Le 18 juin, l’association de droit suisse "Libra Association" présentait un projet de cryptomonnaie destiné à offrir au monde dès 2020 "une monnaie digitale sûre et stable", le Libra, pour en faire "l’internet de la monnaie". L’annonce serait passée inaperçue, si l’association n’incluait pas Calibra, filiale ad hoc de Facebook et une trentaine d’organisations allant d’entreprises comme Mastercard, Visa, Paypal, Booking, Uber, Spotify, Iliad ou Vodaphone, à des investisseurs en capital-risque comme Union Square Ventures, et même des ONG comme Women’s World Banking. Plus...
1 septembre 2019
Libra, Hydra ou Activa ? Les enjeux mondiaux de la cryptomonnaie imaginée par Facebook
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