De l'Europe à la Chine, la croissance mondiale déçoit. L'hypothèse de la stagnation séculaire, liée à des taux d'intérêts réels encore trop élevés, peut contribuer à l'expliquer. La Banque des règlements internationaux avance une autre explication, soulignant l'effet négatif du surendettement issu de politiques monétaires très accommodantes. Quelle est la thèse à retenir ? Par Jean Pisani-Ferry, commissaire général, France Stratégie. Voir l'article...
31 octobre 2015
Deux théories pour une croissance décevante
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