Lancée en décembre 2015, l’évaluation de la VAE a été confiée à une mission composée de membres de l’IGAS, de l’IGEN et de l’IGAENR. Ce rapport évalue la VAE, au titre de la modernisation de l’action publique (MAP).
2 LA VAE EST UNE VOIE DE CERTIFICATION QUI NE SE DEVELOPPE PAS ET QUI NE BENEFICIE PAS D'UNE REELLE ATTENTION DE LA PART DES POUVOIRS PUBLICS
2.1 La VAE a connu une forte progression de 2002 à 2009, puis a marqué le pas.
2.1 La VAE a connu une forte progression de 2002 à 2009, puis a marqué le pas.
En 2013, 27 464 candidats ont obtenu auprès des différents ministères certificateurs (éducation nationale, enseignement supérieur et recherche, emploi, affaires sanitaires et sociales, agriculture, jeunesse et sports, défense, culture, affaires maritimes) une certification complète par la VAE, sur un total de 46 606 candidats examinés par le jury. Après un pic en 2009 (31 619), ce nombre a décru en moyenne de 3,3 % par an.
En 2013, le taux de validation partielle représente environ 30 % des candidats examinés par le jury (soit environ 14 000) et varie fortement entre les différents ministères : de 4 % à l'agriculture à 50 % aux affaires maritimes.
Le taux d'échec est d'environ 11 %.
Le nombre de candidats qui ne se présentent jamais devant le jury représente, selon les années, de l'ordre de 20 à 25 % des candidatures déclarées recevables, soit environ 15 000. Ce taux a fortement augmenté en 2014, représentant 30 %.
En 2013, le taux de validation partielle représente environ 30 % des candidats examinés par le jury (soit environ 14 000) et varie fortement entre les différents ministères : de 4 % à l'agriculture à 50 % aux affaires maritimes.
Le taux d'échec est d'environ 11 %.
Le nombre de candidats qui ne se présentent jamais devant le jury représente, selon les années, de l'ordre de 20 à 25 % des candidatures déclarées recevables, soit environ 15 000. Ce taux a fortement augmenté en 2014, représentant 30 %.