Toutes deux pluridisciplinaires et fortement impliquées dans des problématiques sociétales communes (énergie et bâtiment, eau et environnement, tourisme et montagne entre autres), l'Université Savoie Mont Blanc (USMB) et l'Université de Pau et des Pays de l'Adour (UPPA) viennent de signer une convention-cadre de partenariat. Celle-ci officialise les collaborations qu'elles ont initiées depuis plusieurs mois et vise à mettre en place le réseau Smart Universities Network (SUN). Les deux entités vont ainsi renforcer leurs liens et associer leurs expertises pour favoriser le développement de l'activité économique des territoires, l'ouverture au transfrontalier et à l'international et à la transition numérique via la recherche, la formation ou encore des échanges d'informations. Voir l'article...
Création du réseau Smart Universities Network
Les doctorants présentent leurs découvertes
Les doctoriales ont commencé ce mardi à l'université. Cet événement annuel permet au grand public de découvrir les travaux de ces élèves-chercheurs, qui font avancer notre connaissance collective sur nos îles, nos sociétés et la science.
Cette semaine ça bouillonne à l'Université de la Polynésie française. 33 doctorants de l'institution présentent leurs travaux au public et à un jury de professeurs, l'occasion de diffuser la pointe de la recherche universitaire locale aux étudiants de l'UPF et à toute personne intéressée. Voir l'article...
Université de Perpignan : campagne d’autoflagellation ou super coup de pub
« L’université de Perpignan = échec assuré », « De la recherche à l’université de Perpignan ? mytho », ou encore « Au pire, il y a l’université de Perpignan ». Pas besoin d’être titulaire d’un master en droit pour se rendre compte que la plupart de ces affirmations relèvent en théorie de la diffamation pure et simple. Sauf si cette campagne d’affichage inédite émane de l’université elle-même, comme l’affirment plusieurs sources concordantes. Voir l'article...
NÎMES Forum des matériaux et idées neuves à l’IUT
A l'IUT, on ne fait pas les choses à moitié. Dans le cadre des festivités des 20 ans de Science et Génie des Matériaux, le département organise une journée dédiée à la découverte des différentes familles de matériaux et de leurs applications. Voir l'article...
Un campus universitaire avec 32 formations post-bac dispensées
En matière d'enseignement supérieur, la cité cadurcienne renforce son offre. Le nouveau centre universitaire aménagé avenue Henri-Martin étoffe un campus diversifié fort d'un millier d'étudiants. Voir l'article...
Tirage au sort dans les facs : on ne joue pas "l'avenir des étudiants à la roulette russe"
Jeudi, 27 avril, par une circulaire publiée au Bulletin officiel, le ministère de l'Enseignement supérieur a entériné la pratique du tirage au sort pour départager les candidats à l'entrée des filières universitaires au cas où il n'y aurait pas assez de place. Voir l'article...
Ma thèse en 180 secondes : avec eux, les sciences c'est facile
Vous ne pigez rien aux sciences ? Et pourtant, après avoir entendu ces chercheurs sur scène, vous aurez l’impression de les comprendre un peu mieux. La 4e saison de « Ma thèse en 180 secondes » (MT 180) vient de démarrer. Après Paris ou Toulouse, c’est Aix-Marseille, l’un des 27 groupements universitaires en lice, qui a sélectionné hier son champion de la vulgarisation pour la finale nationale, en juin. Voir l'article...
L’accueil des scientifiques en danger doit rester une évidence
Dans une tribune au « Monde », un collectif d’universitaires et de personnalités redoute que le résultat du second tour provoque une remise en cause des libertés académiques. Voir l'article...
Faire évoluer le numerus clausus, une solution pas si simple
Depuis 1993, date de son étiage le plus bas (3 500 places), le numerus clausus n’a cessé d’être régulièrement relevé, atteignant même 8 124 places à la rentrée 2017, un niveau proche de celui de sa création en 1971 (8 588 places). Sa réforme pose toute une série de questions. Voir l'article...
Quand l’université aide les étudiants réfugiés à s’intégrer
Paris-I a mis en place ce dispositif d'accueil des étudiants réfugiés en octobre 2015. Ils étaient 65 à faire leur rentrée cette année-là ; ils sont aujourd'hui plus de 130, de treize nationalités différentes – mais en majorité syriens – à bénéficier de ce programme financé par le Qatar à hauteur de 600 000 euros par an. Une somme principalement allouée au logement et au versement de bourses. Plus...
