Par Jean-Claude Lewandowski. Avantage aux candidats les plus diplômés : en matière d’insertion professionnelle, ce credo est, depuis longtemps, largement partagé. La dernière enquête publiée par le secrétariat d’Etat à l’enseignement supérieur sur les diplômés de l’université le confirme  : trente mois après la fin de leur cursus, ceux qui ont poussé jusqu’au niveau master (bac + 5), avec un taux d’insertion de 90 %, ne font pas beaucoup mieux que leurs collègues issus des filières courtes (DUT et licence professionnelle). Voir l'article...