supérieur, et elles contribuent au bien commun des sociétés démocratiques. Elles ne sont cependant pas absolues et reposent sur un équilibre qui ne peut être atteint que par le biais de délibérations et de concertations entre les pouvoirs publics, les établissements d’enseignement supérieur, la communauté universitaire que composent le corps enseignant et les étudiants, ainsi que toutes les autres parties prenantes.
5. La liberté universitaire devrait garantir le droit
des établissements et des individus d’être, les uns comme les autres, protégés contre toute ingérence extérieure excessive de la part des pouvoirs publics ou d’autres acteurs. Elle est une condition essentielle à la recherche de la vérité, tant par les universitaires que par les étudiants, et devrait s’appliquer partout en Europe. Le personnel et/ou les étudiants universitaires concernés devraient pouvoir exercer leur liberté d’enseignement, d’apprentissage et de recherche sans crainte de sanctions disciplinaires, de renvoi ou d’autres mesures de représailles.
6. La pleine application de l’autonomie
des établissements implique non seulement l’autonomie de l’enseignement et de la recherche, mais aussi l’autonomie en termes de finances, d’organisation et de personnel. Il s’agit d’un concept dynamique, qui devrait évoluer à la lumière des bonnes pratiques.
II. Principes généraux
7. Les pouvoirs publics
devraient définir le cadre régissant la liberté universitaire et l’autonomie des établissements, et suivre en permanence la mise en œuvre de ces droits fondamentaux, tout en encourageant l’adoption de stratégies viables à long terme pour l’enseignement supérieur. La responsabilité des pouvoirs publics devrait s’articuler en fonction de leurs différents rôles. Pour que la liberté universitaire et l’autonomie des établissements deviennent et demeurent une réalité, les pouvoirs publics devraient, dans certains domaines, concevoir des politiques qui appellent des mesures positives telles que l’adoption de cadres de qualifications ou des dispositions en matière d'assurance de la qualité externe, tandis que, dans d’autres domaines, il leur faudrait s’abstenir d’intervenir et éviter de définir des lignes directrices détaillées pour les curriculums et programmes d’études ou de réglementer tout ce qui touche au développement de la qualité interne des établissements, par exemple.
8. L’autonomie des établissements ne devrait pas porter atteinte à la liberté universitaire
de leurs personnels et de leurs étudiants. Les pouvoirs publics devraient mettre en place un cadre fondé sur la confiance et le respect au sein de la communauté universitaire. En effet, seul un climat de confiance peut permettre à l’enseignement supérieur d’être pleinement au service de sociétés démocratiques ouvertes et d’en favoriser l’épanouissement par la liberté de pensée, l’esprit critique et la réflexion créative.
9. La responsabilité des pouvoirs publics concernant la liberté universitaire et l’autonomie des établissements s’exerce essentiellement au niveau des systèmes d’enseignement supérieur.
En reconnaissant que les Etats membres sont responsables de l’organisation et du contenu de leurs systèmes éducatifs et que, à cette fin, un dialogue entre les établissements d’enseignement supérieur, les étudiants, le personnel et les pouvoirs publics est nécessaire, la présente recommandation pose des principes qui devraient être respectés, quel que soit le mode d’organisation des systèmes éducatifs, et qui valent pour tous les établissements d’enseignement supérieur, publics comme privés, que ces derniers soient ou non à but lucratif.
III. Mécanismes de réglementation
10. Les pouvoirs publics devraient encourager le maintien d’un dialogue permanent
sur l’avenir de l’enseignement supérieur, notamment avec les établissements d’enseignement supérieur, les étudiants et le personnel, mais aussi avec d’autres parties prenantes pertinentes, afin d’élaborer des stratégies cohérentes qui tiennent compte des évolutions internationales, de la diversité des établissements d’enseignement supérieur, des mutations sociétales et des objectifs divers et variés de l’enseignement supérieur. Lors de l’élaboration de ces stratégies, les pouvoirs publics devraient veiller à ne pas donner de directives aux établissements d’enseignement supérieur ; il est préférable qu’ils recourent à l’incitation et au dialogue pour préciser la contribution des établissements à la mise en œuvre des stratégies.
11. Les principes de la liberté universitaire et de l’autonomie des établissements
devraient également être dûment pris en considération par les pouvoirs publics dans la définition des règlements et des politiques qui s’appliquent à d’autres domaines relevant de la responsabilité publique. Les pouvoirs publics devraient ainsi concilier la nécessité de prévoir des règles et réglementations générales assurant la protection des individus et garantissant une saine administration des affaires publiques, et les principes de liberté universitaire et d’autonomie des établissements. Le suivi des implications des textes juridiques devrait tenir compte des différents modes de réglementation du statut des personnels universitaires, qu’ils appartiennent ou non à la fonction publique.
12. Les pouvoirs publics et autres intervenants
