En 2012, dans les universités (y compris IUT), les INP (instituts nationaux polytechniques) et les UT (universités de technologie), le nombre de stagiaires de la formation continue a augmenté de 4 % par rapport à 2011 pour atteindre 369 000 stagiaires. Ce sont surtout les bénéficiaires d'un contrat de professionnalisation et les publics non salariés qui connaissent la plus forte progression (respectivement 16 % et 12 %). Le nombre de salariés inscrits au titre du plan de formation n'augmente que de 1 %. Celui des demandeurs d'emploi s'accroît de 3 %, particulièrement les demandeurs d'emploi qui bénéficient d'une aide publique (6 %).
Sur les 53 700 diplômes nationaux délivrés en formation continue, 79 % sont des diplômes de niveaux I et II (respectivement 33 % et 46 %), 9 % de niveau III et 12 % de niveau IV. Deux diplômes professionnels dominent : la licence professionnelle et le master professionnel. Au niveau IV, 6 300 diplômes d'accès aux études universitaires (DAEU et capacité en droit) ont été délivrés en formation continue.
Tous types d’établissements confondus, les deux tiers des stagiaires se répartissent dans quatre groupes de spécialités. Les "Services à la personne" accueillent 108 000 stagiaires, dont 90 % en "Santé" ; les "Sciences humaines et droit" accueillent 86 500 stagiaires, les "Formations générales" 53 000 et les "Échanges et gestion" 71 300.
Consulter les chiffres de l'étude de la DEPP (4 p.) Voir l'article...
Le nombre de stagiaires de la formation continue augmente dans l'enseignement supérieur
Baromètre des perspectives d’emploi : vers un regain de confiance pour la fin 2014 ?

- L’intégralité des résultats dans le rapport d’étude (pdf)
- Le communiqué de presse (pdf)
- Le précédent baromètre (3ème trimestre)
- Data Explorer, pour visualiser les résultats à l’échelle mondiale. Suite...
L'OCDE satisfaite de la professionnalisation made in France
Selon le rapport « France : redresser la compétitivité » publié par l'OCDE en juillet 2014, la professionnalisation répond aux besoins des entreprises.
Si l'OCDE se montre très sévère à l'égard du système éducatif français, elle n'omet toutefois pas de distribuer des bons points lorsque c'est mérité. Dans son rapport intitulé « France : redresser la compétitivité » publié en juillet 2014, l'organisation précise que dans l'Hexagone, « la tendance à la professionnalisation va dans la bonne direction. » Voir l'article...
Dépenses de recherche et développement en France en 2012 – Premières estimations pour 2013
En 2012, la dépense intérieure de recherche et développement (DIRD) s’établit à 46,5 milliards d’euros, en hausse de 1,9 % en volume par rapport à 2011. L’augmentation de la DIRD résulte de la progression des dépenses de recherche et développement (R&D) des entreprises, celles des administrations restant stables.
Source et dossier complet Site web MESR
L’effort de recherche de la nation, mesuré en rapportant la DIRD au produit intérieur brut (PIB), s’élève à 2,23 % en 2012. Il devrait se maintenir à 2,23 % en 2013. En raison d’un ralentissement des dépenses des entreprises, la DIRD augmenterait en effet de 0,5 % en volume en 2013 (résultats provisoires), c’est‑à‑dire à un rythme à peine supérieur à celui du PIB. Voir l'article...
Tour d’horizon du mécénat et des fondations dans la Recherche et l’Enseignement Supérieur – Matinale IFFRES le 15 octobre 2014
Une journée entière autour de 4 débats-table rondes :
- Place et perspectives du mécénat et des fondations dans l’Enseignement Supérieur et la Recherche
- Comment construire un partenariat-mécénat avec les entreprises IFFRES Matinale 15 octobre 2014 Mecenat entreprise Clarisse Vermes
- Le financement participatif dans l’Enseignement Supérieur & la Recherche Matinale IFFRES 15 oct 2014 crowdfunding
- Territoires, société civile et Enseignement Supérieur & Recherche
Parmi nos intervenants :
Isabelle This Saint-Jean, Vice-Présidente du Conseil Régional d’Ile de France en charge de l’enseignement supérieur et de la recherche.
L’Académie des Sciences
Marianne Iizuka, fondatrice de edubanque.com, auteur du livre “Le crowdfunding : les rouages du financement participatif”,
Ismael Le Mouel, Ancien élève de l’Ecole Polytechnique et d’HEC Paris, Ismaël découvre l’entrepreneuriat social en Argentine au sein d’Entreprises autogérées. A peine diplômé, il décide de se lancer dans l’aventure HelloAsso, convaincu, que le web est un des leviers majeurs du changement vers une société plus équitable.
La Région Nord-Pas-de-Calais sera représentée par Xavier Maire, Directeur Général Economie, Formation, Recherche & Innovation.
Jean-Louis Lacombe, ancien Vice-Président EADS, créateur et dirigeant de la Fondation d’entreprise EADS jusqu’en juin 2008, co-créateur de la Fondation de Recherche pour l’Aéronautique et dirigeant de la Fondation C. Génial, Vice-Président de l’IFFRES
Clarisse Vermès, consultante spécialisée en financements de projets et structures d’interêt général et chercheure en Sciences de gestion à l’Université de Montpellier Sud de France. Dans ses recherches, elle s’intéresse au mécénat et, en particulier, à la place des « valeurs » dans la construction d’un accord entre structures d’intérêt général et entreprises.
Max Anghilante, président de l’IFFRES et initiateur de la plateforme DaVinciCrowd, expert en mécénat et fondations de la recherche, de l’enseignement supérieur et de la santé. Voir l'article...
Success stories post-doctorales, les entrepreneurs docteurs
Par Anne Leroux. Si les carrières post-doctorales s’écrivent le plus souvent dans les domaines de l’enseignement et de la recherche, certains docteurs choisissent une voie plus atypique : celle de l’entrepreneuriat. Ce qui ne les empêche pas, bien au contraire, de connaître d’édifiantes success stories.
Doctorat, innovation et entrepreneuriat
David Vissière est le fondateur et le dirigeant de la PME normande Sysnav, qui développe des technologies de géolocalisation sans GPS, emploie 15 personnes et réalise 1,5 million d’euros de chiffre d’affaires.
Une formation d’excellence pour une expertise de haut niveau
Mais le doctorat est aussi, de façon plus globale, la formation technique la plus poussée qui soit, et le gage d’une expertise de très haut niveau – pas uniquement dans les domaines scientifiques.
Docteurs et entrepreneurs : une alliance rare… mais qui fait sens
Et finalement, le peu de doctorants chefs d’entreprise ne doit pas laisser penser que cette double casquette n’est pas « naturelle ». Au contraire, ces deux profils partagent bien des qualités. Il y a pour commencer fort à parier que l’entrepreneur-docteur, en plus d’être un véritable spécialiste de son sujet, sera un véritable passionné – ce qui est une qualité essentielle tant dans le cadre du doctorat que dans celui de l’entrepreneuriat. Voir l'article...