Par Martine Jacot. Les élèves de terminale invités actuellement à formuler leurs vœux pour la suite de leurs études, sous l’œil inquiet de leurs parents, auraient tort de bouder l’université de crainte qu’elle ne conduise au chômage. D’après la dernière enquête annuelle du ministère de l’enseignement supérieur, 90 % des diplômés d’un master (bac + 5) interrogés deux ans et demi après la fin de leur cursus ont un emploi. Voir l'article...