Par Christophe Faurie. Le petit chef est le mal de l’économie française, dit-on. Et si l’on pouvait le métamorphoser en leader ?
Que l’on parle de « transformation numérique » ou de « libération », on veut régler le même double problème.
Le premier est économique. L’entreprise française souffre de son type de management : commander/exécuter. Il est évident qu’un individu à qui l’on dicte ses actes ne donne pas le meilleur de lui-même. Non seulement on se prive du propre de l’homme, qui est sa capacité à créer mais, de plus, cela a un coût très élevé en termes de structure de contrôle bureaucratique, sans oublier l’incapacité à changer.
Le second vient des aspirations de la population : on n’a pas fait autant d’études pour se faire diriger par un petit chef ! « Saint Chevènement », et vos 80% de bacheliers, où êtes-vous ? Tout est réuni pour qu’il y ait une révolution. Voir l'article...
Que l’on parle de « transformation numérique » ou de « libération », on veut régler le même double problème.
Le premier est économique. L’entreprise française souffre de son type de management : commander/exécuter. Il est évident qu’un individu à qui l’on dicte ses actes ne donne pas le meilleur de lui-même. Non seulement on se prive du propre de l’homme, qui est sa capacité à créer mais, de plus, cela a un coût très élevé en termes de structure de contrôle bureaucratique, sans oublier l’incapacité à changer.
Le second vient des aspirations de la population : on n’a pas fait autant d’études pour se faire diriger par un petit chef ! « Saint Chevènement », et vos 80% de bacheliers, où êtes-vous ? Tout est réuni pour qu’il y ait une révolution. Voir l'article...