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Formation Continue du Supérieur
31 juillet 2014

Présentation du Défenseur des droits

Le défenseur des droits - République FrançaiseLe Défenseur des droits s’assure que chacun puisse connaître ses droits, les voies reconnus et appliqués selon les critères de discriminations énoncés dans les textes juridiques (lois, directives européennes, conventions internationales…).
Vous pouvez saisir directement et gratuitement le Défenseur des droits si vous vous estimez victime d’une discrimination, que vous soyez :

  • une personne physique (agissant pour votre propre compte) ;
  • une association régulièrement déclarée depuis au moins cinq ans à la date des faits et se proposant, par ses statuts, de combattre les discriminations ou d’assister les victimes de discriminations, conjointement avec la personne s’estimant victime de discrimination et avec son accord.

Dans quels cas ?
Les discriminations prohibées par la loi sont explicitement et limitativement définies,
tant pour les critères que pour les domaines dans lesquels s’exercent les discriminations.
Elles portent sur l’origine, le sexe, la situation de famille, la grossesse, l’apparence physique, le patronyme, l’état de santé, le handicap, les caractéristiques génétiques, les mœurs, l’orientation sexuelle, l’âge, les opinions politiques, les activités syndicales, l’appartenance ou la non appartenance, vraie ou supposée, à une ethnie, une nation, une race ou une religion déterminée.
Elles visent les inégalités de traitement dans l’emploi, le logement, l’éducation et la formation, l’accès aux biens et services, publics et privés, l’accès aux soins et aux services sociaux. En savoir plus sur les droits fondamentaux des personnes âgées.

À qui vous adresser ?
Vous pouvez rencontrer gratuitement :

  • Les Jeunes Ambassadeurs du Défenseur des droits auprès des Enfants (JADE). Ils sont 32, en service civique, et vont à la rencontre des enfants et des mineurs de moins de 18 ans tout au long de l’année scolaire. Ils se rendent dans les établissements scolaires volontaires mais aussi dans des centres de loisirs, des structures spécialisées (foyers, instituts, centres éducatifs fermés…) ou encore des services de pédopsychiatrie.

Ou adresser directement et gratuitement votre réclamation au Défenseur des droits :
Saisir le Défenseur des droits
par le formulaire de saisine en ligne
Par courrier :

Défenseur des droits   
75008 Paris
Vous devez joindre à votre courrier une copie de toutes les pièces en votre possession (procès-verbaux, dépôts de plainte, certificats médicaux, etc.) et vos coordonnées précises. Voir l'article...

31 juillet 2014

Les différentes formes de discrimination

Le défenseur des droits - République FrançaiseUne discrimination est une inégalité de traitement fondée sur un critère prohibé par la loi, comme l’origine, le sexe, le handicap etc., dans un domaine visé par la loi, comme l’emploi, le logement, l’éducation, etc. Elle peut être directe, si l’inégalité se fonde sur un critère prohibé, ou indirecte, lorsqu’une règle, une pratique ou un critère apparemment neutre a un effet défavorable sur un groupe visé par un critère de discrimination. Elle peut également prendre la forme d’un harcèlement.
La discrimination peut se manifester dans l’emploi (à l’embauche ou dans le déroulement de carrière), dans le logement, dans l’accès aux biens et services ou dans l’éducation. Il existe 18 critères de discriminations prohibés : l’origine, le sexe, la situation de famille, la grossesse, l’apparence physique, le patronyme, l’état de santé, le handicap, les caractéristiques génétiques, les mœurs, l’orientation sexuelle, l’âge, les opinions politiques, les activités syndicales, l’appartenance ou la non appartenance, vraie ou supposée, à une ethnie, une nation, une race ou une religion déterminée.

