Par Yannick Povillon. Lancé mardi depuis l'université des sciences de Montpellier 2 qui le coordonne, Semsem propose de moderniser l'enseignement supérieur et de rapprocher industriels et stagiaires du Maghreb pour lutter contre le fléau du chômage des jeunes diplômés.
L’université Montpellier II (faculté des sciences) participe à sa manière à la construction de l’Euroméditerranée. Mardi, son président Michel Robert a officiellement lancé le projet Semsem. Un acronyme pour “service pour l’employabilité et la mobilité sous forme de stages en entreprises des étudiants du Maghreb”. "Il s’agit de favoriser l’emploi des jeunes diplômés au sud de la Méditerranée", évoque en préambule Michel Robert. Il entend surtout aider à moderniser l’enseignement supérieur dans ces pays et le rapprocher de celui de l’Europe. Suite...
Cette année est marquée par les manifestations du 40e anniversaire de Lille3, à Villeneuve-d’Ascq. Car c’est en 1974, peu après la création de la ville nouvelle, que le campus du Pont de Bois fut ouvert, vaste plateau volontairement intégré au cœur d’une zone urbaine en pleine extension.
Souci de l’intégration professionnelle
L’occasion pour Fabienne Blaise, la présidente élue en 2012 à la tête d’un établissement qui accueille 20 000 étudiants, de rappeler les missions qu’elle développe dans un contexte économique et politique qui a bien évolué depuis les années 70. Suite...
Par Marie-Christine Corbier. La France veut accueillir davantage d’étudiants coréens, indonésiens, indiens, américains... et avant tout des scientifiques. Tourner la page de la circulaire Guéant. Dans les esprits, et pas seulement sur le papier. Tel est l’un des sujets au menu du conseil consacré à l’attractivité qui se déroule lundi à l’Elysée. La circulaire Guéant, qui compliquait l’accès au marché du travail des étudiants étrangers, a été abrogée. Mais l’image de la France n’a pas été complètement restaurée. Suite...
La Région Provence-Alpes-Côte d'Azur propose depuis plus de 20 ans un dispositif de financement pour les doctorants leur permettant d’accéder à un emploi de trois ans pendant la réalisation de leur thèse de doctorat.
Ce nouvel appel à candidatures se divise en deux volets :
- Un volet thématique « Domaines d’Activités Stratégiques » (D.A.S.) concernant les projets en lien direct avec un des 5 DAS définis dans le Schéma Régional de l’Innovation
- Un volet Général permettant le financement de projets de thèses dans tous les domaines de la recherche présents sur le territoire régional
L’appel à candidatures est annuel.
Contact : Service Vie Etudiante et Mobilité Internationale 27, place Jules Guesde 13481 Marseille cedex 21 Guillaume VIDAL 04 91 57 54 44 gvidal[at]regionpaca.fr.

Bee Api permet aux étudiants et aux professeurs de la fac de lettres d'échanger, comme sur Facebook et Twitter.
Echanger des coups de cœur sur un livre, un film, débattre d'un sujet de société... C'est l'objectif du réseau social Bee Api lancé il y a un mois à l'université du Mirail.
A mi-chemin entre Facebook et Twitter, il est potentiellement accessible aux 23 000 étudiants, ainsi qu'aux enseignants et au personnel administratif. "C'est un outil pour amener les usagers à davantage s'exprimer", explique Eric Ferrante ingénieur à la direction des technologies de l'information et en charge de l'administration de l'application. Suite...
Propos recueillis par Charles Centofanti. Le philosophe Pascal Engel, directeur d'études à l'Ecole des hautes études en sciences sociales (EHESS), doute de l'intérêt des MOOC. Selon lui, les cours en ligne massifs et ouverts ne dispenseront jamais les étudiants d'une présence sur les bancs de l'université.
Les MOOC vont-ils révolutionner le fonctionnement de l'université ? Je ne crois pas que les cours « en présentiel » disparaîtront au profit de cours virtuels. Les MOOC ne peuvent fonctionner que pour des cours d'introduction. Ils ne sont adaptés qu'à certains types de formations pratiques, pour apprendre la pêche à la ligne par exemple ou pour certains enseignements techniques. Et puis
les MOOC coûtent très cher, ce sont donc plutôt les grands établissements privés aux USA ou les grandes écoles en France, toujours plus riches que les universités, qui peuvent se permettre d'en développer. Il y a eu de
grandes déclarations aux Etats-Unis, prédisant un avenir funeste pour les universités. Je n'y crois pas. Pour s'en convaincre, il suffit d'observer
l'échec cuisant d'Udacity : son co-fondateur a jeté l'éponge devant le faible taux de réussite des étudiants.
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The 11th International Workshop on Higher Education Reform will be held between August 25 to 27, 2014, at the Memorial University, St. John’s, in Newfoundland (Canada). This year, the key theme is focused on students. The key theme for the workshop is outlined as following:
Presentations are invited, and discussions will primarily focus, on themes related to reforms and innovations regarding accessibility and affordability of post-secondary studies, conditions and modes of learning, the transition from study to work, and, for adult students, the integration of higher education with other aspects of their professional, personal and civic life. As the relationship between HE and labor markets and employment systems is changing and the borders of HE expanding, there are many new institutional innovations, programs, forms of learning, and transition mechanisms and routes both into HE, from HE to the world of work, as well as from employment and domestic and civic duties back into HE.
Download the Call for Papers here (pdf) with extended information about the conference theme. See more...
. Es gibt Regierungen, die Unis schließen wollen, Staaten, die nicht anerkannt werden, und Städte, die als illegal gelten. Wie ist es, dort zu studieren?
ZEIT Campus: Frau Batsevitsky, Ihre Uni liegt im besetzten Gebiet, sagen Kritiker.
Alisa Batsevitsky: Wir Studenten betrachten dieses Gebiet nicht als besetzt. Wir sind auch nicht aus ideologischen Gründen an dieser Uni. Die meisten von uns kamen an die Universität Ariel, weil sie in der Nähe wohnen, weil man hier leichter als anderswo einen Studienplatz bekommt oder weil die Lebenshaltungskosten in dieser Gegend ziemlich niedrig sind.
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. Ein höheres Gehalt oder bessere Karrierechancen gelten als gute Gründe für eine Promotion. Wer dagegen tief ins Thema einsteigen will, wird schief angeschaut. Ich bin Politikwissenschaftler und promoviere, weil es mir Spaß macht.
An einen finanziellen Vorteil glaube ich nicht: Was ich eventuell eines Tages mehr verdienen werde, verdiene ich jetzt weniger.
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Bye-bye Bundesrepublik: Viele hochqualifizierte Wissenschaftler verlassen Deutschland, wenige kommen her. Ein bislang unveröffentlichtes Gutachten warnt nach Informationen des SPIEGEL vor der Abwanderung der Besten - und zeigt, wo es besser läuft.
Im weltweiten Wettbewerb um die klügsten Köpfe weist Deutschland nach SPIEGEL-Informationen nur eine mäßige Bilanz auf. Zu diesem Ergebnis kommt die Expertenkommission Forschung und Innovation (EFI) in einem bislang unveröffentlichten Gutachten, das sie diese Woche an Bundeskanzlerin Angela Merkel (CDU) überreichen wird. Mehr...