By Rosanna Tamburri. When Twitter posted a job ad recently for computer science graduates at its proposed “global centre of excellence” in Vancouver, it had unusually specific requirements for bachelor’s degree-holders. Their bachelor’s had to come from one of the world’s top 100 universities as defined by the Times Higher Education (THE), Quacquarelli Symonds (QS), or a similar ranking. This, according to Phil Baty, rankings editor with the London-based THE, is the latest example of how “obscenely powerful” university rankings have become. More...
University rankings gain influence, despite obvious drawbacks
Proposed university framework causes a stir in Québec
By Marie Lambert-Chan. Recommendations include dismantling the Université du Québec network. A working group preparing a university framework for the Quebec government published a wide-ranging report that aims to rethink the foundations of the province’s universities; those foundations were rocked by student protests during the so-called Maple Spring. In doing so, the report’s authors, Lise Bissonnette and John R. Porter, drew praise from some and criticism from others.
The government mandated Ms. Bissonnette and Mr. Porter – who chair the board of directors of Université du Québec à Montréal and Université Laval, respectively – to write the report (PDF) after last February’s Summit on Higher Education in Quebec. The report defines the university’s mission and values, describes governance, proposes creating a national council of universities, and reviews the proliferation of short programs and the rules related to student democracy. More...
L’accompagnement VAE tend actuellement à se professionnaliser
L’accompagnement tend actuellement à se professionnaliser. Le Département des Sciences de l’Education de l’Université de Provence (Lambesc) a ouvert une option de la licence « Sciences de l’Education » (en alternance) centrée sur « la formation des personnels de la VAE ». La connaissance des modèles et des dispositifs d’évaluation en éducation est fondamentale pour assurer les fonctions : d’orientation, d’accompagnement des candidats, de validation dans le cadre des jurys VAE, de suivi des préconisations de formation/expériences complémentaires. Le suivi des candidats tend à évoluer vers une pratique plus individualisée dans de nombreux cas: c’est un facteur de réussite, un facteur de motivation pour le candidat. Mais individualisation ne veut par dire solitaire, le groupe a un rôle à jouer dans ce processus; la problématique de la motivation dans les démarches de validation de l’expérience est par nature individuelle, mais elle interroge néanmoins le collectif.
CONCLUSION ET PERSPECTIVES
Cette étude qualitative montre que c’est une combinaison optimale de toutes les variables ressources (internes au candidat et propres au processus inter institutionnel de validation) qui amène à la réussite d’un parcours de VAE : représentation de ce qu’est la VAE, moment dans son parcours professionnel, motivation, accompagnement, type de dossier (de preuve) et d’épreuve,…
Intégrer la VAE comme un outil d'orientation
Proposer aux candidats en situation de rupture avec leur projet de validation des solutions alternatives, c'est poser la VAE dans le champ de l'orientation tout au long de la vie. Il est donc important de redéfinir les conditions de réussite du parcours d'accès à la qualification par la construction de partenariats (conseiller AFPA, mission locale, PAIO, CIO, direction RH de l'entreprise, représentants du personnel, conseiller Fongecif, structures d'accompagnement) et par la définition d'une complémentarité de services; c'est ici, semble-t-il, la condition indispensable d'une sécurisation des parcours.
Parmi les variables d’échec, une étude qualitative devrait être faite, par des entretiens approfondis, sur des candidats volontaires, de l’importance du manque de confiance en soi, d’efficacité personnelle et le sentiment de contrôle interne comme facteurs les plus discriminants pour expliquer l’abandon rapide du processus.
Il y a aussi certainement un travail à faire sur ce qu’est l’expérience, comment elle se forme, comment elle se repère, se formalise, se valorise... comment elle est au service d’un projet de développement personnel et professionnel de son auteur, afin que la VAE devienne vraiment un outil au service de la qualifiaction tout au long de la vie.
Conseils donnés par les candidats ayant obtenu leur diplôme:
« La VAE c’est un vrai travail ; ne pas attendre 57 ans (transmission d’un « héritage ») pour faire une VAE pour l’ouverture d’esprit et les connaissances que cela développe; le faire à 25-30 ans; le faire à deux (avec son épouse ou son conjoint); le prendre comme un chantier. »
« Vouloir arriver à quelque chose car ça demande du travail; c’est une expérience très riche qui ouvre des portes. »
« J'ai déjà conseillé la VAE à plusieurs personnes: c’est un réel travail mais avec au bout une promotion dans son métier. »
« Mon conseil : avoir de l’expérience, du temps et être motivé. »

Concerns the quality of India's booming higher education sector not keeping up with demand
By Stephanie March. India's higher education sector is one of the largest in the world, but there are growing concerns the quality of higher education isn't keeping up with demand. India's higher education sector is one of the largest in the world, catering to 25 million students. Six decades ago the country had less than 700 diploma and degree institutions. Now it has 45,000, with almost half of those emerging in the past ten years alone. More...
