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Formation Continue du Supérieur
17 octobre 2014

RNCP : ce que le Responsable Formation doit savoir pour mettre en oeuvre la VAE et le Compte Personnel de Formation

logo elegiaPar Sophie Picot-Raphanel. Qu’est-ce que le RNCP ?
Le répertoire national des certifications professionnelles (RNCP) a pour objectif de tenir à disposition des personnes et des entreprises une information constamment à jour sur les diplômes, les titres et les certificats qui bénéficient d’une reconnaissance officielle. Les certifications enregistrées dans le répertoire sont reconnues sur l’ensemble du territoire national. Ce répertoire est mis à jour par la commission nationale de la certification professionnelle (CNCP) qui a récemment rendu public son rapport d’activité 2013. Voir l'article...

23 avril 2014

CEC et FTLV dans le rapport de la CNCP

Commission Nationale de la Certification ProfessionnelleLe rapport d'activité 2013 de la Commission Nationale de la Certification Professionnelle est disponible.
VI. LE CADRE EUROPÉEN DES CERTIFICATIONS PROFESSIONNELLES POUR L’EDUCATION ET LA FORMATION TOUT AU LONG DE LA VIE (CEC)
La CNCP a effectué la mise en relation du cadre national de certification, le RNCP, avec le CEC, prévue dans la Recommandation, permettant ainsi à la France de tenir ses engagements en termes de calendrier. Ce rapport de référencement, élaboré dans un cadre interministériel et sous l’égide du SGAE, a été présenté à la Commission et aux États membres le 11 octobre 2010. Les remarques faites par les représentants des Etats membres ont permis d’apporter des éclaircissements dans la rédaction contrôlés par le SGAE. Ce rapport qui rend notre système plus compréhensible à des personnes étrangères a débouché sur une traduction en anglais, les deux étant disponibles sur le site de la CNCP. Par ailleurs, la traduction de notre site a été poursuivie afin d’améliorer la visibilité internationale du système français, à terme le RNCP devrait pouvoir être accessible par le biais de « l’EQF webportal », portail en anglais donnant accès aux certifications des différents Etats membres de l’Union européenne. La CNCP a été désignée comme point national de coordination pour la mise en œuvre de la recommandation du parlement européen et du conseil du 23 avril 2008 établissant le CEC.
Au plan national, cette mission lui permet de nouer des partenariats avec les différents organismes liés à la mise en œuvre des différentes mesures et outils mis en œuvre par la Commission comme l’agence 2 E 2F à Bordeaux pour Europass, de participer, dans le cadre de ses missions, à l’établissement d’une politique nationale coordonnée et de mettre en relation des interlocuteurs étrangers et français intéressés par les sujets traités par la CNCP.
La CNCP participe ainsi en tant que point national de référence à un projet« euroméditerranéen » de construction de qualifications dans les domaines du tourisme et du bâtiment auquel participent la Tunisie, le Maroc, la Jordanie et de l’Egypte ainsi que l’Italie et l’Espagne pour la rive Nord de la Méditerranée. Par ailleurs la CNCP est sollicitée pour la visite de délégations étrangères pour des visites d’études afin de comprendre le fonctionnement du cade national français, soit directement, soit par le biais du CIEP ou du GIP Inter. 2013 a été marqué par la visite de délégations baltes (Estonie et Lettonie), turques, chinoises, vietnamienne, bahreïnie...et des invitations à présenter le système français à l’étranger.
VII LES TRAVAUX SUR UNE FUTURE NOMENCLATURE DES CERTIFICATIONS PROFESSIONNELLES
Après la mise en regard par la France de ses niveaux par rapport à ceux du CEC, les efforts ont été poursuivis sur le chantier de la future nomenclature des certifications, prévue par le décret concernant la CNCP.
Si la création d’un échelon permettant d’identifier le niveau du doctorat et des certifications découlant de la formation continue (aujourd’hui ce niveau est partagé par les doctorats, les masters et les autres certifications professionnelles de niveau I) a été acquise dès le début des travaux, les nombreuses auditions effectuées n’ont pas encore permis de dégager un consensus sur ce que pourrait être le premier niveau d’une nouvelle nomenclature de certification de niveau inférieur au niveau V actuel. Il a par contre été acté que le référentiel de compétences élaboré par l’Agence nationale de lutte contre l’illettrisme (sans une traduction en termes de qualification dans un métier) relevait clairement de l’Inventaire. Une note d’analyse a été présentée en décembre à la commission plénière de la CNCP.
Il a été demandé que ses membres, à leur plus haut niveau, (ministre, secrétaire général d’organisation syndicale) expriment leur opinion sur son contenu - note du 2 aout 2013. Compte tenu des travaux relatifs à la négociation interprofessionnelle sur la formation professionnelle, qui a abouti à la fin de 2013, les réponses sont attendues pour le début de l’année 2014. Télécharger le rapport d'activité 2013 de la CNCP.

