Canalblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
Formation Continue du Supérieur
31 juillet 2014

L’histoire de l’Union européenne

1941 - L’intellectuel italien Altiero Spinelli, en 1941, en pleine Seconde Guerre mondiale, relégué par le régime fasciste sur l’île de Ventotene, écrit, avec Ernesto Rossi, un manifeste qui passera à l’histoire comme le Manifeste de Ventotene. Ce texte est reconnu comme étant à la base du processus d’unification de l’Europe dans le sens fédéraliste. 

1949 – Le 5 mai naît le Conseil de l’Europe, un organisme pour la défense des droits de l’homme, fondé par la Belgique, le Danemark, la France, l’Irlande, l’Italie, le Luxembourg, la Norvège, les Pays-Bas, le Royaume-Uni et la Suède, dont le siège est à Strasbourg. À ce jour, en dehors du cadre institutionnel de l’Ue, il reste la première tentative des pays européens de créer un organisme continental de l’après-guerre né pour conjurer un autre conflit. 

1950 – Le 9 mai, le ministre français des Affaires étrangères de l’époque, Robert Schuman, propose de créer une Communauté européenne du charbon et de l’acier qui, dans ses intentions, ferait d’une guerre entre les nations européennes quelque chose d’impensable. Pour rendre hommage à la déclaration Schuman, chaque année, le 9 mai, on célèbre la Fête de l’Europe.

1951 - Le 18 avril la France, l’Allemagne fédérale, l’Italie, les Pays-Bas, la Belgique et le Luxembourg signent le Traité instituant la Communauté européenne du charbon et de l’acier (CECA), dans le but d’introduire la libre circulation du charbon et de l’acier et garantir le libre accès aux sources de production. La Haute Autorité supranationale est créée à Luxembourg, dont la mission consiste à faire respecter les règles communes fixées pour la production et le commerce. 

1957 - Le 25 mars, suite au succès de la Communauté européenne du charbon et de l’acier, sont signés à Rome les Traités instituant la Communauté économique européenne (CEE) et la Communauté européenne de l’énergie atomique (Euratom). Les dénommés Traités de Rome entrent en vigueur le 1er janvier de l’année suivante. Les Commissions de la CEE et de l’Euratom installent leurs sièges à Bruxelles.

1962 – Le 30 juillet la CEE introduit la Politique agricole commune (PAC), qui permet aux États membres un contrôle commun de la production alimentaire. 

1968 – Le 1er juillet naît l’union douanière qui abolit les droits de douane aux frontières intérieures des six pays membres et met en place un système uniforme de taxation à l’importation.

1972 – Naissance du dénommé serpent monétaire dans le but de renforcer la coordination entre les politiques de gestion des taux de change des pays européens et garantir la stabilité, en fixant des marges de fluctuation. Sept ans plus tard, le serpent monétaire devient le Système monétaire européen (SME), dont l’objectif consistera à créer en Europe une «zone de stabilité monétaire».

1973 – Le 1er janvier le Danemark, l’Irlande et le Royaume-Uni deviennent membres de la CEE qui passe donc de six à neuf pays membres.

1975 – Le Conseil européen de Rome qui s’est tenu en décembre, présidé par Aldo Moro, met en place le passeport unique et le suffrage universel pour l’élection du Parlement européen. Les premières élections se tiendront en 1979.

1981 – Le 1er janvier la Grèce devient membre de la CEE, c’est le dixième État membre de la Communauté.

1983 – Le 25 juillet le Conseil Ue pose les bases pour la naissance du premier programme cadre communautaire de Recherche et Développement (pour la période 1984-87).

1984 - Le Parlement européen approuve à une large majorité, le projet de Traité instituant l’Union européenne, projet soutenu par Altiero Spinelli, à l’époque député européen.

1985 – La France, l’Allemagne fédérale et les pays du Benelux signent l’accord de Schengen. En décembre de cette même année, à Luxembourg, le Conseil européen décide de modifier les Traités de Rome et d’imprimer un nouvel élan au processus d’intégration européenne, en élaborant l’Acte unique européen, signé à La Haye en février 1986. L’Acte met en place d’importantes réformes institutionnelles et permet de poursuivre le chemin vers l’achèvement du marché unique.

1986 – Le 1er janvier le Portugal et l’Espagne adhèrent à la CEE, portant ainsi à douze le nombre d’États membres.