dans les structures et mécanismes de gouvernance de l‘enseignement supérieur devraient respecter les principes de la liberté universitaire et de l’autonomie des établissements. Le développement et l’utilisation du savoir ne sauraient être rattachés à aucun intérêt particulier d’ordre politique, économique, social ou autre. Les pouvoirs publics devraient encourager l’instauration d’un cadre collectif fondé sur le respect et l’engagement mutuels, en laissant aux établissements le rôle majeur qui leur revient.
13. Dans le cadre des mécanismes de réglementation,
les pouvoirs publics devraient favoriser des procédures et des pratiques administratives fondées sur des approches souples et raisonnées qui soient adaptées aux activités menées. La gestion des établissements d’enseignement supérieur devrait permettre de développer plus avant leurs missions et priorités, définies de manière autonome.
IV. Environnement de travail
14. Les pouvoirs publics devraient créer
et préserver les conditions nécessaires à l’exercice du droit à un environnement de travail favorable. Pour ce faire, il convient d’encourager la mise en place de normes éthiques solides, conçues par les établissements conformément au cadre de l’ensemble du système. Il incombe également aux pouvoirs publics de passer en revue les mesures de lutte contre la corruption pour assurer des dispositions juridiques adéquates et encourager dans le même temps les établissements d’enseignement supérieur à définir des mesures appropriées au niveau institutionnel dans ce domaine.
15. Il devrait être de la responsabilité des pouvoirs publics
de faire en sorte de garantir l’égalité des chances dans l’accès à l’enseignement supérieur et la réussite de ces études, et de prévoir des mesures de lutte contre la discrimination concernant le personnel et les étudiants, et le développement et l’utilisation du savoir.
16. Les pouvoirs publics devraient améliorer l’accessibilité
aux résultats de la recherche – la recherche et le savoir étant un patrimoine commun.
V. Financement de l’enseignement supérieur
17. L’autonomie financière est un préalable essentiel
à l’autonomie des établissements. Les pouvoirs publics devraient assumer une responsabilité importante dans le financement de l’enseignement supérieur et de la recherche et dans l’amélioration de l’accès à l’enseignement supérieur ; il leur faut également encourager et faciliter le financement par d’autres sources, dans le respect du cadre établi par les pouvoirs publics. Quelle que soit l’origine de leurs ressources financières, il importe que les établissements d’enseignement supérieur puissent répartir et gérer ces fonds conformément aux priorités définies par leurs instances de gouvernance, dans le respect des dispositions légales et du cadre réglementaire fixé par les pouvoirs publics.
18. Les pouvoirs publics devraient veiller à ce que les subventions publiques
allouées à l’enseignement supérieur, indépendamment du mécanisme de financement, soient adaptées aux activités et aux besoins des établissements bénéficiaires.
19. Les mécanismes généraux qui réglementent le financement de l’enseignement supérieur
devraient favoriser la transparence et prévoir des mesures claires pour parer à toute menace éventuelle contre la liberté universitaire et l’autonomie des établissements par les systèmes de financement, qu’il s’agisse de sources publiques ou privées.
20. Les pouvoirs publics devraient encourager
les établissements d’enseignement supérieur à tenir dûment compte, dans leurs priorités, de la nécessité de dispenser un enseignement et de mener des travaux de recherche dans un large éventail de disciplines ainsi qu’interdisciplinaires. Sont notamment concernés l’enseignement et les travaux de recherche qui revêtent une certaine importance pour l’élaboration de stratégies démocratiques et multiculturelles, et/ou de stratégies de développement spécifiques, notamment lorsqu’il n’est pas possible de trouver d’autres sources de financement.
VI. Responsabilité relative au cadre du système général
21. Les pouvoirs publics devraient être seuls responsables
de la mise en place du cadre dans lequel s’organisent l’enseignement supérieur et la recherche. Les cadres nationaux de qualification et les mécanismes d’assurance de qualité devraient être conformes aux principes de liberté universitaire et d’autonomie des établissements, et dûment intégrer les valeurs fondamentales et la diversité des objectifs de l’enseignement supérieur.
22. Il devrait également incomber aux pouvoirs publics
de contrôler les sources de financement des établissements d’enseignement supérieur et de surveiller les éventuelles ingérences dans la liberté universitaire et l’autonomie des établissements. Les pouvoirs publics devraient être chargés au premier chef de coordonner et de diffuser des informations claires sur les systèmes d’enseignement supérieur et de fixer des lignes directrices en matière d’information sur l’offre et sur les programmes spécifiques proposés par l’enseignement supérieur.
VII. Internationalisation
23. Les pouvoirs publics,
les établissements d’enseignement supérieur et les autres parties prenantes devraient avoir une vision large et internationale du rôle et des objectifs de l’enseignement supérieur. Les pouvoirs publics devraient favoriser la mise en œuvre des politiques et des textes internationaux qui appellent à l’autonomie des établissements et à la liberté universitaire. Les accords de coopération internationale devraient se plier à ces mêmes principes. Ces deux valeurs fondamentales sont les piliers de la dimension européenne de l’enseignement supérieur, telle que l’incarne l’EEES.
Documents liés