23 avril 2014

L'enseignement supérieur dans le rapport de la CNCP

Commission Nationale de la Certification ProfessionnelleLe rapport d'activité 2013 de la Commission Nationale de la Certification Professionnelle est disponible.
L’enregistrement des diplômes de l’enseignement supérieur se poursuit avec plus de 950 fiches publiées. Cependant, nombre de ceux ci n’y sont toujours pas mentionnés, pénalisant la lisibilité de l’offre des certifications des établissements d’enseignement supérieur.
Néanmoins des dispositions ont été prises pour faciliter et accélérer la validation des fiches répertoire saisies par ces établissements. Il en a résulté une forte augmentation du nombre publié, augmentation qui devrait se poursuivre en 2014.
V. LA PUBLICATION DES CERTIFICATIONS DE L’ENSEIGNEMENT SUPÉRIEUR
Le volume des certifications de l’enseignement supérieur relevant de la responsabilité de la Direction générale de l’enseignement supérieur de la recherche et de l’insertion professionnelle (DGESIP) était estimé à 12000 environ avant la réforme des nomenclatures des licences et des masters. L’importance du nombre de diplômes a nécessité la recherche d’un processus spécifique d’enregistrement au RNCP prenant en compte le stock existant, le flux et la maintenance du dispositif. L’ensemble des données nécessaires à la réalisation des fiches saisies est produit par les universités, sous la responsabilité de référents, par le Président d’université ou le directeur de l’organisme délivrant une certification de droit , avant d’être intégré dans la base de données de la CNCP. Fin 2013, le nombre de fiches publiées est de 318 pour les licences généralistes, 1916 pour ce qui concerne les licences professionnelles et de 1219 pour les masters.
Parmi les autres certifications relatives à l’enseignement supérieur, il est à noter que les BTS, BTSA et DUT sont au nombre d’environ 200.
En 2013, un travail constant a été mené par la DGESIP afin de publier au RNCP les titres visés ainsi que les programmes « grande école » des écoles de management
Il est à noter que fin 2013 plus de 1500 fiches sont en cours de validation par le Ministère de l’enseignement supérieur. Nonobstant les nouvelles modalités arrêtées avec la DGESIP fin 2011 afin de permettre l’accélération de l’enregistrement des fiches de l’enseignement supérieur, le stock de fiches en cours de validation reste constant. Télécharger le rapport d'activité 2013 de la CNCP.

