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Formation Continue du Supérieur
7 décembre 2009

Le classement 2010 des villes universitaires

Letudiant.fr Logo Le classement général des villes où il fait bon étudier.
Où vaut-il mieux habiter pendant vos études ? Votre priorité est d'éviter les galères de logement ou de transports ? C'est plutôt la vie culturelle ou l'environnement qui vous importent ? Pour savoir quelle cité étudiante conviendra le mieux à vos besoins, nous avons passé au crible les villes françaises selon 38 critères répartis en 9 thèmes (sorties, emploi, offre de formation, sports…). À vous de voir où poser vos valises.
Voici notre classement des villes où il fait bon étudier, version 2010. Lorsque les villes sont classées ex-aequo, elles apparaissent par ordre alphabétique. Dans la colonne de droite, vous pouvez comparer l'évolution des villes par rapport à notre classement 2009, avec l'indication du nombre de places gagnées ou perdues.
Letudiant.fr LogoThe overall ranking of cities in which to study. Where is it better to live during your studies? Your priority is to avoid galleys housing or transportation? Rather, the culture or environment that are important to you? To find out what city student will best suit your needs, we have screened the French cities according to 38 criteria divided into 9 themes (output, employment, job training, sports ...). À vous de voir où poser vos valises. To see where you put your suitcases. More...
3 novembre 2009

Classements internationaux d’universités

Une étude de l’institut Thomas More met en évidence les disparités des résultats obtenus par les universités dans les différents classements internationaux d’établissements d’enseignement supérieur.
Au lendemain du discours d'Avignon de Nicolas Sarkozy sur la jeunesse, à la veille de la publication du nouveau classement de Shanghai et à l'occasion de la parution de sa nouvelle Note de Benchmarking, « Vers quel classement européen des universités ? Étude comparative du classement de Shanghai et des autres classements internationaux », l'Institut Thomas More a organisé une Rencontre petit-déjeûner sur le thème de la réforme et de la compétitivité du système d'enseignement supérieur français et a reçu à cette occasion Valérie PÉCRESSE, ministre de l'Enseignement Supérieur et de la Recherche. Etude complète:  Benchmark Thomas More.
Bien que chaque système d'enseignement supérieur national (ou régional) obéisse à un modèle différent, les classements n'hésitent pas à les comparer. La démarche comparative n'est pas invalidée pour autant, mais il convient d'avoir ces différences à l'esprit pour apprécier la relativité de la comparaison. Ainsi peut-on déjà établir une différence entre le modèle anglo-saxon (largement repris en Asie), avec ses universités de grande taille dispensant un enseignement pluridisciplinaire (regroupements de toutes les facultés sur un même campus) et le modèle européen qui mêle des universités sur le modèle anglo-saxon et d'autres spécialisées par disciplines (sciences humaines et sociales, sciences fondamentales, lettres ou business). On devine que la comparaison de la performance d’une université pluridisciplinaire avec celle d'une université spécialisée pose des problèmes méthodologiques importants.
A l'intérieur de cette diversité européenne, il faut aussi s'arrêter un moment sur le cas particulier français. En plus de séparer les facultés (sciences humaines et lettres, sciences sociales et sciences exactes), le système français comprend un enseignement universitaire doublé d'un dispositif de grandes écoles, publiques ou privées, souvent de grande renommée, qui délivrent des diplômes dans un domaine précis (commerce, politique, journalisme, communication, agronomie...). Or, le modèle de réalisation des classements est celui des campus anglo-saxons pluridisciplinaires. Le système dualiste français, généralement mal compris à l'étranger, est donc désavantagé. A cela s'ajoute que, si les structures de recherche sont généralement associées à l'enseignement supérieur, ce n'est pas toujours le cas en France où elle est également réalisée par des organismes indépendants de l'université, qu'ils soient publics (CNRS, INRA, etc.) ou privés (Institut Pasteur). Ces centres de recherche concentrent une grande partie des chercheurs et du budget français destiné à la recherche.
En studie av Thomas More institutet belyser skillnader i resultat från olika universitet i internationella rankningar av universitet och högskolor.
Efter tal Avignon Nicolas Sarkozy om ungdom, inför offentliggörandet av den nya Shanghai ranking och för att markera att offentliggöra sina nya rating Benchmarking, "Vart europeisk ranking av universiteten? Jämförande studie av Shanghai rankning och andra internationella rankinglistor anordnade Thomas More institutet ett frukostmöte på temat reformer och konkurrenskraft i den franska högre utbildningen och fick vid detta tillfälle Valérie Pécresse minister för högre utbildning och forskning. Fullständig undersökning: Benchmark Thomas More. Mer...
3 novembre 2009

Identifying the Best: l'Université de Provence classée en Europe pour son excellence en Psychologie

The CHE Excellence Ranking compares a selected group of European universities for each subject. Find the most interesting places in Europe for doing your master’s or doctoral degree!