La discrimination peut prendre différentes formes :

  • La discrimination est directe lorsqu’elle est délibérée et que la différence de traitement se fonde sur un critère prohibé par la loi.
  • La discrimination est indirecte lorsqu’une disposition, un critère, une pratique apparemment neutre, est susceptible d’avoir le même impact qu’une discrimination directe et d’entraîner un effet défavorable pour une personne ou un groupe de personnes en raison d’un critère.
  • Le harcèlement peut devenir un comportement discriminatoire lorsqu’il est lié à un critère de discrimination prohibé par la loi. Le harcèlement a pour effet de porter atteinte à la dignité d’une personne et de créer un environnement intimidant, hostile, dégradant, humiliant ou offensant. Voir l'article...
31 juillet 2014

Le Défenseur des droits est chargé de lutter contre les discriminations

31 juillet 2014

L'enseignement supérieur dans le rapport du Défenseur des droits

Le défenseur des droits - République FrançaiseEn 2013, le Défenseur des droits a reçu plus de 100 000 demandes d’interventions ou de conseils adressés par des particuliers. Voir le rapport annuel d’activité 2013 du Défenseur des droits.
Extraits concernant l'enseignement supérieur
Refus d’inscription dans l’enseignement supérieur en raison de la nationalité

Tarik, d’origine tunisienne, est résident de longue durée en France. Il a débuté ses études de médecine en France en 2004 et poursuivi sa 6e année de médecine à Zagreb en Croatie. Il souhaitait s’inscrire dans une université française en troisième cycle du cursus d’études médicales (TCEM). Pour cela, il devait cumuler 2 conditions : jouir de la nationalité d’un Etat membre de l’Union européenne et détenir un diplôme de formation médicale de base européen. La première condition allait être remplie par l’entrée de la Croatie dans l’UE. Pour la deuxième exigence, relative à la formation professionnelle, le Défenseur a fait valoir une directive européenne qui prévoit que le résident de longue durée bénéficie de l’égalité de traitement avec les nationaux en ce qui concerne les conditions d’accès à l’éducation. Le ministère de la santé a finalement confirmé l’inscription de Tarik (dossier 11-018618).
Refus d’inscription dans l’enseignement supérieur d’un demandeur d’asile
De nationalité arménienne, Aram a déposé une demande d’asile auprès de l’OFPRA et, dans l’attente de la décision définitive, a bénéficié d’un récépissé délivré par la préfecture. Il a entamé, auprès d’une université, une procédure de validation des acquis de l’expérience aux fins de poursuivre des études. Cette validation lui a été accordée, mais son inscription à l’université n’a pas pu aboutir faute de présentation d’une « carte OFPRA ». Dans l’impossibilité de communiquer un tel document, dès lors que sa demande d’asile est toujours en cours d’instruction, Aram a sollicité un réexamen de sa situation par les services de l’université ainsi que l’intervention du Défenseur des droits, et a finalement pu s’inscrire. (dossier 12-006300).
Les actions de formation
L’action de formation du Défenseur des droits vise à sensibiliser les acteurs concernés par les activités de l’Institution, à informer les futurs agents de l’Etat sur le rôle et les pouvoirs du Défenseur des droits et à promouvoir le respect des droits et de l’égalité. Les formations menées par l’Institution s’adressent donc à un public diversifié, allant de l’étudiant au professionnel exerçant dans un des domaines d’intervention du Défenseur des droits.
Une action de formation à destination des étudiants Les formations au sein des universités et écoles sont un moyen de sensibiliser les futurs acteurs aux questions touchant aux droits fondamentaux et au rôle du Défenseur des droits.
Une convention de partenariat a été signée, le 7 février 2014, entre le Défenseur des Droits et le président de l’Université Lyon II afin de poursuivre les engagements réciproques pris en 2009 dans le cadre d’une première convention conclue par la HALDE. Cette base contractuelle qui permet d’engager un véritable travail de partenariat avec l’Université Lyon II s’articulant autour de trois volets. En premier lieu, l’Université a entrepris des démarches internes pour mieux réagir aux situations de risques discriminatoires. Celle-ci s’est concrétisée en 2011 par la création d’une cellule de veille « Egalité et prévention des discriminations ». Ce partenariat a permis, en second lieu, la mise en commun des connaissances et des compétences nécessaires en vue de la création, en 2010, d’une chaire universitaire « Egalité, Inégalités et Discriminations » qui a depuis produit une offre originale de formation initiale et de formation continue dans le cadre du Master « Inégalités et discriminations et les enjeux contemporains de l’égalité » et permis la coordination du Master européen Egales spécialisé sur les discriminations à raison du sexe. Enfin, cette coopération s’est traduite par la participation des agents du Défenseur des droits à des activités pédagogiques d’enseignement et la contribution des principaux responsables de la chaire à l’élaboration et la diffusion de guides de bonnes pratiques promus par le Défenseur des droits.