- Réunions
- 1146e réunion des Délégués des Ministres (Salle CM) / 20 juin 2012
- Documents connexes
- CM(2012)83addF/18 mai 2012.
- CM/Del/Dec(2012)1146/7.2F/22 juin 2012.
https://wcd.coe.int/rsi/CM/images/Banner_fr.jpg~~V Σύσταση CM / Rec (2012) 7 της Επιτροπής Υπουργών προς τα κράτη μέλη σχετικά με τη δημόσια ευθύνη για την ακαδημαϊκή ελευθερία και την αυτονομία των εκπαιδευτικών ιδρυμάτων (που εγκρίθηκε από την Επιτροπή Υπουργών στις 20 Ιουνίου 2012 την 1146η σύνοδο αναπληρωτών υπουργών).
Η Επιτροπή των Υπουργών συνιστά στις κυβερνήσεις των κρατών μελών:

1.
να ληφθούν υπόψη στη χάραξη πολιτικής που αφορούν την τριτοβάθμια εκπαίδευση, τις αρχές και τις διατάξεις που ορίζονται στο παράρτημα, και να ενημερώσει τα αρμόδια όργανα ενδιαφερόμενο, ώστε να μπορούν να τα μελετήσουν και να τις λαμβάνουν υπόψη. Περισσότερα...
21 juin 2012

Overseas teaching visits: how to make them a fair exchange

http://static.guim.co.uk/static/0edf8f19288c546ae7e06be1c4fc2b26ac1ac9f8/common/images/logos/the-guardian/professional.gifJames Derounian has been on two foreign exchanges this year, and his travels have prompted him to question; what makes an academic trip worthwhile?
This year I've been lucky enough to visit foreign parts, not once but twice. The first exchange was funded by the EU's Transversal programme which funds opportunities for UK education and training professionals to exchange expertise across Europe. In my case I was selected to join a pan-European team to learn and advise on "rural activity leaders: ensuring territorial cohesion in rural communities". In particular the project hosted by AIRELLE - Dordogne (south west France) - investigated education for active citizenship and sustainable development. As explained in the project brief: "Dordogne is a huge and isolated department focused on seasonal tourism but deprived in terms of employment and inhabitants' mobility. This creates a lack of social ties and attractiveness. Revitalising deprived rural areas is a major challenge."

6 mai 2012

Promoting ethics in universities

http://www.iiep.unesco.org/typo3temp/pics/69b85e6274.jpgMorocco initiates the design of an ethics charter
Within a context of profound political and social transformations in the Arab region, the University Mohammed V - Souissi in Rabat (Morocco) recently initiated the design of a charter on ethics, “the most important values of which should permeate all university actors”. In support of this initiative, the Faculty of Educational Sciences decided to devote its Second Forum on Active Citizenship to "Ethics in Universities of Morocco", on 28–29 March 2012.
The event was inaugurated by Mr Radouane Mrabet, President of the University and Mr Abdesselam El Ouazzani, Dean of the Faculty of Educational Sciences. The debates focused mainly on the importance of ethical values in a context of political, social, and cultural change; on the position of the Moroccan university community concerning the issue; and on the role of universities in strengthening an ethical culture.
The President stressed the need to promote the role of Universities as "a place of consolidation and defence of values" in a context of economic, political, and social crisis. He described the early stages of development of an ethical charter, with the establishment of an ad-hoc committee on which key University stakeholders are represented.
Invited by the University, IIEP staff explained in detail the prerequisites for an effective application of ethical charts, founded on the key findings of its research on teacher codes of conduct. The Institute advocated for the involvement of both faculty and students at each stage of the charter’s development, and for the implementation of indispensable mechanisms to ensure its enforcement, such as creating an "ethical watch", dealing with complaints, training the actors, etc. Reference was made to ongoing initiatives in various universities, notably in Europe (Geneva) and North America (Ontario).
The discussions that followed the presentations were very lively, especially concerning the distinction between ethics and morals; the determination of the values with which the Moroccan academic community currently identifies; the definition of the legal status of ethical charters in light of existing regulations; the integration of ethical issues into certain university programmes; and the setting up of joint consultative mechanisms on these themes.
In conclusion, the Dean of the Faculty indicated his willingness to hold another Forum next year, in order to make a first assessment of the experience of the University in its elaboration of an ethical charter.
Contact:For more information, please contact Muriel Poisson. Links: See the Forum flyer (In French); IIEP website on Teacher codes of conduct.
24 mars 2012

