Par Paul Santelmann, Responsable de la Prospective à l’AFPA. La suppression du 0,9 % et la mise en place du compte personnalisé de formation (CPF) vont avoir un double effet positif : d’une part on pourra mesurer l’effet « pédagogique » de la loi de 1971 sur le comportement des entreprises en matière d’investissement formation et d’autre part on pourra mesurer la solidité de l’hypothèse qui voudrait que chaque actif (27 millions) soit porteur d’un irrépressible désir d’aller se former dans un organisme de formation. Ce double constat va permettre au système d’acteurs de la formation de mettre les pieds sur terre et de définir les contours d’une politique de formation ajustée aux comportements réels des entreprises et des personnes. Voir l'article...