De même, une convention avec la Fondation nationale d’études politiques, qui gère Sciences Po, a été conclue le 4 novembre 2013, dans la continuité des relations initiées par la HALDE dans le cadre d’une convention signée en février 2006 pour promouvoir la recherche et l’activité d’enseignement en matière de discrimination. Initialement envisagés afin de soutenir la recherche et la formation en matière de discrimination, ces échanges ont désormais vocation à s’étendre à l’ensemble du champ de compétence du Défenseur des droits. Ainsi, de nombreux enseignements ont été développés par Sciences Po et plusieurs colloques ont été organisés dans le cadre desquels les agents du Défenseur des droits sont intervenus pour présenter l’Institution et ses domaines de compétence. Enfin, depuis 2012, le Défenseur des droits participe activement à l’expérimentation d’un programme d’immersion professionnelle, appelé « clinique juridique », qui a été engagée afin d’initier les étudiants aux dimensions concrètes de la pratique du droit. Ces deux derniers partenariats permettent à l’Institution de promouvoir la recherche et la formation dans le domaine de la lutte contre les discriminations.
Dans le cadre de sa mission de protection des droits de l’enfant, le Défenseur des droits a entrepris un travail de formation auprès de l’Ecole normale sociale, s’adressant à des étudiants de seconde année en formation d’assistant de service social. A deux reprises, en janvier et mai 2013, l’Institution est venue apporter son éclairage sur le thème de la protection de l’enfance. Le Défenseur des droits a, en outre, participé à la formation d’étudiants en Master 2 « Criminologie et droit des mineurs en difficulté » à l’Université de Bayonne. Au sein de l’Institut régional de travail social de Montrouge, 180 étudiants ont pu prendre connaissance des actions de l’Institution et des moyens déployés en matière de protection de l’enfance, dans le cadre de leur formation d’assistant de service social.
Enfin, le Défenseur des droits dispense, chaque année, des formations auprès d’étudiants de Master 2 de droit. Des interventions sont ainsi tenues sur « le contrôle extérieur des établissements pénitentiaires » dans le cadre du Master 2 « Exécution des peines et droits de l’homme » à l’université de Pau et sur la question du « contrôle de la déontologie des forces de sécurité » dans le cadre du Master 2 « Criminologie et victimologie » et « Droit pénal approfondi et sciences criminelles » à la faculté de droit et de sciences sociales de Poitiers.
La formation de stagiaires par le Défenseur des droits
Le Défenseur des droits accueille depuis plusieurs années des stagiaires universitaires issus principalement des Universités de droit, des Ecoles de formation professionnelles des Barreaux, des Ecole des Avocats, ainsi que des Instituts d’Etudes Politiques (IEP). Quelques élèves-stagiaires sont également accueillis au sein de l’Institution au cours de leur scolarité dans une école de la fonction publique (ENA, IRA, ENM).
En 2013, l’Institution a reçu 497 candidatures pour 60 offres de stage. Les 58 stagiaires sont principalement affectés dans les pôles d’instruction du Défenseur en fonction de leur candidature et de leur profil. Le stage proposé représente une première expérience professionnelle permettant d’appréhender concrètement les dossiers des réclamants qui saisissent le Défenseur des droits et d’instruire leurs dossiers, avec l’aide de leur tuteur, le plus souvent un juriste expérimenté.
Le Défenseur des droits accompagne et forme ainsi chaque année une soixantaine d’étudiants qui se destinent à des études juridiques de haut niveau, à la profession d’avocats ou qui préparent des concours de la fonction publique.
Les échanges d’expertise et de pratiques dans le cadre d’accords de partenariats
En juin 2013, le Défenseur des droits a signé un accord de partenariat avec le Centre pour l’égalité des chances et la lutte contre le racisme belge afin de consolider les liens institution - nels existant avec cette institution depuis 2005 en matière de lutte contre les discriminations.
Dans le cadre du protocole d’accord entre le Défenseur des droits et le Centre professionnel de Médiation de l’Université Saint-Joseph de Beyrouth, un cycle de formation en médiation politique a été lancé en 2013.
Le Partenariat oriental – regroupant les Ombudsmans d’Arménie, Azerbaïdjan, Géorgie, Moldavie, Ukraine, Pologne et France – a continué en 2013 avec une réunion organisée en février par la sous-commission des droits de l’Homme du Parlement européen autour des principes directeurs des Nations Unies relatifs aux entreprises et aux droits de l’Homme et l’organisation d’un séminaire par l’Ombudsman d’Ukraine à Kiev en septembre 2013. Le Défenseur des droits a poursuivi et renforcé en 2013 ses engagements au sein des réseaux dont il est membre. L’action des réseaux conduit par ailleurs à sensibiliser et interpeller les instances européennes et internationales sur des sujets d’ac - tualité en vue de les inciter à inclure ceux-ci dans leur agenda de travail et la mise en œuvre de leur stratégie. Voir le rapport annuel d’activité 2013 du Défenseur des droits.

