
A new project to investigate monographs and open access
HEFCE has launched a new project to investigate the issues regarding open access publishing of monographs and other long-form scholarly works. The project, being undertaken in partnership with the Arts and Humanities Research Council and the Economic and Social Research Council, aims to identify and draw together a body of evidence concerning monographs and open access publishing.
Geoffrey Crossick, Distinguished Professor of the Humanities at the School of Advanced Study, University of London, is leading this work. Professor Crossick was formerly Vice-Chancellor of the University of London and Warden of Goldsmiths, University of London. We have convened an expert reference group to establish what evidence is needed in this area, and to provide advice on an appropriate programme of work to gather this evidence. Suite...
Forum on Competence Orientation in Adult Continuing Education
The 16th Forum of the Leibniz Centre for Lifelong Learning at the German Institute for Adult Education (DIE) took place in Bonn, Germany on 2–3 December 2013. More than 150 participants, including UIL representative Dr Madhu Singh, discussed “Competence Orientation in Adult Continuing Education” and its relation to the EU’s priority agenda on national qualifications frameworks and the recognition and validation of non-formal and informal learning. Suite...
Erasmus devient "Erasmus+" et voit son budget bien augmenter
Le programme de mobilité Erasmus se transforme et devient Erasmus+, englobant d'autres programmes d'aide à la mobilité. Mieux doté, il devrait permettre à plus de jeunes de partir étudier à l'étranger, mais également de favoriser la mobilité des personnels enseignants.
Menacé un temps de disparaître, le programme Erasmus, devenu "Erasmus+", vient d'être sauvé in extremis, du moins jusqu'en 2020. Le programme européen de mobilité des jeunes vient en effet de bénéficier d'une enveloppe de plus de 14,7 milliards d'euros sur sept ans ! Suite...
A peine lancés, les MOOC de FUN connaissent déjà un bon succès
Les premiers cours en ligne massifs et gratuits viennent d'être lancés sur la plateforme de France Université Numérique (FUN). En tout, plus de 100 000 personnes se sont inscrites à ces cours proposés par des universités et des établissements d'enseignement supérieur français. Et cela n'est pas prêt de s'arrêter, puisque de nombreux autres MOOC sont attendus d'ici à cette année !
De plus en plus d'universités et d'établissements d'enseignement supérieur n'ont plus que quatre lettres en bouche : MOOC, pour "massive open online courses", ou cours en ligne massifs et gratuits en français. Après de nombreuses grandes écoles de commerce et d'ingénieurs notamment, les premiers MOOC de la plateforme France Université Numérique viennent d'être officiellement lancés. Suite...
La science se concentre ? Faux !