23 avril 2014

Rapport au Premier ministre de la Commission nationale de la certification professionnelle - CNCP

Commission Nationale de la Certification ProfessionnelleLe rapport d'activité 2013 de la Commission Nationale de la Certification Professionnelle est disponible.
Le mot du Président
L’année 2013 a été marquée par une croissance sans précédent du nombre de certifications inscrites au RNCP. Ce sont en effet près de 1400 fiches supplémentaires qui ont été publiées en 12 mois. De 1600 certifications homologuées par la commission technique d’homologation en 2002, on est passé aujourd’hui à plus de 9000 certifications enregistrées au RNCP, dont un tiers environ provient des demandes des organismes examinées par la CNCP.
L’enregistrement des diplômes de l’enseignement supérieur se poursuit avec plus de 950 fiches publiées. Cependant, nombre de ceux ci n’y sont toujours pas mentionnés, pénalisant la lisibilité de l’offre des certifications des établissements d’enseignement supérieur. Néanmoins des dispositions ont été prises pour faciliter et accélérer la validation des fiches répertoire saisies par ces établissements. Il en a résulté une forte augmentation du nombre publié, augmentation qui devrait se poursuivre en 2014.
S’agissant des certifications enregistrées sur demande, 427 dossiers ont été examinés en 2013, nombre en diminution par rapport à 2012, mais supérieur aux années précédentes. Parmi ceux ci, 52 demandes émanent des commissions paritaires nationales pour l’emploi et concernent des certificats de qualification (CQP). L’année 2013 marque également un tournant dans la nature et la complexité de nombreuses demandes d’enregistrement au RNCP. On observe en effet l’émergence d’une nouvelle catégorie d’acteurs : les organismes « tête de réseaux » qui conventionnent avec de multiples organismes, simples lieux de préparation à la certification qu’ils continuent à délivrer en leur nom propre. Si ces réseaux ont toujours existé, leur nature évolue. Alors qu’ils étaient jusqu’à maintenant constitués historiquement ou issus du regroupement d’établissement préexistants et proposant une même certification, cette année a été l’occasion d’observer une concentration des acteurs de la formation professionnelle « certifiante » autours de plusieurs grands groupes.
La récente loi du 5 Mars 2014 prévoit de doter la Commission d’instruments, notamment juridiques, permettant une analyse adaptée de ces demandes, afin de préserver la lisibilité et la cohérence du RNCP qui pourraient en pâtir. Le secrétariat national de la CNCP a, par ailleurs, été amené à intensifier sa veille relative aux informations proposées au grand public par les organismes sur l’objet qu’ils délivrent. Cela se traduit dans la pratique par des courriers d’avertissement et de rappel adressés à des établissements parfois peu scrupuleux communiquant de manière ambigüe quant à la nature et à la reconnaissance de leurs diplômes.
Dans quelques cas, la Commission a d’ailleurs été amenée à transmettre ces informations aux services de l’état compétents pour agir sur le terrain judiciaire. La loi du 5 Mars 2014 consacre aussi cette démarche et vient préciser les garanties que les organismes certificateurs se doivent de remplir en matière de transparence de l’information donnée au public et relative aux certifications qu’ils délivrent. Depuis sa création, la CNCP a progressivement construit et précisé le concept de « certification professionnelle » tel qu’il devait être entendu au sens du RNCP, notamment au travers des critères qui lui permettent d’exprimer un avis sur les demandes qui lui sont présentées. Si ces critères demeurent inchangés au fil des ans, les exigences de la commission, qui concourent à une élévation de l’appropriation du concept de certification professionnelle par l’ensemble des acteurs et notamment par les organismes de formation, se sont accrues. On notera tout particulièrement que la proportion d’avis défavorables rendus par la Commission, touche 5,6% des demandes de renouvellement.
L’enregistrement n’est donc pas un acquis intangible. Il convient toutefois de préciser que l’impact direct de la Commission n’opère que pour les certifications enregistrées sur demande. S’agissant des certifications enregistrées de droit, la loi du 24 novembre 2009 a élargi les missions de la CNCP en soumettant à l’avis de celle ci l’opportunité de leur création. Il est cependant prématuré de tirer des conclusions quant à l’impact de cette disposition sur les certifications concernées. Le RNCP a aujourd’hui trouvé sa place dans le paysage de la formation professionnelle tout au long de la vie et constitue un cadre unique de référence des certifications professionnelles tant au plan national qu’au plan international. Cependant, comme cela a déjà été souligné par d’autres rapports, les résultats obtenus atteignent aujourd’hui un seuil limite faute d’une évolution des moyens dédiés à la Commission.
On constate notamment une difficulté de plus en plus grande à remplacer les départs des correspondants régionaux, chargés d’instruire les demandes d’enregistrement et de renseigner différents types de publics sur la certification professionnelle ce qui est de nature à dégrader les délais d’instruction des dossiers. Ceci s’explique sans doute par le fait que les missions remplies par ces correspondants ne constituent pas aujourd’hui un indicateur de performance pour les services auxquels ils appartiennent. A cette difficulté s’ajoute enfin l’insuffisance quantitative persistante des moyens humains affectés au secrétariat de la commission. George ASSERAF
Télécharger le rapport d'activité 2013 de la CNCP.

