La loi française donne-t-elle des réponses claires aux interrogations sur le fait religieux en entreprise ?
Certains salariés d’entreprises privées expriment des signes d’appartenance religieuse ou demandent des aménagements spécifiques liés à leurs croyances. La loi française donne des réponses claires à la plupart des interrogations sur la gestion du fait religieux en entreprise. C’est à chaque entreprise de trouver un point d’équilibre dans ce domaine.
Salariée, managers et consultants spécialisés évoquent leurs expériences. Si la question de l’expression des convictions dans la sphère professionnelle gêne certaines directions d’entreprises, d’autres (bien plus rares), mettent un point d’honneur à travailler ce thème. Des cabinets de conseil spécialisés les accompagnent dans l’approche de cette délicate question. Ils le racontent.
Avec
Hicham Benaïssa, docteur en sociologie et rattaché au laboratoire du Groupe Sociétés Religions Laïcités ( EPHE-CNRS)
François Lebrun, président de l’agence
Pharos Djamila et Alexandre, une salariée et un chef d’entreprise
Mansour Zoberi, directeur de la promotion, de la diversité et de la solidarité,
Groupe Casino Julie Vallat, Responsable du département Sociétal Exploration Production,
Groupe Total Victor Grèzes, co-fondateur de
Convivencia conseil Nicolas Cadène, rapporteur général de l’
Observatoire de la laïcité Remerciements à Maya Hagege, déléguée générale de l’
AFMD (Association Française des Managers de la diversité). Une série de
Catherine Escrive, réalisée par
Rafik Zénine