Ce rapport porte sur l’activité de l’AERES qui, au cours de l’année 2014, a conduit l’évaluation de la vague E (2013-2014), lancé puis commencé les évaluations de la vague A (2014-2015), enfin préparé le lancement des évaluations de la vague B (2015-2016).
L’année 2014, qui devait être une année de transition avec le passage de l’AERES au HCERES, a finalement été une année conduite presque entièrement sous l’égide de l’AERES.
Inconfortable, cette longue phase de transition n’a toutefois pas empêché les équipes de l’AERES de poursuivre au mieux les activités d’évaluation au plus près des entités évaluées, dans un paysage évolutif qui a réclamé que l’AERES s’adapte à des situations très différentes.
Alors que l’AERES avait acquis une visibilité et une réputation de plus en plus importante sur la scène européenne et internationale et sur internet, un effort important a été effectué pour que la transition vers le HCERES se déroule au plus vite, dès la publication du décret, en préservant au mieux ces acquis de visibilité et de réputation, et en vue de limiter au maximum les inconvénients pour les entités évaluées.
Comme en 2013, deux questions restent ouvertes, qui sont importantes pour la suite des activités d’évaluation et pour la perception, au niveau international, de la qualité de l’enseignement supérieur en France :
Inconfortable, cette longue phase de transition n’a toutefois pas empêché les équipes de l’AERES de poursuivre au mieux les activités d’évaluation au plus près des entités évaluées, dans un paysage évolutif qui a réclamé que l’AERES s’adapte à des situations très différentes.
Alors que l’AERES avait acquis une visibilité et une réputation de plus en plus importante sur la scène européenne et internationale et sur internet, un effort important a été effectué pour que la transition vers le HCERES se déroule au plus vite, dès la publication du décret, en préservant au mieux ces acquis de visibilité et de réputation, et en vue de limiter au maximum les inconvénients pour les entités évaluées.
Comme en 2013, deux questions restent ouvertes, qui sont importantes pour la suite des activités d’évaluation et pour la perception, au niveau international, de la qualité de l’enseignement supérieur en France :
- la première est la question du niveau de la compensation financière des établissements d’enseignement supérieur et de recherche pour la mise en délégation d’enseignants-chercheurs à temps partiel auprès de l’AERES, puis du HCERES ;
- la seconde est celle de la reconnaissance européenne du HCERES en tant que membre de l’Association européenne des agences d’assurance qualité pour l’enseignement supérieur (ENQA) et de son inscription au registre européen de ces organismes (EQAR).
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