
« L’ajustement des entreprises aux contraintes macroéconomiques pèse plus que jamais sur les débutants dans leur période d’insertion », notent les auteurs du Céreq. En période de détérioration de la conjoncture, les jeunes débutants – diplômés ou non – seraient ainsi plus nombreux à être soumis aux emplois à durée déterminée, à des allers-retours vers le chômages ou à des mobilités entre employeurs. Mais la crise aurait des effets limités sur la durée et « aurait plutôt pour conséquence de retarder le processus d’insertion professionnelle que de le mettre à mal durablement », ajoutent les auteurs. Suite...