Par Sylvestre Huet. Vous avez aimé la SNRI de Valérie Pécresse ? Vous allez adorer la SNR de Geneviève Fioraso. C’est ce qui se dit dans de nombreux laboratoires, en particulier en biologie. D’où le texte de protestation que je publie ci-dessous, issu d’un groupe de recherche en neurobiologie. Après celui de deux biologistes. SNRI, quezaco ? Stratégie nationale de recherche et d’innovation, un document de 2009 (ici une note du blog). Rédigé après un simulacre de concertation, et aboutissant à une liste «priorités» totalement convenues. Suite...23 juin 2014
Débat sur la stratégie nationale de la recherche
Par Sylvestre Huet. Vous avez aimé la SNRI de Valérie Pécresse ? Vous allez adorer la SNR de Geneviève Fioraso. C’est ce qui se dit dans de nombreux laboratoires, en particulier en biologie. D’où le texte de protestation que je publie ci-dessous, issu d’un groupe de recherche en neurobiologie. Après celui de deux biologistes. SNRI, quezaco ? Stratégie nationale de recherche et d’innovation, un document de 2009 (ici une note du blog). Rédigé après un simulacre de concertation, et aboutissant à une liste «priorités» totalement convenues. Suite...Publication des résultats de l’enquête CGE sur l’insertion des jeunes diplômés des grandes écoles
Par Manon Dubois. La Conférence des Grandes Ecoles présentait hier matin sa 22ème enquête sur l’insertion des jeunes diplômés, menée en collaboration avec l’ENSAI de mi-janvier à fin mars auprès de 161 écoles d’ingénieurs et de management. Son bilan statistique est positif: le nombre de participants à l’enquête appartenant aux deux dernières promotions de diplômés a continué de croître en 2014. On dénombre ainsi 67,2% de répondants pour cette édition (61,5% en 2013), et 44 503 questionnaires exploitables. Que fallait-il en retenir ? Taux d’emploi
Le taux net d’emploi de cette nouvelle enquête est de 80,5%, contre 81,5% l’an dernier. S’il baisse un peu pour les ingénieurs, il est en augmentation chez les managers. Le taux d’insertion de l’avant dernière promotion (12 à 18 mois après la sortie de l’école) se maintient quant à lui à un niveau élevé de 93%. Suite...
Pour télécharger l’enquête complète : http://www.cge.asso.fr/actualites/parution-de-l-enquete-insertion-2014-de-la-cge.
France : Les universités qui envoient le plus d'étudiants à l'étranger
Par lalaroni. Erasmus est le programme tendance des jeunes ! Mais il est beaucoup plus utilisé dans certaines facs que dans d'autres. meltyCampus vous en dit plus !
meltyCampus vous disait que les étudiants français étaient fans du programme Erasmus, et on les comprend. Ce programme leur permet de voyager pendant un ou deux semestres entiers, découvrir un autre pays et une nouvelle culture, tout en bénéficiant d'une aide financière. Mais même si ce coup de pouce est populaire chez les étudiants, ces derniers n'en profitent pas toujours. Il est vrai que certaines facs sont assez sélectives et ne laissent pas n'importe quel étudiant y accéder. Mais quels sont les établissements qui envoient le plus d'étudiants à l'étranger ? Pour y voir plus clair, l'A2E2F mène son enquête depuis 2008 et nous délivre quelles sont ces facs qui favorisent les séjours Erasmus, par rapport au nombre d'étudiants inscrits. Et depuis 2008, c'est la même fac qui est en 1ere place : l'université de Savoie, suivie de près par Grenoble 3 Stendhal puis par l'université du Havre. Suite...
Admission Post-Bac : Les premières réponses aujourd'hui !
Par EmilieFlo. Aujourd’hui à 14h, les premiers résultats des admissions sur APB sont tombés. Le moment de savoir pour les lycéens s’ils ont été acceptés dans la filière choisie. Récapitulatif des choses à faire après cette première phase.
Alors que les lycéens sont en train de passer l’épreuve de LV2, les premières réponses APB sont tombées aujourd’hui à 14h sur le site. Suite...
« L’économie sociale et solidaire en coopérations »
XIV° Rencontres du Réseau interuniversitaire de l'économie sociale et solidaire - 21-23 mai 2014 Lille (France)
« L’économie sociale et solidaire en coopérations »
« Co-construction », « co-production », « partenariat », « dialogue social »… l'économie sociale et solidaire développe de multiples formes de coopération et de partenariats.
D’abord en son sein, expérimentant parfois de nouvelles modalités partenariales ; mais aussi avec des acteurs institutionnels externes, parfois appelés parties prenantes (chercheurs, pouvoirs publics, syndicats, entreprises, mouvements sociaux etc.).
Ces modes de coopération peuvent être porteurs d'un renouveau de la démocratie au cœur du projet de l’ESS, de la recherche de nouvelles possibilités de dialogue ou de consensus. Ils s’accompagnent aussi de difficultés et tensions qui amènent, par exemple au Québec, à désigner ces rapports en termes de « coopérations conflictuelles ».
La diversité des acteurs de la coopération (entreprises lucratives capitalistes, mouvement social, pouvoirs publics) questionne également les orientations de ces « coopérations », leur nature et les modèles d’ESS qu’elles envisagent.
