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Professionnels de l'orientation, la formation et de l'emploi, vous souhaitez vous former ? Le PRAO vous propose une offre riche de plus de 70 actions dans tous les territoires de Rhône-Alpes.
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L’édition 2014 propose une offre riche de 71 actions, dont 12 nouvelles, déclinées en une centaine de sessions dans tous les territoires de Rhône-Alpes.
L’organisation du plan facilite l’approche par métier et la possibilité pour chacun de construire son parcours de professionnalisation.
Cette nouvelle édition est notamment marquée par :
- le maintien de l'effort de territorialisation
- l'enrichissement du domaine "Développement stratégique et administratif des structures" qui à lui seul totalise 4 actions nouvelles.
- le reconduction du séminaire "Paysage de l'Emploi-Formation en Rhône-Alpes".
>> Découvrez le programme en navigant par thématique dans le menu sur votre gauche ou retrouvez ici toutes les dates des sessions 2014.
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Une agence pour « humaniser le travail »
Créée par la loi n° 73-1195 du 27 décembre 1973, l’Anact est née des volontés convergentes des partenaires sociaux et de l’État « d’humaniser le travail » dans un contexte de mutations sociales et de transformation de l’appareil productif et des entreprises.
Gouvernée par un conseil d’administration tripartite rassemblant l’État, les organisations d’employeurs et de salariés, et des personnalités qualifiées, l’Anact s’appuie sur un paritarisme de projet. Conçue pour faire progresser les conditions de travail, elle contribue à la prévention des risques en agissant sur leurs facteurs organisationnels. Elle participe également à la réussite des dispositifs d’accès et de maintien des personnes dans un emploi de qualité et promeut la qualité de vie au travail, facteur de performance pour l’entreprise et d’engagement pour les salariés. Avec les 26 Associations régionales pour l'amélioration des conditions de travail (Aract), le réseau Anact est présent dans toute la France.
Aujourd’hui, il propose des méthodes et des outils éprouvés, élaborés à partir de retours d’expérience de projets pilotes en entreprise, permettant aux salariés et aux directions d'entreprises d'améliorer les conditions de travail en agissant avec efficacité sur l'organisation du travail.
Renseignement
Les inscriptions sont closes. Si vous n'avez pas pu vous enregistrer en ligne à temps, vous pouvez nous adresser un mail et vous présenter au Conservatoire national des arts et métiers, Amphithéâtre Paul Painlevé - 292 rue Saint-Martin, 75003 PARIS à 14 heures. Un accueil spécifique sera organisé dans la limite des places disponibles.
Contact Presse : Catherine Guibbert - c.guibbert@anact.fr - 04 72 56 13 38
Contact inscription : Alexandre Roland - a.roland@anact.fr
Six mois après la fin de l’aide de l’État associée à leur contrat, 70 % des salariés sortis en 2011 d’un contrat aidé du secteur marchand sont en emploi (comme en 2010). Leur insertion dans l’emploi passe souvent par le maintien chez l’employeur, plus fréquent après un CDI ou un contrat long. Les sortants de contrats aidés en 2011 déclarent plus souvent qu’en 2010, avoir été formés ou accompagnés par un tuteur pendant leur contrat. En revanche, ils déclarent un peu moins souvent avoir été suivis par un référent externe à leur employeur (25 %, après 28 % en 2010). Peu de bénéficiaires ont pu préparer leur sortie de contrat avec un conseiller de Pôle emploi ou de mission locale.
L'étude de la Darès, n° 071, novembre 2013.
La loi de financement de la Sécurité sociale du 17 décembre 2008 incite les entreprises d’au moins 50 salariés à conclure un accord ou, à défaut, un plan d’action en faveur de l’emploi des salariés âgés. Ce rapport présente les résultats d’une recherche sur la construction et la mise en œuvre d’accords et de plans d’action dans onze entreprises. Dans quelle mesure et de quelle façon la loi a-t-elle fait évoluer les pratiques de ces entreprises ? L’étude déroule en quatre chapitres, les principales caractéristiques des entreprises étudiées, analyse les processus d’élaboration des accords et les modalités de mise en oeuvre, et propose une analyse des effets de la loi de 2008. Cette recherche a été réalisée en réponse à un appel à projets de recherche de la Darès en mars 2011.