23 avril 2014

Plus de 9 000 certifications enregistrées au Répertoire national des certifications professionnelles

Carif Oref Midi-PyrénéesLa Commission nationale de la certification professionnelle (Cncp) publie son rapport d'activité. L'année 2013 a vu une "croissance sans précédent du nombre de certifications inscrites" au Répertoire national des certifications professionnelles (Rncp). 1 400 fiches supplémentaires ont été publiées en 12 mois. Plus de 9 000 certifications sont aujourd'hui enregistrées au Rncp. Le rapport fait le point sur les demandes d'enregistrement, la publication des certifications de l'enseignement supérieur, le cadre européen des certifications professionnelles, la mise en place de l'inventaire de certifications non éligibles au Répertoire national des certifications professionnelles et la formulation des premiers avis d'opportunité.
Consulter le rapport 2013 de la Cncp.

8 avril 2014

25 certifications d’organismes régionaux ont été enregistrées au RNCP en 2012-2013

http://www.cariforef-pdl.org/admin/telechargement_CARIFOREF/ficTelecharge_1/images_carif/bandeau_plateforme.jpgLe Répertoire national des certifications professionnelles (RNCP) a été créé dans le cadre de la loi de modernisation sociale de 2002. Il met à disposition des personnes, des entreprises et des informateurs une présentation de l’offre de certification lisible.

Le RNCP présente l’offre de certification lisible, actualisée et classée par domaine d’activité et par niveau, sauf pour les Certificats de qualification professionnelle (CQP).
Deux modalités existent pour être enregistrées au RNCP. Les diplômes et titres à finalité professionnelle délivrés au nom de l’État et créés après avis d’instances consultatives, auxquelles les organisations représentatives d’employeurs et de salariés sont parties prenantes, sont enregistrés de droit.
Pour les autres, les organismes doivent faire une demande d’enregistrement. C’est le cas pour 46 organismes détenteurs des certifications en cours enregistrées dans la région. Sur les 46 certifications enregistrées en Pays de la Loire, 8 le sont au niveau I, 17 au niveau II, 13 au niveau III, 4 au niveau IV et 4 au niveau V.
Les organismes qui obtiennent l’enregistrement, enregistré au Journal officiel, sont alors détenteurs de leur certification, déclarée certifiante. Un élément de reconnaissance souvent important pour obtenir les financements des formations.