For seven different subjects a group of 20 to 60 European universities were selected by their results in research and (for Political Science, Economics and Psychology) internationalisation indicators. This selected group of universities is called the "Excellence Group" of the respective subject. For this Excellence Groups, an institutional survey as well as a student survey was conducted. For outstanding results in any one indicator, a "star" was awarded.
http://www.che-concept.de/cms/images/che-logo1-engl.gifEnter the Excellence Ranking by selecting either one of the SUBJECTS or one of the UNIVERSITIES. If you select a subject, you can view the Excellence Group, compare up to three Excellence Group universities / departments with each other or search for one of over 2,000 research teams. More information especially on the methodology can be found in the ABOUT section. Identifying the Best: The CHE ExcellenceRanking for Natural Sciences, Economics, Political Science and Psychology in Europe.

30 octobre 2009

Shanghai 2009: progrès des universités françaises

http://www.educpros.fr/fileadmin/www.educpros.fr/templates/img/logoHeader.pngPar Mathieu OUI. Avec toujours trois institutions figurant dans le top 100, les universités françaises maintiennent leur position dans l’édition 2009 de l’Academic Ranking of World University (ARWU), qui sera officiellement présentée à Shanghai le 4 novembre 2009. Educpros s'est procuré le classement de Shanghai 2009 en avant-première. Ce classement confirme l'excellence de la France en mathématiques.
Les universités françaises apparaissent particulièrement performantes en mathématiques avec neuf universités parmi les 100 premières : Paris Sud (6ème), UPMC (7ème), Paris Dauphine (35ème), ENS Paris (47ème), Paris Diderot (49ème), Polytechnique, Rennes 1, Strasbourg 1 et Aix-Marseille 1 se situant dans la seconde moitié du classement. Suite.

23 octobre 2009

Valérie Pécresse: le classement européen, une "référence" pour les Universités

Retour à la page d'accueilLe classement des universités européennes et mondiales dont l'Union européenne (UE) va se doter doit devenir "une référence dans le monde entier" et "supplanter" les classements internationaux actuels, a plaidé jeudi la ministre de l'Enseignement supérieur, Valérie Pécresse.
Ce projet de "classement", qui sera en fait une "cartographie" par disciplines conçue comme une aide au choix des étudiants, a été lancé à l'initiative de Mme Pécresse lors de la présidence française de l'UE en 2008. "L'objectif est qu'il devienne une référence dans le monde entier et qu'il supplante par sa qualité et sa pertinence les classements actuels", a déclaré Mme Pécresse lors d'une rencontre organisée par l'Institut Thomas More, à deux semaines de la publication du classement de Shanghaï 2009 des universités mondiales. Ce classement, publié depuis 2003 par l'université Jiao Tong des communications de Shanghaï, fait la part belle aux établissements américains mais sa méthodologie est très contestée, en France mais pas seulement. La cartographie européenne doit devenir "une alternative aux classements internationaux existants" car leur "remise en cause est très importante aujourd'hui", a dit Mme Pécresse.
Parmi les différentes critiques faites aux classements existants, la ministre a notamment relevé "leurs méthodologies", qui ne sont "pas concertées avec les acteurs" de l'enseignement supérieur et de la recherche. Après le lancement d'un appel d'offres fin 2008, la Commission européenne a confié en juin 2008 l'élaboration du projet européen au consortium Cherpa, qui regroupe cinq institutions spécialisées sur l'enseignement supérieur (deux néerlandaises, une belge, une française et une allemande) et deux entités européennes. Ce consortium doit élaborer la "conception du modèle" d'ici fin 2009 et il mènera "un test de faisabilité en 2010 avec 150 établissements dans le monde et dans deux disciplines, la gestion et les sciences de l'ingénieur", a précisé Mme Pécresse. "Cela prend du temps, mais on veut une démarche jugée irréprochable", a-t-elle justifié.
Back to HomeValerie Pécresse: the European rankings, a "reference" for Universities. The ranking of universities in Europe and worldwide including the European Union (EU) will provide should become "a reference in the world" and "replace" the current international rankings, pleaded Thursday Minister of Higher Education, Valérie Pécresse. After launching a tender in late 2008, the European Commission has entrusted in June 2008 the draft European consortium Cherpa, which includes five specialized institutions of higher education (two Dutch, one Belgian, one French and German) and two European entities. The consortium must develop the "model design" by the end of 2009 and it will lead "a feasibility test in 2010 with 150 locations worldwide and in two disciplines, management and engineering," said Ms. Pécresse. "It takes time, but we want an approach considered irreproachable," she justified. More...
8 octobre 2009

