Gap-year students deciding asylum claims
Il faut plus de formations doctorales à orientation professionnelle !
Par et . Une formation doctorale à orientation professionnelle est avant tout une formation de niveau doctoral. Elle s’appuie sur une démarche de recherche originale et fondée scientifiquement. Elle vise à développer une contribution en termes de connaissances dans un champ pratique (un métier, des situations spécifiées) ou un champ professionnel (une entreprise, un secteur, etc.). Voir l'article...
« Quoi de neuf docteur ? » : la valorisation du doctorat, un levier pour l’avenir
En 2012, le rapport final des Assises de la Recherche et de l’Enseignement Supérieur ambitionnait de
« reconnaître à sa juste valeur la qualité de la formation doctorale, la plus haute des formations universitaires, la plus accomplie des formations par la recherche, et le diplôme haut de gamme et reconnu comme tel dans le monde entier. »
Rien que ça ! En a donc découlé l’article 35 de la loi « Fioraso » de l’été 2013, qui précise que le doctorat « vaut expérience professionnelle de recherche qui peut être reconnue dans les conventions collectives » : les docteurs n’ont pas uniquement vocation devenir d’enseignants-chercheurs, mais aussi à alimenter les entreprises en compétences.
Il n’y avait plus qu’à … Mais les choses ne sont pas si simples dans un pays où le doctorat est en mal d’affection. Voir l'article...
Masters : les trois illusions
Les universitaires, des gendarmes et des « rétrogrades » ?
Tous ces textes ont évité soigneusement de faire sauter le verrou de l’absence de sélection qui empêche les universités françaises de remplir leur mission.
Surtout ils ont fini par sonner le glas d’un grand nombre d’établissements de l’enseignement supérieur, sans réussir ni à produire leur nécessaire autonomie académique, ni à améliorer leur attractivité et leur image ni même à simplifier le « millefeuille » des structures, auquel on a fini par rajouter deux ou trois couches supplémentaires.
Collaboration active
En réalité, ces réformes doivent moins à la vision des ministres qui les ont signées qu’à la collaboration active d’une partie du monde universitaire.
Confrontés à l’impossibilité croissante d’exercer la mission pour laquelle ils croyaient avoir été formés, transmettre le savoir et produire de nouvelles connaissances, de plus en plus d’universitaires se sont laissé séduire par les privilèges rattachés aux fonctions de direction et aux responsabilités ministérielles ; certains se sont transformés en conseillers du prince, que celui-ci soit de droite ou de gauche. Voir l'article...
Les grands défis de l’Agence universitaire de la francophonie, instrument de la démocratisation des savoirs (2)
La francophonie, un horizon global (1)
Bizutages et enseignement supérieur : nous sommes toujours au Moyen Âge !
C’est à l’université de Paris que l’on relève la première mention, vers 1340, d’un rituel initiatique d’accueil des nouveaux venus, dénommés « béjaunes ». Voir l'article...