We ask whether the government should rethink student finance after the high youth election turnout. More...
30 juillet 2017
Young people have spoken: will they be heard over university fees and grants?
How can universities hang on to their students?
With student retention becoming a priority, universities are seeking out the strategies that work best to bring down drop-out rates. More...
Open University jobs at risk in £100m 'root and branch' overhaul
Institution plans to save 25% of annual budget to secure financial stability and reinvest in digital transformation. More...
L’activité partielle en 2015 - La réduction des heures chômées se poursuit
En 2015, plus de 23 millions d’heures ont été chômées au titre de l’activité partielle, soit 10 % de moins qu’en 2014. La baisse est concentrée essentiellement sur le dernier trimestre 2015. Chaque mois, environ 60 400 salariés, soit 0,4 % de l’emploi salarié total, ont été concernés par l’activité partielle, pour une réduction d’activité de 32 heures en moyenne par mois.
En 2015, les dépenses publiques au titre de l’activité partielle s’élèvent à environ 178 millions d’euros, dont 110 millions d’euros à la charge de l’État et 68 millions d’euros à la charge de l’Unédic. Le nombre d’heures d’activité partielle a diminué dans l’industrie et augmenté dans la construction et les services. Les évolutions des parts sont similaires : le poids de l’industrie dans le total des heures d’activité partielle consommées diminue, passant pour la première fois en dessous de 50 % (contre 62 % en 2014) tandis que la part des heures chômées consommées dans la construction et, dans une moindre mesure, dans les services, progresse fortement en 2015 : elle est de 53 % dans ces deux secteurs contre 35 % en 2014. L’industrie demeure cependant le secteur d’activité le plus consommateur d’heures chômées. Enfin, les petits établissements sont désormais les premiers utilisateurs du dispositif.
Le principal motif de recours à l’activité partielle reste la conjoncture économique. Ce dispositif se traduit le plus souvent par une réduction horaire de tout ou partie de l’établissement. Certains établissements recourent à l’activité partielle de façon récurrente ou sur une longue durée : 12 % des établissements utilisateurs en 2015 l’ont également été durant les deux années précédentes et 11 % ont cumulé plus de 12 mois de recours sur les trois dernières années.
En 2015, les dépenses publiques au titre de l’activité partielle s’élèvent à environ 178 millions d’euros, dont 110 millions d’euros à la charge de l’État et 68 millions d’euros à la charge de l’Unédic. Le nombre d’heures d’activité partielle a diminué dans l’industrie et augmenté dans la construction et les services. Les évolutions des parts sont similaires : le poids de l’industrie dans le total des heures d’activité partielle consommées diminue, passant pour la première fois en dessous de 50 % (contre 62 % en 2014) tandis que la part des heures chômées consommées dans la construction et, dans une moindre mesure, dans les services, progresse fortement en 2015 : elle est de 53 % dans ces deux secteurs contre 35 % en 2014. L’industrie demeure cependant le secteur d’activité le plus consommateur d’heures chômées. Enfin, les petits établissements sont désormais les premiers utilisateurs du dispositif.
Le principal motif de recours à l’activité partielle reste la conjoncture économique. Ce dispositif se traduit le plus souvent par une réduction horaire de tout ou partie de l’établissement. Certains établissements recourent à l’activité partielle de façon récurrente ou sur une longue durée : 12 % des établissements utilisateurs en 2015 l’ont également été durant les deux années précédentes et 11 % ont cumulé plus de 12 mois de recours sur les trois dernières années.
Dares Résultats 2017-048 - L’activité partielle en 2015. La réduction des heures chômées se poursuit