Palmarès 2009 du Times Higher Education–QS

http://jd2-953ef2bb1db6cca968e2ec96a949ce09-us.s3.amazonaws.com/multimedia.topuniversities.com/drupal-files/logo.gifPar Mathieu OUI (L'Etudiant).
Les établissements français d'enseignement supérieur se maintiennent dans le classement 2009 du palmarès international des universités du Times Higher Education-QS. Le premier d’entre eux, l’ENS de Paris demeure à la 28e place, Polytechnique recule de deux places (36 contre 34 en 2008) et Pierre et Marie Curie (UPMC) remonte de 32 places (117 en 2009 contre 149 en 2008). L'ENS Lyon figure au 126ème rang et gagne 14 places.
L’édition 2009 du palmarès international des universités du Times Higher Education-QS, marque la montée en puissance des établissements européens et asiatiques au détriment de leurs homologues américains. Par rapport à l’édition 2008, ces derniers ont perdu huit places dans le top 100, au profit notamment de trois universités européennes et de deux asiatiques. «Globalement cette sixième édition est marquée par une certaine stabilité par rapport aux années précédentes, indique Ben Sowter, responsable de l’enquête pour la société QS (Quacquarelli Symonds). Ceux qui bénéficient des plus belles remontées ont fait beaucoup d’efforts notamment en matière de recherche et de réputation auprès des employeurs. » Le palmarès est établi à partir de six critères : recommandations académiques des pairs, recommandations des employeurs, ratio étudiant par enseignant, nombre de publications de recherche par enseignant, et enfin, pourcentages d’étudiants et d’enseignants étrangers.
Nouveauté de cette sixième édition du palmarès : l’introduction d’une classification basée sur trois grandes caractéristiques : nombre d’étudiants, offre de formations et importance de la recherche. « Nous avons tenu compte des critiques nous reprochant de comparer des établissements très divers », indique Ben Sowter. Au total, cette typologie comporte 48 catégories d’établissements, de la grosse université (plus de 12 000 étudiants) pluridisciplinaire et médicale avec une très haute activité de recherche (catégorie A1) à la petite université (moins de 5000 étudiants) spécialisée (deux disciplines représentées sur un maximum de 5) et sans activité de recherche (catégorie L4). Parmi les établissements du top 200, 113 appartiennent à  la première catégorie A1 et 23 sont rattachés à la catégorie A2.
http://jd2-953ef2bb1db6cca968e2ec96a949ce09-us.s3.amazonaws.com/multimedia.topuniversities.com/drupal-files/logo.gifLes institucions d'ensenyament superior francesos segueixen en la classificació del rànquing del 2009 internacional de les universitats en la educació Times Higher-QS. El primer d'ells, ENS de París es manté en el lloc 28, Politècnica de nou dos llocs (36 contra 34 en 2008) i Pierre i Marie Curie (UPMC) procedien de 32 llocs (117 el 2009 contra 149 el 2008 ). L'ENS de Lyon és a 126 lloc i va guanyar 14 escons. Més...
15 juillet 2009

Les universités françaises mal notées par la Banque mondiale

L'organisme attribue notamment ces mauvais résultats à l'absence de sélection des étudiants et au faible niveau de la dépense publique pour l'enseignement supérieur.
La banque mondiale vient d'étudier les systèmes universitaires à travers le monde. Parmi eux, la France affiche une médiocre performance  dans les classements internationaux. Selon l'institution internationale, le niveau de dépense constitue l'un des principaux déterminants des performances d'un pays. Ainsi, les universités américaines se classent parmi les meilleures du monde mais, aux États-Unis, les dépenses totales pour l'enseignement supérieur représentent 3,3 % du produit intérieur brut contre seulement 1,3 % dans les 25 pays de l'Union européenne.
Cependant, le Royaume-Uni et la Suisse ont des universités relativement bien financées et atteignent des scores élevés alors que la France, l'Allemagne et le sud de l'Europe occupent des rangs inférieurs. En France et en Allemagne, les dépenses publiques par étudiant sont en dessous de la moyenne des pays de l'OCDE et correspondent à la moitié du niveau de celles des universités américaines. Autre facteur pour faire la course en tête : le niveau des étudiants. En 2008, les meilleures universités française (Paris-VI) et allemande (Munich) n'étaient placées qu'aux 42e et 55e rangs, pour une raison évidente selon la Banque mondiale : «Il n'y a presque pas de sélection des étudiants qui entrent dans l'enseignement supérieur.»
Pour créer des universités de rang mondial, il faut leur assurer des «éléments d'autonomie», affirme encore le rapport. La présence à la tête des établissements de dirigeants possédant «un grand charisme et une forte vision stratégique» compte beaucoup. L'«absence absolue de compétition» entre les universités rend «difficile la mise en place de centres d'excellence», ajoute la Banque mondiale. Dans le cas de la France, deux autres caractéristiques compliquent la situation. La division entre grandes écoles et universités est l'une des principales raisons pour lesquelles les universités françaises «ne sont pas compétitives à l'échelle internationale». La plupart des étudiants en doctorat ne sont pas les meilleurs «parce que les grandes écoles qui sont des établissements d'élite pour la formation de hauts cadres font très peu de recherche». Enfin, la séparation entre les instituts de recherches affiliés au CNRS et ceux des universités entraîne une «dispersion des ressources humaines et financières». Or, la force des universités de rang mondial réside dans le fait que la recherche est le plus souvent intégrée à tous les niveaux. Malgré les importantes réformes de ces dernières années (dont la loi Pécresse sur l'autonomie des universités) la France aurait donc encore des efforts à fournir pour se hisser dans la cour des grands.
French universities poorly rated by the World Bank. The agency attributed the poor results including the lack of selection of students and the low level of public expenditure for higher education. The World Bank has to consider the university systems around the world. Among them, France has a poor performance in international rankings. According to the international institution, the level of expenditure is one of the main determinants of performance of a country. Thus, American universities are among the best in the world but the United States, total spending for higher education represent 3.3% of gross domestic product as against only 1.3% in the 25 EU countries European. Malgré les importantes réformes de ces dernières années (dont la loi Pécresse sur l'autonomie des universités) la France aurait donc encore des efforts à fournir pour se hisser dans la cour des grands. Despite the important reforms of recent years (including Pécresse law on the autonomy of universities), France would therefore further efforts to provide for him into the big league. More...
1 juillet 2009

