To highlight government research institutions that have achieved the greatest impact in innovation and did the most to advance science and technology, Clarivate Analytics teamed up with Reuters News to create the second annual ranking of the top 25 World’s Most Innovative Research Institutions - ranking of government research institution. More...
Top 25 Global (government funded) Innovators
Successful Conclusion to IREG Forum in Qatar
The latest IREG forum was held at Qatar University, Doha, from the 12th to the 14th of March. There were 120 participants from all continents with a particularly strong presence from Middle Eastern countries such as Turkey, Saudi Arabia, Qatar, Bahrain and Kuwait. The theme of the conference was “Excellence as the University Driving Force” and there was a total of 23 addresses and presentations. More...
IREG Forum
An international conference IREG Forum 2017 Excellence as the University Driving Force opened at Qatar University In Doha, Qatar in the presence of some 120 representatives of universities from 35 countries and experts on academic rankings and higher education. More...
Shanghai Ranking of Best Chinese Universities
The Shanghai Ranking Consultancy has published its Best Chinese Universities Ranking, which covers a total of 500 institutions. The objective of the ranking is “to provide students, parents and other stakeholders with reliable and comparable information about Chinese universities.”The criteria for inclusion are a minimum undergraduate enrollment of 100 and publication of 100 papers in journals indexed by Scopus. More...
Les contrats aidés : quels objectifs, quel bilan ?
Depuis leur création dans les années quatre-vingt, les contrats aidés ont régulièrement changé de nom ou de modalités, ciblant plus ou moins et successivement le secteur marchand ou non marchand, les jeunes ou les seniors ou les bénéficiaires de minima sociaux. Quel bilan peut-on tirer aujourd’hui de ces expériences ?
À court terme, les contrats aidés, particulièrement ceux du secteur non marchand, permettent de soutenir efficacement l’emploi. Ainsi, on estime que 21 000 emplois ont été créés en 2015 grâce à l’augmentation du nombre de contrats aidés : 13 000 dans le secteur non marchand, 4 000 dans le secteur marchand et 4 000 dans les structures de l’insertion par l’activité économique.
À plus long terme, en revanche, les effets sur l’insertion professionnelle sont mitigés. Si le passage en contrat aidé du secteur marchand semble avoir un effet positif sur la reprise d’emploi, les contrats aidés du secteur non marchand semblent plutôt, au vu des études existantes, réduire légèrement les chances d’être en emploi non aidé après la fin du contrat.
Dares Analyses 2017-021 - Les contrats aidés : quels objectifs, quel bilan ?
Le contrat de sécurisation professionnelle favorise-t-il la reprise d’emploi des licenciés économiques qui y adhèrent ?
18 mois après leur inscription à Pôle emploi, 53 % des salariés licenciés pour motif économique entrés en contrat de sécurisation professionnelle (CSP) en avril ou mai 2014 occupent un emploi salarié ou ont créé une entreprise. Ce taux est proche de celui des autres demandeurs d’emploi interrogés, mais à caractéristiques individuelles similaires (âge, diplôme…), les bénéficiaires du CSP sont plus souvent en emploi que les autres. Toutes choses égales par ailleurs, les adhérents au CSP occupent également plus souvent des emplois durables, c’est-à-dire à durée indéterminée ou à durée déterminée de plus de six mois.
Les bénéficiaires du CSP se distinguent également des autres demandeurs d’emploi par le fait qu’ils ont beaucoup plus souvent effectué une formation durant les 12 mois qui suivent l’inscription à Pôle emploi.
Quel que soit l’accompagnement dont ils ont bénéficié, une majorité de demandeurs d’emploi qui ont retrouvé un emploi en sont globalement satisfaits, même si près de 80 % d’entre eux déclarent avoir dû faire au moins une concession pour retrouver cet emploi – notamment en termes de rémunération.
Impacts du numérique sur les apprentissages tout au long de sa vie
A l'heure où le numérique s'implante durablement dans les systèmes de formation, l'Agence Erasmus + France / Education Formation et EPALE France organisent une journée d'échanges pour discuter des impacts du numérique sur les apprentissages tout au long de sa vie. Situation d'illettrisme, label des grandes écoles du numérique et opportunités d'apprentissage induites par le numérique sont autant de sujets qui seront mis en débat, le matin. L'après-midi, place sera donnée à l'Explorcamp des usages numériques, à la découverte d'initiatives, de pratiques et d'outils innovants parmi lesquels, des outils européens. Voir l'article...