1987 – Naissance du programme Erasmus, à l’initiative d’un groupe de fonctionnaires de la Commission européenne, menés par le frioulan Domenico Lenarduzzi. Dès l’automne de cette même année, trois mille étudiants pourront étudier dans une université européenne grâce à l’Europe.

1992 - Le 7 février, à Maastricht, le nouveau Traité est signé. Celle que jusqu’alors on nommait communément CEE devient Union européenne (UE). Les traités définissent également des normes précises concernant la monnaie unique, la politique étrangère et de sécurité et une coopération plus étroite en matière de justice et d’affaires intérieures. L’Union européenne issue des Traités de Maastricht n’est donc pas seulement la somme des  trois Communautés historiques (CEE, CECA et Euratom) mais également un élargissement des compétences dans plusieurs domaines importants.

1993 - Le 1er janvier entre en vigueur le marché unique. La libre circulation des biens, des services et de capitaux devient une réalité.

1995 - L’Europe grandit encore. Le 1er janvier trois autres États, l’Autriche, la Finlande et la Suède, rejoignent l’Union européenne portant celle-ci à 15 membres. Le 26 mars de la même année entre en vigueur l’accord de Schengen dans sept pays: l’Allemagne, la Belgique, l’Espagne, la France, le Luxembourg, les Pays-Bas et le Portugal. À l’intérieur de l’espace défini par l’accord s’appliquent des règles et des procédures communes en matière de visas, de séjours brefs, de demandes d’asile et de contrôles aux frontières. La coopération Schengen a été insérée dans le cadre législatif de l’Union européenne par le biais du Traité d’Amsterdam.

1997 – Par le Traité d’Amsterdam, signé en octobre 1997 et entré en vigueur deux ans plus tard, la construction européenne avance sous le profil institutionnel, des relations entre l’Union et le citoyen jusqu’à toucher des thèmes importants sur la liberté, la sécurité et la justice.

2001 - Le 26 février est signé le Traité de Nice qui entre en vigueur le 1er février 2003 et ouvre le chemin à l’élargissement.

2002 - Le 1er janvier l’euro arrive. Quatre-vingts milliards de pièces de monnaie sont frappées et distribués dans douze États. Les billets de banque sont identiques dans tous les pays. Sur un côté sont représentées des portes, sur l’autre des ponts, choisis comme symbole d’union et d’ouverture entre les États. Pour les pièces de monnaie, en revanche, l’avers est le même pour tous les pays adhérents, alors que le revers porte un emblème national.

2004 - Le 1er mai dix nouveaux pays deviennent membres de l’Ue. Ce sont l’Estonie, la Hongrie, la Lettonie, la Lituanie, la Pologne, la République tchèque, la Slovaquie, la Slovénie. Chypre et Malte aussi entrent en Europe. Il s’agit du plus important élargissement de l’Ue, 100 millions de personnes environ entrent dans l’Union.

2007 - Le 1er janvier la Bulgarie et la Roumanie adhèrent à l’Ue. Le nombre d’États adhérents s’élève à 27. Le 13 décembre de la même année est signé le Traité de Lisbonne, qui entrera en vigueur deux ans plus tard, le 1er décembre

2009. Le nouveau Traité définit clairement les compétences de l’Ue et des États membres, il confère également de plus amples pouvoirs au Parlement européen, il modifie les procédures de vote du Conseil, il créée  l’Initiative citoyenne européenne, institue la fonction de Président permanent du Conseil européen et celle de Haut représentant de l’Union pour les Affaires étrangères et un service diplomatique de l’Ue.

2013 - Le 1er juillet la Croatie adhère à l’Ue, elle devient ainsi le vingt-huitième État de l’Union. Voir l'article...

31 juillet 2014

Convention de partenariat entre le Rectorat et la Direction régionale des finances publiques

