Par Philippe Escande. On raconte qu’en 1848, période de grands troubles, pour débusquer les imposteurs les polytechniciens qui croisaient un autre bicorne avaient coutume de lui demander « la différentielle de sin x et de log y et, s’ils ne répondaient pas, on les faisait immédiatement coffrer ! » On ne plaisante pas avec l’aristocratie de la technocratie française, « le rêve de toutes les mères », comme disait Flaubert. Voir l'article...
30 décembre 2015
Polytechnique, la difficile équation de l’X
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