Ces coopérations peuvent se concevoir à différentes échelles : à l’échelle territoriale, qu’activent par exemple les politiques locales et régionales en direction de l’économie sociale et solidaire ou les regroupements et réseaux locaux (collectifs associatifs corporatistes ou transversaux, pôles territoriaux de coopération économique…) ; à l’échelle nationale comme en témoigne la construction de lois sur l’économie sociale et solidaire ; mais aussi à l’échelle internationale à travers la présence de l’ESS dans les forums sociaux mondiaux ou dans ses partenariats avec des multinationales…
« Co-construction », « co-production », « partenariat », « dialogue social »… l'économie sociale et solidaire développe de multiples formes de coopération et de partenariats.
D’abord en son sein, expérimentant parfois de nouvelles modalités partenariales ; mais aussi avec des acteurs institutionnels externes, parfois appelés parties prenantes (chercheurs, pouvoirs publics, syndicats, entreprises, mouvements sociaux etc.).
Ces modes de coopération peuvent être porteurs d'un renouveau de la démocratie au cœur du projet de l’ESS, de la recherche de nouvelles possibilités de dialogue ou de consensus. Ils s’accompagnent aussi de difficultés et tensions qui amènent, par exemple au Québec, à désigner ces rapports en termes de « coopérations conflictuelles ».
La diversité des acteurs de la coopération (entreprises lucratives capitalistes, mouvement social, pouvoirs publics) questionne également les orientations de ces « coopérations », leur nature et les modèles d’ESS qu’elles envisagent.
Ces coopérations peuvent se concevoir à différentes échelles : à l’échelle territoriale, qu’activent par exemple les politiques locales et régionales en direction de l’économie sociale et solidaire ou les regroupements et réseaux locaux (collectifs associatifs corporatistes ou transversaux, pôles territoriaux de coopération économique…) ; à l’échelle nationale comme en témoigne la construction de lois sur l’économie sociale et solidaire ; mais aussi à l’échelle internationale à travers la présence de l’ESS dans les forums sociaux mondiaux ou dans ses partenariats avec des multinationales…
Programme et bulletin d'inscription
Version PDF du programme et du bulletin d'inscription.
5 000 ème article sur le blog de Michel Abhervé - Bravo
Sur le blog de Michel Abhervé pour Alternatives économiques. Ce n’est pas sans une certaine fierté que j’ai pu écrire le titre de cet article.
En effet depuis son début en juillet 2008, cet article est le cinq millième publié. Et en 5 000 articles, pas la moindre remarque émise par Alternatives Economiques qui assume la responsabilité juridique de ce que je publie, pas la moindre mise en cause juridique (ce qui bien sur n’empêche pas des demandes de précisions, des propositions de complément et autres suggestions d’amélioration et/ou d’actualisation…, ni l’expression de désaccords). Suite...
Voir aussi 4 000 ème article sur le blog de Michel Abhervé - Bravo.
Rencontres Interuniversitaires de l’ESS : publication après Nancy, succès à Lille en attendant Reims en 2015
Sur le blog de Michel Abhervé pour Alternatives économiques. Les quatorzièmes Rencontres Interuniversitaires de l’ESS se sont déroulées à Lille du 21 au 23 mai 2014 organisées par les universités de Lille 1 et Valenciennes autour du thème “L’économie sociale et solidaire en coopérations “ (voir XIVe Rencontres du Réseau inter-universitaire de l’économie sociale et solidaire, RIUESS, à Lille du 21 au 23 mai 2014). Suite...
ESS : 6 % du Produit Intérieur Brut
Sur le blog de Michel Abhervé pour Alternatives économiques. La sortie de l’ Atlas commenté d’Economie Sociale et Solidaire 2014, réalisé par le Conseil National des CRES (S), est l’occasion de saluer la qualité de ce travail, utile à tous ceux qui veulent mieux connaître l’ESS dans sa diversité.
Des nombreuses données issues de la remontée du travail des Observatoires régionaux mis en place par les différentes CRESS, avec l’appui de l’INSEE et mises en forme dans ce qui est au moins autant une encyclopédie qu’un Atlas, nous mettrons en exergue un chiffre, celui de la part de l’ESS dans le PIB évalueé par l’INSEE à 6 %, soit tout de même plus de 100 milliards d’euros. Suite...
Alternance : les patrons y sont favorables, mais pas dans leur entreprise
Sur le blog de Michel Abhervé pour Alternatives économiques. Le paradoxe se confirme : l’alternance suscite une adhésion croissante pendant que ses effectifs reculent. Les résultats du dernier sondage CESI/IPSOS/Le Figaro le confirment.
Pour ce qui est des chefs d’entreprise, avec un échantillon de 400 personnes interrogées, ce qui limite la fiabilté des résultats, on peut noter que plus on pratique l’alternance plus on en a un avis positif. Suite...
Les IAE, de plus en plus concurrents des grandes écoles
Blog Focus Campus de Jean-Claude Lewandowski. Pour les IAE, la conjoncture a sans doute rarement été aussi favorable, et ils entendent bien en profiter. Les 32 Instituts d'administration des entreprises constituent en effet "l'autre" grand réseau de formation supérieure au management - à côté des grandes écoles. Forts de 45.000 inscrits et de 2.000 enseignants-chercheurs, présents dans toute la France (et notamment dans les grandes villes), ces structures rattachées aux universités disposent d'une certaine autonomie. Or, alors qu'ils sont régulièrement relégués au second plan par les écoles, ils voient leur horizon se dégager. Pour plusieurs raisons. D'abord, le besoin des entreprises en cadres bien formés se maintient à un niveau élevé, malgré la crise. Mais surtout, les grandes écoles traversent une période délicate. Elles voient leur financement menacé par le désengagement progressif des CCI, et par la remise en cause de la taxe d'apprentissage. Suite...