Les meilleures universités de France suivant la Tribune.fr

La Tribune et LaTribune.fr publient le palmarès des meilleures universités. Ce palmarès, va enfin permettre à tous les étudiants de choisir leur université en fonction de critères objectifs publiés dans des rapports officiels. Notre partenaire l'Agence éducation formation (AEF), a synthétisé dans une forme directement utilisable les rapports d'évaluation d'un organisme officiel, l'Agence d'évaluation de la recherche et de l'enseignement supérieur (AERES). Le "taux de qualité" pour chaque grande filière (Sciences dures, sciences du vivant, lettres, droit et sciences économiques, sciences humaines et sociales ...) permet de distinguer un Top cinq des universités par filière. Et ce ne sont pas forcément de grandes facs, localisées à Paris qui occupent les premiers rangs.
Notre palmarès met en évidence quelques excellents établissements de province qui se hissent au top niveau, parce qu'ils ont élu un bon président et parce qu'ils attirent des professeurs dynamiques. Licence. Masters.

18 juin 2009

Cambridge encore en tête des universités britanniques

17 juin 2009

Ranking et classement des universités espagnoles

Revenir à l'accueil EducPros.fr, un site de l'Etudiant Un institut de l’université de la Complutense de Madrid a publié en mai 2009 un classement multi-critères des universités espagnoles, intitulé « La calidad de las universidades en España ». L’université de Navarre, propriété de l’Opus Dei, y arrive en tête en obtenant la note maximale en enseignement comme en recherche.
« La grande taille ou la présence d’une équipe de chercheurs brillants faussent notre jugement sur les universités. C’est pourquoi nous avons voulu être novateurs en faisant, pour la première fois à ma connaissance, un ranking basé sur la méthode d’analyse factorielle », explique Mikel Buesa, professeur d’économie appliquée à la Complutense de Madrid.
Le classement de son institut, l’IAIF (Instituto de Analisis Industrial y Financiero) inclut 32 variables contre 9 pour le ranking le plus sophistiqué à ce jour. Conformément à la méthode d’analyse factorielle utilisée au sein de l’OCDE par exemple, les variables sont regroupées en facteurs, 10 en l’occurrence, 5 pour l’enseignement et 5 pour la recherche : ressources humaines, moyens informatiques, thèses, brevets, etc.
« Ce classement connaît un grand retentissement, car il offre enfin une vision objective et équilibrée de la situation », assure un des ses auteurs, Mikel Buesa. Son université, la Complutense n’arrive que 26 ème sur les 69 universités publiques ou privées concernées. Le chercheur ne peut donc être suspecté de favoritisme...

Een instituut van de Universiteit Complutense de Madrid bekendgemaakt in mei 2009 een multi-criteria voor rangschikking van de Spaanse universiteiten, getiteld "La calidad de las Universidades en España". De universiteit van Navarra, eigendom van het Opus Dei, ook tops in het verkrijgen van de maximale score in het onderwijs als in onderzoek.
"De grote omvang of de aanwezigheid van een team van briljante onderzoekers verstoort onze beslissingen over de universiteiten. Dat is de reden waarom wij wilden om innoverend te zijn in te doen, voor het eerst bij mijn weten, een ranglijst gebaseerd op de methode van factor-analyse ", zegt Mikel Buesa, hoogleraar toegepaste economie aan de Complutense de Madrid. Meer...

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