31 juillet 2014

Le Défenseur des droits, Jacques Toubon, a remis son rapport annuel d’activité 2013 au Président de la République

Le défenseur des droits - République FrançaiseEn 2013, le Défenseur des droits a reçu plus de 100 000 demandes d’interventions ou de conseils adressés par des particuliers dont :

  • 78 822 dossiers de réclamations représentant plus de 90 000 réclamants
  • 32 228 appels (numéro azur 09 69 39 00 00)

80 % des réclamations ont été traitées par plus de 400 délégués, répartis dans 650 points d’accueil sur l’ensemble du territoire (métropole et Outremer).
L’expertise juridique du Défenseur des droits est désormais établie : 83 % des règlements amiables engagés par l’Institution ont abouti favorablement. En outre, 29 propositions de réforme ont également été adressées aux pouvoirs publics.
Dans son rapport, Jacques Toubon rend hommage au premier titulaire de la fonction, Dominique Baudis : « Dominique Baudis que je connaissais bien, avait les qualités rares, faites d’humanité, de souci de l’autre et d’opiniâtreté qui lui ont permis d’imposer cet «ombudsman à la française» dans notre paysage public. »
Son constat sur « une société rendue chaque jour plus complexe et souvent cruelle pour les plus faibles » est aussi l’occasion pour le Défenseur des droits d’affirmer les objectifs à poursuivre lors de son mandat, qu’il définit dans son éditorial  : « je souhaite que l’Institution s’affirme dans les six années à venir comme le généraliste de l’accès aux droits, face à la montée des détresses, de la précarité et de la violence. »
Voir le rapport annuel d’activité 2013 du Défenseur des droits. Voir l'article...

31 juillet 2014

Pôle emploi s'associe : Orange lance deux MOOC sur les opportunités professionnelles du numérique

Pôle emploiOrange, premier employeur du digital en France ouvre dès cet automne deux parcours d’apprentissage collaboratif en ligne gratuits destinés au grand public pour découvrir les opportunités professionnelles du digital et se former aux métiers du numérique.
Ces deux MOOC, premiers opus d’une initiative thématique inédite, vont permettre au plus grand nombre de découvrir, de se former et de mieux saisir les opportunités professionnelles qu’offre le digital. Ils seront disponibles sur Solerni, la plateforme de social learning par Orange. Voir l'article...

31 juillet 2014

Méthode de recrutement par simulation

Pôle emploiDans une initiative unique, Pôle emploi a recours depuis plusieurs années à la méthode de recrutement par simulation (MRS). Elle s’appuie sur le concept d’habiletés, caractéristiques liées à la personne et au potentiel intrinsèque, et les repère par la passation d’exercices créés par analogie avec le poste de travail. Et c’est un succès : 53% des candidats en moyenne sont évalués positivement et 53% d’entre eux recrutés, soit près de 40 000 personnes en 2013. Voir l'article...