Des certifications à fort ancrage territorial et reconnues par les professionnels
19 organismes ligériens ont engagé en 2013 une démarche pour déposer une demande d’enregistrement.
La procédure d’enregistrement de la saisine jusqu’à parution au Journal officiel peut prendre de 7 à 9 mois.
14 dossiers ont été examinés en commission certification/Validation des acquis (VAE) du Comité de coordination régional de l'emploi et de la formation professionnelle (CCREFP) : 1 titre de niveau I, 4 titres de niveau II, 4 titres de niveau III, 2 titres de niveau IV et 3 titres de niveau V. Les avis sont transmis à la commission spécialisée nationale qui proposera un avis d’enregistrement ou non au ministre. Les enregistrements sont réalisés pour une durée de 3 à 5 ans.
8 titres nouveaux ont fait l’objet d’une demande d’enregistrement et cinq dossiers d’une demande de renouvellement. Les domaines d’activité sont très divers comme le montre la liste ci-dessous. Il s’agit de certifications qui ont un vrai ancrage territorial, qui sont reconnues par le milieu professionnel et qui, pour être enregistrées, doivent montrer un bon taux d’insertion des personnes titulaires de la certification.
Au niveau national, 76 % des dossiers font l’objet d’un avis favorable, 8 % d’un avis défavorable et 16 % d’un ajournement ou d’un report.
Consulter le site du RNCP

3 mars 2014

Inscrire une certification au Répertoire national de la certification professionnelle, le 1er avril

Carif Oref Midi-PyrénéesCette animation vous permettra de :
- connaître les modalités d'inscription des titres et diplômes professionnels au Répertoire national des certifications professionnelles (Rncp),
- clarifier la démarche de construction d'une certification,
- comprendre l'articulation entre les référentiels d'activités, de compétences et de certifications.
L'animateur est Jean-Marie Henninger, référent régional de la Commission nationale de la certification professionnelle.
Horaires et lieu : 1er avril de 9h30 à 13h, au CarifOref, 19 rue Carmin à Labège.

28 février 2014

Fiche outil : Effectuer une recherche 
dans le Répertoire opérationnel des métiers et des emplois : mode opératoire

VAEFiche outil : Effectuer une recherche 
dans le Répertoire opérationnel des métiers et des emplois : mode opératoire
Le Répertoire opérationnel des métiers et des emplois (ROME) a été conçu par Pôle emploi pour favoriser le rapprochement des offres et des demandes d’emploi et constituer un référentiel national des métiers, actualisé régulièrement. Il est constitué de 531 fiches "coeur de métier générique" regroupant chacune l’ensemble des appellations correspondant à la fiche. Les appellations correspondent aux intitulés les plus courants des métiers. Suite...

28 février 2014

La CNCP et le RNCP

VAELa CNCP et le RNCP
La CNCP (Commission nationale de la certification professionnelle), mise en place par la loi de modernisation sociale, a notamment pour mission de répertorier l’offre de certification (au travers du RNCP (répertoire national des certifications professionnelles), de signaler les éventuelles correspondances entre certifications et d’élaborer une nouvelle nomenclature des niveaux de certification. Elle "veille à la cohérence, à la complémentarité et au renouvellement des diplômes et des titres ainsi qu’à leur adaptation à l’évolution des qualifications et de l’organisation du travail ." La loi du 24 novembre 2009 relative à l’orientation et la formation professionnelle tout au long de la vie lui a par ailleurs confié la mission de dresser un inventaire des "certifications et habilitations correspondant à des compétences transversales exercées en situation professionnelle". Suite...

14 avril 2013

5 fois plus de certifications inscrites au Rncp en dix ans

En 2002, la liste d'homologation à laquelle s'est substitué le Rncp, comportait environ 1 600 titres et diplômes. Aujourd'hui près de 8 000 certifications sont consultables en ligne. Ces données sont issues du rapport d'activité 2012 de la Cncp.
Le plus gros pourvoyeur de certifications reste en 2012 l’Enseignement supérieur (2 966), suivi de l’Éducation nationale (764), les titres du ministère de l’Emploi (396), les titres d’ingénieurs (337) et les titres du ministère de l'Agriculture (218). Les niveaux II, III et I sont en tête des demandes d’enregistrement. Sur 558 demandes d'enregistrement au Rncp, 446 ont reçu un avis favorable.
Voir le rapport.

In 2002, the list of which approval has been replaced by NCPR, included about 1,600 degrees and diplomas. Today, nearly 8,000 certifications are available online. These data come from the 2012 activity report of the CNCP. More...
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