Accueil - Vie PubliqueLes religions et les mouvements religieux constituent-ils un risque pour l'intégration des individus ou au contraire sont-ils un vecteur du lien social ? Alors que la société est marquée par une faible emprise religieuse (47 % de sans religion et d'athées), le groupe de projet constate l'existence de regroupements plus petits mais plus intenses (mouvements dits sectaires, formes de revivalisme religieux, communautés charismatiques ou évangéliques). Le groupe de projet s'interroge notamment sur la réalité du risque de repli communautaire et de radicalisme religieux. Il revient par ailleurs sur le rôle des pouvoirs publics : il préconise le maintien de la neutralité et le respect de toute forme de croyance sans en stigmatiser aucune et fait référence aux collectivités locales qui sont amenés à jouer un rôle croissant. Plus...