http://www.pedagogie.ac-aix-marseille.fr/upload/docs/image/png/2013-08/logo_ac_aix_marseille.pngMonsieur Ali SAÏB, recteur de l’académie d’Aix-Marseille, chancelier des universités et Madame Claude SUIRE-REISMAN, directrice régionale des Finances publiques de Provence-Alpes-Côte d'Azur et des Bouches-du-Rhône, ont signé, le 22 juillet 2014, une convention de partenariat définissant les modalités de leur collaboration dans le cadre du contrôle budgétaire des Établissements publics à caractère scientifique, culturel et professionnel (EPSCP).
La loi du 10 août 2007 relative aux libertés et responsabilités des universités a conféré aux établissements une plus grande autonomie budgétaire, en leur transférant la gestion de l’ensemble de leurs emplois et de la masse salariale correspondante. Dans l’académie d’Aix-Marseille, trois établissements bénéficient de ces nouvelles compétences : Aix Marseille Université, l’Université d’Avignon et des Pays de Vaucluse et l’Ecole Centrale de Marseille.
La responsabilisation des établissements a alors été accompagnée par un renforcement du pouvoir de tutelle exercé par le recteur qui s’appuie sur l’expertise et la compétence des services de la Direction régionale des finances publiques (DRFIP).
Le décret du 4 juin 2014 modifie le régime budgétaire et financier applicable aux EPSCP et fait évoluer le rôle du recteur, chancelier des universités dans l’exercice du contrôle budgétaire, en partenariat avec la DRFIP. Sur la base des nouvelles dispositions, visant à garantir une meilleure maîtrise des risques financiers, une convention cadre a été signée, le 31 mars 2014, entre le Ministère de l’enseignement supérieur et de la recherche et le Ministère délégué au budget.
La convention de partenariat décline sur le plan territorial cette convention cadre et définit les modalités de la collaboration entre le Rectorat et la Direction régionale des finances publiques.
Ainsi, le contrôle budgétaire vise désormais à anticiper et à prévenir les éventuelles difficultés financières qui pourraient potentiellement engager le budget de l’État au-delà de sa programmation initiale. La convention académique instaure un dialogue continu entre le recteur, la directrice régionale des Finances publiques et les établissements, prévoyant une intervention graduée du recteur en fonction du niveau de risque. Voir l'article...

31 juillet 2014

Insertion professionnelle : l’Université, la voie de la réussite

Les universités n’ont pas attendu la loi LRU de 2007 pour se préoccuper de l’insertion professionnelle de leurs étudiants et pour créer les conditions de dialogue nécessaires avec le monde socio-économique.
Depuis de très nombreuses années, les universités se mobilisent en effet très fortement pour permettre la réussite de leurs étudiants, leur insertion professionnelle choisie, autant que le permet le marché du travail de notre pays, dont elles ne sauraient être tenues pour responsables.
Toutes les études le montrent : le diplôme universitaire est le meilleur rempart contre le chômage  et plus un jeune est diplômé à haut niveau, moins il passera de temps en recherche d’emploi à l’issue de ses études ou entre deux emplois.
Rappelons également que l’Université a pour spécificité d’accueillir tous les publics, tout au long de la vie, en formation initiale, continue et en apprentissage. Plus d’1.5 million d’étudiants.de tous âges suivent ainsi chaque année une formation universitaire en France. Voir l'article...

31 juillet 2014

9 octobre 2014 - Colloque de la CPU : « Universités : le défi de la formation des enseignants ? »

La société française, à l’image des sociétés européennes a intégré l’importance de la qualité de la formation pour le développement de la société de la connaissance.
La qualité de l’enseignement et donc des enseignants et de leur formation s’impose comme la plus impérieuse condition pour proposer et garantir une formation de haut niveau.
C’est dans ce contexte et que s’inscrit la réforme des Ecoles Supérieures du Professorat et de l’Education (ESPE).  Fait inédit en France cette réforme inscrit la formation des enseignants dans le contexte global de la professionnalisation de ce métier et en  confie clairement la responsabilité à l’université.
De ce fait l’université est donc confrontée à des questions nombreuses et stratégiques. En effet, il va de soi que l’université est tout à fait en mesure d’assurer et d’assumer les enjeux de la professionnalisation : elle le fait depuis longtemps dans le champ de la santé, du droit ou de l’ingénierie. Elle maitrise par ailleurs tout à fait la construction des formations en partenariat avec l’employeur, comme le montre notamment l’expérience des licences professionnelles et des masters.
La formation des enseignants, tâche noble pour laquelle l’université s’est aujourd’hui engagée, impose cependant l’invention d’un nouveau modèle dans notre pays, qui tienne compte tout à la fois des enjeux de l’enseignement scolaire, mais aussi des paramètres de l’enseignement supérieur.
Cette problématique nécessite un regard comparatif sur les systèmes en place au niveau international, mais aussi la prise en compte de ce qui caractérise la formation universitaire : le rapport à la recherche des formations. Elle se doit de prendre en compte par ailleurs la diversité des métiers de l’enseignement et de la formation tout en posant l’hypothèse de leur fondement professionnel commun.
Elle implique enfin la prise en compte des modèles de formation les plus à même de répondre à l’ensemble de ces défis, en particulier du point de vue de l’alternance, du numérique, de la place des formations universitaires dans la trajectoire professionnelle de l ‘enseignant, ou de l’innovation.