31 juillet 2014

Le rapport d'activité de Pôle Emploi

Découvrez le rapport d'activité 2013. En savoir plus. Télécharger le rapport annuel (PDF - 1,6 Mo).
Les comptes de Pôle emploi ont de nouveau été certifiés sans réserve en 2013, dans un contexte de réduction des délais de clôture. En effet, par rapport aux comptes 2009, le conseil d’administration a approuvé les comptes 2013 trois mois plus tôt.

Orientation et formation des demandeurs d’emploi

Accompagner les demandeurs d’emploi dans leur projet de mobilité ou de reconversion est l’une des missions essentielles de Pôle emploi. Pour répondre à cet objectif, Pôle emploi a fait évoluer en 2013 son offre de services en orientation et a conforté son rôle en matière de prescription de formations.
Prestations d’orientation enrichies
Attente forte des demandeurs d’emploi, l’orientation est au cœur des priorités du plan stratégique. Pour y répondre, Pôle emploi a lancé une nouvelle offre de services. Elle permet d’accompagner de manière personnalisée tous les demandeurs d’emplois, quels que soient leurs profils.
Pôle emploi prescripteur de formation
Pôle emploi fait partie des principaux financeurs de formations pour les demandeurs d’emploi. Un rôle essentiel en matière de prescription et un levier essentiel d’accès à l’emploi. En 2013, cet effort soutenu a bénéficié à 179 448 personnes.

Six missions pour guider nos actions
La loi relative à la réforme de l’organisation du service public de l’emploi pose les principes organisationnels de Pôle emploi qui a pour mission de :
1° Prospecter le marché du travail, développer une expertise sur l'évolution des emplois et des qualifications, procéder à la collecte des offres d'emploi, aider et conseiller les entreprises dans leur recrutement, assurer la mise en relation entre les offres et les demandes d'emploi et participer activement à la lutte contre les discriminations à l'embauche et pour l'égalité professionnelle ;
2° Accueillir, informer, orienter et accompagner les personnes, qu'elles disposent ou non d'un emploi, à la recherche d'un emploi, d'une formation ou d'un conseil professionnel, prescrire toutes actions utiles pour développer leurs compétences professionnelles et améliorer leur employabilité, favoriser leur reclassement et leur promotion professionnelle, faciliter leur mobilité géographique et professionnelle et participer aux parcours d'insertion sociale et professionnelle ;
3° Procéder aux inscriptions sur la liste des demandeurs d'emploi, tenir celle-ci à jour, assurer à ce titre le contrôle de la recherche d’emploi ;
4° Indemniser pour le compte de l'organisme gestionnaire du régime d'assurance chômage et pour le compte de l'État ;
5° Recueillir, traiter, diffuser et mettre à la disposition des services de l'État et de l'organisme gestionnaire du régime d'assurance chômage les données relatives au marché du travail et à l'indemnisation des demandeurs d'emploi ;
6° Mettre en œuvre toutes autres actions qui lui sont confiées par l'État, les collectivités territoriales et l’Unédic en relation avec sa mission.
L’Établissement agit en collaboration avec les instances territoriales intervenant dans le domaine de l'emploi, en particulier les maisons de l'emploi, ainsi qu'avec les associations nationales et les réseaux spécialisés d'accueil et d'accompagnement, par des partenariats adaptés. En savoir plus. Télécharger le rapport annuel (PDF - 1,6 Mo).

31 juillet 2014

Pourquoi il faut dormir au travail

Par Florence Raillard. De nombreux salariés somnolent au bureau. Mais la France n’a pas encore adopté, contrairement à de nombreux pays, la culture de la sieste pourtant très bénéfique pour le travailleur comme pour l’entreprise. 19% des salariés s’endorment ou s’assoupissent au travail, selon une récente étude menée par l’Institut national du sommeil et de la vigilance. Suite...

31 juillet 2014

L’émergence des « travailleurs clés » dans les métropoles

Par Jean-Pierre Gonguet. Comment recruter et loger des travailleurs essentiels au fonctionnement des métropoles dans des territoires trop chers pour leurs salaires ? C’est toute la question des « travailleurs clés » sur laquelle, après Londres, Paris essaie de trouver des solutions car les distances travail-habitation freinent de plus en plus les recrutements. Suite...

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