La déontologie des procédures de recrutement des enseignants-chercheurs et des chercheurs

http://histoireuniversites.blog.lemonde.fr/files/2009/04/mesr.1239023715.JPGA la suite d'une mission confiée à Claudine Tiercelin, professeur de philosophie au Collège de France, une Commission de déontologie va être mise en place afin d'analyser les procédures de recrutement et de promotion des enseignants-chercheurs et des chercheurs.
Laurent Wauquiez, ministre de l'Enseignement supérieur et de la Recherche, a souhaité ouvrir une réflexion quant à la déontologie des procédures de recrutement et d'évaluation des enseignants-chercheurs et des chercheurs. Les questions déontologiques sont effectivement très importantes dans le système d'enseignement supérieur et de recherche français. Au-delà de certains cas circonscrits, des questions de fond se posent concernant, notamment, la carrière des enseignants-chercheurs ou le fonctionnement des équipes de direction. Des réflexions intéressantes et la mise en place de bonnes pratiques tendent déjà à se consolider au sein des principales instances de l'enseignement supérieur et de la recherche. C'est dans ce cadre et en relation avec ces instances que cette réflexion d'ensemble sera conduite sur ces questions délicates.
En effet, à tous les stades de sa carrière, qu'il s'agisse de son recrutement, de sa titularisation ou de ses promotions, un enseignant-chercheur ou un chercheur est soumis au jugement de ses pairs et collègues. Ce principe de l'évaluation par les pairs, qui garantit l'indépendance des enseignants-chercheurs et des chercheurs, fait néanmoins peser une responsabilité particulière sur les membres de la communauté scientifique, qui doivent veiller à exercer avec une objectivité et une impartialité renforcées les missions difficiles qui leur incombent. A cet effet, il est apparu nécessaire tant de réfléchir aux cadres déontologiques les plus adaptés qu'à procéder à un examen des règles et procédures disciplinaires, afin de vérifier qu'elles permettent de sanctionner réellement les manquements à la déontologie.
A cet égard, Laurent Wauquiez a confié une mission relative à la déontologie des enseignants-chercheurs et des chercheurs à Claudine Tiercelin, professeur de philosophie au Collège de France. Un pré-rapport a été remis au ministre, qui a ainsi décidé de la mise en place d'une Commission de déontologie. Elle procédera à une analyse approfondie des procédures de recrutement et de promotion des enseignants-chercheurs et des chercheurs. Il s'agit de la raison d'être initiale de la commission à laquelle peuvent s'y rattacher des sujets importants comme, notamment, la question de la mobilité. La Commission conduira ses travaux en auditionnant les instances les plus représentatives de la communauté universitaire et de recherche au premier rang desquelles la Conférence permanente du Conseil national des universités (C.N.U.), la Conférence des présidents d'universités (C.P.U.) ou les grands organismes de recherche. La composition de la Commission sera prochainement publiée.
http://histoireuniversites.blog.lemonde.fr/files/2009/04/mesr.1239023715.JPGFollowing a mission entrusted to Claudine Tiercelin, professor of philosophy at the College de France, an Ethics Commission will be established to analyze the recruitment and promotion of academics and researchers.
Wauquiez, Minister of Higher Education and Research, wished to open a discussion about the ethics of recruitment procedures and evaluation of faculty members and researchers.
Ethical issues are actually very important in the higher education system and French research. Beyond some cases circumscribed substantive issues arise, particularly concerning the careers of faculty members and functioning of management teams. Interesting reflections and the establishment of good practice already tend to be consolidated within the main bodies of higher education and research. More...

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