Construction et mise en œuvre d’accords et plans d’action en faveur de l’emploi des seniors. Ires-Anact, collectif d’auteurs, Rapport n° 05/2013, septembre 2013, 106 p.
Jeune diplômé bac + 2 ou technicien plus ou moins expérimenté, il est possible de décrocher un titre d’ingénieur, pour progresser dans sa carrière. Trois solutions : l’alternance, la formation continue, la validation des acquis de l’expérience (VAE). ; pour un diplôme qui a la même valeur que celui obtenu en école sous statut étudiant. "Il y a égalité et parité d’estime entre toutes ces voies", expose Christine Julien, responsable compétences à la direction des formations du Conservatoire national des Arts et Métiers (Cnam). La profession y veille : sur le diplôme, rien n’indique comment il a été obtenu. Dans cet article d'Usine nouvelle : les différentes voies pour devenir ingénieur, dont celle de la VAE.
"Devenir ingénieur autrement", L'Usine Campus du 21.11.13.
Une récente étude de l’Observatoire national de l’économie sociale et solidaire (ESS) a pointé le nombre important de départs en retraite anticipés à l’horizon 2020, (plus de 600 000 salariés concernés, soit plus d’un quart des effectifs du secteur). Pour connaître plus précisément les caractéristiques des emplois du secteur et les évolutions attendues, le ministère délégué à l'Économie sociale et solidaire a commandé une étude au Credoc. Celui-ci a travaillé sur la population des 18-25 ans, en distinguant deux catégories selon le niveau de qualification :
- la population des « non qualifiés » : sans diplôme ou simplement avec le brevet des collèges ;
- la population des « peu qualifiés » : comprend la population précédente ainsi que les personnes possédant un BEP ou CAP.
La première partie de l’étude quantifie l’emploi dans l’ESS (par segment et par métiers). Elle mobilise l’enquête BMO 2012 de Pôle emploi et l’enquête Emploi de l’Insee. La deuxième partie, plus qualitative, complète les estimations chiffrées de la première partie : profils des intervenants du secteur, niveaux de qualification attendus, pratiques de gestion des ressources humaines, facteurs d’évolution (règlementation, évolution des besoins, financement)...
Credoc, novembre 2013, 42 p.
A l'occasion de la semaine de la VAE qui se déroulera dans le Tarn du 2 au 6 décembre, Jean-Marc Bousquet, directeur du Cibc du Tarn, Point relais conseil en VAE, rappelle, dans une interview à la Dépêche, que le dispositif de VAE permet à une personne "d'obtenir un authentique diplôme en faisant valoir son expérience professionnelle". Le centre accueille plus de 800 personnes par an ; "60 % sont des demandeurs d'emploi ; les femmes sont largement majoritaires et ce sont les domaines du tertiaire, sanitaire et social qui sont le plus prisés". Deux témoignages indiquent que la VAE est possible à tout âge : Manine Zaham, 35 ans, agent hospitalier et Thierry Chazeau, 52 ans, chef de chantier.
Lire l'article et les témoignages dans la Dépêche du 25.11.13
Les débats régionaPetiteux pour nourrir le projet "Quelle France dans 10 ans ?" menés par Commissariat général à la stratégie et à la prospective se sont poursuivis avec une étape à Toulouse, le 12 novembre dernier. Consacrées au modèle productif, deux tables rondes ont réuni des économistes, des entreprises, des responsables de pôles de compétitivité et des syndicalistes. Avec deux thèmes au cœur des échanges : « Comment faire émerger les entreprises de taille intermédiaires (ETI) ? » et « Le capital humain, levier d’adaptation du système productif ».
Synthèse et vidéos sur le site du Commissariat général à la stratégie et à la prospective.