DU Éthique de la Responsabilité 2013 - 2015
En partenariat avec l’Institut Européen EMMANUEL LEVINAS.
- Présentation
- Diplôme
- L’enseignement
- Intervenants pressentis
- Programme des interventions
- Calendrier
- Coût de la formation
- Candidature
Responsables Christian Hoffmann, PR de Psychopathologie clinique, Université Paris Diderot Paris 7, psychanalyste,
Gérard Rabinovitch, Chercheur au CERSES - Université René Descartes/CNRS, chercheur associé au CRPMS, Directeur des enseignements universitaires à l’AIU (Institut Européen Emmanuel Lévinas).
Lieu de formation :
Institut Européen Emmanuel Levinas
6 bis rue Michel-Ange 75016 Paris
contact Institut Levinas :
— tél : 01 53 32 80 17
— email : direction@levinas.aiu.org
Public
- Diplômes : Master Professionnel ou Recherche.
- Publics (origines professionnelles). Ce DU s’adresse :
- aux professionnels de la santé, psychologues, psychanalystes, médecins qui sont confrontés à des questions d’éthique dans leurs pratiques, aux chercheurs.
- ainsi qu’à tout étudiant et personne s’intéressant aux questions d’éthique et aux thématiques proposées, acceptation sur dossier.
Présentation
La question de la Responsabilité traverse toutes les tentatives de penser l’Éthique, depuis les vertus grecques jusqu’à Lévinas, en passant par les Humanités Bibliques juives ou chrétiennes.
Dans l’après coup de la « rupture de civilisation » qu’a constitué la destructivité nazie, le problème de la responsabilité a retrouvé chez quelques penseurs une place centrale. La question de la responsabilité est devenue un enjeu qui va au delà d’une manifestation de la simple « conscience morale », et qui interroge le sujet à travers ses actes. Ainsi, V. Jankélévitch interroge l’« impardonnable », G. Anders scrute l’ « obsolescence de l’homme », R. J. Lifton sonde les ténèbres de la médecine « nazie », J. Lachs réfléchit sur la « médiation de l’action ». On lira H. Arendt, dans Responsabilité et Jugement, Z. Bauman avec La Vie en Miettes, H. Jonas avec Le Principe Responsabilité. Et bien sûr P. Ricœur, E. Lévinas et J. Lacan.
L’éthique de la responsabilité apparaît ainsi comme un fil qui relie toutes ces pensées. Elle y apparaît comme une question contemporaine, en tant qu’envers de ce Monde administré identifié par les philosophes de Francfort : Max Horkheimer et Adorno.
Pour tous ces auteurs, l’éthique de la responsabilité ne peut être réduite à l’argument kantien de « faire son devoir ». Plus profondément, elle vient au cœur de la problématique d’un sujet humain en tant qu’il a à répondre de son désir. C’est ce que développe Jacques Lacan dans ses Prémisses à tout développement de la criminologie. Les philosophes de Francfort trouvaient déjà symptomatique que la psychanalyse devienne un partenaire pour le sauvetage d’un sujet humain, voire même le dépositaire d’une ultime réchappée à ce monde administré.
Dans la tradition juive, la scène originelle de la faute première ne réside pas dans la consommation du fruit de l’arbre défendu, mais dans la dérobade de l’homme générique, Adam, qui ne répond pas à la question que lui adresse l’Ineffable : « où es-tu ? ». La faute originellement n’est pas tant d’avoir transgressé l’Interdit, mais de faillir à sa responsabilité, de ne pas endosser les conséquences du dessillement. L’enjeu de la responsabilité se répète encore très vite dans le récit du « Commencement », Berechit : « Suis-je le gardien de mon frère ? ». Nous le retrouvons toujours avec le départ d’Abraham de Ur. Encore - plus tard - lors de l’épisode du « Veau d’or ». Enfin la question de la Responsabilité est au centre du montage cosmologique et téléologique de la dernière Kabbale celle issue de l’enseignement d’Isaac Luria qui convoque l’homme à la mission du Tikkun Olam, à la réparation des mondes mal achevés par l’Ineffable.