Les licenciements et ruptures conventionnelles des contrats des salariés protégés, principaux indicateurs
Le nombre de demandes d’autorisation de licenciements et de ruptures conventionnelles des contrats de salariés protégés dans le cadre de leurs fonctions de représentation du personnel s’élève à près de 20 000 en 2014. Au cours de la période 2010-2014, plus des trois quarts des demandes de licenciement et près de 95 % des demandes de rupture conventionnelle ont été autorisées par l’inspection du travail. Pour un salarié protégé, le risque de rupture de contrat de travail est plus élevé dans les établissements de petite taille ; il est aussi plus élevé dans les domaines du commerce et des services que dans l’industrie ou la construction.
Les jeunes sortant d’emploi d’avenir non marchand
Les "emplois d’avenir" sont destinés aux jeunes peu diplômés et ayant des difficultés d’accès à l’emploi. Ces contrats aidés ont pour objectif de favoriser leur insertion professionnelle en leur proposant un emploi à temps plein, de longue durée et incluant un projet de formation.
Six mois après la fin de leur contrat, 51 % des jeunes entrés début 2013 en emploi d’avenir non marchand sont en emploi ; 46 % sont en emploi non aidé, 37 % en emploi durable. Par ailleurs, 5 % sont en formation.
Le taux d’insertion est plus élevé pour les jeunes restés trois années complètes : 58 % contre 46 % pour ceux dont le contrat a duré entre un et moins de trois ans et 37 % si le contrat a duré un an ou moins.
Un tiers des jeunes restés en emploi d’avenir pendant trois ans sont restés chez leur employeur après la fin de la subvention. Comparée aux jeunes bénéficiaires d’un CUI-CAE de même niveau de formation, l’insertion en emploi des jeunes sortant d’emploi d’avenir est équivalente mais s’effectue plus souvent vers un emploi non aidé. Les jeunes restés toute la durée de trois ans en emploi d’avenir ont des taux d’insertion meilleurs que les CAE.
Recrutement au titre du 46-1 - 21 mars 2017
Le 25 novembre 2016 l’AG de la CP-CNU votait à l’unanimité une motion sur le recrutement des enseignants-chercheurs et insistait sur le fait que « […] toute réforme des procédures de qualification ne doit aller que dans le sens du renforcement du rôle des sections. La CP-CNU demande à ce que son bureau soit associé à toute réforme du décret statutaire relative aux conditions de recrutement des enseignants-chercheurs. »
Le bureau de la CP-CNU constate que, sans y avoir été associé, le ministère accentue la dérive déjà observée en étendant le champ d’application de l’article 46-1 du décret du 6 juin 1984. Ce dernier permet aux présidents d’université maîtres de conférences d’être dispensés de la possession de l’HDR et de la qualification pour postuler sur un emploi de professeur des universités. Le projet ministériel validé par le CTU du 20 février 2017 étend cette dérogation aux vice-présidents statutaires (cf. texte ci-dessous). Alors qu’une procédure de qualification dérogatoire (46 5°) avait pourtant été créée pour eux, des vice-présidents pourront donc être promus au plus haut grade universitaire par le conseil d’administration de leur établissement, sans examen de leur dossier par leurs pairs (ni comité de sélection, ni commission spéciale). Faut-il en déduire que la composition de la commission prévue par l’article 46 5°, qui prévoit pour chaque candidature la présence de deux représentants de la section CNU à laquelle est rattaché le candidat, ne convenait pas à la conférence des présidents d’université (CPU) désireuse d’écarter les spécialistes de l’appréciation des dossiers ?
Dans un contexte où les gouvernances des universités sollicitent un investissement de plus en plus fort à tous les enseignants-chercheurs et affirment rechercher l’excellence scientifique comme objectif principal, le bureau de la CP-CNU regrette cette évolution souhaitée par la CPU car elle affaiblit la démocratie universitaire et renforce la constitution d’une technocratie d’universitaires qui bénéficient déjà de primes conséquentes en contrepartie de leur engagement administratif.
Décret n° 84-431 du 6 juin 1984 fixant les dispositions statutaires communes applicables aux enseignants-chercheurs et portant statut particulier du corps des professeurs des universités et du corps des maîtres de conférences, texte du 46-1 modifié : « Les candidats qui ont exercé un mandat de quatre ans en qualité de président d'université, de président du conseil académique, de vice-président du conseil d'administration, de vice-président du conseil des études et de la vie universitaire ou de vice-président en charge des questions de formation d'une université sont dispensés de la possession de l'habilitation à diriger des recherches. » Voir l'article...