Masomah et Zahra Alizada aimeraient faire parler d’elles grâce à leurs résultats sportifs lors des compétitions cyclistes internationales. Mais, pour l’instant, ce que le grand public connaît d’elles tient surtout à leur détermination et au symbole de volonté d’émancipation de la femme qu’elles représentent. Elles y ont gagné un surnom, « les petites reines de Kaboul », mais tout le reste est à construire. Plus...
29 janvier 2018
Les petites reines de Kaboul, du cyclisme aux bancs de l’université
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