— C’est ainsi que nombre des principales séquences du texte central hébraïque peuvent être entendus comme autant de récits qui habillent et portent la question de la Responsabilité. Traités dans leurs commentaires talmudiques selon les méthodes de l’herméneutique juive, à distance du mythe comme de la théologie. Toutes ces séquences font socle. Et d’elles peut se déduire la phénoménologie des « sentiments éthiques » tels qu’ils se sont construits au fil des siècles : Responsabilité, Empathie, Solidarité, Justesse, Pudeur, « Bien dire » etc.
Longtemps le terme « humanités » a servi à désigner les disciplines traitant des langues et de la littérature ancienne, notamment latines et grecques. Malencontreusement, dans la longue durée des instructions de 1890 (lorsque l’historien Ernest Lavisse fixa à l’école laïque contre les cléricaux, un credo capital : « notre histoire commence avec les Grecs ») fut refoulée, dès lors, la connaissance compréhensive de ce que Northrop Frye appela le « Grand Code ». Une expression empruntée au poète et peintre William Blake, désignant le champ référentiel biblique transmis à sa façon propre par le christianisme, dans lequel se meuvent la pensée, la littérature, les arts de l’Occident.
— Le fait que la civilisation européenne dans ses soubassements ait pour source autant Jérusalem qu’Athènes, et que les deux, selon l’expression de Rémi Brague, « fassent tension tout en se faisant la courte échelle », s’en est trouvé expulsé de l’esprit des « humanités » classiques, tels qu’enseignées depuis.
Sur l’axe d’un humanisme renouvelé et réactualisé, enseigner les « Humanités juives » prend sa part aujourd’hui dans la nécessaire construction d‘épistémologies transdisciplinaires, dont la variété des séminaires proposés dans le cursus de ce D.U. et l’éventail des champs abordés, peuvent témoigner de l’intention.
Une telle formation initiera à des problématiques nouvelles induites par l’évolution scientifique et la mutation sociale d’un environnement devenu si peu naturel, qu’il interroge la place de l’humain ; en portant sur les interactions culturelles, les transactions individu/société, les interfaces psyché/culture/sciences, et ce « trans-individuel » que porte en lui le langage, qui traverse les individus et les lie ensemble.
Rankings just one measure of college quality
Americans love rankings. We rank fantasy football picks, popular music singles, employees and students. Lists with titles like the “Top 10,” the “Top 100” or “Worst 50” are a staple in popular culture, and wehave added universities to the list of lists.
This month U.S. News and World Report published its 2014 college rankings. Marquette was listed No. 75 among the list of 400 “national universities,” an “eight-spot jump” according to campus marketing. Six other schools were also ranked at 75.
The ranking was dominant on the university homepage, advertised on television screens and posters around campus and tweeted out to thousands of followers: “Marquette jumps eight spots on U.S. News’ annual Best Colleges list.” More...
Higher education needs to pay attention to both value and affordability to rebuild middle class
By Thomas J. Botzman. American ingenuity and innovation have fueled our way of life for generations. Although the most obvious signs of innovation are new products, such as handheld computing devices or cars that can park themselves, other forms of innovation are also needed to create a robust economy. Higher education innovates in our academic programs that provide both employable skills and a base for responsible citizenship. During his recent multi-city tour, President Barack Obama expressed a belief that future innovation, a thriving economy and an affordable college education are linked together. More...
Students with disabilities are finding new college options
As he sits in class at Eastern Michigan University, a flood of images streams from Tony Saylor's vibrant, creative mind down through his pen and onto paper.
Often, his doodling features the 9-year-old character Viper Girl who battles monsters with her pet fox Logan. Saylor, 22, has even self-published three books of their adventures.
Saylor's professors didn't exactly welcome his constant drawing, but once he explained it was the only way he could hope to process their lectures -- and even to stay awake -- most let him continue. Read more...
In Higher Education Social Media Is Your Job
By James Michael Nolan. I have altogether too many friends and colleagues in higher education who seem to think that being active in social media is a choice, on par with, say, choosing to watch Breaking Bad, or taking up golf.
A few still try to collect "cute points" for not being active in social media and remaining ignorant about it. "I wouldn't know the difference between a blog and a Tweetle," one told me. He was really pleased with himself.
Others righteously, publicly, and aggressively eschew the cute points and go after the moral high ground points of "Who has TIME for that nonsense?" or "People have forgotten how to have a real relationship..." Blah blah blah. More...
New MIT “XSeries” MOOCs cover more content
By Matt Zalaznick. Students will get several courses-worth of instruction in computer science, logistics.
Participants in MIT’s about-to-launch “XSeries” MOOCs on computer science will get about three courses-worth of instruction that should give them a strong jump start on future studies or prepare them for a summer internship, senior lecturer Chris Terman says. More...