En 2018-2019, 202 200 étudiants en mobilité internationale sont inscrits dans les universités de France métropolitaine et des départements d’outre-mer (2). Leur proportion augmente de 0,2 point par rapport à l’an dernier (1). La mobilité diplômante concerne 90 % des étudiants internationaux, et la quasi-totalité (98 %) de ceux provenant d’Afrique (3).
Plus d’un étudiant international sur deux est africain. Les continents les plus représentés sont ensuite l’Europe (19,4 %), l’Asie (19,1 %) et l’Amérique (8,5 %). Les étudiants marocains et algériens sont les plus nombreux (24 500 et 24 000 respectivement) devant les Chinois (13 900). Parmi les étudiants européens, quatre sur cinq sont originaires de l’Union européenne.
Les plus représentés sont les Italiens (20 % des Européens), suivis des Allemands (12 %) et des Espagnols (11 %). Parmi les étudiants internationaux, 43 100 sont originaires d’un État engagé dans le processus de Bologne. Les étudiants internationaux, tous continents confondus, se dirigent principalement vers les disciplines scientifiques (hors santé et DUT) (32 %) et littéraires (30 %), avant celles économiques (18 %).
Les étudiants africains s’inscrivent davantage en sciences (38 %). Les femmes sont majoritaires (52,6 %) parmi les étudiants venant de tous les continents, excepté de l’Afrique où elles ne représentent que 44 % des étudiants en mobilité. À l’opposé, les étudiantes représentent plus des deux tiers des étudiants européens.
Consulter la brochure R.E.R.S. 2019. Plus...
Plus d’un étudiant international sur deux est africain. Les continents les plus représentés sont ensuite l’Europe (19,4 %), l’Asie (19,1 %) et l’Amérique (8,5 %). Les étudiants marocains et algériens sont les plus nombreux (24 500 et 24 000 respectivement) devant les Chinois (13 900). Parmi les étudiants européens, quatre sur cinq sont originaires de l’Union européenne.
Les plus représentés sont les Italiens (20 % des Européens), suivis des Allemands (12 %) et des Espagnols (11 %). Parmi les étudiants internationaux, 43 100 sont originaires d’un État engagé dans le processus de Bologne. Les étudiants internationaux, tous continents confondus, se dirigent principalement vers les disciplines scientifiques (hors santé et DUT) (32 %) et littéraires (30 %), avant celles économiques (18 %).
Les étudiants africains s’inscrivent davantage en sciences (38 %). Les femmes sont majoritaires (52,6 %) parmi les étudiants venant de tous les continents, excepté de l’Afrique où elles ne représentent que 44 % des étudiants en mobilité. À l’opposé, les étudiantes représentent plus des deux tiers des étudiants européens.
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