Colloque organisé en partenariat avec la CASDEN, le 9 octobre de 9h à 17h, Lycée Louis-Le-Grand, Paris 5ème
Inscription obligatoire : geraldine.becquet@cpu.fr - Accréditation presse : xavier.teissedre@cpu.fr - Information :  deborah.levy@cpu.fr / 01 44 32 91 99. Voir l'article...

31 juillet 2014

Implantation territoriale des organismes de recherche et perspectives de mutualisation entre organismes et universités

Implantation territoriale des organismes de recherche et perspectives de mutualisation entre organismes et universités, n°2014-024-Mai 2014.
La dernière décennie a été marquée par d’importantes évolutions visant à donner plus de lisibilité à l’université française et à renforcer la place de la France face à la vive compétition internationale en matière de recherche. Cependant, peu de progrès ont été faits en matière de coordination des unités mixtes de recherche qu’il s’agisse de modalités d’allocation des moyens humains et financiers ou de système d’information.  Dans ce cadre, le rapport de l’inspection dresse un état des lieux de l’implantation des unités de recherche de sept organismes de recherche et formule diverses propositions afin d’améliorer l’efficience du dispositif dans le contexte du développement de politiques de site en matière d’enseignement supérieur et de recherche.

31 juillet 2014

Journées européennes du patrimoine 2014 : le ministère ouvre ses portes au public les 20 et 21 septembre 2014

A l’occasion des 31e Journées européennes du patrimoine, le ministère en charge de l’Enseignement supérieur et de la Recherche ouvre ses portes au public les 20 et 21 septembre 2014. L’occasion pour les visiteurs de découvrir l’histoire du site depuis la fondation du Collège de Boncourt, en 1353. Les Journées européennes du Patrimoine 2014.

Visite du ministère

Entrée gratuite : 21 rue Descartes, Paris 5e
Ouverture au public : 20 et 21 septembre 2014 de 10h à 18h.
Durée de la visite :  trente minutes
Personnes à mobilité réduite :  la visite accessible aux personnes à mobilité réduite (accueil particulier à l'entrée) se fait en deux temps : les jardins (cour d'honneur et jardin de la secrétaire d'Etat) et le bâtiment Boncourt.

Le ministère dévoile ses coulisses et son histoire
Depuis plusieurs années, le ministère en charge de l’Enseignement supérieur et de la Recherche participe aux Journées européennes du patrimoine : en 2013, ce sont plus de 2000 visiteurs qui ont ainsi découvert ce lieu chargé d’histoire.
Pour la 31e édition qui se déroule les 20 et 21 septembre 2014,  le public pourra découvrir le site situé à Paris, au cœur de la Montagne Sainte-Geneviève, qui a tout d’abord abrité le Collège de Boncourt (1353), puis l’École polytechnique (1805 à 1976) et enfin le ministère en charge de l’Enseignement supérieur et de la Recherche (depuis 1981).
Le parcours aménagé passe par la visite du Pavillon Boncourt – cabinet de la secrétaire d'Etat à l’Enseignement supérieur et à la Recherche – et de ses jardins avec un aperçu de l’amphithéâtre Arago et du bureau du philosophe Claude Levi-Strauss (1908-2009).
Une formidable opportunité pour les visiteurs de découvrir cet édifice public, son histoire et ses coulisses. A voir, notamment :
A découvrir, notamment,

  • la cour d'honneur,
  • le Pavillon Boncourt,
  • la salle Hubert Curien, 
  • le jardin du Pavillon Boncourt,
  • et pour compléter la visite, promenade dans le Jardin carré, site de l’ancien Collège de Navarre occupé par les services du ministère.

