Pendant 4 ans, l'Institut de recherche en santé publique de l'Université de Montréal a suivi 2 164 salariés d'une quarantaine d'entreprises privées canadiennes. L'objectif : objectiver, par la biologie les sentiments de détresse, de mal être voire de burn-out des salariés et analyser les risques psychosociaux au regard des facteurs individuels, collectifs, personnels et professionnels qui les génèrent. Voir l'article...
26 septembre 2015