Universités: Strasbourg comprime son budget

Des efforts sont nécessaires pour promouvoir les études et la formation des étudiants à l'étranger
Tableau de bord de la mobilité de l'UE: des efforts sont nécessaires pour promouvoir les études et la formation des étudiants à l'étranger
L'Allemagne, la Belgique, l'Espagne, la France et l'Italie possèdent les meilleurs systèmes de soutien public pour promouvoir les possibilités d'études ou de formation à l'étranger et fournir des conseils y afférents aux étudiants de l'enseignement supérieur, selon le premier «tableau de bord de la mobilité» de l'UE. Ce tableau de bord est un des éléments de réponse de la Commission européenne à une demande des États membres1 visant à supprimer les obstacles aux études et à la formation à l'étranger dans le cadre d'actions plus vastes destinées à aider les jeunes à acquérir les compétences et l'expérience nécessaires pour accroître leur employabilité. Mme Androulla Vassiliou, commissaire européenne à l'éducation, à la culture, au multilinguisme et à la jeunesse, a fait la déclaration suivante: «Le fait d'étudier et de se former à l'étranger est une excellente manière d'acquérir des compétences et une expérience précieuses; c'est pourquoi l'UE a fortement augmenté les fonds destinés à la mobilité dans le cadre du nouveau programme Erasmus+. Le tableau de bord de la mobilité nous permet de voir pour la première fois dans quelle mesure les pays mettent en place un environnement favorable à la mobilité des étudiants – et dans quels domaines ils pourraient en faire davantage.»
Le tableau de bord de la mobilité est axé sur cinq facteurs clés qui ont une influence sur la motivation et la capacité des jeunes à étudier ou à se former à l'étranger. Il révèle que ces facteurs varient de manière considérable entre les États membres et qu'aucun pays n'affiche des scores élevés pour l'ensemble des indicateurs relatifs à son «environnement de mobilité».
Principales conclusions
Informations et conseils sur les possibilités de mobilité: l'Allemagne, la Belgique, l'Espagne, la France et l'Italie fournissent le soutien le plus complet. Les structures d'information et d'orientation sont les moins développées en Bulgarie, en Grèce, en Slovénie et à Chypre.
Portabilité de l'aide accordée aux étudiants, permettant à ces derniers de bénéficier de bourses et de prêts publics dans un autre pays selon les mêmes conditions que lorsqu'ils étudient dans leur pays. Les bourses et les prêts accordés aux étudiants sont portables dans les parties néerlandophone et germanophone de Belgique, à Chypre, au Luxembourg, en Slovénie, en Finlande et en Suède. Par contre, les systèmes de soutien financier aux étudiants sont les plus restrictifs dans la partie francophone de Belgique, en Bulgarie, en République tchèque, en Grèce, en Croatie, en Lituanie, en Roumanie et en Slovaquie.
Connaissances en langues étrangères: il s'agit souvent d'un facteur déterminant pour décider d'étudier à l'étranger. Chypre, le Luxembourg et la partie germanophone de Belgique attachent la plus grande importance à l'apprentissage des langues à l'école. En Irlande et, au sein du Royaume-Uni, en Écosse, l'apprentissage des langues étrangères à l'école n'est pas obligatoire.
Reconnaissance des études effectuées à l'étranger (utilisation du système ECTS et du supplément au diplôme): l'Allemagne, la Belgique et l'Espagne déploient d'importants efforts pour contrôler l'utilisation des outils européens permettant aux étudiants de faire reconnaître les études qu'ils ont effectuées à l'étranger au moyen du système européen de transfert et d'accumulation d'unités de cours capitalisables (ECTS) et du supplément au diplôme, alors que la plupart des pays accordent relativement moins d'attention à cette question.
Soutien aux étudiants issus de milieux défavorisés: la partie néerlandophone de Belgique, l'Allemagne, l'Italie et l'Autriche se démarquent tant pour le soutien financier bien développé qu'elles accordent aux étudiants issus de milieux défavorisés qui souhaitent étudier ou se former à l'étranger que pour les systèmes mis en place pour suivre la mobilité du point de vue du milieu social.
Contexte
Le tableau de bord de la mobilité couvre l'ensemble des 28 États membres de l'UE, ainsi que l'Islande, la Norvège, le Liechtenstein et la Turquie. Il s'agit d'un premier aperçu des facteurs figurant dans la recommandation du Conseil de 2011 sur la mobilité à des fins d'éducation et de formation et il constituera la base d'un futur suivi conjoint au niveau de l'UE; sa prochaine mise à jour est prévue pour 2015. Le tableau de bord de la mobilité a été élaboré par le réseau Eurydice, en étroite coopération avec la Commission européenne et un groupe consultatif d'experts des États membres. Eurydice est un réseau d'unités nationales coordonnées par l'Agence exécutive européenne «Éducation, audiovisuel et culture» (EACEA), qui fournit des informations sur les politiques et systèmes européens relatifs à l'éducation ainsi que des analyses en la matière.
Liens utiles
MEMO/14/07 Tableau de bord de la mobilité: foire aux questions
Rapport Eurydice: Towards a Mobility Scoreboard: Conditions for Learning Abroad in Europe
Erasmus+ - Foire aux questions
Mayotte au sein de la République et de l’Union européenne
Le ministre des outre-mer a présenté une communication relative à Mayotte au sein de la République et de l’Union européenne. Au 1er janvier 2014, Mayotte est devenu la 9ème région ultrapériphérique de l’Union européenne. Ce nouveau statut lui confère les moyens nécessaires pour s’insérer pleinement dans les politiques européennes et renforcer son ancrage européen. Il est le signe de la confiance que l’Union européenne accorde à Mayotte, et de sa capacité à mettre en œuvre la réglementation européenne.
En sa nouvelle qualité de région ultrapériphérique, Mayotte bénéficiera des fonds européens pour assurer son développement. Pour la période 2014-2020, ce sont plus de 340M€ (hors Fonds européen pour les affaires maritimes et la pêche) qui seront mobilisés, soit 15 fois plus que ce dont bénéficiait le territoire au titre du Fonds européen pour le développement (FED). Pour accompagner Mayotte vers ce changement de statut, le Gouvernement a sensiblement renforcé son action au bénéfice du territoire (maintien de l’investissement public, accélération du rythme de revalorisation ou d’alignement d’un certain nombre de droits sociaux). Conformément aux engagements pris, l’indexation des salaires des fonctionnaires a été mise en place au 1er janvier 2013 et la transition fiscale est effective depuis le 1er janvier 2014. Le Gouvernement s’est attaché également à renforcer la lutte contre l’immigration clandestine pour préserver les équilibres du territoire, et à relancer un dialogue constructif avec l’Union des Comores.
Il reste néanmoins encore beaucoup à faire pour parachever le processus d’alignement de Mayotte sur le droit commun. A cette fin, le Gouvernement souhaite élaborer avec les élus de Mayotte un document stratégique qui présentera les perspectives et le cadencement de l’action publique au bénéfice de Mayotte, ainsi que la vision commune de l’État et des collectivités territoriales sur l’avenir de ce territoire et leur engagement réciproque pour atteindre cet objectif. Conseil des ministres du 08 janvier 2014
Trois chantiers pour aligner la formation sur le Web
Par Michel Diaz. Un salarié, c’est souvent, pour ne pas dire toujours, un internaute… On imagine que les deux auront de plus en plus de mal à cohabiter, à comparer les services qu’ils obtiennent de leur entreprise et sur le Web, dans le champ de l’apprentissage en particulier !
Dédoublement de personnalité de rigueur ! En tant qu’internaute (mobinaute, etc.), je me goinfre tant et plus des produits et services que m’offre le Web. Une vraie corne d’abondance ! Des ressources en nombre infini, souvent de grande qualité, aux formats les plus variés… Freemium : les services de base sont gratuits, je peux aussi tester le niveau premium et m’abonner d’un clic s’il me convient. Ces services sont par ailleurs immédiatement accessibles, sur tous mes « devices » (ordinateur, tablette, smartphone). Suite...
Les organismes de formation davantage sollicités en 2014

« Les entreprises expriment un petit regain de confiance quant à leur avenir ». L’enquête nationale Opcalia* 2013-2014, dont les résultats viennent d’être publiés, met en évidence un léger « mieux » concernant le regard que les entreprises portent sur leur futur : 62 % d’entres elles (+ 2 % par rapport à l’édition précédente) sont « plutôt » ou « tout à fait » confiantes en l’avenir de leur entreprise. Loin, toutefois, de la sérénité relevée en 2011 (79%). Suite...