
Rendez-vous CPU > Numérique et Comue
Face à la montée en puissance du numérique et des nouveaux outils de communication et à ses impacts multiformes sur l’activité universitaire et scientifique, la CPU organise un séminaire des référents numériques intitulé « Le numérique à l’heure des Comue » qui aura lieu le 27 juin prochain. Plusieurs débats sont au programme, notamment sur la question du numérique comme possible vecteur d’accroissement du niveau de qualification de la population et d’amélioration de la réussite à l’université.
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Le numérique à l’heure des COMUE

La montée en puissance du numérique et des nouveaux outils de communication a des impacts nombreux et multiformes sur l’activité universitaire et scientifique.
Cette mutation dont l’importance, comparable à celle de la première révolution industrielle, intervient dans un contexte universitaire en évolution où se redessinent de nouvelles entités fédératrices : quel rôle joue le numérique dans cette recomposition institutionnelle et territoriale ? Qu’en est-il des data center qui publics ou privés tendent à se multiplier quand la question de leur répartition sur le territoire et celle de leur modèle économique restent posées ? Portée par des outils numériques qui modifient les perceptions et les attentes des apprenants, remettent en cause les modes de transmission du savoir et impliquent une redéfinition du rôle et de la place de l’enseignant, comment la mutation pédagogique pourra-elle tirer profit des nouvelles échelles territoriales universitaires ? Comment, dans ce cadre, le numérique pourra-il être un vecteur d’accroissement du niveau de qualification de la population et d’amélioration de la réussite à l’université ?
Ce sont quelques unes des questions auxquelles le séminaire des référents numériques intitulé « Le numérique à l’heure des COMUE » s’efforcera de répondre le 27 juin prochain. Le séminaire aura lieu en salle de conférence dans les locaux de le CPU. Les inscriptions sont ouvertes auprès de Géraldine Becquet geraldine.becquet@cpu.fr.
Comue : quelle place pour les grandes écoles ?

Un moratoire sur les regroupements universitaires ?

Ces syndicats sont certes nombreux et majoritaires ensemble aux élections universitaires et dans les organismes de recherche: FSU (SNESUP, SNCS, SNEP, SNASUB, SNETAP) – CGT (SNTRS, CGT INRA) – FO (SNPREES - Sup’Autonome) –Solidaires (Sud Education – Sud Recherche EPST) - Sup’Recherche UNSA – SNPTES. Mais l'absence de la CFDT est à noter.
Cet appel à un moratoire rejoint celui lancé par des universitaires qui se sont mobilisés en marge des syndicats. Et il a peu de chance d'être entendu du gouvernement qui veut pousser les feux de cette réorganisation sous la forme de COMUE (Communauté inter-académique d'universités et d'établissements). Suite...
Le président de la CGE défend la place des grandes écoles dans les COMUE

La Sorbonne autonome
Sur le blog "Histoires d'universités" de Pierre Dubois. 1200, Fondation de la Sorbonne… 2014, éclatement de l’université de Paris en un puzzle n’importe nawak : Sorbonne Université, Sorbonne Paris Cité, Paris Saclay, HESAM, Paris Lumières, Paris Lettres et Sciences, Paris-Est…
L’affirmation de Paris comme capitale de la France s’appuya sur le développement et le rayonnement de l’Université de Paris. Celle-ci vit le jour au cours du XIIe siècle au terme d’une croissance continue des écoles parisiennes regroupées sur la Montagne Sainte-Geneviève. Suite...
COMUE : un cri d’effroi !
Sur le blog "Histoires d'universités" de Pierre Dubois. Conseil d’administration de l’Université du Maine (Le Mans), jeudi 22 mai 2014. Motion votée à l’unanimité : une COMUE, dans quel but ? (COMUE des universités des Régions Bretagne et Pays de la Loire).
Deux raisons à mon cri d’effroi. 1. La motion démontre parfaitement les effets négatifs des COMUE : il faut arrêter les dégâts en urgence. 2. Les propositions ne seront pas entendues par la Secrétaire d’État, ses conseillers et ses éminences grises. Le rouleau compresseur des COMUE va tout écraser sur son passage : mort planifiée du Service public de l’Enseignement supérieur et de la recherche… à moins d’un sursaut : le boycottage des élections aux CA des COMUE. Suite...
COMUE. Et si Belfort résistait ?
Sur le blog "Histoires d'universités" de Pierre Dubois. Samedi 31 mai 2014, séminaire à l’Institut National d’Histoire de l’Art (INHA), organisé par Hist’Art (photos de Sabine et de Stéphanie). Chroniques : le docteur en histoire de l’art, acteur de son projet professionnel vers l’entreprise. Une trentaine de jeunes chercheurs (doctorants et docteurs) présents.
Résumé de mon intervention.
Les jeunes chercheurs, en Histoire de l’Art ou Archéologie, sont passionnés par leur thématique de recherche : c’est un atout sur le marché du travail. S’ils ne le sont pas, ils doivent vite le devenir. Suite...
Statuts de SPC : usine à gaz
Sur le blog "Histoires d'universités" de Pierre Dubois. Nouvelle version du projet de statuts de l’université Sorbonne Paris Cité (USPC News, n°16, 27 mai 2014). SPC est dans le tempo imposé par la loi ESR : "les conseils [des établissements membres] vont se tenir sur une période allant du 19 juin au 3 juillet 2014. Le Conseil d’administration de l’Université Sorbonne Paris Cité, qui sera lui aussi saisi du sujet, se tiendra le 9 juillet". Bravo, les bons élèves ! Les CA de chacune des 4 universités (Paris 3, 5, 7, 13) vont donc voter. Suite...
Limoges, une université au cœur de la création d’une Comue : entretien avec Hélène Pauliat, sa présidente

Olivier Rollot : 2014 est l’année des nouveaux regroupements d’universités. Après avoir appartenu à des PRES (Pôles de recherche et d'enseignement supérieur), les universités vont passer sous le régime des Comue (Communautés d’universités et d’établissements). Sous quels auspices les choses s’annoncent-elles à l’université de Limoges ?
Hélène Pauliat: A l’université de Limoges, avec nos partenaires, nous avons décidé de travailler à un regroupement des universités et d’établissements plus élargi que le précédent PRES. Nous avons choisi d’étendre le périmètre de notre Comue à deux ex-PRES : celui que nous constituions avec les universités de La Rochelle et de Poitiers et celui qui était composé par les universités d’Orléans et Tours. Lire la suite...