"Patrimoine culturel, patrimoine naturel"
"Patrimoine culturel, patrimoine naturel", la thématique de l’édition 2014 des Journées européennes du patrimoine, élargit la notion de patrimoine en l’ouvrant à celle de paysages, d’espaces protégés ou d’espaces naturels. C’est aussi un moyen d’évoquer les liens qui unissent étroitement le patrimoine à l’environnement – minéral, végétal, urbain, littoral ou champêtre – qui le côtoie, l’abrite ou le sublime. Ce thème permet aussi de mettre en lumière certains enjeux cruciaux pour l’avenir en matière culturelle, sociale et environnementale. Voir l'article...

31 juillet 2014

Welcome to Highly Cited Researchers

Highly Cited Researchers 2014 represents some of world’s leading scientific minds. Over three thousand researchers earned the distinction by writing the greatest numbers of reports officially designated by Essential Science Indicators℠ as Highly Cited Papers—ranking among the top 1% most cited for their subject field and year of publication, earning them the mark of exceptional impact.

Explanation of the Method and Purpose of Thomson Reuters New List of Highly Cited Researchers 2014
Thomson Reuters has generated a new list of Highly Cited Researchers in the sciences and social sciences to update and complement a previously published list that was presented on the website ISIHighlyCited.com.
The old list, first issued in 2001, identified more than 7,000 researchers who were the most cited in one or more of 21 broad fields of the sciences and social sciences, fields similar to those used in the Essential Sciences Indicators database. This analysis considered articles and reviews published in Web of Science-indexed journals from 1981 through 1999. Approximately 250 researchers in each field were selected based on total citations to their papers published during this period. An update in 2004 took into account papers published from 1984 to 2003 and cited during the same period, and additional names were added to supplement the original list. More...

31 juillet 2014

L’UJF, première université française dans la liste des « Highly cited researchers »

Avec 10 chercheurs dans la liste 2014 des « Highly cited researchers » sur les 78 chercheurs français référencés par Thomson ISI, l’UJF se situe en tête des universités françaises.

Source : UJF-Grenoble

A partir des publications issues de l’ensemble des revues scientifiques mondiales, la société d’édition professionnelle Thomson ISI (Institute for scientific information) détermine les citations cumulées de chaque article. Cela lui permet de déterminer les chercheurs les plus cités dans chaque discipline. Fin juin, Thomson ISI a rendu public sa nouvelle liste des chercheurs figurant dans la catégorie dite « Highly cited ».
Site internet des « Highly cited researchers » : http://highlycited.com/. Voir l'article...

31 juillet 2014

Autonomie des universités: le recteur d’Aix-Marseille organise le contrôle budgétaire renforcé alloué le décret du 6 juin 2014

Provence EducationPar . L’application de la loi de 2007 relative aux Libertés et Responsabilités des Universités (LRU) a généré  quelques cas médiatisés d’établissements s’avérant incompétents ou incapables d’assurer l’équilibre budgétaire. Il est prévu que le recteur, en pareille circonstance, assume un rôle de tutelle. Le décret du 6  juin 2014 a renforcé le rôle du haut fonctionnaire dans le processus budgétaire.

http://www.legifrance.gouv.fr/affichTexte.do?cidTexte=JORFTEXT000029054118&categorieLien=id

Plusieurs articles donnent un relief supplémentaire à la fonction de contrôle octroyé au recteur. Il exerce cette autorité en amont, dans le processus d’élaboration du projet de budget. Suite...

31 juillet 2014

Enseignement supérieur et recherche: le Conseil des ministres revient sur les nouveaux CPER 2015-2020

Provence EducationCe matin, la ministre du logement et de l’égalité des territoires a présenté en conseil des ministres une communication relative aux contrats de plan Etat-région (CPER) 2015-2020.  « Les contrats de plan s’organiseront autour d’une priorité transversale : l’emploi. Cinq volets essentiels pour investir dans l’avenir ont été définis : mobilité multimodale ; transition écologique et énergétique ; numérique ; innovation, filières d’avenir et usines du futur ; enseignement supérieur, recherche et innovation ».  « Une nouvelle génération de contrats de plan accompagne la réforme de l’organisation territoriale de la France engagée par le Gouvernement. Pour répondre aux enjeux des six années à venir, cet outil est modernisé ».
Le processus d’élaboration est engagé depuis plusieurs mois en Région PACA. Suite...

<< < 1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 20 30 40 50 60 70 80 90 100 > >>
Newsletter
49 abonnés
Visiteurs
Depuis la création 2 783 012
Formation Continue du Supérieur
Archives